Ici le scribe de la page remet le texte ci-dessous extrait de la note 1 de la page précédente : L’Instant possédé = esclavage-salariat c’est…. PARCE QUE CELA CONCERNE L’ORIGINE DE L’OUVRIER AVEC LA RACINE AR : L’EAU ET CELUI QUI OUVRE ou ŒUVRE.




COQUILLE D’ESCARGOT (la ligne droite n’existe pas).
Escargot = fertilité, la SPIRALE liée aux phases de la lune. Mouvement dans la permanence comparable au GATE GATE du Soûtra du Diamant.
TORBILLON : inspiration comme la limaille de fer attirée par l’aimant. L’énergie est donc intérieure et non extérieure : VORTEX. Ainsi il n’existe pas de corps comme l’explique Ramana Maharshi à l’entretien 164, qui, en additionnant les trois chiffres donnent 11, le nombre du TAO… Tout mouvement énergétique naturel correspond à au moins un des trois types de mouvement élémentaire : orbital (autour de), rotatif (toupie), circulatoire (flux magnétique), l’Ouroboros. Ça tourne, Saturne : « La liberté a donné à Saturne la forme la plus élevée de son désir, une faim qui est la goût de l’or, et elle a fait de Mercure son ouvrier... » écrit Jacob Boehme.

CAbiRes : Divinités mystérieuses d’Égypte, Phénicie, Asie Mineure, Grèce.
Grecs = Kaiein = brûler. Lettre K : elle va avec C, G, Q, car à l’origine ces 4 lettres n’étaient qu’une seule et même lettre.
Hébreu = Kabir = grand, puissant.
Les Phéniciens adoraient 8 Cabires comme protection de la navigation, et ainsi liés aux 8 vents. Comme la gaine symbolique de Ptah-Hèphaistos, les Cabires étaient étaient estropiés de tous les membres, et il travaillent avec leur estomac : LE SOUFFLE.
Cabire, Kubéira signifie la tête qui tisse : la trame, la pensée qui tisse (avec le Léthé : la lie, le SEL, les fèces ou marc [dépôt, résidu, suc, sueur]) ; le Cyclope (Ptah-Héphaïstos-Vulcain est un TISSERAND plutôt qu’un forgeron.
Ptah porte un bonnet bleu qui veut dire ”Maître du destin” (le karma en Inde).
En fait, le nombre exact des Cabires reste un Mystère ! (Ils pourraient être 12 : 4x3=12 = PÉRIODE (les heures actuelles…)
Les Cabires symbolisent les forces souterraines de la Nature dans laquelle ils ou elles avaient “trouvé” le Fer et les Métaux et l’Art de les travailler : Homéométallurgie parce que MÉTAL = EAU :
Première étymologie d’après le son : Met-Al : M de Matière et Al le Soleil (El). Al signifierait le Dieu Mithra, le SOLEIL….. L’EAU, LA FONTE, LA DILUTION….
EAU = RÊVES - PLOMB = RÊVES (les noms chinois des métaux ‘k’ien’, le plomb ’T’ie’, le fer ’Tan’, le cinabre ’T’ong’ sont très voisin. Le caractère ‘kin’ désigne le métal lui-même, tandis que ’siao’ indique l’association entre l’idée de métal et celle de fusion, ou précisément EN EAU.

ALCHIMIE = RÊVE = FONDRE.
ET FONDRE = POINT, FUSÉE-FUSEAU-AXE (en chinois le caractère ‘tchou’ indique le POINT qui figure au centre du caractère qui désigne la ‘pilule de cinabre’ et de ’tchou’ : L’ESSIEU. Tout cela ne peut que participer de ce qu’en Alchimie on appelle LANGUE DES OISEAUX, là encore : domaine du rêve, du « volatil » ; VOLATIL évidemment dans le sens du Gate gate ou dans le sens de la devise alchimique : Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore (le contraire de ce monde en marche vers sa digitalisation, sa numérisation informatique complète…).
Alchimique ou ART DE LA MUSIQUE : LE GATE GATE EN PRINCIPE DE THÈME ET VARIATION : le Thème devient une Variation qui à son tour en devient un nouveau Thème, et ainsi de suite avec bien-sûr LE FIL ROUGE (qui n’est autre que le Laboureur ou Laboreor, le Labour ou l’ŒUVRE, l’OUVRIER authentique : celui qui OUVRE), si bien résumé par Hyacinthe Dubreuil dans son ultime livre : J’ai fini ma journée, page 9. Même si cet Ouvrier avait ”un caractère”, il ne s’est pas laissé intimidé par un winner, un chef qui s’est comporté en ”peuple élu”, en rabaissant l’Ouvrier en l’appelant ”MON BRAVE”. « Il dit alors à son chef : ”Pourquoi m’appelez-vous « Mon brave » ? - Mais j’ignore votre nom. - Eh bien moi, quand je m’adresse à quelqu’un dont j’ignore le nom, je l’appelle Monsieur ».
C’est sans appel, sans Pourquoi, et ça renvoie à notre époque de société fourmilière, d’indistinction mondialisée, d’inclusivisme en ”vivre ensemble”. Comme écrit si justement Hyacinthe Dubreuil : « Ceux qui ont toujours vécu dans le confortable matériel, et surtout dans une position « honorable » [la pyramide hiérarchique encore plus hiérarchique sous le mode républicain et capitaliste et que sous la monarchie], ne peuvent pas comprendre le rôle secret du sentiment et de l’humiliation dans le comportement ouvrier [le Vrai, pas celui de ce hui qui disparaît invariablement remplacé par les machines et les ”intelligences artificielles” du capital, speed, rentabilité du productivisme et de la saisie obligent].
Le VRAI OUVRIER DE DUBREUIL EST L’ÉMOTION AU SENS NATUREL ANCIEN DE MÈRE-VEILLE, MÈRE DIVINE, VIERGE NOIRE ET CHRISTIQUE, REMPLACÉE DE NOS JOURS PAR LE JUDÉO-MUSULMANISME EN ENVAHISSEUR ISSU DU JUDAÏSME QUI QUALIFIAIT LES ANCIENS CULTES DU TOUT ET SES REPRÉSENTANTS DE « PROSTITUÉS », D’« IDOLES », AVEC ÉVIDEMMENT PASSAGE DU MATRIARCAT AU PATRIARCAT.

Le VRAI OUVRIER DE DUBREUIL c’est le ”prolétariat qui bouge” (pour employer cette expression de Francis Cousin), le Vrai Ouvrier c’est Jean Coulonval qui éclate lumineusement dans son unique livre Synthèse et Temps Nouveaux, à la suite du livre de Hyacinthe Dubreuil. C’est cet ouvrier qui fait peur au régime et à ses FRIC/FLIC. Parce que : qu’est-ce signifie l’expression du ”supérieur” : « Mon brave » ? Il signifie l’ÉTOUFFEMENT DE TOUTE CONSTESTATION ET PIRE LE RENVERSEMENT DU RÉGIME, DE SON ISME DU SALARIAT ET NÉCESSAIREMENT DE L’UTILITARISME ÉCONOMIQUE ALLANT AVEC, DONC UNE IMMENSE PORTION DE LA LOI DE SUCCION VULGAIRE, LE PLOMB-PESANTEUR.
L’anesthésiant ”MON BRAVE” à ce hui, c’est l’émmigratioréchauffisme (”migrant-climatique”) transitionnel économique ou évolutionnisme de la marchandise. Le ”prolétariat qui bouge” ou le Vrai Ouvrier de Dubreiul et de Coulonval envoie balader toutes ces AMABILITÉS COMMERCIALES comme ”Mon brave”, et comme le ”Vivre ensemble” des macron-rothschild et cie.

Le ”Vivre ensemble” c’est la société fourmilière où n’est tolérée aucune liberté individuelle vers la Réalisation du Soi ou RE-trouver l’Infini spirituel [dixit Jean Coulonval) ; ce que Francis Cousin appelle « la soumission orientale » ; ce ”vivre ensemble” multiplie, cumule les individus dont l’immigrationnisme, pour en faire des troupeaux, MAIS REFUSE LES PERSONNES AU SENS QUALITATIF : LE EST de chaque humain. La « liberté » n’existe alors que pour celui qui décide de ce qui devra être vécu et senti uniformément par tout le monde, donc la « soumission orientale », d’une certaine manière, parce que ce sera la LOI DE SUCCION AMPLIFIÉE DE CELUI OU CEUX QUI NE CHERCHENT PAS À AIDER, À LIBÉRER, MAIS QUI CHERCHENT NÉCESSAIREMENT UNIQUEMENT À POSSÉDER (dont le phénomène d’euthanasie de masse, le covidisme etc., nécessité capitaliste dans sa crise terminale). Et la source de cette société fourmilière en marche a sa source, son germe, dans un Occident soumis à l’Église de Rome depuis Théodose 1er, les Charlemagne et Clovis….
Le société fourmilière sera donc le ”laboratoire de recherche du capital”…

Orphée était dit-on initié aux Cabires. Ce sont les plus hauts Esprits Planétaires, sorte de Chefs (principe) des Dieux.
Par exemple Ptah (prototype d’Osiris puis du Christ) est le feu corporifié, manifesté, créateur de toutes les possibilités et fonctions ; il correspond à l’Héphaïstos (père des Cabires) ou Vulcain le FRÉQUENCEUR (souffle), mais aucun rapport avec le SOUFFLEUR OU DÉMIURGE DE GENÈSE 1 : ”Un vent de Dieu soufflait…”, car comme le Ptah emmailloté le Ptah-Héphaïtos ou Vulcain est dans le NON-FAIRE/FER, LE NON-AGIR ou Wou-wei, ou Wuwéi en chinois, plus vulgairement : le "lâcher-prise". Il a été conçu dans la Matière inerte, passive, dont il devient alors le « mobile » créateur de la forme corporelle (aspect ondulatoire). IL DEVIENT LE PILIER DJED : LE PIEU, ALLER AU PIEU (la nuit porte conseil, soit relier le Haut et le Bas et l’inverse).
Le chaudron sera la VÉRITÉ tel le VOLCAN et sa roche en fusion : naissance de la roche ; et de là la PIERRE-OUTIL.

L’Ancien Testament est un MANUEL DE DESTRUCTION : la vie est un EXIL, un péché :
- Q. : Si tout est illusion [”COMME SI”], rien n’empêche alors de supprimer des vies ?
- M. : Pour qui est cette illusion ? Trouvez-le. En fait, chacun de nous est un « assassin du Soi » (âtmahan) à chaque moment de sa vie. (Ramana Maharshi, entretien 17 du 24-1-1935).
Pour les Anciens la Mort n’est pas un mal ; c’est donc le CONTRAIRE de l’humain actuel qui considère que la mort c’est LE Mal, surtout les transhumanistes anglo-américains et les Laurent Alexandre ! Et ce monde actuel prépare d’ailleurs sérieusement L’EUTHANASIE ACTIVE LÉGALE SELON SA LOGIQUE DU RENTABLE, DU WINNERISME GALOPANT ET DE LA LOI DE SUCCION : LE PLOMB-PESANTEUR !

ORPHÉE : COCON BLANC, le Phanès [Phantos, le Premier visible dans l’Éther] (Orphée, Discours sacrés F72,73). « Comme il était incapable de concevoir son origine et sa nature, il dit qu’il est né à partir de l’AiR immense : Phaethon premier engendré, fils du très vaste Éther, car Il n’avait rien de plus grand à sa disposition ».
Quatre fois trois donne douze, ont pour principes la Monade et la Dyade, alors la Monade devrait être l’Éther [”espace”, ”fluide”], la Dyade, le Chaos, la Triade l’Œuf - « Il est, en effet, parfait -, et la Tétrade de Phanès, comme le dit Orphée : ”Vu ça et là par quatre yeux” ». (Orphée, Discours sacrés en 24 chants, F79).

Les CABIRES étaient certainement des MAÎTRES FRÉQUENCEURS, DES MAÎTRES RYTHMEURS.
La DANSE devait être leur Science. La Danse au sens originel exprime quelque chose de transcendant, et elle figure le RYTHME du mouvement universel et céleste : LES FRÉQUENCES ; la danse-rythme, la cadence-fréquence figure le mouvement de l’âme. La Danse prend nécessairement son origine à la RE-naissance de l’Univers : chœur des astres, conjonctions des planètes furent les MODÈLES DE LA PREMIÈRE DANSE, À LA FOIS DIVIN ET MYSTIQUE : LES FRÉQUENCES LE COURONNEMENT DE TOUTES LES SCIENCES.
Le Mouvement circulaire et en spirale des corps que compose l’Univers peut facilement s’appeler « DANSE SIDÉRALE ». L’ascension de l’Âme est rythmée entre le Haut et le Bas et l’inverse.

Cabires = vents, souffle, kaphos = souffle, et eiro = tisser, donc fréquence.
Vulcain-Héphaïstos TRAVAILLAIT LE SOUFFLE, LES FRÉQUENCES.
C’est le Vent qui apporte la LUEUR/INSPIRATION/MOUVEMENT.
Le Vent souffle quand bon lui semble ! Ce Souffle toujours latent.
La Divinité qui produit le Vent en Chine : Madame le Vent, FENG POPO, vieille femme qui voyage assise sur un tigre, et portant dans ses bras le sac qui contient les Vents. (D’après Henri Maspéro : Essais sur le Taoïsme).
Le VAN : ce qui se manifeste, ce qui apporte la lueur, le signal. Et à distinguer du : “Un Vent de Dieu tournoyait sur les eaux” de Genèse 1,1. AIR/ESPRIT/FANTÔME/ FANTASMA……
L’AIR vient de L’EAU. Vents des flatuosités (Fèces, Putréfaction-Fermentation).

Le SOUFFLE DU TAO, le Centre nulle part, dans Tao-tö king Verset 25 :
Il y avait quelque chose d’indéterminé
avant la naissance de l’Univers.
Ce quelque chose et muet et vide.
Il est indépendant et inaltérable.
Il circule partout sans se lasser jamais.
Il doit être la Mère de l’Univers.

Ne connaissant pas son Nom,
Je le nomme « Tao ».
Je m’efforce de l’appeler « Grandeur ».
La grandeur implique l’extension.
L’extension implique l’éloignement [vent, temps].
L’éloignement exige le retour [Éternel Retour].

Le Tao est grand.
Le ciel est grand.
La terre est grande.
L’homme est grand.
C’est pourquoi l’homme est l’un des quatre grands du monde.

L’homme imite la terre [à ce hui il imite le capital, la raison].
La terre imite le ciel.
Le ciel imite le Tao.
Le Tao n’a d’autre modèle que Soi-même.
(Traduction : Liou Kia-hway).
En Chine, “l’Empereur de Jade” (le CHANG-TI) le Régulateur de l’Univers réside autour du Pôle Nord. (D’après le dictionnaire Larousse de 1910).
L’AiR : Chaud et Humide se rapproche du Feu et de l’Eau dont il est le médiateur (Senior Zadith) ; et Froid et Sec : le Vent cruel de Saint-Pétersbourg (celui qui tue le Fonctionnaire du “Manteau”, de Nicolas Vassiliévitch Gogol).

La PIERRE :
Elle est portée dans le Ventre du Vent et elle naît dans l’air,
dans le Vent. Mercure contient tout ce que cherchent les Sages.
C’est le Vagabond messager.
(D’après Michael MAÏER “L’Atalante Fugitive”, Discours 36).
D’après la Table d’Émeraude, Verset 4 :
Le Soleil en est le Père, la Lune est sa Mère,
Le Vent l’a porté dans son Ventre, la Terre est
sa nourrice (l’a nourri de son lait).
Concentre toi, dit Confucius, n’écoute pas par tes oreilles mais par ton esprit, n’écoute pas par ton esprit mais par ton Souffle.
“SUBLIMER” : toutes les choses sont faites de Souffles. Les 9 Souffles à l’Origine étaient mêlés dans le Chaos. À la constitution du Monde, les 9 Souffles se séparèrent, les plus purs montèrent et formèrent le Ciel, les plus grossiers descendirent et formèrent la Terre. Le corps de l’homme est fait de Terre, et ce qui l’anime c’est le Souffle Originel pur qui pénètre en lui avec la première respiration. (D’après Henri Maspéro : Essais sur le Taoïsme, page 44).

Et encore à propos de nostre Racine AR/Shiva : le R de AoR : Ici et Maintenant le AoR la Synthèse vibratoire + ou - de Lumière Astrale, l’AoR est la « Première étincelle ». L’AoR est une synthèse de vie et de mort (d’après la Doctrine Secrète, vol1, page 55. H.P. Blavatsky).
Ce qui est l’invisible est, comme tout ce qui est simple, terriblement compliqué !
L’AOR, l’AIR Souffle de vie du Dieu CHOU Fils aîné d’ATOUM de l’Égypte Ancienne.
CHOU est aussi considéré comme Dieu Solaire (représenté en un Lion).

VRAI FEU = LE MESSAGER DES DIEUX (en grec : PYR, où le Y (voir la lettre F) correspond à SHIVA : DESTRUCTION/TRANSFORMATION).
Le Feu comme la pluie TOMBE : il est est né de la FOUDRE. Il fut capté dans un FOYER (concentration/contemplation) ; puis utilisé dans un FOUR (concentration/Athanor ou Vase-Vallée-Jardin alchimique) et dans une LAMPE. Là où est ce faux feu : LA COPIE DU CIEL qui sert d’UTILITARISME, se trouve le Foyer au sens de la famille ou du social, avec femmes et enfants ; là se trouve aussi le « feu de joie » de la veillée (avant les ”modernités” de la sorcière électricité faisant TOURNER LES MACHINES… CE QUI AMÈNERA LE RETOUR DE LA FRAYEUR PRIMITIVE DU FEU, ET DE LA FUITE-LA-RÉSISTANCE-FIÈVRE QUI CHAUFFE, possiblement à cause des nanotrucs….)

LA PROCHAINE SOCIÉTÉ DES TRANSITIONNÉS ÉCONOLOGIQUES SERA LA BACCHANALE DÉJÀ COMMENCÉE PAR LE 1789 FRANÇAIS (voir le Marquis de Sade et La Philosophie dans le Boudoir - Français, encore un effort si vous voulez être républicains : UNE PERMISSIVITÉ CONSTRUITE SUR LA LOI DE SUCCION VULGAIRE, LA POSSESSIVITÉ TOTALE, SANS RESTRICTION, sauf pour les pauvres, forme cachée d’euthanasie).
LA PROCHAINE SOCIÉTÉ DES TRANSITIONNÉS ÉCONOLOGIQUES de ces humains et salariés du capitalisme qui ont rendus toutes choses si compliquées, AVEC LEURS ARTIFICES SANS CESSE RENOUVELÉS (les ”Plus ça change et plus c’est la même chose”), DANS CETTE NOSTALGIE IRRÉDUCTIBLE-IRRATIONNELLE ET JAMAIS AU GRAND JAMAIS AVOUÉE, EN FRANCE : LAÏCITÉ OBLIGE, D’UN PARADIS OU JARDIN PERDU, UN PARISIS PERDU, DE MÊME QUE LE SILENCE… À MOINS, À MOINS QUE LA GRÂCE, LA MÈRE-VEILLE SE MANIFESTE, À MOINS QUE MICHEL-ARCHANGE SE MANIFESTE……. Ce Paradis perdus « RACHETÉ », comme l’indique page 18 Jacques Attali ce que résume son livre : Les Juifs, le monde et l’argent, si souvent cité sur le site, UN RACHAT (des péchés) QUI FORCÉMENT S’ÉPUISE DE JOUR EN JOUR.

À SUIVRE…

Notes.
1. Linga ou lingam (mot sanskrit) : symbole Axial de Shiva. À l’entretien 216 du 22-06-1936, le Maharshi explique le sens du nom Arunâchala : Aruna : rouge, brillant comme le feu [l’Axis mundi ou Colonne de Feu, voir ci-dessous]. Ce feu n’est pas le feu ordinaire, qui n’est que chaud. Il s’agit du jnanagni (le feu de la sagesse) qui n’est ni chaud ni froid. Achala : colline. Arunachâla signifie donc Colline de la Sagesse.
Colonne de Feu : Le Feu, Agni, Van ou Souffle, ce qui est insaisissable (ni par les mains ni par le mental). Purificateur Il est Renaissance, comme l’Eau l’est également. L’idolâtrie du feu a donné la thermodynamique.
Ce qui va avec le Feu : LE FUSIBLE (ce qui fond, ce qui est réduit en « Eau », ce qui peut prendre, par le Feu, n’importe quelle forme grâce au FORGERON). En l’humain, seul existe par rapport au Feu et à l’animal autre, cet extraordinaire FUSIBLE : L’HUMOUR, lequel par auto-critique permet le voyage tout-confort dans le « Qui suis-je ? ».
Ce Feu vraiment universel, symbolisé dans la radiation de la Colline d’Arunâchala…
À l’entretien 218 du 30 juin 1936 = « Shiva a les aspects transcendant et immanent représentés respectivement par Son Être invisible et transcendantal et par le linga. Le linga est manifesté, depuis les origines jusqu’à nos jours, sous la forme d’Arunâchala. Cette manifestation eut lieu un mois de décembre alors que la lune se trouvait dans la constellation d’Orion [ârdrâ]. Toutefois, Arunâchala fut adoré pour la première fois un jour de Shivarâtri [nuit de la nouvelle lune de chaque mois (amavasya) pendant laquelle adorer Shiva procure des mérites instantanées], jour considéré comme sacré.
Dans la sphère de la parole; le pranava (le son mystique OM) représente l’aspect transcendantal (nirguna), et le panchâksharî (mantra en cinq syllabes : Namashivaya) représente l’immanent (saguna) ».

2. « Nous les Noirs, nous avons pu sauvegarder notre identité culturelle et religieuse parce que nous n’avons rien écrit. Ce qui peut paraître un manque est justement notre force ». (Émission Thalassa du 5-4-1991)

3. « Il n’y a pas de perception [de Pour-Voir chez un être réalisé]. Percevoir [perce et voir : le Trou, dans lequel il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à pour-Voir] est seulement ÊTRE. L’état de Réalisation du Soi, comme nous l’appelons, ne consiste pas à atteindre quelque chose de nouveau ou un but lointain, mais simplement à être ce que vous êtes en permanence ET QUE VOUS AVEZ TOUJOURS ÉTÉ [le scribe de la page souligne]. Vous devez seulement cesser de prendre pour vrai ce qui ne l’est pas. Tout le monde considère comme réel ce qui n’est pas réel [comme voir le Trou, comme un objet, et donc une possession-information]. Nous devons perdre cette habitude. Alors nous réalisons le Soi tel qu’Il est, autrement dit, nous serons le Soi. À ce stade, nous allons rires de nous-mêmes du fait d’avoir fournie tant d’efforts pour découvrir le Soi qui est une telle évidence [parabole de ce Trou qui n’est pas à voir ou à pour-voir].
Alors, pour répondre à votre question : cet état de réalisation transcende celui qui perçoit [le pour-voir] et ce qui est perçu [l’objet symbolisé par le Plomb]. Il n’y a plus de sujet pour percevoir quoi que ce soit. Celui qui à présent perçoit tout cela cesse d’exister et seul demeure le Soi.
[…] Cet état [de Réalisation] transcende celui qui perçoit et ce qui est perçu. Il n’y a plus de sujet percevant pour percevoir quoi que ce soit. [Le scribe de cette page confirme par la pratique de l’aquarelle, que quand il était face à une paysage, ou face à une tour en pierres pour pratiquer la peinture à l’aquarelle, il faisait UN avec ce paysage ou UN avec cette tour]. Celui qui à présent perçoit tout cela cesse d’exister et seul demeure le Soi [pour l’aquarelle, l’impression indescriptible par n’importe quel mot et syntaxe de langue française de l’aquarelliste, et qui rejoint ce sentiment océanique, les Eaux Primordiales]. (Ramana Maharshi au jour le jour, 19-11-1946).