Ecrit par Sechy,
le 24-07-2024 01:32
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Confusion entre l’Absolu et le matérialisme
pris pour l’Absolu (l’absolu du capitalisme et
de la finance internationale absolutisée).
Le politisme républicain et la religion en
général tendent tout deux dans cet ABSOLU en
confondant tous deux dans leurs institutions
l’Absolu du Seul Réel et le FAUX absolu du
corps-matière-mental.
Le pouvoir du régime mondial veut absolument
que l'économie soit une science en soi, se
suffisant à elle-même, une ”monade” (selon
Leibniz, dit le dictionnaire philosophique).
Ce qui revient à prétendre que l'humain est
au service de l'économie et non l'économie
au service de l'humain ; mais, l’humain est
la mesure de toutes choses, alors il y a bien
longtemps et maintenant surtout de nos jours
QUE CET HUMAIN EST ENTIÈREMENT MESURÉ
PAR LES CHOSES DU DEHORS :
L’ÉCONOMIE, LA MATIÈRE,
LE CORPS-EGO !!!
L’intellect-personne-ego tend par nature, par sa fonction ontologique d’identification au corps, à figer, ossifier, conférer un semblant d'absolu et de valeur éternelle à une connaissance du sensible, qui pourtant, par nature, ne peut en avoir. Cet ersatz d'absolu, je l'appellerai « opinion ». L'opinion n'est jamais en sécurité, elle porte en elle l'angoisse de pouvoir être remise en question. Aussi est-elle toujours en position de défense, ou d'attaque. Aussi, l'opinion est nécessairement sectaire, intolérante. Tout ce qui n'adhère pas à l'opinion, absolutisée collectivement (sous réseaux sociaux ou sous ” Vivre ensemble”), notamment en politisme étatique sous le nom de ”Parti” [ou ”mouvement politique”], est ennemi. (Pour réf. à Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 4 le 27-1-1969 à Mgr. André Combes, de l’Université du Latran).
Tous les êtres humains de part le fait qu’ils sont intégrés dans une identification à un corps sont dans ce BESOIN D’ABSOLU NATUREL, D’ÊTRE LA TOTALITÉ, LE GLOBE TERRESTRE, L’UNIVERS LUI-MÊME C’EST-À-DIRE, EN FAIT, DE RE-LIEMENT, AU SENS DE RELIER, DE RELIGION, D’ABSOLU.
L’Être humain corporifié est une « religion » en ce sens qu'il mobilise la volonté dans la recherche et l'adhésion à un absolu, à une réalité ultime qui est la matière SANS MATIÈRE, LA VRAIE DEMEURE DU SANS DEMEURE (qui est aussi le rêve du transhumanisme anglo-américain des Google etc.).
Or actuellement, il y a TERRIBLE CONFUSION entre l’Absolu du Seul Réel, et le spatio-temporel DU CORPS-EGO pris pour un absolu par le seul LIEN du POUR-VOIR ou pouvoir à travers l’identification au corps et ses cinq sens. Cela produit que toute intelligence tend à l'absolu, mais par une voie « intrinsèquement perverse » : celle de la matière, celle de la ”raison”, QUI N’EXISTE PAS, QUI N’EST QU’UNE OPINION DE PLUS.
RÉPUBLICANISME, CAPITALISME, COMMUNISME et IL Y A PEU : SOV(C)IÉTISME COMME TOUS ”ismes” tendent à cet Absolu du Seul Réel, TENDENT À CETTE NOSTALGIE DU « PARADIS », cette nostalgie de la GLOBALITÉ (vu de nos jours comme le ”Nouvel Ordre Mondial” avec une ”Jérusalem céleste” comme capital mondiale). Tous ces ”ismes” illusoirement croient, en agglomérant du discontinu scientifique, créer du continu, cette forme perverse du ”Plus ça change et plus c’est la même chose”.
« La perception intellectuelle immédiate du métaphysique [du TOUT] est continue, contemplation indifférenciée [continue, puisque la dualité sujet-objet n’existe pas]. Mais, pour s'exprimer, elle doit se couler dans les mots, dans une géométrie syntaxique, c'est-à-dire dans du discontinu [et donc dans le temps qui coule et l’histoire-opinion]. La vision métaphysique continue n'est pas didactiquement communicable. Elle descend de l'indifférencié intellectuel dans le différencié verbal et grammatical. Inversement, la méthode didactique part du différencié verbal pour invoquer le sens au sein de l'indifférencié métaphysique. La Pensée est de l'ordre de l'indifférencié continu, l'Opinion de l'ordre du discontinu sensible à partir duquel on tend, par un besoin naturel mais par une voie aberrante, non plus à atteindre le lieu spirituel d'une pensée continue, mais à la forger soi-même par syncrèse, agglutination de conclusions tirées des expériences spatio-temporelles ». (Jean Coulonval, lettre 5 à Gaston Bardet, le 23-5-1971).
« Pour garder l'absolu divin, l'Islam nie l'Histoire. Pour faire de l'Histoire un absolu, le soviétisme nie Dieu [et le régime républicain français en son ”Vivre ensemble” invente la laïcité, cette forme de croyance absolue], préparé en cela par le refus orthodoxe du « Filioque » qui nie de fait la circumincession [par la chaîne sans fin de causes et d’effets]. Car si le Fils procède du Père, ensuite l'Esprit du Fils, il n'y a pas de circulus. La Création est une émanation platonicienne, il n'y a pas de circulus historique Théologie-Métaphysique-Physique. Le soviétisme avait à choisir entre la Science et Dieu [tout comme la suite des loupiotes du 18è siècle français avec son régime étatique républicain en 1905 par séparation de l’Église et de l’État).
Comment se réalise, en quoi consiste, comment s'exprime, en une vision globale et unique, l'unité de l'Absolu et de l'Histoire ? Réalisation nécessairement eschatologique. De nouveaux Cieux et une nouvelle Terre. De cette solution dépend l'unité du monde. Dans la vision Trinitaire unique du Créateur et de sa Création, s'accomplira l'unité du monde, la résorption des erreurs judaïques, musulmanes, soviétiques, maoïstes, etc. par l'acceptation universelle du Christ Alpha et Oméga ».
Donc TOUS LES PROBLÈMES ACTUELS ET MULTI-MILLÉNAIRES viennent de cette confusion entre le MIEUX forcément spirituel et naturel car délivré de l’identification au corps, et ce sera le « mieux matériel » (essentiellement par la création de besoins sous la poussée de la finance internationale), COMME POUR TENTER D’ÉCHAPPER À CE CORPS PAR DES BÉQUILLES OU PROTHÈSES TECHNOLOGIQUES TELLES CELLES DU TRANSHUMANISME QUI RÊVE D’UN CORPS À « ZÉRO DÉFAUT », donc à un ”corps sans corps”, ou ”une demeure sans demeure”, une absence d’espace-temps.
Le Japon est malheureusement un pays du « Mieuxisme », dans nombre de dramas japonais on peut entendre : « Fais de ton mieux » ; le winnerisme y sévit dès l’enfance dans cet orgueil japonais du faire/fer doublé d’une caractéristique inhérente au corps lié à la terre (volcanique) : pas étonnant que ce pays ait encore un empereur, c’est toujours une société très hiérarchisée et très ritualisée (shintoïsme), où les ”courbettes” sont de rigueur ! d’où d’ailleurs l’appellation de ”soumission orientale”.
Là encore, chez les Japonais, IL Y A CONFUSION AVEC LA RE-TROUVAILLE DE L’ABSOLU, ET LE PARASITISME ÉCONOMIQUE DU CAPITALISME CETTE ILLUSION D’ABSOLU QUI FABRIQUE L’ORGUEIL JAPONAIS ENCORE TRÈS PRÉSENT DANS SON INDUSTRIE CAPITALISTE DU FAIRE/FER. Cette recherche de l’ABsolu semble plus sincère et authentique chez les Japonais à travers le Voie de l’Ikebana (art de la composition florale). Peuple très contradictoire qui respect la Nature et en même temps qui la massacre au nom du capitalisme, du business : le massacre des baleines, la pollution industrielle du nucléaire.
TOUT LE SECRET DE L’ABSOLU TIENT EN CECI : tant que l’être humain ne se sera pas réalisé Lui-Même, il n’aura pas accès à sa Félicité naturelle, LAQUELLE CONTIENT NÉCESSAIREMENT L’ÉNERGIE LIBRE, L’AUTHENTIQUE PRÂNA (l’Énergie vitale), donc le problème des « machines qui tournent » est RÉSOLU À JAMAIS, CE QUI ENTRAÎNE IPSO FACTO LA DISPARITION DU CAPITALISME, DE L’ÉTAT, DU SALARIAT, ET DE LA FINANCE INTERNATIONALE TOUS ÉTANT TRIBUTAIRE DE L’IDENTIFICATION AU CORPS ET DONC DE L’ÉNERGIE PRINCIPALE.
CE QUI ENTRAÎNE AUSSI PAR LE FAIT MÊME LA CHUTE DE L’ÉVOLUTIONNISME, QUI N’A PLUS LIEU D’ÊTRE !!! L’évolutionnisme étant soumise au vulgaire temps qui coule. Zacharie le Tiqouniste sera au chômage.
PRÂNA PRINCIPAL : « C’est là d’où l’ego et le prāna s’élèvent et que l’on appelle parfois kundalinī. La conscience n’est jamais née ; elle reste éternelle. Mais l’ego prend naissance ; de même que toutes les pensées. Ils ne peuvent exister qu’en étant associés à la conscience absolue ; pas autrement ». ( Ramana Maharshi, entretien 131 du 6-1-1936).
- M. : Le prâna (le souffle) et le mental s’élèvent de la même source. La source peut être atteinte, soit en contrôlant la respiration, soit en remontant jusqu’à l’origine du mental. Si vous ne pouvez suivre la deuxième méthode, il n’y a aucun doute que la première vous sera utile. Le contrôle de la respiration est obtenu en observant les mouvements de celle-ci.
Si on observe le mental, les pensées s’arrêtent. La paix s’installe et c’est votre nature véritable.
Le roi Janaka disait : « J’ai enfin découvert le voleur (c’est-à-dire le mental) qui ne cesse de me voler mon ‘Je’. Je vais donc le tuer sans plus tarder ». La perturbation causée par les pensées semble dérober au Soi sa paix. Cette perturbation est le mental. Quand celle-ci disparaît, on dit que le mental prend son envol. Il reste le Soi comme substrat imperturbable.
Une autre personne intervint : « Le mental doit tuer le mental ».
- M. : Oui, s’il y a un mental. La recherche du mental révèle qu’il n’existe pas. Comment peut-on tuer quelque chose qui n’existe pas ?
(Ramana Maharshi, entretien 328 du 17-1-1937).
Le commencement de la Vraie Libération viendra de l’Orient en passant pas l’Occident : la FRANCE, PARISIS…… La soi-disant ”soumission orientale” n’est qu’un faux problème.
« Pour un individu donné, plus ses opinions sont fermes, plus elles ont pour ferment le besoin d'absolu, plus elles sont chargées d'affectivité religieuse, et plus elles sont dogmatiques et refusent d'êtres révisées. Inversement, plus elles sont floues, sans fondations sentimentales et intellectuelles, et plus elles sont insignifiantes, inoffensives.
Ainsi, plus une opinion est ferme, plus elle tend à s'imposer, à exercer sa dictature sur les esprits. Il ne faut pas s'étonner si les régimes de dictature politique (nazisme, communisme, etc.) n'admettent pas la pluralité des partis. Ce sont des démocraties arrivées à leur terme logique, à leur maturité.
Les opinions politiques sont ennemies entre elles, par nature, et donc tout État qui prétend admettre la pluralité des opinions et donc des partis [cas du régime républicain], est foncièrement hypocrite, faux jeton. Parmi ceux qui tirent les ficelles dans tel régime, il en est nécessairement qui sont parfaitement lucides, mais ne cherchent pas à résoudre ce problème de l'ambiguïté des régimes d'opinion (style occidental ou soviétique), ou même l'entretiennent, parce qu'elle est utile à leur soif de pouvoir [de nos jours nécessairement occulte ; ”parce que ces gens-là ne peuvent pas dire au public : « Vous savez, je vous couillonne ». En régime démocratique, de multi ou de mono-opinion, la politique ne peut être autre chose que l'art d'agiter les hommes avant de s'en servir]”.
Adhérer à un parti politique, c'est se fondre dans un corps psychologique, mental et intellectuel, différent d'autres corps politiques dont on se fait l'ennemi. C'est participer à la nature profonde des antagonismes sociaux, à quelque niveau qu'ils se situent, et donc les entretenir, les nourrir. C'est consentir à se faire malaxer l'âme par les maîtres à penser du parti. C'est une attitude de nature masochiste, une singerie de la passivité du mystique devant les impulsions divines sur l'âme. Les martyrs de l'action politique, quels qu'ils soient, de droite, de gauche ou du centre, sont des caricatures sataniques du vrai martyr pour le Christ. La différence est que l'expérience mystique et le martyr authentique se réalisent par-dessus, au-delà de la forme de pensée qu'on appelle l'opinion.
L'opinion prétend toujours se baser sur une logique. L'ennui, c'est que tout système logique, si correct qu'il soit, part toujours de prémisses qui sont nécessairement, par définition, des postulats incontrôlables, adoptés pour le seul motif de la satisfaction de penchants sentimentaux fort obscurs. Ces prémisses prennent nécessairement valeur de dogmes, qu'on en soit conscient ou pas. Et ce dogmatisme est d'autant plus intraitable qu'il est plus inconscient, parce que tout danger de n'y plus croire crée la panique devant le vide, devant la possibilité de ne plus avoir de raison de vivre.
Le vrai mystique n'a pas à craindre cette panique, parce qu'il ne croit pas le dogme, il le sait; et c'est pourquoi, s'il a des dogmes, il n'est pas dogmatique ». (Jean Coulonval, lettre 26 du 25-11-1973).
« En régime étatique républicain : Toute opinion politique est sous-tendue par le besoin d'absolu qui hante normalement tous les êtres humains », précise encore Jean Coulonval.
Tout l’Occident est parasité par l’OPINIONISME D’ARISTOTE : les Occidentaux auront beaucoup de peine à admettre que X n’étant pas X n’est pas non plus son absence : le non-X. Ce qui signifie que la MATIÈRE NE RELÈVE NI DE L’ÊTRE, ET PIRE : DANS L’IDENTIFICATION À UN CORPS, LA MATIÈRE CE N’EST PAS NON PLUS LE NÉANT, ELLE EST, CELA : AUTRE CHOSE, DONC LE X DU N’EST PAS X, CET « AUTRE CHOSE » : LA VÉRITÉ INCONCEVABLE, INSAISISSABLE. Tout ceux qui se vautre dedans sont des faiseurs, des apprentis sorciers avec au FINAL LES ACCIDENTS, D’OÙ ENSUITE LA TIQOUNERIE, LA RÉPARATION, parce que l’ordre pensé par l’humain n’est que désordre, car comme il n’y a pas d’erreur dans le seul Réel, toute chose est dans son EST, dans son PRÂNA, et place à l’ÉNERGIE LIBRE S’IL N’Y A PAS D’INTERFÉRENCE, DE DÉVIATION PAR UN EGO QUELCONQUE COMME CE QUI ARRIVA EN ATLANTIDES. (Bizarrement il n’y a presque aucun film valable narrant une histoire s’approchant le plus possible d’un semblant de vérité sur cette races, sur L’INTÉRIEUR, LES EAUX PRIMORDIALES……. Probablement que les descendants Éveillés Atlantes ne veulent pas qu’on se SAISISSE de leur passé-futur…..)
Pour-Voir ou POUVOIR (fabriquer) L’ERREUR : IL FAUT ”SORTIR” DE L’UNIVERS ! ET TOMBER DANS LA RACINE DU MAL : LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS : LA SAISIE, ET L’ERREUR, LA NOURRITURE MONDIALE ACTUELLE, SA SUBSTANCE (dont fait la partie l’évolutionnisme et la démence technologique).
Le TIQOUNISME de Zacharie 8,11 (Le rétablissement d’Israël).
« Toutefois, grâce au sang de l’Alliance [circoncision au huitième jour de naissance], tu arrachas tes prisonniers de l’abîme où il n’y a point d’eau ». Et là dans la tradition de l’âge du faire/fer qui rouille, Zacharie annonce à 8,11 que le blé fera s’épanouir les jeunes gens et le vin doux, les vierges.
LE COMMERCE DE CAUSE-EFFET SE MET EN PLACE….. le péché de vivre se met en place…..
L’Être humain existe SOUS le nom-la-forme de N’ÊTRE PAS : il est seulement un SAC, une BOULE (sym-bole, et pro-jeter, tel un projectile et donc le temps), un A-voir (Pour-Voir ou pouvoir) du A privatif et voir, donc PRIVÉ de VUE, il est dans UN MANQUE ET C’EST LA CHUTE.
Le ’N’ÊTRE PAS’ correspond au ’N’EST PAS X’, car par définition un Être véritable tel que le « SOIS TRANQUILLE et sache que Je-Suis Dieu ». Donc ”Je-Suis” est Dieu », cité par Ramana Maharshi à l’entretien 503 du 17-8-1938).
Le fait d’être dépourvu de nature propre, et le fait d’être actif, la non-activité est aussi une activité, n’est pas incompatible. AU CONTRAIRE : un Être qui est Lui-même tel ”Je suis ce JE-SUIS”, est pas définition INACTIF, il est en Wou-wei ou Wuwéi : le "non-agir", ou plus vulgairement : le "lâcher-prise". Tout ce qui se fait spontanément est supérieur à ce qui se fait volontairement. Ce qui fait l’efficacité ou le « zéro indien », l’énergie libre, C’EST L’ABSENCE D’ÊTRE EN SOI, DONC L’INSAISISSABLE.
C’est pourquoi LE MONDE N’EST QU’UNE MAGIE, un ”COMME SI”.
Stance 17,31-33 de Nagarjuna : « De même que le Maître [le jnani ou Libéré vivant] par son pouvoir miraculeux [le Zéro Indien], crée un être magique [Adam par exemple, ou un big bang] et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre [le ”Croissez et multipliez” tel le FRUIT) à son tour, de même que l’agent se présente comme un être magique, et l’acte accompli par lui est comme un deuxième être magique créé par le premier [une copie, un socialisme, une fractale].
Passions, actes, agents, fruits ressemblent à une ville de génies célestes, sont pareils à un mirage, à un songe ».
Et Stance 7,34 : « Tel un prestige magique, tel un rêve, telle une ville de génie célestes ( gandharva-nagara), ainsi en est-il de ce qu’on appelle production, durée, dislocation ».
Une ville de génies célestes : le « rétablissement d’Israël » de Zacharie ? Le Mirage, le cercle produit par le tison brandi, etc. ?
De ce fait, Dieu et l’homme sont du domaine du ”COMME SI”, comme LE JEU D’ENFANT : « On fait comme si le loup y était », afin de se CRÉER UNE PEUR, UNE SOUMISSION comme dans le cas du judaïsme et de l’islamisme, UNE CAROTTE-MESSIE POUR AVANCER, UN SCÉNARIO, UNE HISTOIRE-ESPACE-TEMPS : un monde ni réel ni irréel, CAR DE L’ORDRE DE L’ILLUSION : ON FAIT ”COMME SI”, tout SEMBLE COLLER, OU TOUT SEMBLE SE COAGULER UN MOMENT (Quand une magie parle, toutes les magies parlent, et quand un se tait toutes se taisent). Donc ON FAIT SEMBLANT D’Y CROIRE…
ON FAIT ”COMME SI” : AMBIGUÏTÉ.
C’est alors le DEHORS : le monde et ses objets, qui fabriquent les PASSIONS : « Mais le monde et les objets ne sont que des créations du mental. Dans nostre sommeil profond ils n’existent pas », précise Rammana Maharshi au jour le jour, 31-3-1945 après-midi.
Et au 16-9-1945 après-midi : « Dans l’état de veille ou de rêve, où tout apparaît, et en sommeil profond, où nous ne voyons rien [le puits sans eau], la Lumière de la Conscience, le Soi, est toujours présente, tout comme la lampe dans le hall qui brûle continuellement. Ce qu’il faut donc faire, c’est se concentrer sur ”Celui qui perçoit” et non sur ”ce qui est perçu”, sur la Lumière qui rend visible les objets et non pas sur les objets eux-mêmes ».
C’est exactement le symbole du DOIGT QUI MONTRE LA LUNE : LES SOTS REGARDENT LE DOIGT AU LIEU DE REGARDER, DIRECTEMENT, LA LUNE.
« L’esprit [le Souffle] est comparable à un grand danseur,
Le mental est son assistant et son maquilleur,
Les cinq consciences sensorielles les accompagnes,
Et dans la conscience mentale [la raison] s’incarnent les spectateurs ».
Dit le Soûtra de L’Entrée à Lankâ.
Il dit encore que ce sont les CARACTÉRISTIQUES DONC LES SAISIES QUI FABRIQUENT LES ILLUSIONS, et qui fabriquent les besoins.
La Vraie Demeure du Sans Demeure du Sommeil sans sommeil.
« Dans le sommeil, notre ego est immergé et les organes des sens sont inactifs. L’ego du jnani [le Réalisé, le Libéré] est mort et il ne fait rien de son plein gré ou avec le concept qu’il est celui qui agit. En ce sens, il est dans un état de sommeil. En même temps, il n’est pas inconscient comme dans le sommeil profond, mais pleinement éveillé dans le Soi ; il est donc dans un état sans sommeil [le scribe de cette page souligne]. Cet état de sommeil sans sommeil, ou de sommeil éveillé, appelez-le comme vous voulez, est l’état de turiya, le quatrième état du Soi. Sur Lui se déroulent comme sur un écran, les trois états de veille, rêve et sommeil profond, laissant l’écran non affecté ».
Le Maharshi [sage] fait remarquer que Nous cherchons ce qui n’existe pas au lieu de Nous en tenir à ce qui existe. Nous nous préoccupons du futur et du passé [surtout les Tiqounistes et réparateurs de la ”Chute” et les causes-effets qui parlent de « Big Bang »] et Nous ne sommes pas conscients de la Vérité du Présent [l’Instant, Ici et Maintenant]. Nous ne connaissons ni le début ni la fin, mais Nous connaissons le milieu. Si Nous trouvons la vérité de Cela, Nous saurons ce qu’est le début et la fin [« Je suis le Soi qui siège dans le Cœur de tous les Êtres ; je suis leur début, leur milieu et leur fin », Bhagavad-Gîtâ X,20].
(Ramana Maharshi au jour le jour, 21-11-1945 après-midi).
Le Sommeil sans Sommeil chez Jean de la Croix, La nuit obscure, chapitre 9, identique à la fin du chapitre 8 : « NOUS N’AVONS RIEN ET NOUS POSSÉDONS TOUT » (II Cor. 6,10).
« Une fois qu’elle [l’âme] est ainsi dénuée de tout, elle est vraiment pauvre d’esprit et dépouillée du vieil homme [le ”Vieil Adam”] ; elle peut vivre de cette nouvelle et bienheureuse vie que lui a procuré la nuit obscure ; c’est alors l’état de l’union à Dieu [ou au Soi] ».
LOI DE SUCCION : LE MENTAL CHERCHE TOUJOURS UN ÇA-VOIR AU DEHORS, DONC UN POUR-VOIR ou POUVOIR ! en laissant de côté sa propre Connaissance au Dedans : LA SIMPLICITÉ, LE PLUS DIFFICILE EN APPARENCE.
- M. : Il n’y a pas de plus grand mystère que celui-ci : nous cherchons à atteindre la Réalité alors que nous sommes la Réalité. Nous pensons que quelque chose nous cache notre Réalité et qu’il faut le détruire avant d’obtenir cette même Réalité. C’est ridicule. Un jour viendra où vous rirez vous-même de tous les efforts passés. Et ce qui sera le jour où vous rirez est déjà ici et maintenant.
- Q. : Alors, c’est un grand jeu du « faire semblant » ?
- M. : Oui.
LE GRAND JEU DU ”COMME SI” dans l’entretien 146 du 26-1-1936 du Maharshi. Surtout de nos jours Nous faisons COMME SI Nous étions LA Réalité, Nous PASSONS À CÔTÉ TEL QUE LE VRAI DEVIENT FAUX DÈS QU’IL EST VU ET DONC DÈS QU’IL EST POSSÉDÉ : « Dès que l’encre est séché, nos formules [ou lois] sont fausses » disent les Anciens Chinois de l’École du Dhyâna (contemplation).
Dernière mise à jour : 24-07-2024 01:59
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