”Vous n’êtes pas le corps”, répétait souvent Ramana Maharshi dans ses entretiens ou enseignements entre 1935-1939.
NON-SAISIE = NON RECOURS AUX BÉQUILLES : NE PAS S’ÉTABLIR POUR Y PRENDRE APPUI, DANS LE CIEL DU CIEL DES CHOSES QUI NE REPRÉSENTE AUCUN LIEU PARTICULIER : ABSOLU DÉTACHEMENT DES VALEURS TERRESTRES, conformément au principe du Yoga Vasistha : « L’apparence de ce monde est une confusion ; de même que le bleu du ciel est une illusion d’optique. Mieux vaut ne pas s’y intéresser et l’ignorer » (Yoga Vasistha, YV I, 3). Ce qui ne dépend pas d’un choix, mais de la PARTICIPATION SPONTANÉE de l’Être (et non par calcul, par choix, par utilitarisme de volonté). Dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à voir.
NE PAS A-DORER LE SOLEIL, DONC L’OR (métal) issu du feu vulgaire, s’il est fondu en monnaie, et en métallurgie-mécanique et technologie.
Le gens veulent de la complexité, ILS ONT PEUR DE LA SIMPLICITÉ, TOUT EST INVERSÉ : IL FAUT AUX GENS DE L’ENROBAGE, DES MÉDAILLES-CAROTTES, DE L’ILLUSION SÉCURITAIRE, DE L'AMOUR-CAROTTE pour les faire avancer. Tous ont accepté d’être ici-bas soumis, écrasés, parce qu’ils croyaient QU’UN DEHORS, UN AUTRE, LE SOCIAL était sans cesse auprès d’eux. qui les soutenait, qui les aimait. LA RACINE DU MAL = LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS = LA SAISIE : SE SENTIR AIMÉ ! ”COMME SI” L’ICI, ICI-BAS, À L’ÉTAT DE VEILLE, AVAIT BESOIN D’UN AILLEURS.
Mais, « être aimé » c’est un état naturel appelé FÉLICITÉ, donc pas de « BESOIN » qui ne sera que COMMERCE-social, au sens religion : relier, républicaniser, socialiser, et à ce hui SPORTIVISER : SOIT LE PROLONGEMENT DU MONOTHÉISME RÉPUBLICAIN.

LE PIRE : C’EST QUE LA SAUCE PREND, ÇA FONCTIONNE, LES GENS LARGEMENT DÉJÀ ALIÉNÉS GOBENT À FOND LE SPECTRE DES OLYMPFRIC/FLIC 2024 COMME ILS GOBÈRENT LE COVID-19…
TOUT EST DU WINNERISME, DU SOCIALISME : ÊTRE DEUX AU MINIMUM, C’EST-À-DIRE QUÉMANDER DE L’APPROBATION, QUÉMANDER DE L'AMOUR COMME QUÉMANDER LE DROIT À EXISTER : ÊTRE « D’ACCORD » ! ET L'OPINION TIENT LIEU D'AMOUR, DE SOUDURE.... CETTE CIVILISATION DEVIENT AINSI DE PLUS EN PLUS ÉGOÏSTE, LA PREUVE RÉCENTE AVEC LES SCHWAB ET HARARI ET LEUR : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ».

« Vous aurez beau vouloir conseiller les gens, ils ne changeront probablement pas. Soyez vous-même dans le bien et restez silencieuse. Votre silence aura plus d’effet que vos paroles ou vos actes [le faire/fer si présent]. Ainsi, le pouvoir de volonté se développera. Et le monde devient le Royaume des Cieux qui est en vous ». (Ramana Maharshi, entretien 453 du 8-2-1938).

Les « jeux » ou l’ère des MÉDAILLES ET DU SAL R. (à la sueur de l’identification à son corps-mental, CONDAMNÉS AUX MINES……).

Les Aztèques jouaient à un jeu de balles sacrées nommé « palmas », et « jugos ». Par exemple les Toltèques appréciaient les aléas du destin en jouant à un jeu consistant à recevoir une grosse balle de caoutchouc sur les hanches sans jamais se servir de la tête ou des mains (les éléments les plus sacrés de l’humain). Le « terrain » était divisé en quatre secteurs marquant les quatre directions de l’univers. « Au début, des équipes de joueurs bien entraînés lançaient la balle dans un camp. Celle-ci rebondissait d’une équipe à l’autre, qui essayait de la garder dans son camp et tentait de la faire passer dans un anneau fixé au mur à plus de 10 mètres au-dessus du sol. Si la balle rebondissait dans le camp de l’équipe adverse, cette dernière tentait à son tour de la garder. En pratique, la balle passait très souvent d’une équipe à l’autre, qui, chacune à son tout, essayait de la lancer à travers l’anneau. La première équipe qui y réussissait avait gagné la partie. À ce moment là les spectateurs devaient s’enfuir très vite, car l’équipe gagnante avait le droit de les dépouiller de leurs vêtements et de leurs bijoux, si elle les attrapait. Ce « butin » venait s’ajouter aux autres magnifiques vêtements et bijoux déposés en gages par certains dignitaires qui pariaient sur une équipe !
Au bas des murs de la cour de Chichen Itza, des scènes de ce jeu étaient représentées, comme nous le révèle la légende du Popol Vuh. Cette histoire maya conte les aventures d’un héros qui n’était autre que la planète Vénus, prisonnière du monde souterrain. Le héros est fait prisonnier, puis décapité par les Dieux des enfers. On le décrit avec sept serpents sanglants jaillissant de son cou... » (référence à : Les Peuples du Soleil, de C.A. Burland)

Donc le football actuel est une totale dégénérescence puisque tout est ramené à l’état primaire des plus bas instinct avec les membres inférieures, comme si on s’efforçait de « mettre l’androgyne » ou le Soi-Instant dans un filet ! Si le ballon sort de l’église, pardon, du terrain, les bras sont alors nécessaire pour remettre le Soi-Instant dans le terrain. L’égrégore naissant du football sera celui su sexe et de la violence. Il suffit d’entendre les râles des mâles qui montent des tribunes, et observer les foules accrochées au mouvement du ballon : hypnose, magie collective. TOUS SONT TOURNÉS VERS L’EXTÉRIEUR. Il n’existe plus aucune conscience individuelle ; c’est la plus basse vibration collective possible : sorte d’ancienne fête des fous ou chacun pouvait laisser libre court à ses plus bas instincts et fantasmes, afin d’éviter les révolutions que craignent tous pouvoirs. Mais aujourd’hui grâce à la technologie ça a prit une dimension gigantesque, bien dans la logique du Nouvel Ordre Mondial naissant. L’autel de la messe du football est l’écran du récepteur de télévision. Les gens n’assistent pas à une compétition ou un jeu, MAIS À UN RITE. La magie est plus puissante quand elle est inconsciente.

Il faut savoir que dans d’autres dimensions des entités se nourrissent de l’égrégore généré sur Terre : voir les séries télé Stargate SG1 et sa suite Stargate Atlantis avec les nouveaux méchants, les Wraiths, qui se nourrissent du prâna des humains, qui évidemment n’a rien à voir avec le sang et les vampires.

Évidemment les organisateurs de ces jeux modernes : olympiques, football, tennis, rugby, compétition automobile, cyclisme et « Tour de France », industrie de Hollywood, ne sont absolument pas concernés par tous ces rituels réservoirs à émotions. Cette élite, ou plutôt ces meneurs aux grosses couilles en or et au-dessus de la mêlée surveillent le niveau énergétique des jeux.

Le football s’inscrit parfaitement dans la logique du capitalo-socialisme : exacerbation du social, de la communauté, au détriment de l’individuel : le sens profond de la personne, de l’être humain.
Qu’est-ce que c’est que « les droits de l’homme » sinon le triomphe et la tyrannie de l’opinion comme l’écrit si lucidement et simplement Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux. Des « droits » artificiels puisque construction de l’ego humain.
Humanisme et « droit de l’humain » sont nés à l’époque de la Renaissance, surtout avec les expéditions et exterminations dans le « Nouveau Monde » et la colonisation qui suivra et marquera le début effectif du Nouvel Ordre Mondial.
Dans colonialisme il y a COLON : donc tube digestif : bouffer l’autre. Colon, de col : cou, goulot, étranglement, passage, gorge-GOSIER-OPINION. Le colonialisme c’est la possession, le capitalisme en acte et en puissance : la grosse commission ou merde-MENTAL...

Ne jamais oublier que la messe du football et des sports populaires va avec la folie technologie de l’Informatique et de la téléphonie mobile. Tout dans cette civilisation de l’après 1789 fait que les gens soient tournés vers l’extérieur et jamais vers l’intérieur. Destruction presque de la Glande Pinéale qui contient la Conscience suprême ou primordiale. Notre cerveau est émission-réception, ainsi le mental reçoit les « idées qui sont dans l’air », si l’une d’elles est en accord avec notre personnalité, elle sera réceptionnée et « possédée », et ce sera alors une émission nouvelle vers la source de l’émission, confortant les envoyeurs de l’émission originelle. Une idée est lancée, et on vérifie si elle a été « rentabilisée » par les cerveaux-cibles. Si ça marche, les cerveaux cibles deviennent « les branchés », les « lanceurs d’alerte » et enclenchent la mode et mouvements d’opinion. Ensuite viendra l’enclenchement de l’émotionnelle avec rituels, musique, danses, gestes sacrés. L’énergie de l’égrégore sera émis en direction des émetteurs originels.

La pensée unique est aussi émise par Big Pharma en vue de fabriquer des maladies et de vendre des remèdes, principe mafieux. Big Pharma fait se matérialiser des maladies dans le corps : elles se cristallises, elles se fixes.
Encore une fois, ici en Occident, les gens sont si marqués par la manipulation du cartésianisme, qu’ils leur faut tout mesurer, qu’ils leur faut des preuves matérielles comme pour être conforté ! Chacun voit ce qu’il a été conditionné à voir !

Le Soi-Instant ou Amour n’est pas un pentagramme sur un ballon de football qu’un joueur de son pied envoie dans un filet. On n’envoie pas Dieu, le Soi ou Instant, la Vérité, la Conscience, le Centrum Centri ou l’Amour, dans un filet de terrain de football !

Cette civilisation de l’après 1789 et son libéralisme en forme de monstrueux ego est criminelles : les pouvoirs d’argent de la juiverie financière internationale ont fait que chaque individu renforce son ego : « Moi ici, les autres à côté » (QUE ÇA FORMERAIT L'"AMOUR”).  Cette civilisation sous prétexte de mondialisme et d’unification DIVISE comme jamais auparavant sous l’Ancien Régime.
La QUALITÉ, qui est de l’ordre du divin, donc infinie et insaisissable, ne peut être engendrée par la quantité qui est propre à la fameuse CROISSANCE chère aux cancéreux de la politique, parce que la quantité n’est jamais achevée et donc toujours en croissance. Cela conduit effectivement au mondialisme ou société-esclavages, où n’est tolérée aucune liberté individuelle vers la recherche ou réalisation du Soi-Instant. Ce Nouvel Ordre Mondial multiplie, cumule les individus pour en faire des marchandises-OBJETS ou un troupeau, des patates dans un sac à code-barres, mais refuse les personnes, c’est-à-dire les individus dans le sens qualitatif : Je suis CE JE-SUIS. La liberté n’existera que pour celui ou la ploutocratie, ou l’égrégore d’une autre dimension qui décide de ce qui devra être vécu et senti uniformément par tout le monde ; et le football et tous les sports gravitant sous le Saint Fric entrent dans cette catégorie ! Cette « liberté » du Nouvel Ordre Mondial est cette de Satan, qui ne cherche pas à libérer MAIS À POSSÉDER.
Ce drame a sa source profonde dans la révolution française de 1789, dans une France qui pourtant se déclara pendant de nombreux siècles « Fille aînée de l’Église » ! Et qui aujourd’hui est totalement une « Fille aînée de la judéo-franc-maçonnerie spéculative » née dans une taverne à Londres en 1717 ???!!!

Note.
1. L’état de TURIYA ou SOMMEIL SANS SOMMEIL dans le conte d’Andersen grâce à la pureté d’un enfant non encore contaminé par le social, la foule va enfin s’éveiller (sommeil sans sommeil) et admettre que LE ROI EST NU. Et maintenant le monde entier fait ”COMME SI” le roi était habillé, C’est flagrant avec l’imbécile propagande RELIGIEUSE RÉPUBLICAINE INVERSÉE alors que le roi est nu. Le monde entier fait ”COMME SI” il pouvait se confier corps et âme AU ROI : l’économie mondiale, l’État, et comme s’il était « libre », ”COMME SI” la liberté existait à travers le commerce-argent-marchandise.

Le TROU ou UN POINT C’EST TOUT de :
« Le désir de Réalisation ne peut naître qu’à l’état de veille ; de même qu’on ne peut faire des efforts que lorsqu’on est éveillé. Nous savons que les pensées à l’état de veille font obstacle à la tranquillité du sommeil. « Sois tranquille et sache que JE SUIS DIEU ». Ainsi, la tranquillité est le but du chercheur. Même un seul effort pour apaiser une seule pensée, ne serait-ce qu’un seul instant, pénètre profondément jusqu’à atteindre l’état de tranquillité. L’effort est nécessaire et il n’est possible qu’à l’état de veille. S’il y a effort, il y a aussi conscience ; les pensées sont calmées ; la paix du sommeil est obtenue. C’est l’état du jnani [celui qui a réalisé le Soi, le sage]. Ce n’est ni le sommeil ni la veille mais un état intermédiaire entre les deux. Il y a la conscience de l’état de veille et la tranquillité du sommeil.
C’est l’état de jâgrat-sushupti [sommeil éveillé]. On peut l’appeler sommeil éveillé ou veille endormie ou veille sans sommeil ou sommeil sans veille. Il diffère du sommeil ou de la veille pris séparément. Il est l’atijâgrat (au-delà de la veille) et l’atisushupti (au-delà du sommeil). Il est l’état combiné de conscience parfaite et de tranquillité parfaite. Il est l’intervalle entre le sommeil et la veille et également l’intervalle entre deux pensées successives. Il est la source d’où s’élancent les pensées ; nous pouvons l’observer lorsque nous sortons du sommeil. En d’autres termes, les pensées ont leur origine dans la tranquillité du sommeil. Ce sont elles qui font toute la différence entre la paix du sommeil et l’agitation de l’état de veille. Allez à la racine des pensées et vous atteindrez la tranquillité du sommeil. Mais vous ne pouvez l’atteindre qu’avec toute la vigueur de la recherche, c’est-à-dire avec une conscience parfaite.
C’est encore l’état de jâgrat-sushupti dont nous avons parlé auparavant. Il n’est pas ennui, mais il est Félicité ; il n’est pas transitoire, mais il est éternel. C’est de lui que procèdent les pensées. Que sont toutes nos expériences sinon des pensées ? [le scribe de la page souligne] Plaisir et souffrance ne sont que de simples pensées.
Elles sont en nous. Si vous êtes libre de pensées tout en demeurant éveillée, vous êtes cet Être parfait ». (Ramana Maharshi, entretien 609 du 18-1-1939).

SOMMEIL SANS SOMMEIL = comme sur l’écran de cinéma, il se déroule le ”COMME SI” des trois états : veille, rêve, sommeil profond, laissant l’écran non affecté (réf. Ramana Maharshi au jour le jour, 21-11-1945 après-midi).