NON, NON, le TROU/RIEN ce n’est pas de la ”Cancel-culture” ou du ”wokisme” !!
(Le wokisme est une forme d’insaisissable telle un mouvement égrégorien prenant dangereusement son autonomie(7)), mais par cette forme il a conscience de cet état insaisissable et ainsi il est DANS UNE SAISIE ABSOLUE ! Une SAISIE ABSOLUE COMME AFFIRMER UNE NÉGATION. Le wokisme dans sa vison vacuitiste ou déconstructiviste affirme sa vacuité et ainsi augmente son égo-égrégore, augmente son winnerisme).

Cette SAISIE qui se croit insaisissable n’est qu’une énième amplification de l’ego qui cherche tout moyen, tel un sorcier pervers, de pratiquer SA SAISIE. Wokisme ou ”Cancel culture” (déconstruction) procèdent de la logique de leurs chimistes de Big Pharma qui tuent : au lieu de maîtriser leur ego comme maints héros et saints (Mika-EL, Georges, etc.) ILS TUENT LE DRAGON, c’est d’ailleurs pourquoi il n’y a plus de Dragon-Gardien : plus aucune chose n’est gardé, au nom de la ”liberté” (de l'ego). Ces cancelés oublient de RESTER TRANQUILLE (voir ci-dessous), ILS OUBLIENT DE SE COUCHER, DE SE RELAXER : être dans son jus, son lit, ses pompes (pied, sens de Padam en sanskrit, le Soi, l’Être véritable). Là encore, on est dans le Thème Schwab-Harari dénoncé jadis par Nagarjuna, Stance 16,9(2) : ON EST TOUJOURS DANS LE THÈME DU CAPITALISME-EGO QUI CHERCHE A SURVIVRE À TOUS LES PRIX (phénomène Oiseaux Phénix) : C’EST LE CONSUMÉRISME DU MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN dans sa Tradition sacrée du « PLUS ÇA CHANGE ET PLUS C’EST LA MÊME CHOSE » (”On ne change pas une équipe qui gagne”, disent certains winners).

C’est-à-dire que depuis l’absence de Dragon, À CE HUI : 2 + 2 = 5, ou 3, ou 22, etc. Bref, C’EST LE TRIOMPHE DE L’OPINION PRENANT UNE NOUVELLE COLORATION.
« La connaissance du Christ et celle de Lucifer sont les mêmes pour la simple raison qu'il ne peut y avoir deux vérités : 2 + 2 = 4 pour tout le monde et il n'appartient à personne de décider que ce sera 3 ou 5. La connaissance est nécessaire pour la rectitude du jugement, pour le libérer de l'arbitraire toujours possible et inconscient des inclinations et appétits incontrôlés du sentiment. La vérité est affaire de l'intellect et la bonté est affaire du cœur. Bon cœur sans jugement fait des bêtises et prend facilement des vessies pour des lanternes. Intellect sans le cœur est orgueil luciférien ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 38 du 15-10-1976).
Ainsi le WOKISME N’EST NÉCESSAIREMENT QU’UNE HYPERTROPHIE MALADIVE DE L’EGO…… AVANT SA MORT ANNONCÉE PAR CES RIBAMBELLES DE SYMPTÔMES SOCIAUX DANS CETTE CIVILISATION HUMAINE MAINTENANT TRÈS MALADE.

LE WOKISME CONSISTE À NIER LES ESSENCES(5), il se situe donc dans la logique du FEU VULGAIRE ET DE PROMÉTHÉE : LE PRINCIPE ABSOLU D’UTILITÉ (stance 16,9)(2), le COMPLEXE DE PROMÉTHÉE [réf. Gaston Bachelard) : toutes les tendances qui Nous poussent à savoir autant que nos pères, autant que nos maîtres, PLUS QUE NOS MAÎTRES ; et c’est présentement le wokisme. ”Le complexe de Prométhée est le complexe d’Œdipe de la vie intellectuelle”. (Le wokisme ne pouvait naître que dans les villes et particulièrement dans les universités ; pas de wokisme chez les ouvriers et chez les paysans……).
Le wokisme est une Variation du Thème du transhumanisme doublé bien-sûr de l’inclusivisme de cette société de l’uniformité du monothéisme républicain(6) : le ZÉRO DÉFAUT cher aux industriels du capitalisme (zéro défaut relatif, car si une machine est ”éternelle”, que feront les ouvriers, pardon, les robots dans leurs usines ? donc que feront les programmeurs de ces robots ??)


Alors que la foule est en fête, soit elle assiste à un grand sacrifice, soit qu'au printemps elle monte s'amuser sur les terrasses, je reste seul, dans l'immobilité impassible, tel l'enfançon qui ne sait pas encore sourire. [Enfançon = embryon d'Immortalité].
Je suis comme un misérable sans refuge. Alors que les autres ont plus qu'il ne faut, seul je semble avoir tout perdu.
Comme j'ai l'air stupide !
Combien inculte !
Comme les gens sont brillants !
Seul je suis obscur.
Comme ils sont sûrs d'eux !
Seul je suis hésitant.
Tous ont quelque talent, et seul je suis aussi ignorant qu'un rustre.
Différent des autres, seul je préfère téter ma mère.

Et aussi :

Quel plaisir de se promener dans le jardin !
Je fais le tour de l'infini ;
Toutes les plantes émettent des parfums...
[Poésie de Xi kang]

Nature et Destin

14 - Le laboureur suit les saisons, le marchand tire profits, l'artisan utilise des techniques, le fonctionnaire recherche du pouvoir, comme caractéristiques de leurs activités.
Le laboureur connaît inondations et sécheresse, le marchand connaît profits et pertes, l'artisan connaît succès ou échec, le fonctionnaire connaît louange ou blâme, comme manifestations du destin.
[Extrait du Traité du vide parfait de Lie Tseu (Liezi), traduit du chinois par Jean-Jacques Lafitte]

Les Taoïstes insistent beaucoup sur la nécessité de NE PAS BRILLER. La Lumière spirituelle doit rester intérieure. Si elle s'extériorisait elle risquerait d'éblouir et elle cesserait d'être bienfaisante. Le pouvoir du Saint est immense mais à condition d'être occulte.

L'enseignement du maître taoïste est un enseignement silencieux ; au disciple de comprendre intuitivement ce qu'il doit faire. Un lent dépouillement de son esprit le rapproche peu à peu du maître, mais dans une dernière étape, celui-ci doit lui-même disparaître de la conscience de l'adepte parvenu à l'état d'extase. Le maître durant l'instruction semble purement passif, comme l'exige la doctrine du Wou-wei et de l'enseignement sans parole. C'est l'adepte lui-même qui doit progresser, se dépouillant peu à peu des constituants de son ‘moi’ social (et conventionnel, contractuel).

Ainsi ce monde n’a pas encore commencé. Peut-être que s’il commençait ; peut-être que s’il y avait un ”Big Bang”, LE MONDE N’EXISTERAIT PAS ! ÈVE N’AVAIT PAS CROQUÉ LA POMME, LE MONDE N’ÉTAIT PAS LÀ !

« L’apparence de ce monde est une confusion ; de même que le bleu du ciel est une illusion d’optique. Mieux vaut ne pas s’y intéresser et l’ignorer » (Yoga Vasistha, YV I, 3). Ce qui ne dépend pas d’un choix, mais de la PARTICIPATION SPONTANÉE de l’Être (et non par calcul, par choix, par utilitarisme de volonté). Dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à voir.
NE PAS A-DORER LE SOLEIL, DONC L’OR (métal) issu du feu vulgaire, s’il est fondu en monnaie.

« ”Je suis ce JE-SUIS”. ”Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu”. Donc « JE-SUIS » est Dieu ». (Ramana Maharshi, entretien 503 du 17-8-1938).

« Le désir de Réalisation ne peut naître qu’à l’état de veille ; de même qu’on ne peut faire des efforts que lorsqu’on est éveillé. Nous savons que les pensées à l’état de veille font obstacle à la tranquillité du sommeil. « Sois tranquille et sache que JE SUIS DIEU ». Ainsi, la tranquillité est le but du chercheur. Même un seul effort pour apaiser une seule pensée, ne serait-ce qu’un seul instant, pénètre profondément jusqu’à atteindre l’état de tranquillité. L’effort est nécessaire et il n’est possible qu’à l’état de veille. S’il y a effort, il y a aussi conscience ; les pensées sont calmées ; la paix du sommeil est obtenue. C’est l’état du jnani. Ce n’est ni le sommeil ni la veille mais un état intermédiaire entre les deux. Il y a la conscience de l’état de veille et la tranquillité du sommeil.
C’est l’état de jâgrat-sushupti. On peut l’appeler sommeil éveillé ou veille endormie ou veille sans sommeil ou sommeil sans veille. Il diffère du sommeil ou de la veille pris séparément. Il est l’atijâgrat (au-delà de la veille) et l’atisushupti (au-delà du sommeil)(1). Il est l’état combiné de conscience parfaite et de tranquillité parfaite. Il est l’intervalle entre le sommeil et la veille et également l’intervalle entre deux pensées successives. Il est la source d’où s’élancent les pensées ; nous pouvons l’observer lorsque nous sortons du sommeil. En d’autres termes, les pensées ont leur origine dans la tranquillité du sommeil. Ce sont elles qui font toute la différence entre la paix du sommeil et l’agitation de l’état de veille. Allez à la racine des pensées et vous atteindrez la tranquillité du sommeil. Mais vous ne pouvez l’atteindre qu’avec toute la vigueur de la recherche, c’est-à-dire avec une conscience parfaite [Félicité].
C’est encore l’état de jâgrat-sushupti dont nous avons parlé auparavant. Il n’est pas ennui, mais il est Félicité ; il n’est pas transitoire, mais il est éternel. C’est de lui que procèdent les pensées. Que sont toutes nos expériences sinon des pensées ? Plaisir et souffrance ne sont que de simples pensées.
Elles sont en nous. Si vous êtes libre de pensées tout en demeurant éveillée, vous êtes cet Être parfait ». (Ramana Maharshi, entretien 609 du 18-1-1939).

TROU/RIEN = LE TOUT : ”Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu”. C’est-à-dire qu’une fois les extrêmes disparus, il n’y a pas de milieu, comme son nom l’indique, IL Y A LE FLÉAU, parce que ce ”milieu” N’EXISTE PAS, il est INSAISISSABLE. Ce n’est pas un intermédiaire ou un instant qui passe à côté d’un autre instant ou un consommateur à côté d’un autre consommateur ; le Fléau c’est le Fléau-Milieu et la Vacuité c’est le Milieu-Fléau ; d’où encore l’éternelle PUTRÉFACTION : ÊTRE/NON-ÊTRE avec perpétuité/brièveté.
PRÉCISION : le FLÉAU ce n’est ni le wokisme ni la ”cancel-culture” toutes deux venant du protestantisme universitaire Yankee, et nouvelle mouture sociale d’inquisition ! C’est la suite de L’ANTI-TRADITION DE L’ACTUELLE CIVILISATION OCCIDENTALE SUITE AU 1789 FRANÇAIS PRINCIPALEMENT, où l’EGO, L’INDIVIDUALITÉ DEVIENT WINNER, soit L’ANTI-TRADITION NÉCESSAIREMENT ISSUE DES EAUX PRIMORDIALES ET DU SENTIMENT OCÉANIQUE(3).

IMPORTANT : Wokisme, Schwab-Harari SINGENT LE SANS CARACTÉRISTIQUE : THERMODYNAMIQUE OU ADORATION DU SOLEIL, LE ”COMME SI” = LE CENTRE EST PARTOUT ET LA CIRCONFÉRENCE NULLE PART.
Alors que c’est l’inverse : LE CENTRE EST NULLE PART ET LA CIRCONFÉRENCE EST PARTOUT, l’Être, de nous jours l’Avoir (faire/fer, volonté, passions, etc.), dépourvu de caractéristique ou d’identité, privé de son Soi (CANCEL CULTUE) est par cette nature d’absence, lui permet effectivement paradoxalement INACTIF/ACTIF : IL POURRA USER, CONSUMER, THERMODYNAMISER, USINER, UTILISER ET ÊTRE EFFICACE EN RENDEMENT PRODUCTIVISTE (poussif), CELA PAR SA NATURE MÊME D’ABSENCE DE NATURE PROPRE, D’ABSENCE DE Soi (Stance 17,31-33(4). Le Soi étant actuellement CONFONDU EN CE MONDE D’UNE RELIGION SOCIALISTE : LA COLLECTIVISATION BUREAUCRATIQUE DE L’URBAIN-BÉTON, DONC ROBOTIQUE DE CE MONDE DU RÉGIME CAPITALISTE ET RÉPUBLICAIN : RELIER, BÉTONISER, GOUDRONNER, NORMALISER. C’est-à-dire que PARADOXALEMENT LA DÉLIVRANCE N’EST PAS INDIVIDUEL, ce qu’est en train d’appliquer à la lettre l’establishment ou l’ordre établi du monothéisme unilatéral républicain. Or, ce monothéisme PRIVE DE LA PERSONNE AU SENS QUALITATIF OU NATUREL, POUR EN FAIRE UN ROBOT, UN FAUX ANONYME, UN TROUX (échangisme : troc et trou) INCLUS DANS SON TOUT PERSONNALISÉ EN AVOIR (toujours plus de riches toujours plus de pauvres)…..

TROU/RIEN : dans un monde ou le causisme de la SAISIE n’existe pas, et ou règne le sans commencement ni fin, où n’existe ni naissance ni vieillesse, AUCUNE RÈGLE OU LOI DE SUCCION n’oblige à opinioner l’apparition et la disparition !
Pour éviter d’avoir peur de l’extinction ou de mort, il vaudrait mieux se pencher sur la PRODUCTION OU NAISSANCE, DONC SE PENCHER SUR LA PRODUCTION RÉSUMÉE PAR LE « QUI SUIS-JE ? »

Les transhumanistes et Schwab et Harari veulent VOIR LE TROU : dans leur rêve d’éternité ici-bas et de non possession ils veulent échapper à la transmigration et entrer en nirvana(2).

« Le Grand PAN est mort », et récemment « Dieu est mort », certains CROIENT avoir tué, et PAN, et ensuite Dieu. « Pince-mi et pince-moi sont dans un bateau, Pince-mi tombe à l'eau, qui reste-t-il ? » ; si l'on répond : « Pince-moi ! », on est pincé, Plutôt : ON EST SOUMIS…… À DIEU, PAR EXEMPLE, OU DE NOS JOURS : À LA RÉPUBLIQUE. Tout est dit dans cette coquine ritournelle enfantine !!!