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De-Couvrir c’est COUVRIR Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 07-08-2024 00:48

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Anarchie, Archange Michel, Bolchevik, Carotte, Celtes, Conformité, Crime, Dieu, Dragon, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Dragon, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Histoire, Identitéfication, Intelligence artificielle, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Logibriquet, Logiquopinion, Marxengelsisme, Miviludisation, Nation, Noël, Or, Paix, Penser, Pierre, Pomme, Pont, Ptah, Racine du mal, Raison, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Temple, Temps, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vierge, Winner, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke, World Economic Forum, Xalemme

 
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De-Couvrir c’est COUVRIR
toutes choses de son ”COMME SI”,
de l’EGO de son GRAND JEU DU ”FAIRE SEMBLANT”
et ce monde actuel est sous la tyrannie
de la Dé-Couverte qui engendre CE
GRAND ACTUEL CHAOS HUMAIN qui se « cultive ».
TRAGIQUE ILLUSION-MI-RAGE.
 
TRAGIQUE parce que la Vision du RIEN dans
le TOUT ne saurait se faire DANS LE RÉEL
que DANS le TROU.
Voir le Trou = Mi-rage.
Et comme dans un Trou il n’y a rien
d’autre que le Trou : pas de Dedans-Dehors
donc pas de Trou ou voir.
PAS DE SAISIE(1).
”Mors ultima linea rerum est”

De nos jours de culte du narcissisme
du citoyenisme ”découvrir” c’est POUR-VOIR
SAISIR, S’APPROPRIER donc RE-COUVRER
(de son ego à problèmes).
Les Anciens c’était ”la Pudeur antique”,
pour faire référence à A.J. Festugière.
”Le moderne est avide de se décrire ;
l’Ancien a plus de réserve, il ne parle
jamais de lui, jamais n’exprime, ni encore moins
n’étale, ses joies et ses douleurs propres”.
Normal : Nous sommes passés du Moi-Collectif au
Moi-Individuel : le consommateur et son
”pouvoir d’achat” unique mode de vie soumise
au capitalisme.
 
Les transhumanistes des Google et leurs
industries du capitalisme sont des
Dé-couvreurs : ils bousillent, re-couvrent
tout ce qu’ils touchent.


Dé-vers-gondé, Dé-chênaie : cassania en gaulois, nom de lieu : Cassania, devenu Chassagne(s), etc., Lacassagne… (chêne). Derueton, mot déduit du nom de lieu Deruentum, devenu Drevant, Darvoy (Loiret), Derby (G.B.) et du fr. dervée : chênaie, dérivé du nom doru (chêne).
Ercunia, ion : mot ancien donné par le nom de lieu Herkûnios drumos, lat. hercynia silua (la forêt hercynienne), adjectif dérivé du vieux nom i.e. du chêne perkus, qui a pris la forme quercus en latin, et qui a disparu en gaulois (transformé probablement à un moment en hercus). Bref, cet ancien nom du chêne, lié à l’orage (foudre, feu), ainsi que l’atteste le lituan. Perkûnas, Dieu de l’orage, et en Gaules considéré comme Arbre sacré par les Druides, pour qui il symbolisait l’AXE DU MONDE, tel le I ; se retrouve dans le gotique fairhns, avec précisément la signification de ”Monde”. (Réf. Dic. Français-Gaulois, de Jean-Paul Savignac).

Dé-vers-gondé : vers le Gond ou Axe, passage du E à son Gond ou Axe de ROTATION, donc au Point-Centre du Cercle. Dieu et Dios (en espagnol) traduisent respectivement IE (ou E, trois bâtons l’un au-dessus de l’autre, et le Point dans un rond).

Ainsi les opinions qui fabriquent l’Univers REMPLACENT la véritable Ethique (E tu es HI) ou MORALE (Mor-AL) des Eaux primordiales (sens de sans ego) pour en faire une ESTHÉTIQUE, ou un ”COMME SI” ; ESTHÉTIQUE = LE GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT : CABOTINER, LA SENSATION, donc l’ego, le ‘je’, le ‘moi’, ce qui a dénaturé (d’E) le GATE GATE ou le ”Sésame ouvre-toi” de la Réalisation du Soi ; ce qui va effrayer les coupeurs de cheveux en quatre ou travailleurs du chapeau, les empêcheurs de l’OUROBOROS les oppressés de dogmes, de lois (le Graal de la Glèbe adamique).

”Qui n'a pas de pudeur et ne respecte pas les règles de la morale sexuelle admise (traditionnellement, s’est surtout dit des femmes)”, est ainsi traduit par ”Dévergonder” dans le dictionnaire Le Robert. À y ajouter l’adjectif : qui ne meut aucune ”vergonde” (du latin verecundia : retenue, dans son libéralisme-libertinage par exemple)
D’après le dictionnaire, le Dévergondage concernerait la conscience, et donc UNE HÉRÉSIE par rapport au conventionnel, comme une cassure du CONTRAT, UN E-quart de la pensée : É-cart-er = les 4 forces trivial ”travail”, tel l’instrument de torture déchirant, écartelant (en 3), donc DISPERSER, COUPER EN MORCEAUX EN PRÉTENDANT DÉVOILER !!!

Mi-sère : Maintenant la Culture et l’éducation pour tous dans ce monothéisme unilatéral républicain prétend ”Dé-voiler” à égalité pour tous, alors QU’IL VOILE DE PLUS EN PLUS.

Dé-voiler par le DROIT (État de droit) de ce monothéisme c’est se per-mettre de distinguer l’Ivraie (mais pour le Vrai seule la non-dualité redonne un Point-Source (le Y de ParYsis, le V de Vie, etc.). Dans Ivraie de cette culture du monothéisme républicain le I de l’Axe est bouffé par V pour donner un rai E qui ne peut pas être le I Original, ou le Y (de ParYsis) ; le mot Ivraie se déclare lui-même, un I vrai E, l’opposé de la Vie ! Mais, LAQUELLE ?

En prolongeant : IVRAIE : ÉTYM. 1236 : latin populaire ebriaca, du bas latin ebriacus, doublet du classique ebrius « ivre » (dic. Le Robert). La perception de l’IVROGNE est une Variation du Thème de la Réalisation du Soi : voir l’étonnante symbolique qui s’y trouve dans la pièce de théâtre de Bertolt Brecht : ”Maître Puntila et son valet Matti”. Cette pièce résume ”La DIVINE BOUTEILLE”, c’est L’I-VRAIe de l’I-Vresse, car ce I bouffé par le V de Vraie ne peut donner qu’un rai E qui ne saurait être le I du Point sur le I, ou du « Un Point c’est Tout », la Stargate, le GATE GATE.
Cet I-vraie qui sonne comme Ivre et « vrai » à certains moments très imbibés de Maître Puntila. Si bien que la Réalisation du Soi ou vivre dans l’Instant, sans spatio-temporel, sans f(r)iction, passe par l’ivrognerie de Puntila. Évidemment ici ce n’est pas recommandable ! Sous peine de cirrhose du foie et de delirium tremens

Pareil avec le Diable boiteux de A.R. Lesage qui sort, comme la vision du Réel de l’ivrogne, d’une bouteille, le Diable qui dévoile, ou voile pour mieux dévoiler, c’est selon, et sans la dualité chrétienne bien-mal, ou la dualité mammifère pur-impur, tant qu’elle s’observe chez certains mammifères, surtout de race humaine dès le berceau !
Ici le Diable pourrait facilement être à lui seul le transhumanisme doublé de la république et son monothéisme.

La Divine bouteille de l’Alcoolique qui VOIT LE SEUL RÉEL : AUCUNE DUALITÉ, malgré l’occasionnel dédoublement des images dans sa vision d’ivrogne qui ne sera qu’un effet de surface.
C’est ce qu’il se passe avec le valet Matti et son Maître qui devient NORMAL, c’est-à-dire lui-même, seulement lorsqu’il boit. Quand il ne boit pas IL NE VOIT RIEN, COMME TOUT LE MONDE ”NORMAL” IL VOIT DOUBLE : en dualité sujet-objet (et en FÉTICHE, voir plus bas) : le contact dans la seule mise en valeur du temps, le contact dans le ”COMME SI”, dans le ”ON FAIT SEMBLANT”, ”ON FAIT LE GRAND JEU DE GRANDES PERSONNES” : ON CABOTINE (comme les politistes du régime républicain) !
ATTENTION, encore une fois, dans le cas de la ”Divine Bouteille”, cela ne veut pas dire qu’il faut devenir ivrogne pour Réaliser son Soi et se délivrer de la dualité sujet-objet !

Le génie dans la bouteille (tel le conte de Grimm), ou dans la LAMPE, se retrouve évidemment chez Aladin et sa Lampe (qui singe l’Éveil)….

L’EMBAUMEMENT (retenue, sens du latin condire, qui donne vergogne), du ”conforme à la vérité” (vere), seront LA SAISIE du I (capte-I-vi-Té : qui arrête la Vie en T, refuse (d’Itérer).
Toutes ESSENCES(2) n’ont jamais itéré d’autres conseils, en cela complètement OPPOSÉES DE L’ÉDUCATION CONVENTIONNEL (qui conduit le E), alors :

POUR ÉCHAPPER À CE RÉPUBLICANISME et à ses nanotrucs culturels instillés vicieusement, UNE RÈGLE D’OR :
”Mieux vaut (pour chacun) sa propre loi d’action, même imparfaite, que la loi  d’autrui [le DEHORS], même bien appliquée.
Mieux vaut périr dans sa propre loi ; il est périlleux de suivre la loi d’autrui [la loi de succion vulgaire]”. (Bhagavad-Gîtâ 3, 35).
« Ce qui m’interroge à l’Instant présent constitue ton Trésor. Toutes choses sont parfaites en soi, rien ne manque. Utilise-les spontanément, à quoi bon rechercher vers le Dehors [et comme il n’y a pas de loi ou de médecine au Dehors, il n’y en a pas non plus au Dedans….] ». (Mazu Daoyi [709-788] un des plus grands maîtres chan (Zen) de la dynastie des Tang [618-907]).
« Il n’y a pas d’investigation sur l’Atman [le Soi]. L’investigation ne peut se faire que sur le non-Soi.
La seule élimination possible est celle du non-Soi. Alors, le Soi, évident par lui-même, resplendira de lui-même ». Une définition possible du mot « maladie » dans l’entretien 78 du 29-9-1935 de Ramana Maharshi.

MACHIAH (mashia’h, de l’araméen meschikhâ : oint (l’Initié frotté d’huile)), en grec : le kristos OU LE BOUDDHA du Grec Ancien et forcément bouddhiste lui aussi : TUE-LE ! Car DIEU (ou la république) = L’ANTI-GATE GATE.
Faire SILENCE : calmer son mental : "Je prie Dieu de me libérer même de Dieu" (Maître Eckhart).
En effet : AUCUNE LOI. DONC SE LIBÉRER MÊME DE DIEU.
EXPULSER DIEU. En effe(, afin d’enseigner quelque chose, un concept est nécessaire, mais, si le concept en vient à être transformé en dogme ou en loi, donc en vient à être saisi comme quelque chose en soi [DÉ-COUVRIR], tel un ego à lui tout seul, une chose concrète, L’ENSEIGNEMENT LUI-MÊME EN EST INVALIDÉ, LES 10 COMMANDEMENTS DE L’EXODE 20 N’ONT AUCUNE VALEUR. Par conséquent, le concept de Dieu qui vient d’être créé doit être IMMÉDIATEMENT DÉTRUIT, C’EST CELA LA PANique….

Seul ce qui EST est Vrai. Si c’est vu c’est Dé-couvert donc Re-couvert pas l’ego qui va ORGANISER, C’EST POURQUOI TOUTES MÉTHODES, CONCEPTS ÉLABORÉS PAS L’EGO HUMAIN À L’ÉTAT DE VEILLE, À L’ÉTAT DE ”COMME SI”, SONT COMME SES RÊVES : ROSÉE ET FOUDRE ET DÉJÀ DISPARUES, COMME ZEUS (Vrai Soleil, pas celui qui chauffe dans la thermodynamique de la découverte du feu vulgaire et de sa domestication).
La Vérité Ultime en Gate Gate : « RIEN N’EST SOI-MÊME », tel le « QUI SUIS-JE ? ». Nagarjuna Stance 27,29 : « Et puis, étant donné que tous les êtres sont vides [d’une identité qui leur appartient en propre(4)], à propos de quoi, dans l’esprit de qui, de quelle nature et pour quelle raison, des opinions concernant l’éternel, etc., pourraient-elles prendre naissance [et l’Univers avec elles] ».
Nagarjuna termine ses Stances par la 27,30 où il intervient COMME JEAN COULONVAL DANS SYNTHÈSE ET TEMPS NOUVEAUX, PAR L’ABANDON DE TOUTES LES OPINIONS, PARCE QUE CELUI QUI EST MÛ PAR LA COMPASSION ENSEIGNE LA LOI AUTHENTIQUE MENANT À L’ABANDON DE TOUTES LES OPINIONS. Et c’est vraiment le sens du mot ”COMPASSION” : L’ABANDON DE TOUTES LES OPINIONS OU CONSENTEMENTS.

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Le socialisme est l’opinion totalitaire par essence, parce que Nous ne pouvons pas comprendre les idées de autres, qui les ont acquise seulement pas convention et éducation, et à cause de la différence d’âge et de vécu ; Nous pouvons seulement, essayer, de comprendre nos propres opinions ou idées.
De même l’acte de Pour-Voir (et pouvoir) quand il y a dualité sujet et objet, quand cette dualité devient PERCE-VOIR ou état d’Éveil, l’absence de ‘je’ et de ‘Je’ : IL N’Y A PAS DE ‘Je’ POUR RÉALISER L’ÉTAT DE CONSCIENCE OU LUMIÈRE DE L’ESSENCE(3) (être conscient de = se passe de raison ou mental).
L’état d’Éveil authentique et parfait se passe SANS le mental donc SANS le ‘je’ ou sans le ‘moi’, car l’Éveil EST NATUREL SANS COMMENCEMENT NI FIN (certains pourraient dire : ”Dieu n’est QUE bon”……) FACE AUX TOURS DE MAGIE DU ”COMME SI”.

Les ”COMME SI” ou le grand jeu du ”Faire/Fer semblant” ce sont les OPINIONS.

OPINION = vision ou Pour-Voir qui nécessairement se situe dans le concept espace-temps : Dé-couvrir ; de cet état dimensionnel-émotionnel l’opinion est forcément constamment instable, fluide, se pliant aux circonstances liées à l’égo de l’ensemble à l’état de veille ; l’opinion UTILITARISTE se pliant aux modes. Ainsi, dans l’étatisme un régime politique et son gouvernement NE PEUT QU’ABOUTIR À UNE SINGERIE DE RELIGION COMME LA ”RÉPUBLIQUE”, UNE MYSTIQUE À L’ENVERS, ABOUTISSANT AU RENONCEMENT VOLONTAIRE DE L’HUMAIN À SA PROPRE LIBERTÉ ET AU NON-NÉCESSAIRE, QUI VA AUTORISER UN CONSENSUS AU PROFIT DE L’ORDRE IMPOSÉ (consensus par élection au suffrage général [et non universel, tant ce mot est réservé au spirituel : il n’y a qu’UN universel, et le socialisme-république ce n’est pas Dieu ce n’est pas une ”république universelle” !]. Consensus au pouvoir d’achat et soumission aux industries du capitalisme, à ce hui soumission au smartphone-écran nécessairement aliénant dans son Pour-Voir).

OPINION PUBLIQUE = FORME DE RELIGION (relier, lier en ”vivre ensemble”, globaliser genre Nouvel Ordre Mondial) QUI ENFERME DANS UNE PENSÉE UNIQUE EN CROYANT QUE C’EST LA BONNE !
Ce monde de la DÉ-couverte (par la technologie des industries du capitalisme et leur religion du ”Tout connecté”) RE-COUVRE, TOUT DÉTRUIT TOUT.

Éveil = insaisissable : on ne Dé-couvre pas (Lévitique 18,8).
« Un mental purifié est élixir, un mental vidé est remède. On dit du mental qu’il est purifié quand il ne s’attache plus à rien. On le dit vidé lorsqu’il ne garde plus rien en lui. Mais si l’on s’attarde sur le ”vide" de cette vacuité, c’est que la vacuité n’est pas encore vide. Un mental vide et qui ne pense pas à sa vacuité, voilà ce qu’on appelle la véritable Vacuité », dit Le Secret de la Fleur d’Or, traduction de Thomas Cleary.
La Vacuité est du Thème de la Fontaine de Jouvence, du Zéro Indien : l’Un véritable : ni être, ni non-être…
VACUITÉ, SIMPLICITÉ = CE QUI N’EST PAS OFFICIEL, CE QUI N’EST PAS UN SYSTÈME (L’OCCIDENT EST LE SYSTÈME, L’EMPIRE DE CETTE PLANÈTE ; vous trouvez des bouteilles de Coca Cola et des Églises chrétiennes même en Chine !!! En tous cas vous y trouverez des smartphones et des arts martiaux pour touristes…..).
La Vacuité est le Soi, l’état naturel ou ‘EST’ seulement (comme le « N’EST PAS X »), le Sans Pourquoi des choses qui n’ont pas d’essence, et dont aucune n’est ou n’existe en soi et pas soi(4), comme l’expression « N’EST PAS X » qui revient à dire que les choses ne sont que de simples imputations nominales dépourvues d’être en soi et par soi, ce qui est une définition dU FLÉAU (sens de la Balance). Vacuité = le Centre qui est nulle part et la Circonférence qui est partout… l’EAU……
FLÉAU, parce que lorsqu’il n’existe plus d’extrême, le milieu entre les deux extrêmes disparaît. Le FLÉAU est donc un Fléau parce qu’insaisissable, non-identifiable.

ON NE DÉ-COUVRE PAS : PAS DE SAISIE, PAS DE PROPRIÉTÉ(4), LA PROPRIÉTÉ C’EST LE TEMPS, LE DEVENIR, LE PROJET-PROJECTION dans le style « être éternel » des Laurent Alexandre et transhumanistes qui veulent « continuer à vivre » (coincés dans leur puce électromachin).
Être éternel c’est NE PAS OPINIONER ce mot, donc larguer le mental qui fait CFOIRE à une naissance et à une mort et à une durée !

Un FÉTICHE ressemble au Réel dont les autres objets ne sont que des doubles, comme le Centre est nulle part et la Circonférence est partout : non pas une Image, mais la chose Elle-même : il est alors une VARIATION dans le THÈME du Soi, comme un FAUX DIAMANT OU CHARBON, NOIR IL NE BRILLE QUE S’IL RESTE INSAISISSABLE, SANS COPIE. Il tire donc sa Réalité non dans la racine du mal(1), mais, comme un faux Ptah : il tire sa Réalité de Lui-même, comme un ÉGRÉGORE DEVENU AUTONOME. Et cette Réalité est SINGULARITÉ : aussi INSAISISSABLE que l’encre des Anciens Chinois : « Dès que l’encre est séché, nos formules [ou lois] sont fausses » disent les Anciens Chinois de l’École du Dhyâna (contemplation).
La chose en soi, la formule des Anciens Chinois, est à nouveau DÉROBÉE, NON DÉ-COUVERTE ; AINSI IL FAUDRA CONTINUER À VIVRE AU MILIEU DES ”COMME SI”, AU MILIEU DU GRAND JEU DU ”FAIRE SEMBLANT”, ET C’EST LA TRAGÉDIE DE CE MONDE QUI N’A PAS ÉTÉ CRÉÉ, avec CONDAMNATION À VIVRE ET À TAIRE SA SOUCE !!!….. LE DIAMANT EST TOMBÉ À LA MER : essayer de retrouver ce Diamant au fond de l’océan !
FÉTICHE = FAUX : du latin facere, et du portugais feitiço, et de l’espagnol hechizo (doublure, sorcellerie).
FÉTICHE = LE GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT ; L’IDOLE À LA PLACE DU DIEU ; bref, le fétiche est le ”COMME SI”, la magie qui fait fonctionner toutes les magies. Il n’existe pas de ”premier fétiche”, d’ailleurs comparable au ”Big bang” cet artifice du conventionnel de la physique actuelle !
FÉTICHE ou Soi sont comme trop ÉCLATANT : ils ne peuvent être Dé-couvert, parce que Nous sommes le Soi, Nous sommes la Réalité, le Diamant-Charbon.

Notes.
1. - Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)

2. « C’est que je veux bien fabriquer, ce que j’ai fait toute ma vie. MaiS je ne veux pas être « fabriqué ». Je veux être soumis aux Essences mais non aux accidents [le spatio-temporel et les opinions]. C’EST CELA LA LIBERTÉ ». (Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, lettre n°47, au Père Brückberger en janvier 1978). Coulonval ajoute la citation de Saint Thomas : « Rien ne vient à l’intellect que par les sens. SAUF CE QUI VIENT DIRECTEMENT DE L’ESPRIT [Lumière de l’Essence dans la Taoïcité] »(3).

3. La partie essentielle du Secret de la Fleur d’Or explique : « ”La lumière jaillit dans
la chambre vide”.
Cette lumière n’est pas lumineuse mais, explique-ton, il s’agit d’une
preuve d’efficacité au début, avant qu’on n’ait vue la lumière. Si vous la voyez sous
forme de lumière et que vous fixez votre attention là-dessus, vous tomberez dans la
conscience conceptualisante qui N’EST PAS la Lumière de l’Essence [la Conscience Infinie].

Quand le mental forme une pensée, cette pensée est le mental, dans l’Instant. Ce mental est Lumière, il est remède. Lorsqu’on regarde les objets et qu’on les perçoit spontanément tous ensemble, sans discrimination, c’est la Lumière de l’Essence, pareille à un miroir qui reflète tout, sans intention de le faire [sans calcul, sans concept].
Mais il suffit d’un Instant de discrimination [et donc de saisie] pour que cela devienne la lumière de la conscience [les Bulles-Sucres [effet dominos], ou attacher un instant à un autre instant]. Lorsqu’une image occupe l’espace du miroir, il n’y a plus réflexion [d’autres images]. Lorsque la conscience occupe l’espace de la lumière, quelle lumière reste-t-il ? ». (Le Secret de la Fleur d’Or, trad. Thomas Cleary).

Comme l’exprime le Secret de la Fleur d’Or, si on « pense » on chute dans la raison ou conscience relativiste, et comme l’exprime Ramana Maharshi cité dans Padamalai : « Aucune investigation ne peut porter sur le Soi [Atman]. L’investigation [”Qui suis-je ?”] ne peut porter que sur ce qui n’est pas le Soi. Seule l’élimination du non Soi est possible. Étant constamment évident de Lui-même, le Soi resplendira seul de Lui-même ».

« L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle - ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur.
Lorsqu’on pratique les huit formes d’attribution liées à la perception discriminante [la raison, le Pour-Voir, l’opinion], les sept premières montrent que chacune est attribuable à quelque chose de précis [l’identification, la saisie] et que l’essence qui voit est temporellement conservée comme béquille pour l’Adepte. Mais à terme, tant que l’essence qui voit continue à nourrir la huitième conscience, elle reste toujours imputable [sous la cause] de quelque chose. Ce n’est que lorsque ce dernier point a été dépassé que se fait jour l’authentique Essence qui voit [être COUR, comme ”distant”, comme dans un état insaisissable], celle qu’il est véritablement impossible d’attribuer à quoi que ce soit [donc INSAISISSABLE, NON-OPINION].

Retourner la Lumière [ou Réaliser le Soi] consiste à correctement retourner la Lumière Primordiale qu’on ne peut attribuer à rien, de telle sorte que n’intervienne aucune pensée consciente [le scribe de la page souligne].
[…]
Retourner la lumière sans tomber dans la conscience [la raison], c’est faire usage de l’ESSENCE ORIGINELLE des sens.
Retourner la lumière en tombant dans la conscience [la raison], c’est user de la nature de la conscience inhérente au sens. Là se trouve la différence, aussi fine qu’un cheveu.
Quand la méditation s’accompagne d’un effort, c’est la lumière de la conscience qui se fait jour. Lâcher prise pour que jaillisse la lumière de l’essence. Un cheveu de différence vaut autant qu’un bon millier de kilomètres : aussi faut-il faire preuve de discernement.
Tant que la conscience ne s’arrête pas [donc tant qu’il y a idéation ou vagabondage des pensées], le mental n’est pas vivant. Tant que le mental n’est pas vidé, l’élixir ne se cristallise [Christ] pas.

4. PAS DE PROPRIÉTÉ OU POSSESSION, PAS DE LOI DE SUCCION VULGAIRE OU RACINE DU MAL, personne n’appartient à la « république » (qui actuellement ressemble totalement à une RELIGION) :
- SHUN : Peut-on atteindre la Voie [Tao ou Soi-Instant, la Réalisation du Soi] et la Garder ?
- ZHENG : Vous ne pouvez garder votre corps, comment pourriez-vous garder la Voie [l’Éveil] ?
- SHUN : À qui est donc mon corps, s’il n’est pas à moi ?
- ZHENG : C’est une forme qui vous est fournie par le Ciel et la Terre. La vie ne vous appartient pas : c’est une harmonie qui vous est fournie par le Ciel et la Terre. La Nature ne vous appartient pas : elle vous est fournie par l’Univers. Vos descendants ne vous appartiennent pas : ils ne sont que mues confiées par l’Univers. C’est pourquoi vous marchez sans savoir où vous allez, vous vous arrêtez sans savoir où vous restez, vous mangez sans connaître les saveurs. Telle est la force du souffle Yang de l’Univers. Comment pourriez-vous posséder quelque chose ?
(Lie Tseu, Traité du vide parfait, chapitre Présages célestes 14).
Pas de possession de l’existence. De même la vie n’appartient pas au réseau républicain étatique ou à un ”nouvel ordre mondial”.
« Telle est la force du souffle Yang de l’Univers » : « l’Haleine de Vie » ou MÈRE L’OIE (Loi) et Vraie Loi de Succion (aucune ”attraction universelle” aucun PLOMB AUCUNE PESANTEUR ELLE EST TRANSMUTÉE…).
 
 

Dernière mise à jour : 07-08-2024 01:34

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