Quand on utilise cette technique pour la
première fois, on a l’impression du non-être
dans l’Être. Mais une fois le travail
aboutit, quand on a un corps au-delà du
corps, on a l’impression d’un Être dans le
non-être.
Retourner la Lumière ou Réaliser le Soi,
qui est déjà de Nature réalisé, on ne
retourne pas la Lumière d’un seul coup :
c’est retourner l’Énergie même de la création
puisque l’Univers est DANS le mental.
Il ne s’agit pas d’arrêter provisoirement les
errances de l’idéation désordonnée, mais
d’évacuer définitivement les pulsions de
l’habitude [les plus ça change et plus c’est
la même chose, du politisme étatique marchand].
HABITUDE = le confort, le constructiviste,
l’organisation, l’administration, la routine des
”plus ça change et plus c’est la même chose”,
soit le contraire du Saint Chaos et de la
SUR-PRISE, de PANique.
La Lumière ou Réaliser le Soi, qui est déjà de Nature réalisé = AUCUNE LUMIÈRE ou VIERGE NOIRE VISIBLE : montagnes, soleil, lune, planètes tous participent de cette Lumière qui ne se trouve pas seulement en soi [comme les images qui défilent sur l’écran fixe de cinéma et qui n’en est pas affecté]. Lumière correspondant au Centre qui est nulle part.
Toutes les opérations de l’intelligence, la connaissance, la sagesse, participe également de cette Lumière,
qui ne se trouve donc pas en Dehors de soi. De même que la Lumière du ciel et de la terre remplit le monde conventionnel, la Lumière d’un seul Être s’étend aussi naturellement aux cieux et embrasse la terre [tout ce qui est en Haut est comme ce qui est en Bas, et l’inverse].
Voilà pourquoi SI L’ON RETOURNE LA LUMIÈRE LE MONDE ENTIER SE RETOURNE ÉGALEMENT (ça a faillit teinté(2) avec le Christ-Jésus mais à cause de l’Église moralisante la teinture a merdouillée). Curieusemdent cette teinture ressemble avec celle du 1789 français, et du 1917 sociétique (pas de faute), et dans les deux cas la teinture a de nouveau merdouillée… LA PROCHAINE TEINTURE DE PARYSIS devrait-être la Bonne…
Et qu’essaye de faire l’oligarchie qui rêve d’un NOUVEL ORDRE MONDIAL ?
Évidemment pas de retourner la Lumière en chacun des tenants de leur POUR-VOIR !!!
L’oligarchie obsédée par son POUR-VOIR tourne toujours son regard vers le Dehors, elle n’a donc pas le temps de se RE-tourner vers son Dedans de chacun(e).
Le POINT FOCAL ne peut que contenir l’Univers entier : Le point focal ou foyer : pas de réalité concrète, conception d’un point contenant la totalité de l’image. Il ne peut exister un plus petit grain de Matière (sens Euclidien) Infiniment/non défini/ petit, et Infiniment/non défini/grand = mêmes problèmes. (Réf. à Jean Coulonval,
Synthèse et Temps Nouveaux).
(Le point focal ne subit plus la loi de cause et d’effet).
Point Focal = CONCENTRATION mais SANS COAGULATION, sinon ON PERD LE PASSAGE DE LA PORTE, car comme dans un symbole : La chose se découvre, tout en se revoilant.
“Ah! elle est passé !”. (Du conscient, elle est redevenu inconscient !)
Vouloir saisir un symbole c’est le tuer !
On est donc constamment en SOLVE ET COAGULE, ou VOIR ET ARRÊT : Pénétration et Concentration (Perce-Voir).
« Désormais, quand les pensées surgissent, ne restez pas immobile comme vous le faisiez auparavant mais explorez l’idée suivante : où est cette pensée ? D’où vient-elle ? Où disparaît-elle ? Prolongez ce questionnement, répétez-le inlassablement jusqu’à ce que vous compreniez qu’on ne peut saisir la pensée et, alors, vous verrez d’où elle vient. Vous n’aurez plus besoin de chercher son point de départ.
”Ayant cherché mon mental, j’ai compris qu’il était insaisissable. Et bien, je te l’ai pacifié !” ». (Référence au
Secret de la Fleur d’Or, trad. Thomas Cleary).
Si le mental lui-même est illusoire, ou si la conscience est illusoire, qu’est-ce qui est perçu, et par qui ? par quoi ? C’est-à-dire qu’effectivement le mental ne se perçoit pas lui-même. Donc PAS DE SAISIE, comme l’énonce Saint Bonaventure : « Jamais l’âme et Dieu ne peuvent coexister ». ”Mors ultima linea rerum est”. Le mental est comme le Centre qui est nulle part !
C’est l’authentique
PERCE-VOIR, le Perce-Vallée ou Perce-vase alchimérique. Tout ce qui lui est contraire est illusion ou fausse vision, et c’est le POUR-VOIR (ou pouvoir : LA CHOSE SAISIE, LA CHOSE POSSÉDÉE QUI VA CAUSER LA CHUTE, LA FAUSSE LUMIÈRE, LE
EYES CANDY).
Quand on RE-trouve cette Nature insaisissable, on continue à pratiquer continuellement l’arrêt ou COAGULATION en le prolongeant par le SOLVE ou GATE GATE
(1) DU PERCE-VOIR, en le prolongeant jusqu’au prochain arrêt ou COAGULATION.
On est ainsi dans le SANS POURQUOI DU POURQUOI : On ne peut expliquer que difficilement un symbole, ni le
“Comment ça fonctionne” (Esprit + Matière). Peut-être est-ce bien ainsi.
Le Tout fait plus que la somme des parties : une entité contient des facteurs ([Faceon] du latin
Factionem : action de faire ; depuis 1699 : ce sont les éléments qui constituent la chose) que l’on ne peut identifier ; si l’on décompose cette entité pour analyser ses parties constituantes, cela n’indique pas son héritage génétique, ni sa valeur biologique, ni vraiment son fonctionnement.
C’est comme remplacer un symbole par un autre symbole : le pourquoi sera toujours là. Ou bien traduire un symbole ancien en langage clair actuel et rationnel. Le pourquoi, en fait l’attirance sera toujours là ; et ce sera la GATE GATE
(1). (D’après E. Pfeiffer, biochimiste, et J.W. Goethe, et René Alleau).
C’EST CELA LE PRINCIPE DE L’ALCHIMIE CONTENU DANS LE SOLVE ET COAGULE ou JUMELAGE DE LA VISION ET DE L’ARRÊT = LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, LE VASE-VALLÉE……
Le Retournement correspond à l’arrêt ou Coagule, et la Lumière correspond à la Vision ou Solve. Pratiquer l’arrêt ou Coagule sans le Solve peut s’appeler le Retournement sans Lumière [et c’est l’actuel Pour-Voir ou Pouvoir]. La vision ou le Solve sans le Coagule peut s’appeler la Lumière sans le Retournement [et c’est l’actuelle culture et les déluges d’informations soumises aux industries du capitalisme]. Il est vital de s’en souvenir dans ce monde totalitaire en marche !
Le Solve sans Coagule N’EST PAS RÉEL ;
Le Coagule sans le Solve N’EST PAS RÉEL,
parce qu’il n’y a pas la DIFFÉRENCE-FLÉAU !
Ainsi l’illusion n’est pas un truc au Dehors du mental ; il est impensable qu’elle soit non-différente. Si le mental est réel, comment l’illusion n’en est-elle pas différente ? Si elle n’est pas différente, alors ce mental n’est pas réel. Mais bien qu’irréelle l’illusion est visible : l’irréel le mental le voit. Le Retournement de la Lumière a pour support quelque chose de Réel ;
autrement il serait comparable à l’espace sans le temps. Bref, sans compagnon, la Lumière n’existe pas !
Avec l’habitude du Solve et Coagule et de la
ROU-tine (la ROUE qui teinte et sonne : tintinnabule ; tous on pour étymologie
LA TEINTURE(2)), LA ROUE FINIT PAR TOURNER TOUTE SEULE….. ET FINALEMENT ELLE DISPARAÎT (elle devient insaisissable).
FLÉAU = LE Soi, le TAO ou LA TEINTURE, LE FLÉAU UNISSANT non seulement les deux plateaux de la BALANCE, mais aussi évidemment SOUFRE et MERCURE. Plateaux de la Balance ou Soufre et Mercure sont COMPLÉMENTAIRES comme SOLVE/COAGULE.
Quand il n’y a plus rien à saisir ou à Pour-Voir, dont on puisse dire qu’il n’y a rien, comment peut-il exister une irréalité dépourvue de support qui se trouverait en face d’une conscience ?
Quand réel et irréel ne sont plus saisis par le mental, et en l’absence de toute autre source, c’est l’apaisement libre de tout support ou soumission.
Comme l’exprime le Soûtra du Diamant, un Réalisé vivant devrait cultive un mental qui ne se fixe sur rien ; dans la tradition de ne pas attacher un instant qui passe à un autre instant et que ça forme la f(r)iction ! Ce mental libéré ne devait donc s’appuyer sur aucun nom-la-forme sous peine de gonfler le sac à inconscient collectif (de C.G. Jung) !
Le nom-la-forme qui alimente ce possessif du conventionnel appelé
”caractéristique” (identité) et qui en fait ne repose sur aucune adhésion mais seulement sur une PROGRAMMATION-ROUTINE, ou habitude apprise comme on apprend à son chien domestiqué à
« faire dans le caniveau ». La Vraie nature des caractéristiques devrait s’appeler
”Essence”…
Un Réalisé vivant ne devrait pas prendre appui ni sur les sons, ni sur les odeurs, ni sur les saveurs (tant pis pour les restos 3 étoiles…), ni sur les tangibles, ni sur les phénomènes mentaux.
« Ô Subhûti, il en est bien comme dans cet exemple : s’il se trouvait un homme ayant un corps, un corps immense dont la taille rivalise avec l’immensité du mont Meru, dis-moi, Subhûti, ce corps serait-il immense ?
- Immense en effet serait ce corps, ô Bienheureux, gigantesque même, ô Bien-allé. Pourquoi donc ? Parce que le Tathâgata [le Réalisé, contenant gata
(1)] a déclaré que, ne consistant en rien de matériel, ce corps serait immense, et c’est précisément parce qu’il ne consiste en rien qu’on peut parler de corps ». (
Soûtra du Diamant, chapitre 10).
N’est pas un peu le rêve du transhumaniste, où le « rien » serait une corps-puce électronique contenant une
”conscience” ?
ICI-BAS C’EST LA PUNITION…… QUE CERTAINS VEULENT ACHETER, comme pour éviter d’aller en prison certains payent une CAUTION….. QUI ACHÈTENT ET QUI VEND ?? ET POURQUOI ??
FAITES-VOUS TOUT CELA PENDANT VOTRE SOMMEIL PROFOND ?
NON, donc VOTRE MONDE EST BANCAL, PAS SÉRIEUX, ILLUSOIRE FONCTIONNANT DANS LA CROYANCE QU’IL Y A UN MONDE, UNE NAISSANCE ET UNE MORT, IL FONCTIONNE EN
”COMME SI”, IL FONCTIONNE EN F(R)ICTIONS (HOTC : Histoire-Opinions-Temps Qui-coule), les fictions du permanent et de l’impermanent.
ICI-BAS C’EST LA PUNITION DU ‘MOI’ (qui saisi, qui achète, qui pollue).
Par Retournement de la Lumière,
Le corps retourne à son origine.
Comment alors le ‘moi’ désirerait-il
encore SAISIR quoi que ce soit,
c’est-à-dire finalement perdurer ?
(Réf. au Traité du Vide parfait,
de Lie Tseu, chapitre Présages célestes.
Trad. Jean-Jacques Lafitte).
Il était ainsi évident que le spatio-temporel
commençait à devenir préparé à voir naître
le CHRIST-JÉSUS, qui, sur la CROIX,
ne pouvait que RETOURNER À SON ORIGINE.
La scélératesse du mental depuis le
CROQUE-POMME D’ÈVE est en accélération permanente de sécheresse au sens de la PERTE de ce monde, que maintenant rien ne semble pouvoir arrêter ; d’où l’empressement des paroissiens transhumanistes DE BIDOUILLER L’HUMAIN D’ORIGNE POUR EN FAIRE
« AUTRE CHOSE », QUE ÇA DEVIENT UNE ÉVIDENCE (surtout depuis l’épisode Covid-19, et avant, celui du 11-9-2001)…..
Notes.
1.
« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’accompagne nécessairement de la Connaissance transcendante par le Principe du
”N’EST PAS X” : revient à dire que les choses ne sont que des désignations, des pointages sur les choses, de simples imputations nominales (en tibétain :
tha-snyad), elles sont dépourvues d’être en et par soi,
ELLES NE SONT PAS POSSÉDABLES PAR LE MENTAL, ON NE DOIT PAS EN FAIRE UNE VALEUR POSSÉDÉE (genre
”valeurs de la république” ou
”ordre républicain”, ou
”notre démocratie”). Non possession tel l’avertissement traditionnel de ne point se fixer ou se
”coaguler”.
SORTIR DE L’ABSOLU = S’ATTACHER À ou SE COAGULER.
SOLVE ET COAGULE = L’ANTI CAUSE-EFFET ! Seul le FLÉAU fait « tourner »….. Et c’est pourquoi il peut s’appeler FLÉAU.
Qu’il faille s’attacher à certain Instant, c’est certain, Mais SANS fixation, sans coagulation conformément au principe du
« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’attacher à un Instant comme on se promène dans un Paysage. S’attacher = cultiver pour soi-même, coaguler, fixer ou concentrer, stocker, CELA MÈNE AU POUR-VOIR, LE POUVOIR DES VOYEURS : UN CONSOMMATEUR DE CONCENTRATION DEVIENT UN BÉNÉFICIAIRE : IL S’ATTACHE, COAGULE, IL FABRIQUE UNE DURÉE DE CONCENTRATION.
LA CONTINUITÉ DE LA PRÉSENCE CULTIVÉ OU ARTIFICIELLE D’INSTANT EN INSTANT DEVIENT, EN ELLE-MÊME, SUSPECT, CAR CHARGÉ D’EFFORT DE SPATIO-TEMPOREL : ÉCHO DU VIOL PAR L’EGO, D’OÙ L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL : « NE PAS ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ».
Lorsque l’état d’attention divisé en sujet-objet dissout le centre fictif : le
‘Nous’, là commence le SUBJECTIF en forme du CHAHUT DE L’EGO qui peut se confondre avec ZÉRO INDIEN en une sorte d’ENTRE-DEUX chargé de promesses. C’est là qu’entre la clé principale : LA SIMPLICITÉ. Clé qu’IL NE FAUT JAMAIS PERDRE. La concentration fuit le compliqué et le winnerisme et les originalités. C’est pourquoi il n’est rien de plus difficile, surtout à nostre époque de Big Brother et de tous connectés, QUE LE SANS TRACE, de plus délicat que la légèreté dans ce monde du PLOMB-PESANTEUR ou loi de succion vulgaire : comment ne pas laisser de trace dans une neige vierge qui se dépose sur la POINTE de l’Instant ? (Les Artistes-Artisans autrefois NE SIGNAIT PAS LEURS ŒUVRES, le commerce n’était pas installé).
Il y faut l’habit de la PUTRÉFACTION, DE L’INSAISISSABLE, DU NON-DÉSIR.
LE PONTIFE, CELUI QUI FAIT PASSER LE PONT À L’ADEPTE, DÉCLARE : NE VOUS PLANQUEZ PAS MÊME DANS LE SANS TRACE ; ce qui correspond au Principe du GATE GATE et du VOLATIL par rapport au COAGULE (du Plomb). Se planquer, se réfugier = se coaguler….
Le sentiment océanique englobe toutes choses, pareil au
”cent mille cours d’eau différents” qui tous sont l’eau de l’Océan à saveur unique mais comprenant toutes les saveurs, tel le Centre est nulle part et la Circonférence est partout. Celui qui demeure dans le sentiment océanique se baigne dans TOUTES LES EAUX : LES EAUX PRIMORDIALES.
Le sentiment océanique du ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle
jîva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. (Réf. à
Ramana Maharshi 92 du 7-11-1935).
Le GATE GATE DU TATHÂGATA chez Jean de la Croix, dans
La nuit obscure, chapitre 21).
L’EX-ISTANT devrait signifier par essence le
« N’EST PAS X », le
GATE GATE… la BALANCE FLÉAU du FIXE ET VOLATIL ou SOLVE-COAGULE, la devise Alchimique =
« Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore », à l’identique de la NUIT OBSCURE de Jean de la Croix :
« Aussi l’espérance en Dieu seul dispose-t-elle d’une manière d’autant plus pure la mémoire à s’unir à Dieu, qu’elle la laisse dans un VIDE PLUS PROFOND ».
2.
TEINTURE. TRANSMUTATION / MUTATION.
1) A disparaît (mort de A) et est remplacé par B (naissance de B).
2) Enlever ou ajouter un atome ou plusieurs à un corps (Alchimie).
TEINTURE MÈRE : dissolution d’un corps dans un liquide pour en faciliter l’absorption par l’organisme qu’il
“teint” de son pouvoir.
L’HUILE (oint) comme l’Air et l’Eau pénètre partout. C’est une sorte de Teinture : l’initié ou le Christ est OINT.
Mettre une poudre rouge dans de l’eau pour en teinter icelle.
Mettre l’Esprit dans une Matière…..
Teinture/Insectes : comme la Teinture les insectes se répandent, c’est-à-dire se multiplient rapidement.
Teindre la couleur d’un Métal non mûr en la couleur d’un Métal mûr (faire changer, transformer la couleur), fixer cette couleur ; car la pénétration doit être intime pour résister à toutes les agressions.
La Teinture parfois appelée VENIN (détruire, mettre à mort dans le sens de purifier, putréfier, détruire l’ancienne forme).
TEINTURE / TINGERE ou TEINDRE / TINE cuve, baquet, seau, tonneau, récipients pouvant contenir de la Teinture.
Teinture action sur quelque chose. Le résultat c’est la Teinture. Le résultat de SF et MC sera par exemple la Teinture-Instant.
La Teinture c’est le Remède universel, l’Huile, que l’Adepte trouve en s’aidant de la Matière et bien-sûr de sa Matière.
Selon la Tradition : les corps n’agissent que s’ils sont en
Solution, en Solve, en Poudre.
La diminution progressive d’une substance change ses propriétés chimiques (change la géométrie de ses atomes).
3 méthodes :
- L’INFUSION : c’est verser dans un récipient de l’eau bouillante sur des fleurs, feuilles ou racine, ou sur une roche, et laisser reposer en couvrant quelques minutes.
- LA DÉCOCTION. Différente de l’Infusion puisque l’on part de l’eau froide dans laquelle baignent des racines, écorces, et l’on porte le tout à ébullition le temps de résistance de la plante en question.
- LA MACÉRATION. C’est baigner une plante pendant 12 heures à 15 jours dans de l’eau, huile, vin, etc. (Pour l’eau, ne pas dépasser 18 heures, sinon il y a risque de formation bactérienne, ou bien ajouter un peu de charbon de bois dans l’eau ; tout est question de température et de magnétisme de l’environnement, en tenant aussi compte des alignements planétaires…..).