Et l’invention de l’I.A. par l’humain est
évidemment une NOUVELLE LIMITE, un NOUVEL
OBSTACLE dont l’ensemble participe des
VOYEURS : LE POUR-VOIR,
LA DUALITÉ SUJET-OBJET.
LA SCIENCE ”HORIZONTE” des objets ”observables”
comme l’I.A. ”observe” (récolte) des infos puis
par ”réflexion” elle renvoie des ondes diverses
produisant des effets eux-mêmes observables ou
UTILISABLES EN TOUT ”CONFORT”, EN SOUMISSION.
Si bien que LA SCIENCE IGNORE le participant,
l’inventeur, la base, la science actuelle RÉDUIT
les Êtres à n’être que des A-voir, du A privatif
et voir : NE PAS VOIR, donc RÉDUIRE les Êtres
à des objets observables donc des
AVOIR-MARCHANDISES, des USAGER-CONSOMMATEURS.
D’où les théories comme celle de la MÉMOIRE à
partir de ”protéines cérébrales”, ou du
développement embryonnaire comme utilitarisme
des informations génétiques, c’est-à-dire
SORTIR DE L’UNIVERS pour le voir (Pour-Voir).
SORTIR DE L’UNIVERS par IGNORANCE de l’Être,
celui qui EST l’Univers, l’Univers qui est
DANS l’Être, et qui ne lui est pas extérieur.
Ainsi la science IGNORE l’Être et en fait un
A-voir parce qu’IL N’EST PAS DANS L’UNIVERS,
IL EST EN DEHORS ! IL EST UN OBJET.
Le régime étatique et politique républicain
nécessairement participe de même OBJECTIVISME.
C’est pourquoi la science, surtout actuelle
par rapport à celle des Anciens, est condamnée
à ignorer toute TRANSMUTATION, au sens propre
du mot, les inventions de formes, et elle est
condamnée à ignorer le FLUIDE des continuités
individuelles, les Êtres capables de participer
à leur propre Être sans commencement ni fin,
en vivant authentiquement le ‘Je’.
Cette ignorance du ‘Je’ risque MAINTENANT de
causer la PERTE DE LA RACE HUMAINE, remplacée
à terme par les artifices LUCIFÉRIENS(1)
DU FAIRE/FER, qui rouille nécessairement !
Car ce sont les ‘Je’, intemporels, qui font
que LE TEMPS NE LIMITE PLUS LES ÊTRES :
il n’est plus un utilitarisme spatial, car
le ‘Je’ EST à la fois le TOUT et le RIEN.
Le ‘Je’-‘Je’ : l’absence de ”raison”.
ON NE SORT PAS DE L’UNIVERS (pour le POUR-VOIR) !
« Le ‘Je’-‘Je’ est toujours là. Il n’y a pas à le connaître. Il n’est pas une connaissance nouvellement acquise. Or, ce qui est nouveau et qui n’est pas ici et maintenant ne peut être qu’évanescent [par exemple cas de l’I.A.]. Le ‘Je’ est toujours là. Il y a obstruction à sa connaissance et cela s’appelle ignorance [à ce hui cela s’appelle
”science” !].
Éliminez cette ignorance et la connaissance resplendira. En fait, cette ignorance et même la connaissance ne concernent pas l’âtman [le Soi et soi]. Ce ne sont que des excroissances qu’il faut couper. C’est pourquoi il est dit que l’âtman est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Il demeure tel qu’il est naturellement. C’est tout ». (
Ramana Maharshi 49 du 24-4-1935).
L’UNIVERS-O-CÉAN : « Le ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle
jîva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan ». (Ramana Maharshi, entretien 92 du 7-11-1935).
- Q. : Je ne vois rien en cherchant le ‘Je’.
- M. : C’est parce que vous avez l’habitude de vous identifier avec le corps et de confondre les yeux avec la vue, que vous dites ne rien voir. Qu’y a-t-il à voir ? Qui doit voir ? Comment voir ? Il n’y a qu’une seule conscience. Elle se manifeste comme la pensée ‘je’, s’identifie avec le corps, se projette à travers les yeux et voit les objets alentour.
L’individu est limité dans l’état de veille et il s’attend à voir quelque chose de différent de lui-même. Et ce sera le témoignage de ses sens qui fera autorité [le scribe de la page souligne]. Il n’admettra pas que le voyant, le visible et la vision sont tous des manifestations de la même conscience, c’est-à-dire le ‘Je’-‘Je’.
La contemplation aide à surmonter l’illusion que le Soi doit être visible.
En vérité, rien n’est visible [d’où le
’N’EST PAS X” (2)]. Comment ressentez-vous actuellement le ‘je’ ? Avez-vous besoin de vous regarder dans un miroir pour connaître votre propre existence ? La conscience est le ‘Je’. Réalisez-le et vous découvrez la Vérité.
(Entretien 196 du 9-6-1936).
« Le Maharshi sur l’Éveil au Soi : « Le concept du ‘je’, c’est l’ego. L’Éveil au ‘Je’, c’est la réalisation du Soi réel. Il resplendit éternellement comme ‘Je’-‘Je’ dans l’enveloppe intellectuelle. Il est Connaissance pure ; la connaissance relative n’est qu’un concept [celui de la dualité sujet-objet ou cause-effet]. La félicité de l’enveloppe de félicité n’est aussi qu’un concept [une enveloppe, qui n’est pas le ’Je’
(4)].
On ne peut pas dire « j’ai bien dormi » si l’on n’en a pas fait l’expérience, si subtile soit-elle.
C’est à partir de l’intellect que l’on parle de l’enveloppe de félicité.
La félicité du sommeil n’est qu’un concept, tout comme l’est l’intellect. Néanmoins, dans le sommeil, ce concept est extrêmement subtil. L’expérience est en effet impossible si en même temps l’on n’en a pas conscience (c’est-à-dire une connaissance relative, la
”raison”).
La nature inhérente du Soi est Félicité. Cependant, une certaine forme de connaissance doit encore être admise, même dans la réalisation de la félicité suprême. On peut la qualifier de plus subtile que le plus subtil.
Le terme
vijnana (connaissance claire) est utilisé tout aussi bien pour désigner la réalisation du Soi que la connaissance des objets. Le Soi est sagesse. Il fonctionne de deux manières : quand il est associé à l’ego, il est connaissance objective (
vijñâna) ; quand il est dissocié de l’ego et que le Soi universel est réalisé, on l’appelle également
vijnana. Ce terme soulève un concept mental. C’est pourquoi nous disons que le Sage réalisé connaît par son mental ; mais son mental est pur. Nous disons aussi que le mental vibrant est impur et que le mental apaisé est pur. Le mental pur est le brahman. Il s’ensuit que le brahman n’est rien d’autre que le mental du sage ». (Entretien 204 du 18-6-1936).
- Q. : Pourquoi avons-nous un endroit comme le « Coeur » pour la méditation ?
- M. : Parce que vous cherchez la conscience. Où pouvez-vous la trouver ? Pouvez-vous l’atteindre à l’extérieur ? Il vous faut la découvrir intérieurement. C’est pourquoi vous êtes conduit vers l’intérieur [
”Le Royaume des Cieux est au dedans de Vous”]. Je le répète : le « Coeur » n’est autre que le siège de la conscience, ou la conscience elle-même.
- Q. : Sur quoi devons-nous méditer ?
- M. : Qui est le méditant ? Posez-vous d’abord cette question. Soyez le méditant. Il n’y a pas besoin de méditer.
(Entretien 205 du 18-6-1936).
ON NE SORT PAS DE L’UNIVERS : NOUS SOMMES L’UNIVERS.
« Swâmi Râmakrishna, un disciple de longue date résidant à l’ashram, demanda au Maharshi le sens de Tvaiyârunâchala sarvam…, une strophe des Cinq Hymnes à Arunâchala.
Le Maharshi l’expliqua en détail en disant que l’Univers est comparable à une peinture sur une toile – la toile étant la colline rouge, Arunâchala. Ce qui s’élève et s’évanouit est fait de la même substance que ce d’où cela s’élève. La finalité de l’Univers est le dieu Arunâchala. En méditant sur Lui ou sur celui qui voit, le Soi, il se produit une vibration mentale, ‘je’, à laquelle tout est réduit.
Lorsqu’on remonte à la source du ‘je’, seul le ‘Je’-‘Je’ primordial subsiste ; et c’est inexprimable.
Le siège de la Réalisation est à l’intérieur et le chercheur ne peut pas le trouver comme un objet, extérieur à lui(3). Ce siège est la Félicité, le centre de tous les êtres. C’est pourquoi on l’appelle le Coeur. Le seul but utile de cette naissance présente est de se tourner vers l’intérieur et de le réaliser.
Il n’y a rien d’autre à faire ». (Entretien 219 du 30-6-1936).
« Ce qui apparaît et disparaît est le ‘je’ transitoire [l’ego]. Ce qui a ni origine ni fin est la conscience permanente du ‘Je’-‘Je’ ». (Ramana Maharshi, entretien 268 du 23-10-1936).
« Le ‘Je’ n’est pas connu dans le sommeil. Ce n’est qu’au réveil qu’il est perçu, associé avec le corps, le monde et le non-Soi en général. Ce « je associé » est appelé
aham-vritti. Et lorsque l
’aham ne représente que le Soi, on le nomme
aham-sphurana. C’est l’état naturel des
jnani [les Réalisés ou Libérés vivants] ; il est appelé
jnana par les jnani ou
bhakti par les bhakta [dévots]. Bien que cet état soit toujours présent, même pendant le sommeil, on n’arrive pas à s’en apercevoir. Il ne peut pas être connu pendant le sommeil
[d’où le problème de l’alternance jour-nuit depuis le CROQUE-POMME D’ÈVE OU ASSÈCHEMENT DES EAUX PRIMORDIALES] ; il doit être réalisé à l’état de veille. Il est notre vraie nature, sous-jacente aux trois états. Les efforts ne peuvent être faits qu’à l’état de
jâgrat (veille) et le Soi doit être réalisé ici et maintenant. Ce n’est qu’après que le chercheur comprendra et réalisera qu’il s’agit du Soi permanent, que ni le
jâgrat, ni le
svapna (le rêve), ni la
sushupti (le sommeil) ne peuvent interrompre. Cette expérience ininterrompue est donc l’
akhandâkâra-vritti. Là, le mot
vritti est utilisé faute d’une meilleure expression. Il ne faut pas l’entendre dans le sens littéral de vritti [mode du mental], sinon cette vritti ressemblerait à « une rivière semblable à l’océan ». La
vritti est de courte durée ; c’est la conscience qualifiée et dirigée ; ou la conscience absolue, troublée par des pensées, des sens, etc. La vritti est la fonction du mental, tandis que la conscience continue transcende le mental. C’est l’état naturel et primordial du jnani ou de l’être libéré. C’est l’expérience ininterrompue. Elle se produit dès que la conscience relative s’évanouit [la fameuse raison qui calcul tout]. L’
aham-vritti (la pensée ‘je’) est discontinue, alors que l’
ahamsphurana (la lumière du ‘Je’-‘Je’) est continue, ininterrompue [
sans le problème de l’alternance jour-nuit]. Quand toutes les pensées se sont dissipées, la Lumière resplendit ». (Ramana Maharshi, entretien 307 du 27-12-1936 ; 24 décembre, proche de Noël et du Nouveau Cycle des saisons).
SORTIR de l’Univers c’est aliéner les Personnes, c’est les diviser (les dividus, et non ”individu” qui signifie ”indivisible”, ce qui n’est pas le cas, puisque le ‘je’ ego du consommateur est limité par ce qui le différencie d’un autre consommateur, donc les DIVIDUS, le DIVISÉ par rapport à l’autre ou par rapport au supposé DEHORS : ce qui engendre le FAUX, L’UNIFORMITÉ, ET PAR LÀ MÊME ENGENDRE AUCUNE LIMITE : ON PEUT DIVISER SANS FIN UN DIVIDU TEL QU'IL EST : INDIFFÉRENCIÉ, INCLUSIVISME RELIGIEUX(5) OU FAUSSE ÉGALITÉ APPELÉE « RÉPUBLIQUE » : la bouillie de quantité, du chiffre, le chaos appelé ”ordre”, l’opinion la consommation ou le commerce).
Notes.
1.
RAPPEL : 11 septembre 2001, covidisme à ARN messagers, OGM et Monsanto et Bill Gateries et réchauffisme et transhumanisme, à y ajouter à cet été 2024 le récent singe qui aurait la variole, tous font la partie du PLAN énoncé maintes fois sur le site :
LE PLAN DE LA SORTIE DE L’UNIVERS, POUR FAIRE COMMERCE DANS LE DEDANS-DEHORS ÉVIDEMMENT.
AU CHOIX, OU BIEN :
- La victoire de ce monde Luciférien où toute évolution vers les Mondes Libres sera interrompue et il sera procréé à la place une évolution statique et artificielle, celle des Bill Gates et de l’Oligarchie judéo-protestante et judéo-maçonnique, dans le Minéral, le Végétal, l’Animal et l’Humain.
VICTOIRE DE CE MONDE LUCIFÉRIEN = LA VICTOIRE DES SPÉCIALISTES, par exemple les citoyens ou habitants des cités et du béton-acier-tôle-boulons ne savent plus cultiver la terre et n’en on surtout plus le temps parce qu’ils sont salariés ils délèguent cela aux spécialistes en OGM et en bouffe industrielle.
Votre ignorance fabrique les spécialistes : les voyeurs, ceux qui « savent » et qui vous vendent leurs services ou leur « savoir ».
Le winnerisme de ce monde Luciférien est celui de la SAISIE : les VOYEURS JUDÉO-MAÇONS SPÉCULATEURS QUI VEULENT « RÉTABLIR L’AUTHENTIQUE MÉTHODE DE PRONONCIATION [des consonnes J H V H), L’HOMME REJOIGNANT AINSI LE DIEU DONT IL EST ISSU, ET POUVANT PRONONCER LE MOT DANS TOUTE SA PUISSANCE POUR COMMANDER AUX FORCES LATENTES DANS SA PROPRE DIVINITÉ » (C.W. Leadbeater :
Rites mystiques antiques, une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, page 115). Ce dont parle ici de façon utilitaire le 33è degré judéo-maçonnique Leadbeater est bien-sûr du Soi…
- La Victoire de l’Unité Originelle, celle des Eaux Primordiales et du Soi ou Vraie Nature ; la Vraie Demeure du Sans Demeure.
L’actuelle victoire du monde Luciférien est celle de la dualité sujet-objet, la SAISIE PAR LE SUJET DE L’OBJET OU DU DEDANS VERS LE DEHORS, LA SORTIE DE L’UNIVERS, SOIT L’ATTRACTION
”UNIVERSELLE” OU GRAVITATION, LE PLOMB (bien plus importante que la fiction
”trou noir” supposant une
« SORTIE DE L’UNIVERS » pour y aller voir ailleurs….).
2. La Connaissance transcendante par le Principe du
’N’est pas X’ : revient à dire que les choses ne sont que des désignations, des pointages sur les choses, de simples imputations nominales (en tibétain :
tha-snyad), elles sont dépourvues d’être en et par soi, elles ne sont pas possédables par le mental, on ne doit pas en faire une valeur possédée.
Xiang est donc l’ensemble des manifestations qui se présentent au mental humain lors d’une concentration ou contemplation. X signifie : expérience particulière sur base d’indifférenciation, par le X, un état de Cour ou DISTANT, SANS LE PLOMB PESANTEUR. C’est comparable à un langage écrit qu’il faut voir défiler comme des nuages dans un ciel bleu. C’est-à-dire que tout doit être en APESANTEUR (sans loi de succion, sans Plomb-pesanteur, sans saisie). Il y aura alors CHANGEMENT DE PERSPECTIVE : QUI VOIT ? ET QUOI ?
3.
L’extérieur LÉ DÉMENCE DE CETTE ”CIVILISATION” humaine :
LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS.
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME
« FIN DES TEMPS » !].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu.
”Les triades ne sont que des apparences dans le temps et l’espace, tandis que la Réalité s’étend au-delà et derrière elles. Elles sont comme un mirage qui cache la Réalité. Elles proviennent de l’illusion [elle proviennent du ”Comme si”]” (Ramana Maharshi, entr. 28, 4-2-1935) ; jusqu’à la gloutonnerie spirituelle].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(
Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
L’INTROUVABLE DONC L’INNOMMABLE, LE TERRORISTE, L’EXCRÉMENT COMME DIEU SONT CACHÉS.
Ils sont introuvables pour la raison naturelle
que Nous sommes l’Univers et que la racine du
mal fait SORTIR de l’Univers comme pour l’examiner
et POUR-VOIR comment il fonctionne : ON SORT DU TROU
POUR EXAMINER LE TROU, et comme dans un Trou il
n’y a rien d’autre que le Trou : pas de Trou à voir.
POUR-VOIR OU POUVOIR SIGNIFIERA ALORS :
D’É-couvrir : augmentation de l’ego par l’opinion
ou le recouvrement de toutes choses par le MASQUE
LE RIDEAU DE SON EGO, CE SERA LA CHUTE :
SORTIR, DEHORS, SAISIR… ET TENTER D’AMÉLIORER
LA CONDITION HUMAINE…
TOUT EST FAIT POUR QUE LES MASSES S’ATTACHENT UNIQUEMENT À LA LETTRE OU À L’UTILITAIRE, À LA RAISON, CONFORMÉMENT À CE MONDE EN TRAIN DE SE DIGITALISER, DE SE NUMÉRISER.
C’EST CE MONDE DU SÉCURITAIRE TOTALITAIRE QUE VEULENT FABRIQUER LES CANCÉREUX DU POUVOIR, DONC INSTITUER CE MONDE D’ESCLAVES COMME BIEN ANNONCÉ DÉJÀ PAR LE
MATHNAWÎ.
LOI DE SUCCION DANS LE MATHNAWÎ, LIVRE CINQUIÈME 719-752 : « Un petit oiseau chassait un ver : un chat saisit cette occasion et s’en empara. L’oiseau était dévorant et chose dévorée, et, absorbé dans sa chasse, ne savait pas qu’il y avait un autre chasseur.
Bien que le voleur chasse des objets, cependant le chef de la police avec les ennemis du voleur sont sur ses traces.
Son mental est occupé avec les biens, les verrous, la porte : il est inconscient du préfet et du tumulte qui s’élève à l’aube. Il est absorbé par sa passion pour le gain qu’il ne prend pas garde à ceux qui le recherchent et le poursuivent.
Si l’herbage boit l’eau pure, ensuite l’estomac d’un animal s’en nourrira.
Cette herbe est dévorante et décorée : il en va ainsi pour toute chose qui existe, excepté Dieu. Étant donné qu’Il est Celui (dont il est dit) : Il vous nourrit et n’est pas nourri, Dieu n’est pas dévorant et dévoré, comme la chair et la peau.
Comment ce qui est dévorant et dévoré serait-il en sûreté contre ce qui dévore et qui réside dans une cachette ?
La sécurité de ceux qui sont susceptibles d’être dévorés traîne le deuil à sa suite ; va vers le Portail [le
« Gate gate pâragate… » ] de Celui qui n’est pas nourri.
Chaque imagination dévore une autre imagination [surtout dans cette tyrannie de l’opinion] : une pensée se nourrit d’une autre pensée. Tu ne peux être libéré de toute imagination ni t’endormir de façon à t’évader complètement. Tes pensées sont comme les frelons, et ton sommeil comme l’eau (dans laquelle tu es plongé) : quand tu t’éveilles, les frelons reviennent.
Et maintes imaginations pareilles à des frelons volent et t’emportent tantôt ici, tantôt là.
Cette imagination est la moindre de ceux qui dévorent : le Tout-Puissant connaît les autres [Zéro indien…]
Écoute, enfuis-toi loin de la troupe de tous ceux qui dévorent, vers Celui qui a dit : « Je suis ton protecteur » [équivalent de la Parole du Christ : « Qui perd sa vie la gagne »].
Ou vers celui qui a acquis ce pouvoir de protection, si tu ne peux te hâter vers le Protecteur Lui-même. […] Tu as pris pour guide ta raison qui est devenue infantile, étant voilée par le voisinage de l’âme charnelle [la tyrannie de l’opinion, l’égrégore du moment, surtout celui de la folie du sanitaire en 2020-X, celui du réchauffisme allant avec l’aliénation de l’économie tout azimut consommateur sous prétexte et à la suite du covidisme et du réchauffisme se poursuivant avec la
”guerre en Ukraine-Gaza”].
[…]
L’avidité pour la chasse fait oublier qu’on est soi-même une proie [le citoyen la proie de l’autre, la proie des élections et des virus, du politisme, de l’inflation économique fabriquée et des banques et de la SAISIE OU LOI DE SUCCION] : le chasseur s’efforce de gagner des cœurs [du consensus], alors qu’il a perdu le sien ».
4.
Kosha, enveloppe : « Le corps (annamaya-kosha) et ses fonctions ne sont pas le ‘Je’.
En poussant plus loin l’analyse, on découvre que le mental (
manomaya-kosha) et ses fonctions ne sont pas non plus le ‘Je’.
La prochaine étape conduit à la question : « D’où ces pensées s’élèvent-elles ? » Les pensées sont spontanées, superficielles ou analytiques. Elles opèrent dans l’intellect. Qui donc prend conscience d’elles ? C’est l’individu. L’existence des pensées, leurs claires perceptions et leurs opérations lui deviennent évidentes. L’analyse mène à la conclusion que l’individualité de la personne fonctionne en tant que connaisseur de l’existence des pensées et de leur succession. Cette individualité, c’est l’ego ou ce que les gens appellent ‘je’. Le vijnânamayakosha (l’intellect) n’est pas le vrai ‘Je’, il n’est que son enveloppe.
Si l’on pousse plus loin l’analyse on se demande : « Qui est ce ‘je’ ? D’où vient-il ? » Le ‘Je’ n’était pas conscient durant le sommeil profond. Mais dès que le ‘je’ apparaît, le sommeil profond se transforme en rêve ou en état de veille. Pour le moment, ne nous occupons pas du rêve. Qui suis-je actuellement, dans cet état de veille ? Si je tire mon origine de l’état de sommeil, le ‘je’ était alors recouvert par l’ignorance. Et un tel ‘je’ ignorant ne peut pas être ce que les Écritures prétendent qu’il est, et ce que les sages affirment. ‘Je’ suis au-delà même du sommeil. ‘Je’ dois exister maintenant et ici et être le même que celui que j’étais durant le sommeil et au cours des rêves, sans avoir été affecté par les qualités de ces états. ‘Je’ dois donc être le substrat non qualifié, sous-jacent à ces trois états (au-delà de l’
ânandamaya-kosha).
En bref, le ‘Je’ se situe au-delà de ces cinq enveloppes (kosha). Ce qui reste lorsque l’on a abandonné tout ce qui est « non-Soi » est le Soi,
sat-chit-ânanda (Être-Conscience-Félicité) ».
(Entretien 25 du 4-2-1935).
5. INCLUSIVISME RELIGIEUX OU MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN :
Depuis l’après 1789 français le MASQUE DE L’UNIVERSELLE EST LE MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN.
N’étant plus à même de connaître leur Soi, les êtres humains se trouvent livrés à une même Omnipotence indifférenciée, un monothéisme unilatéral républicain avec ses citoyenisés ou consommateurs qui vont cahin-caha en un
”vivre ensemble” maintenant indormatique sous la domination de l’industrie capitaliste de l’infirmatique (pas de faute !), qui forme ainsi une collectivité religieuse ou sociale. Alors il leur est facile de confondre leur Soi qu’ils ne connaissent pas depuis leur enfance, et de prétendre l’imposer à tous comme ça se passe actuellement. C’est ce monothéisme unilatéral républicain CRÉÉ DANS LES CROYANCES PAR L’OPINION par lequel passe une ”unité” totalement artificielle avec pour preuve des déluges permanents de conflits d’intérêts, et qu’ils vont appeler
”démocratie”. Ayant perdu sa Racine avec son Soi, chaque ‘moi’, chaque consommateur sera livré à une hypertrophie qui comme actuellement DÉGÉNÈRE EN IMPÉRIALISME RELIGIEUX APPELÉ
« RÉPUBLIQUE » ; la tâche n’est plus de faire que chacun s’unisse à son propre Soi, il ne s’agit que d’imposer à tous
« LE MÊME SOI » (les fameuses
”valeurs républicaines”).
C’EST UN TOTALITARISME, UN IMPÉRIALISME MODERNE (avec son socialisme, sa normalisation quasi religieuse copie du Christ, sa croyance en une
”liberté de pensée” appelée
”laïcité”, et enfin son conflit d’intérêts permanent appelée
”démocratie”).