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Ce monde des âmes usées monde a-musé Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 25-08-2024 09:04

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Anarchie, Archange Michel, Bolchevik, Carotte, Celtes, Conformité, Crime, Dieu, Dragon, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Dragon, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Guerre, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Histoire, Identitéfication, Intelligence artificielle, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Logibriquet, Logiquopinion, Marxengelsisme, Miviludisation, Nation, Noël, Or, Oxygène, Paix, Penser, Pierre, Pomme, Pont, Ptah, Racine du mal, Raison, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Temple, Temps, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vierge, Winner, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke, World Economic Forum, Xalemme

 
catholicite_taoicite1.png
 
 
Ce monde des âmes usées monde a-musé
qui se détourne de l’inspiration des
ESSENCES(1), monde dé-tourné qui ne
tourne plus rond car âme user,
monde de la distraction (racine du mal =
TIRER HORS DE, SAISIR).


ESSENCE : LA VIERGE NOIRE ET L’ENFANT DE LA MOISISSURE (Shiva-Vishnou-Putréfaction-Fermentation)
 
 
Il en est de même du capitalisme le
monde de l’AVOIR et se faire voir et
avoir, les saisies ou possession n’étant
jamais liées, dans aucun enseignement
authentique en Perce-Voir.
Avoir et être (le citoyenisme, le consommateur
ou usager) sont opposés au ”Reste tranquille et
sache que Je-Suis Dieu”
, et c’est ce monde du
POUR-VOIR : le SAVOIR (s’A-voir) est
nécessairement OPPOSÉ à la Connaissance.

”Reste tranquille et sache que Je-Suis Dieu”
EST LA VRAIE PAIX : ”Cette paix est votre état
naturel et permanent. Par une pratique assidue,
elle deviendra naturelle. C’est ce qu’on appelle
”le courant” [être dans ses pompes, dans son jus].
Cela est votre vraie nature” (Ramana Maharshi,
entretien 303 du 25-12-1936 : il n’y a pas
de hasard !!!).

En réseaux informatiques cela EMPIRE :
A-pprendre (saisir, posséder ne construisent
que des OPINIONS, des PENSÉES) n’entraîne pas
la Connaissance. Tel est pris, saisi, celui qui
CROYAIT a-pprendre, surtout si c’est ”apprendre
par cœur”
et l’intelligence artificielle construite
par les apprentis est de cet ordre.
CON-NAÎTRE = FIN DE LA DUALITÉ en triade
connaisseur-connu-connaissance. Rester libre
de pensées, chose combien de plus en plus
difficile maintenant !
Le COURANT, le JUS, provient de la RE-trouvaille
du Soi : la TRIADE non différenciée (entretien 303)


- Q. : Cela paraît impossible [de rester libre de pensées].
- M. : Mais c’est précisément l’état originel et éternel de tout le monde.
- Q. : On ne le perçoit pas dans notre vie active de tous les jours.
- M. : La vie de tous les jours n’est pas distincte de l’état éternel. Tant qu’on s’imagine que la vie quotidienne est différente de la vie spirituelle [cas de la LAÏCITÉ FRANÇAISE et mondialisé par la tyrannie du matérialisme], ces difficultés apparaissent. Si la vie spirituelle est comprise correctement, on découvre que la vie active n’est pas différente d’elle.
Le mental peut-il être atteint par le mental le recherchant comme un objet ? La source des fonctions mentales doit être cherchée et trouvée. C’est elle la Réalité.
On n’arrive pas à connaître le Soi à cause de l’interférence des pensées. Le Soi n’est réalisé que lorsque les pensées disparaissent [le scribe de la page souligne].
- Q. : « Parmi un million d’hommes, un seul poursuit la sâdhanâ [méthode spirituelle] jusqu’à l’accomplissement » (Bhagavad-gītā VII. 3).
- M. : « Chaque fois que le mental turbulent s’agite, ramène-le aussitôt et maintien-le sous contrôle… » (Bhagavad-gītā VI. 26). Et « voir le mental avec le mental » (manasâ mana âlokya), proclament les Upanishad [YKuU III.5 et YSiU VI.62, 63, 64].
- Q. : Le mental est-il un upâdhi (adjonction limitante) ?
- M. : Oui.
- Q. : Le monde visible (drishya) est-il réel (satya) ?
- M. : Il est aussi vrai que celui qui le voit (drashtâ, comme le temps qui coule dépend de celui qui le voit). Sujet, objet et perception forment la triade
(tripûti). Il y a une réalité au-delà de ces trois éléments. Eux apparaissent et disparaissent, tandis que la Vérité est éternelle.
- Q. : Cette tripûti-sambhâva (apparition de la triade) n’est que temporaire.
- M. : Oui. Si on reconnaît le Soi, même dans les choses temporelles, on constate que celles-ci n’ont pas d’existence ou plutôt qu’elles ne sont pas distinctes du Soi [le ’Je’] ; et en même temps, elles continuent d’exister.
(Entretien 376 du 21-3-1937).

Ainsi, CON-NAÎTRE = NAÎTRE AVEC, par émission de la Partie du TOUT, TAO, ESSENCES, Soi dans l’INSTANT hors de la tripûti même du consommateur, et non par racine du mal en un « bagage culturel ».
Au Moyen-Âge, les Fidèles d’Amour se disaient TROUVÈRES (voir le Trou, là où il n’y a rien à voir, pas de Pour-Voir mais un PERCE-VOIR hors de toute dualité spatio-temporelle).

« La vraie vie n'est pas de ce monde » (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 7 du 14-7-1971 à Aimé Michel). « Je pense que vous l'admettez, vous qui écriviez récemment dans la ”France Catholique” que le langage n'est pas nécessaire à la connaissance et que les mystiques le savent. L'étude donne le savoir, une forme, mais elle est incapable de conférer le « sens », qui est essence(1).

Sésame, le Cellier, le Vase-Vallée, dans Ali Baba et les 40 voleurs. (Non, ce n’est pas le QR code IDENTITÉ (voir l'encadré) ou la pass-sanitaire qui ouvre et donne accès !). Ce serait plutôt le phénomène actuel de l’INDISTINCTION, DE L’INCLUSIVISME, DU « VIVRE ENSEMBLE » SOCIALISTE-républicain : deux voleurs de la bande des 40 sont chargés par leur chef de découvrir la ville et la porte de la maison d’Ali Baba, qui y a entreposé leur trésor volé de voleurs, et de caractériser, ou ”numériser” la porte de la maison afin ensuite de récupérer le butin. Or si le deux voleurs identifient la ville d’Ali Baba, ils échouent ensuite, car à chaque fois qu’ils découvrent l’INSTANT ou le Ici et Maintenant, car ils n’ont trouvé aucun ailleurs qui permette de désigner absolument cet Instant ou Ici et Maintenant en tant que leur EST.
Les marques distinctives extérieures sur lesquelles ils comptaient (une croix sur la porte dont la servante d’Ali Baba annule l’effet d’identification ou de « numérisation » EN REPRODUISANT L’INDISTINCTION PAR COPIE DE CROIX SUR NOMBRE DE PORTES AVOISINANTES).
En effet, le fait de tracer des croix sur les portes va les SPÉCIALISER, LES RENDRE ARTIFICIELLES, VA LES IDENTIFIER, VA FAIRE COMME LES POSSÉDER, ces portes marqué en deviennent de artifice précisément PARCE QU’ELLES ÉTAIENT DES MARQUES AU DEHORS, DE FAUSSES SPÉCIALISATIONS, soit quelque chose INCAPABLE de signaler un ICI ET MAINTENANT quelconque pour finalement rester des portes ÉTRANGÈRES À N’IMPORTE QUEL ICI ET MAINTENANT.

Tel est l’effet de la spécialisation artificielle, les croix sur les portes, permettant la multiplication à l’infinie, PRÉCISÉMENT PARCE C’EST LA FAUSSE SPÉCIALISATION, LES MARQUES DISTINCTIVES SUR LES PORTES COMPARABLE À L’EFFET-ARTIFICE DU PEUPLE-ROI DU 1789 FRANÇAIS OÙ CHAQUE CITOYEN EST DEVENU LE ROI, LA CROIX, LA MARQUE DISTINCTIVE, LE SPÉCIALISTE, LA QUANTITÉ OU LES MARQUES DU DEHORS SERONT INCAPABLE DE SIGNALER UN ICI EN TANT QUE TEL POUR DEMEURER NÉCESSAIREMENT DEHORS À L’INSTANT, DEHORS À L’ICI, DONC AILLEURS, DANS UN BROUILLARD SOCIAL DE CETTE INDISTINCTION À L’HORIZONTAL POSSESSIF.

Les spécialistes ou les portes marquées d’une croix chez Ali Baba, L’IDENTIFICATION, LA NUMÉRISATION INFORMATIQUE, illustrent LA STÉRILITÉ DE LA CHOSE POSSÉDÉE, car le Seul Réel pour être SINGULARITÉ, IDIOTÈS, pour être sans double, sans croix sur une porte, demeure réfractaire à toute entreprise de saisie ou d’identification. Et cette stérilité de tout identifier, tout saisir et contrôler fabrique le cas actuel de celle civilisation transformant les êtres humains en ZOMBIS : PRIVÉS D’EUX-MÊMES, comme dans le film de Don Siegel, The Body Snatchers : les humains seront transmutés NON PAS PAR LE DEHORS, et par un virus ou quelques méchants ”vaccins” de Big Pharma, MAIS PIRE : PAR UN INCOMPRÉHENSIBLE « DEVENIR AUTRE », DONC ALIÉNÉ, qui ne s’effectue pas en une quelconque dialectique historique matérialiste, MAIS DE FAÇON TOUTE NATURELLE SANS INSTANCE DU DEHORS, PAR UN IRRÉSISTIBLE PROCESSUS DE DUPLICATION QUI S’EMPARE DES HUMAINS EN LES TRANSMUTANT EN JUMEAUX D’EUX-MÊMES, SOIT UNE ZOMBIFICATION DES HUMAINS LES RENDANT ALIÉNÉS, PRIVÉS D’EUX-MÊMES, SOUMIS AU DEHORS.

Cette IMPOSSIBILITÉ DE RECONNAÎTRE LE MENTAL PAR LE MENTAL SANS TOMBER DANS LA COPIE  LE DEDANS-DEHORS (2) illustre le fait que l’Ici est incompatible avec l’Ailleurs, le Dehors ; l’Ailleurs, le Dehors est seulement un repère, un FAUX par rapport à l’Ici ou Instant, comme le Dehors ou l’autre, le social donc, est insuffisant comme soutient, comme repère du même, d’où la racine du mal (2).

C’est encore la Stance 17,31-33 de Nagarjuna : « De même que le Maître [le jnani ou Libéré vivant] par son pouvoir miraculeux [le Zéro Indien], crée un être magique [Adam par exemple, ou un big bang] et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre [le ”Croissez et multipliez” le PÉCHÉ DE VIVRE tel le FRUIT) à son tour, de même que l’agent se présente comme un être magique, et l’acte accompli par lui est comme un deuxième être magique créé par le premier [une copie, un socialisme, une fractale].
Passions, actes, agents, fruits ressemblent à une ville de génies célestes, sont pareils à un mirage, à un songe ».
De ce fait, Dieu et l’homme sont du domaine du ”COMME SI”, du domaine du GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT.

Pour le CELLIER (symbole de ce que l’on cache, ce que l’on met à l’abri de, symbole de la caverne aux trésors ou celle l’Ali Baba), C’EST LE SYMBOLE DE LA RÉALISATION DU Soi, le symbole de la PUTRÉFACTION-RENONCEMENT, LA DÉPOSSESSION DONC. CELLIER : LA VRAIE DEMEURE DU SANS DEMEURE :
食 shi : manger, nourriture, éclipse ; et 柜 gui : armoire, coffre.
Pour le CELLIER voir le complément sur les deux pages : Sésame, le Cellier, le Vase-Vallée. 1ère partie.

Pour enterrer Sarah, Abraham demanda un CELLIER situé au milieu d’un champ et destiné a emmagasiner les fruits de ce champ (pommes, olives), macération ou PUTRÉFACTION des fruits. MORT = champ et macération. Abraham achète son cellier et le champ à Oprun (Héphron, fils de TSHR (Tsohar) : qui signifie ”soleil réduit en poussière” : soleil à minuit, ayant pour père Tsohar [le Blanc de l’Instant] ou soleil au-dessus de l’horizon).
Les fruits du cellier étaient essentiellement des POMMES, dont on fait du CIDRE.

CELLIER, TOMBEAUX = LE MYSTÈRE DE LA RÉSURRECTION : « LA VRAIE VIE N’EST PAS DE CE MONDE ».
CELLIER, TOMBEAUX = LE CONTRAIRE DES BAGAGES CULTURELS.

Chez les Anciens Égyptiens, la résurrection n’APPARTENAIT QU’AUX RICHES : l’embaumement conservateur coûtait fort cher ; la résurrection était donc réservé à une classe aristocratique.
Au CONTRAIRE, les peuples qui enterraient leurs morts dans des celliers rendaient les dépouilles à la Nature PAR PUTRÉFACTION dans un symbolisme identique au soleil que les peuples voyaient chaque jour plonger dans l’Océan, pour PTAH-RENAÎTRE-OSIRIS-CHRIST par ce BAPTÊME QUOTIDIEN.
Les Anciens Egyptiens POSSÉDAIENT, CONSERVAIENT (voie sèche : froid-sec : congélation : Perséphone).
D’autres peuples RENDAIENT, SE DÉPOSSÉDAIENT (voie humide : chaud-ferment-dispersion : Déméter et germination).
Le Moïse de l’Exode appartient à cette voie humide et chaude.
Chez les Étrusques leur ”Moïse” était MVS, représenté sous la figure d’un rat (mus), disputant l’âme, sous la forme d’une miette (la psyché) à une tourterelle qui est la Déesse Turan (la Mort), ce qui rappelle la fable le Renard et le Corbeau : la Mort tantôt figurée sous la forme d’un bel éphèbe jouant de la lyre au fond de l’Hadès ; chez les Étrusques il a la forme d’une TOUPIE, une POIRE dont la pointe est le pôle arctique : C’EST LE CHICOT :
GATE GATE ou Transparence : « avoir le ”chic” », dit une expression populaire, ou « Chic, chouette ! » (la chouette, oiseau nocturne en relation avec la lune, et encore à ce hui divinité de la mort, aussi cette expression ”chouette” inconsciemment doit faire référence au SURFEU OU VÉRITABLE ÉTAT D’ÊTRE : la nature des choses consiste en les choses et en elles seules : LEUR ESSENCE) ; avoir le chic ou avoir la transparence, la facilité, la liberté, être en harmonie avec ce qu’il convient. Bref, chic renvoie à l’Amour, à la Gratuité, à la Félicité naturelle, au Soi. Le français du Moyen-Âge dit : chiche : 1175, du bas grec kikkon, au figuré : un rien. Chiche : avare, le fait d’être chiche ; un chiche-face était un homme maigre et avare. Un chicot est une pointe. Son radical est en catalan xix, qui se prononce ”tchiche”, en auvergnat ”tches” ou ”tchet”, et répond au vieux français mie ou rien. De là l’espagnole chiquito (petit) ; l’auvergnat chétit et le français chiche ; en grec kyklos (pépin).
NOUS RETROUVONS TOUJOURS LE ZÉRO INDIEN : LA POINTE DU ”UN POINT C’EST TOUT”, LE CENTRUM CENTRI, le Soi, le TAO, le TROU, LE CENTRE NULLE PART, le GATE GATE.
Dans le politisme étatique ici bas, le TROU, le GATE GATE ou PASSEUR sera le PHARAON (dans l’Ancien Testament) ; le Boréas des Grecs ; le Boruo ou Bormo Dieu gaulois des sources chaudes (à l’origine des BOURBON, remonte à la racine bher(u) : point d’eau, gr. phréar : puits, lat. feruere (bouillonner), v.h-allemand : brunno (source) ; le ROI, et actuellement le ”Président de la République”, et pour les catholiques à y ajouter le PAPE, lui aussi un PASSEUR….
ZÉRO INDIEN = CROÎTRE, ENFANT, EMBRYON solaire. C’EST SHIVA-VISHNOU : Putréfaction-fermentation (voie humide) et VISHNOU la conservation la voie sèche comme celle de l’embaumement…

PUTRÉFACTION-RENONCEMENT = MOISISSURE
FLEUR D’OR : Putréfaction/Moisissure
CHAMPIGNON : LEVURE / MOISISSURE.
Organismes/organisations végétales sans
Chlorophylle. Bactérie.
Levure : genre de champignon.
Moisissure (en rapport avec le Salpêtre
ou Sel de Pierre) : c’est ce qui est souvent
AVANT la Putréfaction/Décomposition.
Pour le Fermentation, ce sont les Enzymes
(dans le Levain. Ferments produit par les
cellules qui labourent).
Alcool du vin + oxygène = acide acétique
(favorisé par une levure ou champignon
microscopique).
(Suite sur la page : FLEUR D’OR)

PÉPIN, FLEUR D’OR = L’INSTANT, L’INSAISISSABLE, LE GRIFFON, LE CARABAS, LE GATE GATE OU FOND DE L’ÂBIME QUI N’A POINT DE FOND COMME LA FOSSE QUI N’A POINT D’EAU : « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore », dit la Devise alchimique. Donc, ON NE TOUCHE JAMAIS LE FOND !

Les premiers humains qui adorèrent le soleil et en découvrir le feu vulgaire SE SONT DONC TROMPÉS. Car le Soleil ou Christ représente L’ÂME DU MONDE : le Soleil dépouillé de ses vêtements de la Nuit remonte NU ou VIERGE dans le ciel, mais il est attrapé par le NOIR de la FOSSE où il n’y a point d’eau : le SURFEU, et remit dans la prison de l’Hadès, où on lui fait épouser la fille du Noir de la Fosse : la Mort-Surfeu, alors il devient ”Premier Ministre” de la Demeure(3). Moïse sera une mouture politiste du PASSEUR, celui qui fait passer le Gate Gate pour le ramener au CIEL ANTÉRIEUR : LE ROYAUME DES CIEUX EST EN VOUS, sorte d’ANUBIS. Mais le Passeur NE SAIT PAS si son disciple a réalisé ou non le Soi, SEUL le Réalisé le sait, et c’est indescriptible ou indémontrable pour le DEHORS…… (« Dès que l’encre est séché, nos formules [ou lois] sont fausses » disent les Anciens Chinois de l’École du Dhyâna : contemplation).
Chez les Anciens au temps du MATRIARCAT, le Soleil était féminin : les trois religions abrahamistes ont effacées les cultes Païens à la Mère Divine (Androgyne) en qualifiant ses représentants de « prostitués », d’idolâtres, ce qui va se traduire dans l’organisation sociale par le passage du matriarcat au patriarcat et ensuite inévitablement au capitalisme et à la hiérarchie pyramidale en dualité winners des patrons et losers salariés ou ”collaborateurs-losers” des winners, bien que dans la fièvre capitaliste inclusiviste il lui faille aussi des ”patronnes”, des winnistes.


En haut de page : Gallu (puissance en gaulois) et Touta (les peuples) tous enfants de la MOISISSURE, ENFANT DU CELLIER ET DE LA PUTRÉFACTION, ENFANT DU SURFEU QUI LIQUÉFIE. LE GATE GATE PAR ROYAUMES OU COULEURS DE LA PUTRÉFACTION ET RÉGÉNÉRATION PAR LA FERMENTATION.
LE GATE GATE ICI-BAS = LA PORTE DU SILENCE : LE ’N’EST PAS X’, LE DÉPOUILLEMENT DES OS, LE TROU 口 kôu bouche, entrée, passe, ouverture, trou. C’est étrangement illustré au propre et au figuré dans la série tété Stargate SG1 par L’EAU au centre de la Stargate : les êtres TRANSMUTÉS SONT TOUS ISSUS DU PASSAGE PAR L’ÉCUME ET LA FANGE-BOUE-POUSSIÈRE (Adam), DONC DES EAUX PRIMORDIALES, ils sont alors INTEMPORELS PAR LE PROCÉDÉ DE PUTRÉFACTION SPEEDÈ ! Sur l’anneau se trouve des chevrons : il pourrait y en avoir 7 comme les couleurs de l’Arc-en-Ciel…. et sept phases…… La Stargate du Gate Gate de la série télé est donc la VOIE HUMIDE-CHAUD-DISPERSION : la VOIE DE SHIVA-VISHNOU. Le VERBUM SE CRÉÉ DONC SUR UN PRINCIPE HUMIDE (page 240, Isis Dévoilée. Vol 2. Part 1. H.P. Blavatsky, et Genèse 1,2. Atoum Dieu chtonien des Égyptiens, surgi de l’Océan Primordial est proche du TAO).
Dans le Grand Jeu du Faire Semblant, la Porte des Étoiles a apparement résolu le dilemme du Moi-Individuel/Moi-Collectif, puisque plusieurs personnes passent en même temps la porte, et à l’”arrivée” ils ne sont pas mélangés mais ”redeviennent chacun eux-mêmes”… Ces voyageurs spatio-temporels sont donc LES ENFANTS DE LA MOISISSURE.
HUMIDE = CE QUI RÉSOUT. Et le SEC attire l’Humide…. L’eau coule vers ce qui est humide et le feu coule vers ce qui est sec (Yi-King).
Le chaud et le sec = le Feu et l’Air : sperme Masculin.
L’humide et le froid = l’Eau et la Terre : sperme Féminin. (Réf. Bernard le Trévisan).

- ATOUM = HUMIDE.
- CHOU = SEC (les 2 lions de Léontopolis. Le Vide ou l’R qui sépare Nout et Geb la Terre : c’est le VAN-VENT(1), le ”Vent de Dieu” à Genèse 1,2.
VOIE HUMIDE, lecture/écriture FLUIDE. (L’humide DISPERSE)
VOIE SÈCHE, ou courte, lecture/écriture PONCTUELLE ou en OPPOSITION. Labeur au creuset. (Creuset : petit creux et aussi [CROISEL] ou lampe à quatre lobes rappelant la forme de la Croix !). Labeur en un TEMPS HACHÉ/PONCTUEL, notion de synchronisme/simultanéité. (Le sec RESSERRE)
 
Ici-bas le lieu de la Putréfaction, LE LIEU DU CACA SONT LES ENTRAILLES, LE VENTRE LUMINEUX : RÉALISER LE Soi.
En Taoïcité il s’agit de « rendre le ventre lumineux », une variante de la Nourriture Prânique consistant à absorber de la mousse ou de la Rosée du matin parce qu’elles sont censées rendre la vue claire (sens de connaissance), et de l’herbe qui éclaire les démons et rend le ventre lumineux.
Dans le Jardin des Hespérides les Pommes sont typiquement un éclairage des viscères : ceux qui sont ainsi éclairés n’ont plus jamais faim, n’ont jamais de douleurs et de maladies, et ces Pommiers poussent tout le temps.
« Éclairer les viscères » désigne aussi la méditation, les exercices du souffle. « Parmi les bienfaits qu’apportent les techniques de méditation, les textes promettent couramment une vision lumineuse et des yeux perçants : plus les yeux sont brillants, plus ils éclairent, et si on tourne alors le regard à l’intérieur, ils permettent de voir les entrailles.
Le Taoïste doit se voir soi-même, être à soi-même son propre miroir ; il se replie, se retourne sur lui-même pour se voir en sa forme de lumière [le Soi], forme divine, corps habité pas des Dieux [les organes] », écrit Isabelle Robinet dans : Méditation Taoïste, chapitre Le Livre de la Cour Jaune, et définissant par là le Thème de la Réalisation du Soi, comme l’expose aussi les écrits taoïstes du Secret de la Fleur d’Or.

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Viscères vus côté gauche (Sieou tchen che chou, k.18 - Tao tsang 125)

« Si les viscères sont gâtés, les esprits s’en vont », prévient Ho-chang kong ; bref, on pète ! On s’A-muse ! Lao-tseu écrivait qu’il fallait remplir le ventre et vider le cœur, donc approche contradictoire par rapport à Ézéchiel (ci-dessous) ! Bref, les viscères sont un trésor : LE CELLIER, LA CAVERNE D’ALI BABA,  PAO (sens de trésor, de préserver).
Pour Ézéchiel : ”Le cœur qui mérité notre attention est de la nature de la pure Conscience. À la fois dedans et dehors, il ne se situe ni dedans ni dehors” (Yoga Vasistha, YV V, 78-79). Ézéchiel serait de la VOIE SECHE…
CERVEAU-MENTAL-INTESTINS : LA VOIE DE L’EMPOISONNEMENT-PUTRÉFACTION L'INNOMMABLE : l’intestin, grêle ou gros, est en médecine chinoise un dynamisme cosmique et les viscères ne sont donc pas a purifier à coups de clystères !
DÉPÈCEMENT-PUTRÉFACTION SHIVA-VISHNOU RESTRUCTURATION D’UN ÊTRE OU D’UN MONDE EST LE TIC-TAC du Soi, le TIC TAC de PANique.
L’intestin sera le CREUSET-CROISEL…..
Genèse 1,2 : ”Un vent de Dieu tournoyait sur les Eaux” : la pestilence, les excréments attirent les mouches et des oiseaux dont les pigeons ! Comme l’INNOMMABLE, l’EXCRÉMENT, la FANGE, LE FLÉAU : est ”sale” ou ”innommable” donc insaisissable, NON-IDENTIFIÉ, ce qui indique nécessairement QUE LE PÉCHE DE VIVRE EST LE PÉCHÉ ORIGINEL : ÈVE ET SON ADAM DE BOUE-ADN SONT ÉJECTÉS DU JARDIN PUISQU’ILS DEVIENNENT « NOMMABLE », IDENTIFIABLES, DONC HABILLÉS : ILS DÉCOUVRENT QU’ILS SONT NUS et de cette prise de conscience se colle chacun une large feuille d’une plante à l’endroit de leur sexe. Le ”Réel” ou la ”Vie” est donc ce qui est SAISISSABLE, EN POUR-VOIR ET C’EST LE PÉCHÉ : TOUTES CHOSES DU RÉEL PARTICIPENT DU « CECI », de nos jours le ”ceci” c’est la NUMÉRISATION, LA SAISIE INFORMATIQUE : LA NUMÉRISATION DU MONDE ! LE DÉSIR DE VIVRE : LA VIE ÉTANT DEVENU UN CHÂTIMENT, UN EXIL.
OSIRIS LE VERT DÉCOUPÉ EN MORCEAUX C’EST LE VAN-HYLÉ, la Flamme froide : HYLÉ : bois, forêt, mais aussi mondes manifestés :
1) Latent (vierge froide ou noire)
2) Réveillé (Mère) d’où sortit la Matière.
Flamme froide ou Chaleur cosmique ou FOHAT : électricité intelligente ou “électricité cérébrale”. Fohat (Yin-Yang) est le lien entre Esprit et Matière qui électrifie l’atome et lui donne vie. Fohat est la Lumière du Logos (Verbum). (Réf. La Doctrine Secrète. Tome 1, page 60, H.P. Blavatsky).

RÉSUMÉ : Ce qui n’est pas le FLÉAU, ce qui n’est pas « l’innommable » ou le « terroriste », ce sera CROQUER LA POMME : NOMMER, POSSÉDER, ACQUÉRIR DES CONNAISSANCES-IDENTIFICATIONS : PRINCIPE DU VAGABONDAGE MENTAL PARADOXAL QUI TOURNE DANS LE LABYRINTHE SANS FOND TOUT EN RÊVANT D’EN SORTIR (par sa raison purificatrice…).
Et « l’intelligence artificielle » création adamique s’il en est, est nécessairement LE PÉCHÉ DE VIVRE (mieux : sans se casser le cul, ”gagner du temps”). C’est donc L’EXIL AUGMENTÉ par les machines des industries du capitalisme, qui se feront un business monstrueux, avec leurs ”engrenages” en nano-trucs.

OSIRIS LE VERT DÉCOUPÉ EN MORCEAUX ET RESSUSCITÉ SERA DONC : CE QUI EST VIDÉ, NETTOYÉ COMME LES INTESTINS VIDÉS, ou TERMINÉ EN POINTE, comme le PRINTEMPS RENOUVELÉ : « SE METTRE AU VERT », COMME L’ÉPÉE, comme celle fichée dans une roche, et dont la garde représentait Shiva-Vishnou……
OSIRIS RESSUSCITÉ PAR LES EAUX DES DEUX PLEUREUSES : ISIS-NEPHTYS.
Le PASSEUR OU GURU SERA LE POISSON QUI AVALE LE PÉNIS D’OSIRIS : SEC-HUMIDE : le pénis du cadavre est sec ou la graine est sèche il lui faut de l’EAU. La mort, le FLÉAU, l’INSAISISSABLE est donc le SURFEU DU SANS COMMENCEMENT NI FIN, Y COMPRIS AU NIVEAU DES UNIVERS SUCCESSIFS ET, OU FORCÉMENT UNIVERS ”SUPERPOSÉS”.
OSIRIS = LA STARGATE de la sérié télé : Les intestins-coffre-caverne ; la Putréfaction-Fermentation ou Shiva le destructeur : on passe les EAUX de la porte ; reconstitution d’Osiris mais transmuté au sortir DU BAPTÊME de la porte : Osiris est désormais sans commencement ni fin, le spatio-temporel n’a jamais existé, c’était une simple opinion, une pensée.
 
Notes.
1. ESSENCE : dans le sens par exemple du principe de l’outil appelé tour : déplacer un outil coupant sur une pièce qui tourne, produisant des copeaux. N’existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe SERAIT, Essence éternelle du tour ; mais ce qui ne serait pas, c’est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe ou Essence : l’ex-istant. Un tour ne peut engendrer son principe, ni aucun machine, même construite par un transhumaniste : la recherche ou le bricolage peuvent éveiller l’idée d’un principe, elles ne le créent pas.…. Quand un humain découvre un principe, c’est qu’il le portait déjà en lui, comme une plaque photographique non révélée, dans les structures intimes de son être.

ESSENCE: ce qui existe de toute éternité à l’état latent, en Vraie Télépathie, et qu’on a appris à connaître au fur et à mesure de l’évolution de notre cerveau. Ce qui n’a pas l’Essence ne peut produire l’Essence. « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle - ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».
Comme tout est conscience, y compris les objets ou le monde extérieur, et qu’il n’y a pas de conscience sans un monde ou sans des objets extérieurs, RESTE À RE-TROUVER CE QUI EST ESSENCE OU CONSCIENCE INFINIE SEULEMENT (à retrouver par le « QUI SUIS-JE ? »).
Le mot « Essence » peut se définir à travers l’entretien 363 du 20-2-1937 de Ramana Maharshi, le guide : « Par « guides spirituels », nous entendons ceux qui sont « spirituels » [entre guillemets parce que ce mot est un fourre-tout] par opposition à ceux qui sont « matériels ». L’Esprit est illimité et sans forme. Il en est de même du centre spirituel. Il n’y a qu’un seul centre de cette sorte. Que ce soit en Occident ou en Orient, il ne peut être différent ; ni être localisé d’aucune manière. Étant illimité, il inclut les guides, les hommes, le monde, les forces de destruction et de construction. Il n’y a pas de distinction. Vous parlez d’établir des contacts parce que vous pensez que les guides spirituels sont des êtres incarnés. Mais les hommes spirituels ne sont pas des corps ; ils n’ont pas conscience de leur corps. Ils ne sont qu’esprit, sans limite et sans forme. Ils sont toujours en unité entre eux et avec tous les autres ; bien plus, ils englobent tout.
L’Esprit est le Soi. Si le Soi est réalisé, ces questions ne peuvent pas s’élever ».

ESSENCE = CE QUE NE PEUT JAMAIS ÊTRE ILLUSOIRE, PARCE QUE LA SEULE RÉALITÉ.
« Le Soi ne peut jamais être illusoire. Il est la seule Réalité. Ce qui apparaît doit également disparaître, ce n’est pas permanent. Le Soi n’apparaît jamais et ne disparaît jamais, il est donc permanent ». (Entretien 363).

UN PHÉNOMÈNE NE PEUT EN EXAMINER UN AUTRE ;
soit une forme donnée que l’on voit apparaître dans un clair miroir en pensant que l’on voit une image. La forme et l’apparence de son reflet se manifestent comme deux choses différentes. De même en est-il pour la pensée ainsi produite et pour l’objet de recueillement (saisie) appelé « reflet », ou « image » : ils nous apparaissent comme des objets différents. Bref, ces images ne sont que des pensées et rien de plus.

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COMPARABLE AU TROU : dans un Trou, il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas le Trou à voir. Le sujet qui réalise le Soi ne voit pas sa propre forme ou Vraie Nature, laquelle étant sans double, DEMEURE RÉFRACTAIRE À TOUTE ENTREPRISE D’IDENTIFICATION OU DE LOI DE SUCCION : LE POUR-VOIR, LA SAISIE. Mais si le sujet ne peut voir sa propre forme comme le mental ne peut se voir lui-même, est LUI-MÊME MIROIR DIVIN, LA MANIFESTATION DU SOI, et dans cette « Forme-Miroir-Divin » il re-connaît sa Vraie nature : il ne voit pas Dieu en son Essence : la réponse donnée à Moïse est éternelle : « Tu ne me verras pas » (Lan tarânî). De même il en est dans le miroir matériel : en contemplant sa forme, le sujet ne voit pas le miroir, idem avec le film déroulant ses images sur l’écran : on regarde le film, on ne regarde pas l’écran : on ne peut regarder à la fois l’écran et les images défilantes du film, comme on ne peut regarder à la fois l’image qui apparaît dans le miroir et le corps du miroir lui-même. Et c’est une définition de l’Essence.

LE TROU : LÀ OÙ L’ON ENTRE SANS ENTRER (comme l’absence d’espace-temps) CE NE PEUT QU’ÊTRE L’IMPÉNÉTRABLE, L’INSAISISSABLE.

2. - Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)

3. PERCE-VOIR EST UNE ÉTAPE, NON UNE FIN.
POUR-VOIR EST UNE « FIN DES TEMPS », UNE SAISIE, UNE COAGULATION, UNE THÉOTECHNOLOGIE.
PERCE-VOIR = CONTEMPLATION, mais comme de tout : NE PAS COAGULER, NE PAS S’Y ATTARDER, NE PAS POSSÉDER ! Peu importe le SEL ou RÉSULTAT : IL FAUT LAISSER COULER EN GATE GATE : NE PAS ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT.

En devenant ”Premier Ministre” il tombait effectivement dans l’Hadès : L’ORGANISATION.
 
 

Dernière mise à jour : 25-08-2024 10:19

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