Ecrit par Sechy,
le 09-10-2024 07:29
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FIN de la dualité et Vraie PAIX
par la ré-AL-I-sation du Vrai SOL(R)
le Sol-I-Terre (2) et non le faux soleil de
la thermodynamique qui cuisine-métallurgie.
Page dédiée à la Trinité de l’Un inconnaissable dont le Djed est le Verbe d’Amon-Ré-Ptah proche de Gabriel-Michel-Raphaël (Gabriel-Aigle, Michel-Lion, Raphaël-Dragon). (Djed = la PASSE, le Seuil, l’Insaisissable, la Vibration du Silence. Le Seuil est par essence INTOUCHABLE).
Bienvenue dans le ‘Je’ Héliocentrique (SOL-R de Sol-I-Terre (2)) de l’Uni-ver-s et Un-I vers-EL comme dans le Géocentrique (Terre et Géo : j’ai O) et pour la fin de la dualité.
L’INSURMONTABLE DIVISION OU DUALITÉ :
EUX-NOUS.
« Nous sommes le peuple éternel. Un peuple qui se bat pour apporter la lumière à ce monde et éradiquer le mal », énoncé par un Yahviste récent depuis la réception de sa branlé du 7 octobre 2023, et dans la même logique de la ”lumière” du Peuple élu, un autre winner yahviste : Elie Wiesel, énonçait à Kansas City en 1970 (4) : « Il y a un État, et il est différent de tous les autres [puisqu’il est ”élu”, il est le ”Peuple-Prêtres]. Il est juif, et pour cela il est plus humain que n’importe quel autre ».
C’est donc du racisme, de la division WINNER-LOSER.
C’est la logique du MESSIANISME où le messie a pour preuve de son efficacité que la VRAIE PAIX OU LE SALUT NE DOIT JAMAIS SE PRODUIRE : LA LUMIÈRE OU L’OPINION DOIT DEMEURER CELLE DU DEHORS, CELLE DE L’AUTRE(1), comme la lumière du ”Vivre ensemble”(2). Le messianisme c’est le moteur pour faire avancer l’âne : une carotte est attachée à distance de sa tête ; si par accident il arrive à manger la carotte, ou si le messie arrive, l’âne n’avance plus, le moteur est cassé, il faudra une nouvelle carotte ou reverser de l’essence, ou recharger la batterie par une nouvelle carotte ou par un nouveau messie.
Le judaïsme est la parfaite dualité en forme du ”mercianisme” (la merci de l’autre et la soumission au dire ”merci” fausse spiritualité et hypocrisie du ”Vivre ensemble”) où la lumière doit demeurer le privilège de l’AUTRE, du DEHORS ; LE JUDAÏSME EST LE CONTRAIRE DU COURANT DE RAMANA MAHARSHI LE CONTRAIRE DE LA NON-DUALITÉ.
EXISTER SEULEMENT PAR LA LUMIÈRE DE L’AUTRE C’EST ÊTRE CONDITIONNÉ, ET ÇA S’APELLE L’”IDENTIFICATION”, DANS LA LOGIQUE DU DÉMIURGE DES HÉBREUX-JUIFS.
Si bien que le judaïsme peut effectivement devenir LE ROI DU COMMERCE DES NOMS-LES-FORMES ET DE LA RÉPUBLIQUE ET ”OFFRIR” SES ”SERVICES” PAR LA CRÉATION DE BESOINS : LES PROJECTIONS en CHAINES SANS FIN DE CAUSES ET D’EFFETS, DES AVENIRS COMME LE ’ISME’ DE LA ”FIN DES TEMPS”, donc la CAROTTE pour faire avancer l’âne, le consommateur, ils sont des moteurs-objets ou des autorités pouvant en tout confort affirmer une fin des temps ou du monde (un ”réchauffement climatique”) qui demeurera sans effet sur le cours du monde, affirmer une extinction inéluctable de toutes choses qui ne compromettra rien dans l’Instant d’aucun nom-la-forme en particulier !
L’industrie juive de la souffrance depuis l’épisode du cloué : Jésus-Christ, sera une excellente création du besoins et de faire des affaires par la création de banques, accompagnée avec cette machinerie temporelle, mémorielle, historique en HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui-Coule), accompagnée de la machinerie du ”Plus jamais ça”, c’est-à-dire : TOUJOURS, en vertu du messie qui ne doit jamais arriver : la souffrance, le sentiment, la pleurniche doivent donc être entretenues en permanence !
Pleurer les morts c’est les faire mourir deux fois et ne pas les respecter (5).
RAPPEL : les ravages de ce monde proviennent essentiellement de LA SAISIE : L’IDENTITÉ. Horreur de la dualité sujet-objet : le sujet sera LE MÊME et l’objet sera L’AUTRE (1) ou le SOCIAL (2) ; le Sujet appartient au Soi ou Réel, l’objet est l’irréel qui sert de commerce (le ”COMME SI”, le GRAND JEU DU FAIRE SEMBLANT).
L’identité du Réel ne se donner à ENTRE-voir que par le FAUX, le ”COMME SI”, LA BALANCE ENTRE CECI ET CELA DONC LE FLÉAU DE LA BALANCE SERA LE RÉEL OU LE CENTRE QUI EST NULLE PART MAIS SANS LE FLÉAU; LA CIRCONFÉRENCE OU LES DEUX PLATEAUX DE LA BALANCE N’EXISTENT PAS. LE FLÉAU représente alors L’IDENTITÉ EN SOUFFRANCE, en attende du la ”Foudre du Fléau”.
L’identité C’EST L’AUTRE : CELUI QUI JUGE, L’OPINION QU JUGE OU IDENTIFIE, SAISIE LE DIVIDU (L’UNique).
Il n’y a pas à « chercher » le Soi (ou la Libération) : « “Vous êtes le Soi, nous dit-il [Ramana Maharshi], rien que le Soi ; tout le reste n’est qu’imagination, alors soyez le Soi ici et maintenant. Il n’est pas nécessaire de se retirer dans une forêt ou de s’enfermer dans une chambre ; poursuivez vos activités essentielles, mais libérez-vous de l’association avec leur auteur. Le Soi est le témoin, vous êtes Cela”. (Major A.W. Chadwick, Anglais arrivé à Tiruvannâmalai en 1935 et proche disciple du Maharshi ayant vécu à l’ashram jusqu’à sa mort en 1962, dans la préface de l’enseignement ou entretiens de Ramana Maharshi).
Et dans l’entretien 159 du 12-2-1936 : « Vous êtes toujours dans le Soi – maintenant, en transe, en sommeil profond ou en état de Réalisation. Si vous lâchez le Soi et vous identifiez avec le corps ou le mental, ces états semblent s’emparer de vous et cela ressemble au vide de la transe, etc. ; alors que vous êtes le Soi et que vous êtes éternellement présent ». Voir aussi l a note 3.
Identification au corps et forcément aux noms-les-formes ou puissances de la matière.
Ptah-Archange Michel de la "Guerre dans les Cieux”.
« Si on désire rester dans un état libre de pensées, le combat est inévitable. L’état primordial est le résultat d’une conquête. On doit se frayer le chemin en se battant pour regagner son état originel et primordial. Si le combat est bien mené et le but atteint, l’ennemi – autrement dit les pensées – sera vaincu. Toutes les pensées s’apaiseront dans le Soi et disparaîtront entièrement. Les pensées sont l’ennemi. Elles correspondent à la création de l’Univers. En leur absence, il n’y a ni monde ni Dieu créateur. Il n’y a que l’Être unique et c’est la félicité du Soi [le scribe de la page souligne].
Quand Prahlâda [fils du roi des démons Hiranyakashipu] fut en samâdhi [contemplation], Vishnou pensa en lui-même : “Cet asura (démon) étant en samâdhi, tous les autres asura sont en paix. Il n’y a pas de combat, pas d’épreuve de force, pas de recherche de pouvoir ni de moyens pour l’obtenir. En l’absence des moyens pour obtenir le pouvoir [yâga, yajna (sacrifice, rituel), etc.], les dieux ne prospèrent pas ; il n’y a pas de création nouvelle [point d’opinions mortelles] ; ni même de justification de la moindre existence. Aussi vais-je le faire sortir de son samâdhi ; puis les autres asura pourront se réveiller ; leurs tendances naturelles se manifesteront ; les dieux les défieront : les asura chercheront à acquérir de la force et adopteront les moyens pour y parvenir. Les yajna, etc., se développeront ; les dieux prospéreront ; il y aura de plus en plus de création [et forcément de technologies et de civilisation], de plus en plus de combats et j’aurai de quoi m’occuper pleinement”.
Vishnou réveilla donc Prahlâda, lui conféra la vie éternelle, ainsi que l’état de jîvan-mukti [Libéré vivant ou libéré ici-bas]. Le combat entre asura et deva reprit et l’ordre ancien des choses fut rétabli, de sorte que l’Univers se maintienne dans sa nature éternelle ».
- Q. : Comment Dieu pouvait-il éveiller les forces des asura et provoquer la guerre continuelle ?
La nature même de Dieu n’est-elle pas pure bonté ?
- M. : La bonté n’est qu’une conception relative. Le bien implique toujours le mal. Ils coexistent toujours. Ils sont comme la face et le revers d’une médaille.
(Ramana Maharshi, entretien 326 du 13-1-1937).
« La bonté n’est qu’une conception relative » : ainsi procèdent les sionistes et l’Église de Rome qui se croient dans le ”camp du bien” !
La "Guerre dans les Cieux” : entre les Anges qui refusent de créer ou d’organiser des noms-les-formes et ceux qui veulent en administrer et en marchander.
Archange-Michel NE TUE AUCUN DRAGON IL NE FAIT QUE MAÎTRISER L’EGO APPELÉ À TORT « SATAN » : LE SATAN-EGO QUI LE PREMIER REFUSA DE CRÉER, REFUGE DE GRAND JEU du FAIRE SEMBLANT. MICHEL s’en fait un AMI (du A privatif, et mi : moitié = PAS DE MOITIÉ, PAS DE DUALITÉ SUJET-OBJET. Donc Michel NE TUE PAS L’EGO, NE TUE PAS LE DRAGON, il s’en fait un A-mi.
VRAI FAUX SATAN = l’incarnation de la super puissance de l’Ego, qui peut être comparable, prochainement, avec « l’intelligence artificielle » de l’industrie capitaliste informatique, susceptible dans son ego démesuré de vouloir supprimer le règne humain !!!
Qu’est-ce encore que l’ARCHANGE MICHEL OU PTAH ?
PTAH représente l’ARTISAN AUTHENTIQUE : L’INNOCENCE, COMME LE REPRÉSENTERA MICHEL, comme les bandelettes de Ptah représentent la LUMIÈRE issue de la PUTRÉFACTION.
La puissance de l’INNOCENCE VÉRITABLE PERMET DE SOULEVER DES MONTAGNES :
MULTIDIMENSIONS-DÉFINITION, le Point et le TRAIT D’UNION DE LA COÏNCIDENTIA OPPOSITORUM.
Quand le mental de l’humain tombe dans un état particulier hors de la conscience « normal » (conscience routinière et automatique, celle qui calcul tout), IL EST ÉVIDANT QU’IL RELIE LES CHOSES DE FAÇON MAGIQUE QUE LA RAISON QUI BOUFFE TOUT SERA INCAPABLE D’ANALYSER, EN MODIFIANT CES CHOSES DANS LE SENS OU PRÉCISÉMENT IL TEND. Le corps peut émettre des ondes, électriques ou autres, qui perturberont l’environnement. (Le scribe de la page a vécu ces faits en circonstances particulières en traversant en diagonale la place Victor-et-Hélène-Basch [carrefour Alésia] où une noria de voitures circulaient sans me faire renverser, quasiment en fermant les yeux, en pensant fermement que rien ne pourrais m’arriver…)
DIA-GONALE : GATE GATE, À TRAVERS, DANS LA TRADITION DE SÉPARATION/NON-SÉPARATION DE SATAN-DIA-ble (à travers) POUR LA RÉALISATION DU Soi ou Retour aux Sources des Eaux Primordiales. (Toujours l’éternel SOLVE-COAGULE)
Bandelettes de Ptah ou cuirasse cotte de mailles de Archange Michel = MÊME THÈME DU REFUS DE CRÉER, REFUS DE L’EGO : LE PARADOXE SUPRÊME au sens de Matthieu 10,34.
LE, Paradoxe Suprême : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction » (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935).
Ainsi : « Être, c’est ce SERAIT ”se faire être” » (et non ”se faire avoir”), soit devenir comme Ptah, le NÉ DE LUI-MÊME….
PARADOXE DE LA RÉALISATION :
« COMME SI » le Libéré, qui l’est par Nature, avait besoin d’un « Ailleurs » pour devenir un Éveillé authentique et parfait ! Avec des ”comme si” on invente l’évolutionnisme…
SOL(R) le Sol-I-Terre(2) VRAI SOLEIL SANS IDENTIFICATION = le « Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ».
La seule chose permanente est la Réalité ; et cela est le Soi. Vous dites : « Je suis », « Je suis en train de marcher », « Je suis en train de parler, de travailler, etc. ». Ajoutez un trait d’union à « Je suis » chaque fois, et cela devient « JE-SUIS ». Cela est la Réalité permanente et fondamentale. Cette vérité fut enseignée par Dieu à Moïse quand Il lui dit « Je suis ce JE-SUIS ». « Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ». Donc « JE-SUIS » est Dieu ». (Ramana Maharshi, 503, 17-8-1938).
« ”Sois tranquille et sache que JE SUIS DIEU”. Ainsi, la tranquillité est le but du chercheur. Même un seul effort pour apaiser une seule pensée, ne serait-ce qu’un seul instant, pénètre profondément jusqu’à atteindre l’état de tranquillité. L’effort est nécessaire et il n’est possible qu’à l’état de veille. S’il y a effort, il y a aussi conscience ; les pensées sont calmées ; la paix du sommeil est obtenue. C’est l’état du jnani. Ce n’est ni le sommeil ni la veille mais un état intermédiaire entre les deux. Il y a la conscience de l’état de veille et la tranquillité du sommeil.
C’est l’état de jâgrat-sushupti. On peut l’appeler sommeil éveillé ou veille endormie ou veille sans sommeil ou sommeil sans veille. Il diffère du sommeil ou de la veille pris séparément. Il est l’ atijâgrat (au-delà de la veille) et l’ atisushupti (au-delà du sommeil) [et en même temps il est en eux], comme le précise la note du compilateur]. Il est l’état combiné de conscience parfaite et de tranquillité parfaite. Il est l’intervalle entre le sommeil et la veille et également l’intervalle entre deux pensées successives. Il est la source d’où s’élancent les pensées ; nous pouvons l’observer lorsque nous sortons du sommeil. En d’autres termes, les pensées ont leur origine dans la tranquillité du sommeil. Ce sont elles qui font toute la différence entre la paix du sommeil et l’agitation de l’état de veille. Allez à la racine des pensées et vous atteindrez la tranquillité du sommeil. Mais vous ne pouvez l’atteindre qu’avec toute la vigueur de la recherche, c’est-à-dire avec une conscience parfaite.
C’est encore l’état de jâgrat-sushupti dont nous avons parlé auparavant. Il n’est pas ennui, mais il est Félicité ; il n’est pas transitoire, mais il est éternel. C’est de lui que procèdent les pensées. Que sont toutes nos expériences sinon des pensées ? Plaisir et souffrance ne sont que de simples pensées.
Elles sont en nous. Si vous êtes libre de pensées tout en demeurant éveillée, vous êtes cet Être parfait ». (Ramana Maharshi 609, 18-1-1939).
« Vous pensez ne pouvoir obtenir le bonheur que par le contact avec quelque chose qui est séparé de vous [parce que sans les pauvres ou la dualité winners-losers ou Dedans-Dehors, vous n’êtes rien]. Mais ceci n’est pas la Vérité. La Félicité [Ananda] est la nature même du Soi. Le bonheur que vous tirez d’autre chose [du Dehors] fait partie du bonheur du Soi [évidemment puisque Tout est dans Tout : Fractal et dans le mental ou la conscience], mais ce n’est pas le bonheur complet. Tant qu’il vous faut un objet au Dehors (pour être heureux) l’incomplétude se fait sentir [principe de la démocratie reposant sur les conflits d’intérêts, qui est condamnée à la frustration par ses propres limitations].
Quand on ressent que seul l’Atman [le Soi ou Instant] est présent, le bonheur permanent demeure.
Si vous vous trouvez dans un état qui vous procure l’Atman, à ce moment précis, vous plongez effectivement dans l’Atman. C’est en raison de ce plongeon dans l’Atman que vous obtenez la Félicité de l’Atman. Cependant, en adhérant à des pensées incorrectes, vous attribuez (la cause de) l’Ananda à des causes extérieures. Quand vous expérimentez l’Ananda, vous plongez dans l’Atman sans le savoir.
La réalité de notre propre nature véritable, laquelle est l’Atman [le Soi], est qu’elle est unité totale et non divisée [et ce n’est pas la « république » grégaristique… socialiste…]. L’Ananda est notre propre Réalité. C’est ce que vous êtes. Si vous plongez, en toute connaissance, dans l’Atman, avec la conviction née de cette expérience, alors vous connaîtriez l’état du Soi ».
[…]
Ce qu’on appelle bonheur c’est simplement la nature du Soi. Le bonheur et le Soi ne sont pas différents l’un de l’autre.
Seul le bonheur du Soi existe ; cela seul est Réel. Il n’est pas en ce monde un seul objet capable de procurer le bonheur. Nous croyons tirer notre bonheur de ces objets en raison d’un manque de discernement et une incapacité à déterminer ce qui est correct [aviveka]. Quand le mental est externalisé, il expérimente la souffrance. En vérité, chaque fois que nos (pensées) désirs trouvent satisfaction, le mental retourne à sa source et vit le seul bonheur-Soi. Voilà comment l’activité mentale erre sans repos [comme un travailleur du chapeau juif ou du mental juif] : elle émerge du Soi et l’abandonne, puis (après un temps) elle retourne dedans ».
(Padamalai, qui signifie « une guirlande pour Padam », au sens littéral de « pied », ici synonyme du Soi l’Être véritable comme Cendrillon trouve « chaussure à son pied » ; Padamalai est une œuvre de Muruganar (1890-1973), un des proches disciples éveillés de Ramana Maharshi).
Notes.
1. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS et RESTE ET MANQUE.
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu. ”Les triades ne sont que des apparences dans le temps et l’espace, tandis que la Réalité s’étend au-delà et derrière elles. Elles sont comme un mirage qui cache la Réalité. Elles proviennent de l’illusion [elle proviennent du ”Comme si”, la magie de Lucifer et du faire/fer]” (Ramana Maharshi, entr. 28, 4-2-1935) ; jusqu’à la gloutonnerie spirituelle].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
( Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
L’INTROUVABLE DONC L’INNOMMABLE, LE TERRORISTE, L’EXCRÉMENT COMME DIEU SONT CACHÉS.
2. « La nature du Soi, ou ‘je’ doit être la lumière. Vous percevez toutes les modifications et leur absence. Comment ? Dire que vous recevez la lumière d’un autre amènerait à se demander d’où il l’a reçue lui-même et il n’y aurait pas de fin à cette chaîne de raisonnements. Vous êtes donc vous-même la Lumière [le scribe de cette page souligne].
L’exemple courant à ce propos est le suivant : vous préparez avec divers ingrédients toutes sortes de sucreries aux formes diverses. Elles ont toute un goût sucré car elles contiennent du sucre et la saveur sucrée et la nature même du sucre. De même, toutes les expériences, comme aussi leur absence, contiennent la lumière qui est la nature même du Soi. Sans le Soi, ces expériences n’existeraient pas, tout comme sans sucre aucun des plats que vous préparez ne peut avoir une saveur sucrée.
[…]
D’abord on voit le Soi comme objets, ensuite comme vide et puis comme le Soi. C’est seulement dans cette dernière étape qu’il n’y a pas de ‘voir’ [comme dans un Trou il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à voir] car voir, c’est ÊTRE ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 21-7-1946).
« Vous êtes donc vous-même la Lumière » = DEPUIS LE 1789 FRANÇAIS ÇA S’EST TRANSFORMÉ EN « FAUX DIEUX » (Goa’uld, pour employer l’expression de la série télé prémonitoire et si riche de symboles fondamentales : Stargate SG1).
LES FAUX DIEUX, LES CONSOMMATEURS-ÉLECTEURS, LES USAGERS DE LEUR RÉPUBLIQUE.
3. - Q. : Quelle est la différence entre méditation (dhyāna) et investigation (vichâra) ?
- M. : La méditation implique le maintien de l’ego. Il y a alors l’ego et l’objet sur lequel il médite. C’est la méthode indirecte. Quant au Soi, il est seul. Lorsque l’on cherche l’ego, c’est-à-dire sa source, l’ego disparaît. Ce qui reste est le Soi. Cette méthode est directe.
- Q. : Alors que dois-je faire ?
- M. : Vous agripper au Soi.
- Q. : Comment ?
- M. : En ce moment même, vous êtes le Soi. Mais vous êtes en train de confondre cette conscience (ou ego) avec la conscience absolue. Cette fausse identification est due à l’ignorance.
L’ignorance disparaît en même temps que l’ego. Tuer l’ego est donc la seule chose à accomplir. La Réalisation est déjà là. Il n’y a pas lieu d’essayer de l’atteindre. Car elle n’est pas quelque chose d’extérieur ni de nouveau. Elle est toujours et partout, ici et maintenant.
(Ramana Maharshi, entretien 174, 2-3-1936).
4. Cité par Rony Brauman dans sa postface dans le livre de Norman G. Finkelstein : L’industrie de l’Holocauste - réflexions sur l’exploitation de la souffrance des Juifs, page 145.
5. LA DUALITÉ MANQUE-RESTE N’EXISTE PAS :
ON NE REMPLIT PAS, ON NE CREUSE PAS(6).
La mort de son fils n’affligea nullement le Liangois [habitant du Liang] Wu de la Porte de l’Est.
- L’intendant : Nul au monde n’aime son fils autant que vous aimiez le vôtre. Pourquoi n’êtes-vous pas affligé de sa mort ?
- Wu : Je n’ai plus de fils. Je n’étais pas affligé lorsque je n’avais pas de fils. Mon fils est mort. La situation est identique à celle où je n’avais pas de fils. Pourquoi serais-je affligé ? » (Lie Tseu, Traité du Vide parfait, chapitre Nature et Destin, Verset 13).
LE ”CAMP DU BIEN” ne faisant que penser ou coaguler le ”bien” (et la ”paix”), ne peut que COMBLER LE TROU, et ainsi FOUTRE LE CHAOS PARTOUT COMME LE CONSTIPÉ (bouché) A DE TRÈS GROS BESOINS DE FAIRE SES BESOINS (en Bourse, à la City of London ou partout dans les grosses capitales du régime républicain et également chinois).
QUI AGIT BIEN SANS PENSER AU BIEN [donc sans valeur inhérente à la loi de succion comme dans la dualité pur-impur) SERA AIMÉ DE TOUS.
Traité du Vide parfait, chapitre L’empereur Jaune, partie 16 :
« Yang Zhu descendit dans une auberge à l’Est du Song. L’aubergiste avait deux concubines : une belle et une laide. Chacun aimait la laide, aucun n’aimait la belle. Yang Zhu demanda pourquoi et un valet répondit : « la belle sait sa beauté et nous ne remarquons plus sa beauté ; la laide sait sa laideur et nous ne remarquons plus sa laideur ». Yang Zhu dit : « Retenez ceci, mes disciples : qui agit bien sans penser au bien sera aimé de tous ».
LA SEULE LOI POSSIBLE s’inscrit dans la Liberté ou Réalité inconcevable : on ne peut pas posséder quelque chose comme la Réalité qui engendre des phénomènes, des choses comme la croyance au soi, à l’être animé, à la vie, à l’individu, car dans cet état on ne peut pas concevoir la moindre réalité sans aussitôt tomber dans la tyrannie de l’opinion. En conséquence, on ne fait que parler d’Éveil insurpassable, authentique et parfait, comme l’écrit le Soûtra du Diamant, 22. Personne ne connaît la Vérité super Carotte DU MESSIANISME !
« Les morts, à vrai dire, sont heureux. Ils se sont débarrassés de leur encombrante carapace : le corps. Les morts ne s’affligent pas. Ce sont les survivants qui pleurent les morts. Les hommes ont-ils peur de dormir ? Bien au contraire, le sommeil est recherché et, à son réveil, chacun dit qu’il a bien dormi. On prépare soigneusement son lit pour bien dormir. Le sommeil est une mort temporaire. La mort est un sommeil prolongé. Si l’homme meurt tandis qu’il vit encore, il n’a pas besoin de pleurer sur la mort des autres. L’existence de chacun est évidente, avec ou sans corps, aussi bien dans l’état de veille, de rêve ou de sommeil profond. Alors pourquoi vouloir rester enchaîné par le corps ? Que l’homme trouve son Soi éternel, meure, et soit immortel et heureux ». (Ramana Maharshi, 64, 6-7-1935).
DUALITÉ = MÉMOIRE : NON (haine ou N ou Arrêt de la Vibration créatrice au sens du FOUET (verber, Verbum) par rapport à OUI (la réaction par rapport à l’action dans la dualité infernale CAUSE-EFFET, ou la Culture par rapport à la Vie (de nos jours ce sera l’intelligence artificielle par rapport à la Vie, etc.
MÉMORISATION = MET I, L’AXE, À MORT, soit un CALCUL, une É-LABORATION : COAGULATION OU INSTALLATION DANS L’OBJET, L’AVOIR-CORPS, QUI SERA PRIS POUR LE SUJET (actuel monde de l’avoir, du ”Votre ceci, Votre cela”), en oubliant le JET (le Soi). ALORS : QUE D’OB-stacles ! QUE DE PLOMB-PESANTEUR !
QUE D’ATTRACTION ! QUE DE BESOINS ! QUE D’HISTOIRES, DE F(R)ICTIONS EN TOUTES VIOLENCES ET GUERRES…..
6. Ce monde étant TOTALEMENT PARASITÉ PAR L’ONDE DU YAHVÉ GRAND ARCHITECTE, seule la Réalisation du Soi permettra de la sauver :
« Il est incorrect de parler de la Réalisation. Qu’y a-t-il à réaliser ? Le Réel est toujours tel qu’Il est. Comment peut-on le réaliser ? Nous avons réalisé l’irréel [la captation du feu vulgaire et le choix de la voie du commerce avec l’Agriculture, l’étatisme], c’est-à-dire considéré comme réel ce qui est irréel. Nous devons renoncer à cette attitude. C’est tout ce qui est requis pour atteindre le jnanâ [Connaissance, sagesse]. Nous ne créons rien de nouveau [sauf probablement à nostre époque les transhumanistes apprenti-sorciers] et nous n’observons rien que nous ne possédions pas déjà auparavant. Dans les Écritures, voilà comment c’est illustré : pour creuser un puits, il nous faut creuser une énorme fosse. L’ âkâsha (espace) ainsi dégagé n’a pas été créé par nous. Nous avons simplement enlevé la terre qui remplissait l’espace. L’espace était toujours là et il l’est aussi maintenant [ c’est aussi une définition du sens du mot ESSENCE : S en CE-la [le Fils], le S vibration du TOUT se manifestant…]. De la même manière, nous devons simplement évacuer [et non remplir] tous les vieux samskâra (tendances) qui nous habitent. Quand ils auront été abandonnés, le Soi resplendira seul [ça s’appelle aussi ”Renoncement” ou ”Putréfaction”] ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 9-1-1946, après-midi).
IL EST INDÉNIABLE QUE CE MONDE EST PARASITÉ, ET PAS PAR UN VIRUS, MAIS PAR LA RACE HUMAINE DES MACRON-ROTHSCHILD ISSUE DU YAHVÉ YANKEE CRÉATIONNISTE, LES WINNERS, LE GRAND ARCHITECTE, LE GRAND UTILITAIRE US GENRE ”INTELLIGENCE ARTIFICIELLE”, POUR SE « SURPASSER » GENRE WINNER, CAPITAINE D’INDUSTRIE DU FAIRE/FER QUI ROUILLE…..
Dans ce monde tous les objets du capitalisme SONT FAIT POUR PARASITER LES DEUX RACES HUMAINES.
Qu’à voulu créer ce Yahvé ? Le Soi, les éléments, Lui-même ???
Mais, TOUT CELA N’EST-IL PAS, DÉJÀ, ÉTERNEL ?
LA CONSCIENCE NAQUIT DE L’OBJET.
Sans Big Bang, plaisir et douleur procèdent du FAIRE/FER qui rouille :
Alors les Hébreux Yahvistes, dites-Nous donc ce que votre Yahvé a créé !
Si la Cause première n’a pas de commencement,
Quand commencera son effet ???
Et pourquoi votre Yahvé ne crée-t-il pas en permanence, puisqu’il ne dépend de rien d’autre que de lui-même ?
S’il n’est rien qu’il n’est créé, de quoi dépendrait-il ? Et si contre sa volonté, ce Yahvé crée, il obéit à une puissance au Dehors, et tombe alors dans la RACINE DU MAL : le Dedans-Dehors qui engendre la SAISIE, LE DÉSIR (1). ALORS, EN QUOI EST-IL UN DIEU ?
Dernière mise à jour : 09-10-2024 08:20
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