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Destruction de la Russie - Race supérieure Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 29-05-2009 00:03

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Argent, Banques, Bolcheviks, Business, Chrétiens, Cosaques du Don, Dictateurs, Destruction de la Russie, Etzel, France, Israël, Juifs, Ku Klux Klan, Pouvoir, Révolution, Russie, Sionisme, Terreur, Terroristes, Tortures, Usure


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Destruction de la Russie - Métal sous surveillance - suite 25
- Liberté de pensée -
- Dans un État libre chacun peut penser ce qu’il veut
et dire ce qu’il pense (Spinoza) -

- Il n’y a pas de race supérieur ! car c’est une division inexistante (M.R.) -
- Si l’Or (1) ne s’oxyde pas lui-même, il oxyde tout par son éclat (M.R.) -
 
 
Le mondialisme de la judéopathie totalitaire est en route.
Big Brother de George Orwell est en place depuis plus de 2000 ans.

« Démocrétinisation : Le laïcisme et la laïcité sont des formes de l’éteignoir de la chandelle »
 
La plupart des extraits ci-dessous proviennent du livre de Roger Dommergue Polacco de Ménasce : Vérité et Synthèse.

« Nous régnons et nous entendons que le monde le sache. Nous régnons sur la France en vertu du même droit qu’ont invoqué les Européens pour anéantir les Peaux-Rouges, et pour asservir les Cafres ou les Congolais. Le droit de la race supérieure sur une race inférieure. C’est une loi de la nature. La supériorité de la race juive et son droit à la domination sont établis par le fait même de cette domination. Les vaincus s’inclinent devant l’évidence »..... « C’est dans le ghetto des Hautes Études Sociales que les jeunes français de la classe aisée ou riche viennent apprendre à penser, apprendre à vivre la vie publique, modeler leur pensée sur la pensée juive, abolir leurs instincts héréditaires devant la volonté juive, s’exercer au seul rôle que nous leur permettons d’ambitionner : celui de zélés serviteurs, de parfaits valets d’Israël ! »..... « Arrêtez-vous devant la banque Rothschild rue Laffite ou l’hôtel Rothschild rue de Rivoli et Saint-Florentin : vous y verrez des agents de police en tenue qui veillent sur nos chefs, sur les maîtres de la France. Pas un crime, pas une catastrophe ne les détourneraient un instant de leur devoir. C’est le symbole de la France vouée au service d’Israël ».
(L’auteur serait Isaac Blümchen, né à Cracovie le 14 novembre 1887. Les livres sous le titre « Le Droit de la Race supérieure » et « A nous la France » furent publiés en 1914, puis une dernière fois en 1934. Les ouvrages furent déposés à la Bibliothèque Nationale de France en 1913, côte No 8°Lb 57 18013 et Lb57 18012 A. Peut-être un texte « faux/vrai ».)
 
Découlant directement l’invention de la valeur donné à un métal comme moyen de TRANSITION, l’écrivain Paul Chevallet, auteur de « Urnocratie » écrit :
« Le Mondialisme dévastateur est Juif dans son essence. Les Juifs en sont les inventeurs et les profiteurs, au grand dam de l’humanité entière. L’article 131 du Traité d’Amsterdam précise : « La politique commerciale commune doit contribuer, conformément à l’intérêt commun (sic), au développement harmonieux du commerce mondial, à la disparition progressive des restrictions aux échanges internationaux et à la réduction des barrières douanières. »
(En résumé : il faut mondialement favoriser, non pas ceux qui travaillent, mais ceux qui profitent du travail des autres !)


Pourquoi nous parle-t-on toujours des « Six millions de morts juifs »  et jamais des 50 millions de goyim exterminés en URSS dans un régime entièrement juif dans lequel les bourreaux carcéraux et concentrationnaires se nommaient : Kaganovitch, Frenkel, Jagoda, Firine, Apetter, Jejoff, Abramovici, Rappaport, etc ? (une cinquantaine de Juifs).

« Un juif ne doit pas violer le sabbat pour sauver la vie à un « gentil » (Israël Shahak : Histoire juive - Religion juive)

Dostoïevski
« Ce qui vient, c’est le matérialisme, la soif aveugle et rapace du bien-être matériel, la soif de l’accumulation de l’argent par tous les moyens. Alors, à la tête de tous, se trouvera le Juif, car bien que prêchant le socialisme, il reste néanmoins en sa qualité de Juif, avec ses frères de race, hors du socialisme et quand tout l’avoir de l’Europe sera pillé, il ne restera que la banque juive. » (Journal d’un écrivain, Passim, 1880)

« Leur royaume est proche, leur royaume complet. Il vient le triomphe des idées devant lesquelles ne soufflent plus mot les sentiments d’humanité, la soif de vérité, les sentiments chrétiens, nationaux, et même les sentiments de fierté populaire des peuples d’Europe. Ce qui vient au contraire, c’est le matérialisme, la soif aveugle et rapace du bien-être matériel personnel, la soif de l’accumulation de l’argent par tous les moyens, voilà tout ce qui est considéré comme un but suprême, comme la raison, comme la liberté, au lieu de l’idéal chrétien du salut par le seul moyen de la plus étroite union morale et fraternelle entre les hommes. On en rira…
Tous ces Bismarck, Beaconsfield (Disraeli), la République française, Gambetta et autres, tous, ils ne sont pour moi qu’une apparence : Leur maître comme celui de tout le reste et de toute l’Europe, c’est le Juif et sa banque. Nous verrons encore le jour où il prononcera son veto et Bismarck sera impitoyablement balayé comme un fétu de paille. Le Judaïsme et la banque règnent maintenant sur tout, tant sur l’Europe que sur l’instruction publique, sur toute le civilisation et particulièrement sur le socialisme, car avec son aide, le judaïsme arrachera avec la racine, le Christianisme et la culture chrétienne. Et si de cela rien ne sort, sinon l’anarchie, alors à la tête se trouvera encore le Juif, car bien que prêchant le socialisme, il restera néanmoins en sa qualité de Juif, avec ses frères de race, hors du socialisme, et quand tout l’avoir de l’Europe sera pillé, alors seule la banque juive subsistera. Les Juifs mèneront la Russie à sa perte. » (Journal d’un écrivain, Passim, 1880)


Ernest Renan
« Le Juif ne connaît guère de devoir qu’envers lui-même. Poursuivre sa vengeance, revendiquer ce qu’il croit être son droit est à ses yeux une sorte d’obligation. Par contre, lui demander de tenir sa parole, de rendre justice de façon désintéressée, c’est lui demander l’impossible. » (1864)




Note.
1. Le mot métal dérive de Mine. En Égypte ancienne cuivre se dit « bja » ou bya, ou bia ; ce même mot exprime le firmament ; biai exprime s’étonner, s’émerveiller ; la mine et le minerais se dit biaou ; biaout indique les merveilles.
Le mot Or se dit nebou (nbw) ; neb (nb) indique le Maître, le Seigneur ; nebouy (nbwy) indique les deux Maîtres (Horue et Seth) ; nebout (nbyt) est un collier d’Or ; nebet indique la maîtresse, le panier ou la corbeille, toute chose ; nebet-per indique la maîtresse de maison ; neb-er-der indique le Maître universel.
On a donc un sens d’admiration, de servitude, ce qui correspond bien aux métaux.
La pierre de calcaire ne bénéficie pas de cette admiration. Et pourtant de tous temps on la taille savamment. En Égypte ancienne la pierre de calcaire ou de grès se dit : iener (jnr) ; ieneb (jnb) indique un mur, des murailles ; ienebet (jnbt) indique une clôture, une barrière ; ienem (jnm) indique une peau ou enveloppe (jmn indique l’intérieur ou se cacher ou qui est caché) ; ienen (jnn) indique : nous (1e personne du pluriel).
Le plus curieux c’est l’aspect souterrain de la mine, donc le contraire de l’éblouissement du métal or. Une pépite d’Or sous terre ne reflétera rien sans lumière ! Une fois sorti de sa gangue, le métal peut être l’objet d’admiration pour sa beauté, puisqu’il est rare ;  mais depuis les babyloniens hélas il est objet de catastrophes.
 
 
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Suite des extraits du « Journal de Kolia » : Le monde égoïste des gens riches.

Rappel : il s’agit ici d’extraits du journal de mon père : Kolia, diminutif de Nicolas. Suite à la Révolution Bolcheviks, l’école des Cadets de Novotcherkassk Новочеркасск (capitale des Cosaques du Don), école pour officiers où se trouvait mon père, elle a été évacué avec tous ses jeunes élèves pour essayer de gagner l’étranger. Après un long passage par l’Égypte, la Turquie et Chypre, Kolia décide en 1926 de tenter sa chance à Paris, puis en Provence. Il se trouve plongé dans un tourbillon de gens pour qui l’argent ne compte pas... mais lui n’en a pas !

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Vers la fin mars, l’exploitation de l’établissement Casanova fut suspendue, la plupart des artistes, des musiciens rentrèrent à Paris. Avant de quitter ce lieu enchanteur, Kolia était allé visiter Nice et Monte-Carlo, car il fallait profiter de ce séjour pour visiter un peu la côte, de profiter de son climat et d’avoir un plus large aperçu concernant ce centre touristique.
Avant de prendre le train, il se trouva un petit moment, seul. Il en profita pour faire une récapitulation de tous les évènements qui s’étaient produits depuis Biarritz et de son séjour à Cannes, avec les derniers contacts qu’il avait eux ici. Il constata que le monde qu’il côtoyait et dans lequel il évoluait par son métier, était un monde uniquement intéressé par les loisirs, les plaisirs et le luxe. Cela le rendait à la fois envieux, irrité, découragé. Mais en même temps, il constata que son esprit s’était élargi, les vues sur les choses, les considérations sur les gens et leurs actions furent pour lui très enrichissantes et lui serviront dans le futur. Parfois ses pensées s’égaraient sur le principe du mal et du bien, vu que son éducation depuis son enfance était basée sur le bien, la fidélité, l’honnêteté et l’obéissance. En même temps lorsqu’il pensait à son travail à la ferme ou à l’usine, c’était un autre monde dans lequel les petits soucis quotidiens des gens et leurs besoins limités les obligeaient à ne penser qu’au travail.
Cela faisait réfléchir Kolia, sur la possibilité de trouver la voie pour s’intégrer dans un milieu de gens sérieux et honnêtes. Ou, en cas d’échec, vivre en marge de ces gens avec leur société.

Aussi après avoir acquis un certain goût pour les belles choses et ayant aussi vécu dans cette vie mondaine avec ses plaisirs, il lui était très difficile de les réaliser par la voie normale, car ses moyens limités ne lui permettaient qu’un extra de temps en temps.
Souvent pour pouvoir vivre selon ses goûts, il était obligé de se trouver en contact avec des gens dont la morale et l’honnêteté étaient douteuses, mais son esprit droit et sa méfiance lui imposaient d’éviter parfois les contacts douteux pour ne pas se trouver devant d’éventuelles difficultés.

Donc Kolia rentra à Paris, et il était très heureux de retrouver ses amis Cadets et son cousin. Peu de temps après il alla se faire inscrire aux cours d’Anglais et de comptabilité afin de se perfectionner, et ensuite de chercher un autre emploi en dehors des restaurants et cabarets. Mais ses cours ne durèrent qu’un mois, faute de ressource, car après avoir réglé partiellement ses dettes, et après avoir renouvelé une petite partie de sa garde-robe et les quelques sorties avec ses camarades, il n’avait plus d’argent. Pendant cette période, il fit de riches connaissances nouvelles dont le Baron Wolfman, sorties à Montparnasse, dans le café la Rotonde, au Dôme. Presque tous les soirs il sortait avec Alex. Bour. à la recherche de nouvelles rencontres ou parfois des aventures passagères sans importance.

Au début de l’été, la situation de Kolia était devenue critique, il retourna de nouveau au cabaret Casanova, où le Comte Dall’Orsso devenu Directeur, l’engagea aussitôt pour travailler au Touquet, car Casanova venait d’ouvrir un établissement à cet endroit pour deux mois de l’été.
Cela faisait un immense plaisir à Kolia, aussitôt il retourna à son hôtel, sortit son costume de la valise pour le remettre en état chez le teinturier. Le 10 juillet, il s’en alla avec tout le personnel au Touquet, où l’établissement devait ouvrir le 14 juillet.
Kolia avait trouvé une chambre chez des particuliers dans le centre de la ville à deux cents mètres de la plage. Cette petite ville de plaisance au bord de la Manche face à l’Angleterre était très vivante et très agréable, et en été, elle était fréquentée presque uniquement d’Anglais, qui venaient passer leurs vacances. Au Touquet le travail de nuit se terminait un peu plus tôt que d’habitude. Vers 4h du matin, Kolia allait se coucher aussitôt après le service, car il n’aimait pas veiller et était assez sobre vis-à-vis de l’alcool. Cela lui permettait de se lever vers midi et de se rendre directement à la plage et se baigner.

La plage était magnifique, immense, recouverte de sable fin et sur laquelle on ne trouvait presque que des Anglais et aussi, de grandes personnalités comme les directeurs du « Daily Mail », de la Barclays Bank, de la Llyod, et aussi le Prince-de-Galles.
Presque tous les gens venaient le soir au Casanova, où deux fois par semaine étaient organisés de Grands Galas artistiques avec feux d’artifices. Le cabaret se trouvait dans l’enceinte du Casino, cela avantageait la recette ainsi que les gains pour le personnel et en observant tous ces gens dépenser de l’argent, on pouvait dire qu’il coulait à flots.
Cela n’étonnait plus Kolia, car il avait déjà vu cela à Biarritz et à Cannes. Presque tous les après-midi, il allait à la plage où il rencontrait d’autres collègues et musiciens du Casanova avec lesquels il jouait au ballon et discutait. Il se sentait en forme, confiant, mais trop optimiste. Justement au cours de ses baignades, Kolia demande à un musicien (Petïa-Bangeo), s’il ne connaissait pas un endroit où il trouverait une occupation rémunératrice, vu qu’il avait du temps de libre. Le hasard a voulu que le musicien connût un hôtel, dont le propriétaire cherchait quelqu’un de jeune initié un peu à la musique et à la danse russe pour s’occuper du thé dansant dans son hôtel. Ayant appris par le maître d’hôtel le nom du propriétaire du Carlton, Kolia se présenta au directeur en lui exposant le but de sa visite et aussi lui faisant part de ses références. À la suite de l’entretien avec le patron, M. Férass lui proposa de venir immédiatement à son hôtel de 17h à 19h pour le thé dansant. La nouvelle fonction de Kolia consistait à essayer de danser avec une cliente de l’hôtel et ainsi d’animer et mettre de l’ambiance,
rendre tous les après-midi plus gais pour la clientèle de l’hôtel. Kolia accepta et revint ensuite tous les jours jusqu’à la fin de la saison. Ce nouveau travail permit à Kolia d’entrer en contact avec des Anglais, de parler cette langue ce qui était excellent. Il eut l’occasion de rencontrer un ancien diplomate Anglais, qui avait séjourné à Shanghai et désirait s’exercer en russe.

Cette nouvelle occupation était rémunératrice, car les clients payaient bien pour les danses, cela permit à Kolia de mener une vie presque mondaine. Il travaillait donc au « Casanova » de 22h à 4h du matin. L’après-midi, plage et thé dansant au Carlton, cela lui avait procuré une satisfaction personnelle et même rendait un peu jaloux et envieux certaine collègues de Casanova, d’ailleurs sans conséquences. Ce passe-temps de l’après-midi ne dura que trois semaines, car à la fin Août, c’était la fin de la saison et le Casanova fermait. En quittant le Carlton le patron lui avait offert de revenir l’année suivante pour deux mois pendant la saison, en précisant qu’il sera nourri et logé, et considéré comme professeur de danse et de tennis. Cette offre avait flatté Kolia lequel accepta avec empressement et lui procura un grand espoir pour l’avenir. Il resta en excellents termes avec le patron.

Profitant encore des belles journées d’arrière-saison, et restant seul sur la plage, il réfléchissait, et ses pensées se mirent à tourbillonner au sujet de tous ces évènements qui étaient arrivés depuis plusieurs années. Il constata qu’à plusieurs reprises, le hasard avait été heureux et avait favorisé sa lutte pour son existence, mais en même temps il pensait à ses parents dont il venait de recevoir des nouvelles. Quelques jours après il rentra à Paris avec bon moral ; il retourna dans le même hôtel où il retrouva ses affaires et ses valises remplies d’objets qu’il avait depuis l’Égypte.

M. Roudakoff
 

Dernière mise à jour : 10-06-2009 18:28

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