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Goldman Sachs Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 12-08-2009 18:30

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aide psychologique, Argent, Banques, Caca, Goldman Sachs, Merde, Pauvreté


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Goldman Sachs

La pompe à fric des américains ou crime d’amalgame de pouvoirs
Tous dans le même Sac des couilles, pardon, des bourses !
Mais ces deux là : Goldman et Sachs aiment uniquement l’argent pour
l’argent et en font véritablement de la MERDE (dans le mauvais sens du symbole,
car la merde est porteuse de plein de vitamines, voyez les mouches ou des oiseaux)

Par ici pauvres cons, passez la monnaie : Propriété intellectuel va avec
préjudice morale et manque à gagner !
Par ici pauvres retraités : prenez mes prêts immobiliers pourris.

On ne devrait jamais confier de l’argent aux « grandes personnes ».
 
 
Là ce n’est pas les couilles qui sont en Or mais l’homme complet (Gold Man). Et gare à la volatilité et donc à l’explosif, car ici on mélange constamment pouvoir politique et pouvoir économique.


À la vue de leur site, ils doivent être en froid avec le reste de l’humanité ! ou alors ils n’ont plus d’argent ou si peu qu’ils hésitent à se chauffer ; aussi en voilà à qui il va falloir encore envoyer des dons, nourriture et autres vêtements, vieilles chaussures. Car ces hommes en Or sont très menacés. Mais avec la photo de leurs blocs de glace sur leur site, je les soupçonne d’avoir « plus ou moins » de relations avec le soi-disant « réchauffement climatique », autre truc à la mode.
 
Voici l’adresse de leur site pour proposer du travail bénévole.
http://www2.goldmansachs.com/careers/


ENVOYEZ UNE AIDE PSYCHOLOGIQUE

Trouvez l’adresse de Goldman Sachs à New York afin de leur envoyer une cellule d’aide psychologique, c’est tendance en ce moment et ça fait « sécuritaire ». Je crois que c’est au 30 Hudson Street (voir photo du bâtiment en bas). Sinon pour Paris, c’est au 2 rue de Thann 75017 Paris, juste à côté de l’hôtel Gaillard de la Banque de France à deux pas du Parc Monceau ; là où les employés de ces banques peuvent tout de même s’aérer au moment du déjeuner. Seulement pour envoyer des dons c’est très difficile, car cette banque possède des adresses partout dans le monde, là où il y a de l’argent bien-sûr. Voyez l’exemple à Paris à côté de l’hôtel Gaillard. Ce bâtiment construit de 1879 à 1884 sur les plans de l’architecte Victor-Jules Février, dans le style de la Renaissance pour accomplir les rêves du « régent » ou directeur de la Banque de France : Émile Gaillard, financé avec son maigre salaire ; le bâtiment était destiné à abriter ses modestes collections d’art. Ses « héritiers » achetèrent cet hôtel en 1919 pour y installer sa succursale de la Banque de France. Comme système de protection, il y avait d’installé un plancher mobile, qui la nuit venue se retirait dans son logement pour laisser à la place une vaste étendue d’eau. Que ne ferait-on pour protéger son Or.

Ajoutons une pensée pour l’ancien pdg de Golcman Sachs : Henri Paulson, lequel a eu le malheur de détourner, pardon, de « transactionner » pour ses amis de Wall Street. A ce monsieur on peut aussi envoyer des dons, mais j’y reviendrai peut-être sur une autre page. Mais là on a bien un exemple flagrant de crime d’amalgame de pouvoir politique et de pouvoir économique. Que fait la police ?... Car il faut savoir que quand les banques coulent, les dirigeants (surtout ceux de la pieuvre Goldman Sachs) en profitent pour prendre le reste de ce qui se trouvent dans les coffres, c’est facile c’est eux qui ont les clefs des coffres. Ainsi, Robert Steel, ancien de Goldman et patron de Wachovia, s’est accordé 225 millions de dollars de parachutes dorés, pour lui et ses cadres dirigeants, tandis que sa banque s’autodétruisait.

« Ils (Goldman) réalisent cela en utilisant encore et toujours le même protocole. La formule est relativement simple : Goldman se place au milieu d’une bulle spéculative, vendant des investissements qu’ils savent être de la merde. Ils aspirent alors de vastes sommes des classes moyennes et basses de la société, avec l’aide d’un État invalide et corrompu qui leur permet de réécrire les règles en échange de quelques pourboires que la banque jette aux politiciens. À la fin, quand la bulle éclate, laissant des millions de citoyens ordinaires sur le carreau, ils recommencent tout le processus, venant à notre rescousse pour nous prêter avec intérêt notre propre argent, tout en se présentant comme des hommes désintéressés, juste une bande de chics types qui sont là pour aider la machine à tourner. Ils nous ont fait le même coup encore et encore depuis les années 1920 – et aujourd’hui, ils se préparent à le faire encore en créant ce qui pourrait bien être la plus grande et plus impudente bulle de tous les temps.
 
Si vous voulez comprendre comment nous sommes entrés dans cette crise financière, vous devez d’abord comprendre où tout l’argent est allé – et pour comprendre ça, vous devez comprendre comment Goldman s’est débrouillé dans le passé. C’est une histoire longue de cinq bulles exactement – y compris le pic du prix du pétrole l’an dernier, étrange et apparemment inexplicable. Il y eut beaucoup de perdants dans chacune de ces bulles, ainsi que dans le renflouage qui suivit. Mais Goldman n’était pas parmi eux ».
(La suite sur Agoravox)
 
 
Ce conte russe donne une idée pour faire de l’argent : vendre la vieille robe de sa femme un rouble ; avec cet argent en acheter une neuve et la revendre deux roubles. De cette façon, revendant tout ce qu'on achète en doublant son prix, on peut s’enrichir rapidement. On a le même principe avec : vous apportez un dollar et en empruntez neuf ; puis vous utilisez ces 10 $ pour en emprunter 90 ; puis ces 100 $ servent à emprunter et investir 900 $, tant que le public continue à prêter. Si le dernier trust de la chaîne commence à perdre de la valeur, vous n’avez plus l’argent nécessaire pour rembourser vos investisseurs et tout s’écroule.

Pour terminer, il y en a un qui s’est servi dans la caisse (presque 43 millions de dollars en 2008) : Lloyd Blankfein. Tous chez lui à New York pour s’offrir à manger gratis plein d’OGM.

M. R.
 
 
 
 
La Goldman Sachs Tower. J’habiterai bien au troisième étage, comme ça en cas de
manque de courant électrique s’ils n’ont plus de fric, je monterai à pieds facilement.
D’un autre côté, l’air de New York doit être pollué, et il ne doit pas y avoir
de square à côté de ce bâtiment ;
et pour faire ses courses ça ne doit pas être de la tarte.
 
 
 
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Celui qui est propriétaire de la FED contrôle le gouvernement américain à travers l'économie. Les Rothschild et la Banque d'Angleterre. Le Groupe Rothschild contrôles des gouvernements, (les États-Unis par le biais du secteur privé appartenant à la Federal Reserve System)
Ce n'est plus un mystère maintenant. Le Congrès américain a donné à des banques privées le contrôle du gouvernement de la (FED), ce qui signifie que nos pays ne sont pas contrôlées par des citoyens américains. (Le Congrès peut prendre le contrôle de l'écart (FED) des banques privées, mais ils ne le fera jamais parce que le Congrès est infesté de politiques sous le contrôle direct de la FED, CFR, etc. De nombreux membres du Congrès, les appels d'offres de la CFR). (La suite sur Zimbio.com)
 
 
 

Dernière mise à jour : 12-08-2009 19:33

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