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Ecrit par Sechy, le 16-08-2009 21:30

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Banques, Business, Capitalisme, Communisme, Démocratie, Merde, Politique


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Caca démocratique
ou tentative de faire un monde communiste


Il faut dire : merde au Général ! (le vrai Général)

Il faut sortir du cauchemar des hommes de pouvoir qui s’agitent en tous sens.

Si peu de paroles contiennent la vérité, qui par définition, est ou n’est pas,
elle ne peut faire l’objet d’un choix ou d’un jugement ni surtout d’une propriété.
 
 
Le mot démocratie est un mirage, un fourre-tout (liberté, égalité, fascisme, république, état, classe, etc.). Le nazisme se disait démocratique (Hitler a pris le pouvoir avec 95% des voix), le communisme se dit démocratique. Tous les régimes se disent démocratiques. Ce mot est un attrape couillon.

Une vrai union c’est : les visions ou paysages de pensée de plusieurs personnes ne pourront JAMAIS être contradictoires. (Il y a diversité de dons, mais c’est le même esprit. Corinthiens 12 4-12)

Un Accord d’Or :
« La véritable dignité d’une nation réside dans la possibilité qui lui est reconnue de jouer son rôle dans la polyphonie du concert mondial, selon sa vocation propre et ses propres façons de sentir, de penser et de vivre selon l’Esprit. Car il en est des nations comme des individus : les dons sont divers mais c’est le même esprit. Les nationalismes divisent. Au contraire, le respect des colorations différentes dans les modes de vie, de sentir et de penser des nations peut et doit créer l’unité dans la diversité, seule forme d’unité qui puisse se dire universelle ». Jean Coulonval
 
C’est ce que j’appelle Alephtocratie.

Je continue d’après le livre de jean Coulonval : Synthèse et Temps Nouveau, dont la plupart des lignes ci-dessous sont extraites.

L’internationalisme (mondialisme actuel), proposé comme l’antidote des nationalismes, ne vaut pas mieux car il procède par négation des vocations nationales particulières. Il ne peut procéder que par nivellement par le bas, sur le plan d’une basse psychologie du ventre et du bas-ventre. (NTMR : tel est l’état de la démocratie par exemple).

L’américanisme aussi bien que le communisme ne peuvent conduire qu’à une basse uniformité, à un « général » vraiment général, baptisé « universel » (NTMR : ce que Sarkozy et d’autres appellent : la gouvernance mondiale), non pas à une polyphonie mais à un solo de tambour. Cela précisément parce que l’un et l’autre prennent pour critères de valeur de leur civilisation des signes purement matériels, et comme moyens de persuasion politique des procédés qui visent uniquement le psychologique et les appétits sensibles, c’est-à-dire la part de l’âme la plus excentrique, celle qui a le plus tendance à refuser, à refouler tout ce qui, dans le vrai sens, à vraiment valeur universelle. Car l’Universelle est de l’Esprit, le général est de la terre.

Cette confusion entre le général (total quantitatif) et l’universel (unité dans la vision métaphysique et qualitative) est commune, bien que sou des formes différentes, au communisme et à l’américanisme. Le communisme identifie l’Esprit au psychologique et veut l’uniformisation des façons de vivre et de sentir. L’américanisme réduit la civilisation au seul aspect scientifique, technique et économique. Il ne nie pas officiellement l’Esprit mais le noie dans un flot de jouissances matérielles uniformément imposées à tous par l’American way of life, et aboutit également à l’uniformité psychologique et à l’étouffement de l’Esprit. L’un et l’autre peuvent résoudre les tensions et antagonismes du corps social, mais en réduisant l’homme à sa seule dimension psychologique et physique.

L’américanisme unifie le pathos de classe dans le culte généralisé de la technique et l’identification des besoins de consommation imposée par la technique publicitaire, mais il abandonne les choses de l’esprit au dévergondage religieux des sectes. Le communisme, au contraire, parce que centré sur une conception bien définie de l’homme, si fausse qu’elle soit, tend à substituer aux classes, lesquelles se définissent par de critères économiques, une autre classification selon les critères d’une pseudo-spiritualité qui engendre des pseudo-castes : celle des paysans, des ouvriers, des fonctionnaires, des politiques.

États-Unis : mystique du dollar ou de l’argent, de la technique et du commerce si bien communiquée à toute la société qu’il existe pratiquement plus de classes sociales, au sens de psychologies de groupes antagonistes. Les États-Unis n’ont réussit leur « idéal démocratique » qu’en dissolvant totalement le sens de la « personne », entité métaphysique et non temporelle. L’intégration de l’individu dans le social s’accomplit sur le plan de l’uniformité des attitudes psychologiques dans l’usage des biens matériels. Il ne s’agit pas pour l’individu d’être une personne, ce serait se singulariser, mais de « faire comme tout le monde ». C’est l’American Way of life que l’Américain s’imagine ingénument pouvoir convenir à tous les peuples. (NTMR : du genre : « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous », ce qui est du colonialisme).

Le communisme, imprégné par l’enseignement de ses maîtres, veut s’intégrer à la Trinité divine par la participation communielle définie dogmatiquement par le bureau du parti comme par un concile, et proclamée par le chef suprême du Parti, comme par un Pape.
Le communisme a été pensé et installé en Russie par des Juifs. Voués par Dieu à la pensée globale, à la synthèse, les Juifs ont tout perverti, et pourtant, ils sont irremplaçables. Le monde a besoin d’eux...

Le catholicisme demande aussi le renoncement au jugement personnel. Lui aussi fait appel à un médium, à un gardien du dogme et de la tradition qui est le Pape. Lui aussi prêche la participation à un même corps de vérité universellement valable, mais il ne le fait que pour ce qui est au-dessus du temps, pour ce qui est véritablement immuable, pour les essences (NTMR : Au moins dans son principe !). Le communisme, au contraire, veut fixer l’infixable : le temps et l’histoire.

Si le communisme combat le capitalisme, il lui doit pourtant d’exister (NTMR : voir le cas de la Chine et de son business à outrance). Capitalisme et communisme coexistent pour le moment, on peut même dire qu’ils se conditionnent l’un l’autre. Et si l’on pouvait fouiller assez profond dans les instances occultes qui mènent le monde, on trouverait certainement des hommes qui influencent à la fois la Russie et les États-Unis.

L’État marxiste idéal est la dictature d’un seul qui « dit » la vérité du jour et ce que sera celle du lendemain, qui décide du dogme à tout instant remis en question. C’est Sisyphe qui pousse son rocher. C’est un Pape et une Église à l’envers, en creux. Un marxisme qui tend à uniformiser psychologiquement les hommes en standardisant leur vie dans le temps et l’histoire et leur comportement social par une sorte de transposition sur le plan éducatif des méthodes de fabrication industrielle de série. (NTMR : à entendre « nos hommes politiques » à propos de mondialisation, c’est ce vers quoi nous nous dirigeons à fond la caisse. Cela risquant d’engendrer un chacun pour soi généralisé en forme de chaos mondial, chacun voulant échapper à la masse d’être un simple numéro pucé par un truc électronique. Nous allons vers ce même système religieux du communisme, qui dit que dans le principe était la matière, et non le Verbe).
Tout ce qui est en haut est comme tout ce qui est en bas, est-il écrit maintes fois dans les ouvrages d’Alchimie. Ainsi il existe une astronomie sociale comme il existe depuis des millénaires, n’en déplaise aux rationalistes, une astrologie et, ou une astronomie du cosmos. C’est peut-être l’intuition juste (selon Jean Coulonval) qui a présidé à la gestation du communisme; mais l’accouchement a donné un monstre parce que l’ordre des gènes était renversé, intégralement perverti. Tout est une question de qualité des semences.
Aussi, rien à attendre d’aucune forme de démocratie, y compris la dictature hitlérienne ou stalinienne, ou toute autre, qui n’est que la démocratie à sa maturité.

S’accrocher au capitalisme occidental comme dans une forteresse pour résister au communisme, c’est une faute. Une faute, d’abord parce que dans ce combat c’est le communisme qui a l’initiative des opérations, le capitalisme étant acculé à la défensive. Ensuite parce que c’est considérer ces deux formes de politiques comme des systèmes clos, alors qu’ils ont entre eux d’étroites affinités. Rejeter le communisme et garder le capitalisme, c’est rejeter le fleuve et vouloir garder sa source.

Je continue l’exploration précieuse du livre de Coulonval. À propos du gouvernement mondial qui se pointe en forme de dictature, et d’institution d’une « nouvelle religion » :

Principe de la dictature.
Staline renverse les rôles. D’objet fabriqué, il décide de devenir sujet fabricant. Et il peut bien nous dire que la vie matérielle de la société existe indépendamment de la volonté de l’homme, il n’en décide pas moins, lui un homme, de ce qu’elle doit être pour « fabriquer » des hommes à sa convenance. Et cela réussit dans la mesure où les hommes n’ont pas atteint l’autonomie intellectuelle.
Ce renversement des rôles, par Staline et de tout dictateur en général, ne serait pas possible si le SPIRITUEL, en tant qu’essence ontologique, était issu de la matière par évolution. Car l’évolution, au sens marxiste aussi bien que teilhardien, est une conception linéaire dans le temps et irréversible.
Renversant les rôles, de fabriqué physique devenant fabricant de la spiritualité, du psychisme des autres, Staline se pose en démiurge (Staline est mort, mais cela est vrai de tout le « clergé » marxiste). Il est le dictateur à l’état pur dont les sujets ne sont que des objets à pétrir, à façonner, à fabriquer. D’où la technique du lavage de cerveau. (NTMR : voir la technologie du projet Bluebeam ou Blue Beam de manipulation mentale).

Ainsi, tout individu qui se soumet d’une façon plus ou moins masochiste au matraquage de ceux qui sont détenteurs du moule (les politiques, les médias, l’opinion), qui se soumet plus ou moins à la volonté de la tête d’œuf de le fourrer dans son moule, renonce du même coup à sa liberté, par un processus qui singe la religion. Tout système philosophique, tout système politique (ils se disent tous démocratiques) est une cage, une clôture, un esclavage, une limitation de l’être. Nous vivons le règne des systèmes, des dictatures. Toute « opinion » est le germe d’une dictature. Jésus de Nazareth a dit : « Qui perd sa vie la gagne ». Sentence hautement alchimique... Comprenne qui pourra, mais penser aux « croisements ».

Le communisme est tout à la fois pouvoir religieux, pouvoir politique et pouvoir économique. Il ne les distingue pas, et se présente ainsi à l’envers de l’islam, lequel bloque aussi les trois pouvoirs, mais pour soutenir l’unité du divin.

Faut-il compter sur la télé pour « cultiver » les ouvriers ? Jusqu’à présent elle n’est qu’une entreprise d’abrutissement du public en lui donnant l’illusion d’apprendre beaucoup de choses tout en lui taisant, sciemment, ce qui est important. (NTMR : texte écrit en 1968).
Jean Coulonval aux « hommes politiques » :
Que l’homme en ses actes, en tous domaines, économiques, politiques ou religieux, doit agir dans le respect de ces structures. C’est ça la morale. Mais le péché a faussé en l’homme la vision juste de cet ordre. Il est comme un mécano amateur qui, ayant démonté une bagnole, essaie de la remonter et, trouvant des pièces en rab, décide de construire une machine à coudre.

En ce dirigeant vers la mondialisation d’un pouvoir et d’une organisation, on peut y trouver une pseudo-démocratie allant vers une « maturité », ce qui conduit effectivement à une dictature : plus de pluralité pour beaucoup de choses y compris les partis politique. Les opinions politiques sont ennemies entre elles, par nature, et donc l’État qui prétend admettre la pluralité des opinions et donc des partis, est foncièrement hypocrite, faux jeton.
Aucun homme politique n’a le courage de dire à la télévision ou autres médias : « Vous savez, je vous couillonne ! ».
Adhérer à un parti politique, c’est se fondre dans un corps psychologique, mental et intellectuel, différent d’autres corps politiques dont on se fait l’ennemi. C’est participer à la nature profonde des antagonistes sociaux, à quelque niveau qu’ils se situent, et donc de les entretenir, les nourrir. C’est consentir à se faire malaxer l’âme par les maîtres à penser du parti. Tout parti, tout « isme » ou système de pensée est une prison, un genre de dictature.
Les parties politiques font penser au matérialisme : ma théorie scientifique, mon parti politique, ma religion, ma maison, ma voiture, ma femme, et mon cul comme terminait tristement le dessinateur Chaval sur une caricature. Les défilés politiques ou syndicaux avec pancartes et drapeaux, chants, caractérisent toutes les manifestations des foules en proie à un même culte (d’un homme, d’une cause, d’une idéologie). C’est comme une véritable liturgie. Ce sont les délires des foules, nazies, communistes, gaullistes, pour Obama le jour de sa prise de pouvoir, délires estudiantins de mai 1968 ou autres.
La propagande électorale touche ses électeurs dans ce qu’il y a de sensible : le porte-monnaie ! comme s’il n’y avait que cela qui « compte ». Une mauvaise guerre constante règne donc sur cette planète. La bonne guerre étant le combat contre soi-même.
 
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Comme Janus, le verbe Être a deux visages, et faute de les distinguer, toutes les discussions des hommes sont un combat de nègres dans un tunnel :
- Premier sens : je suis américain, je suis pdg de Goldman Sachs ; cela veut dire que je suis né dans un pays déterminé et dans l’espace et le temps, que les circonstances m’ont amené à cette fonction et à cette classe.
- Deuxième sens : je suis un homme ; là il ne reste que la charpente de l’Être, donc le principal. La quincaillerie des adjectifs, des accidents du temps et de l’histoire vient se greffer sur la charpente.

M. R.


Ce n’est pas possible ! on croit rêver ! Voilà un exemple d’intervention complètement
creuse avec des mots qui ne veulent rien dire. Il vaut mieux en rire qu’en pleurer.
 
 
 

Dernière mise à jour : 16-08-2009 21:53

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