Deux terribles VACCINS
Voici deux vaccins imparables pour les petites et grosses bêtes conviées d’aller se faire voir ailleurs, très économique, et sans danger :
- l’humour
- le Wou-wei ou Wuwéi
- en cadeaux Bonux, il existe aussi comme vaccin supérieur la sincérité.
Le rire est un terrible vaccin, car il n’a pas de plus grand ennemi que l’émotion ! La peur est une émotion, sinon LA principale ; et la peur mondiale qu’on veut nous faire avaler peut succomber sous le coup de la vaccine RIRE. Surtout que le sens et la mode du mot terroriste englobe cette peur, tout comme la peur des microbes et des maladies.
Selon le philosophe Henri Bergson, le rire doit avoir une signification sociale, aussi est-il adapté au cirque mondial que nous vivons actuellement depuis 1945 et Hiroshima, puis le 11 septembre 2001, et probablement jusqu’aux alentours de 2012. Aussi est-il nécessaire d’employer en abondance et sans modération et de plus en plus l’humour.
Ne jamais BRILLER, on voit ce qui est arrivé à l’Or ! et plus ou moins directement à l’Atlantide...
C’est pareil pour nous, qui sommes aussi constitués de métaux ! Ainsi, l’enseignement sans paroles trompeuses est-il préférable, comme le Wou-wei ou Wuwéi : le "non-agir", ou plus vulgairement : le "lâcher-prise". Tout ce qui se fait spontanément est supérieur à ce qui se fait volontairement. Faire le vide pour faire le plein ! Le Wuwéi est l'état de celui qui a atteint l'Union mystique (comparable au Nirvâna bouddhiste).
Les Taoïstes insistent beaucoup sur la nécessité de NE PAS BRILLER. La Lumière spirituelle doit rester intérieure. Si elle s'extériorisait elle risquerait d'éblouir et elle cesserait d'être bienfaisante. Le pouvoir du Saint est immense mais à condition d'être occulte. (Croyez moi ou pas, c’est une règle d’Or !)
Voir aussi la page pour se soigner naturellement contre les grippes.
Rappel : Les vaccins sont dans la plus pure tradition Hahnemannienne. Et le principe de similitude remonte à la plus haute antiquité, plus loin que l’époque d’Hippocrate.
Enfin, pour notre Tsar Kozy :
Les Fléaux (au sens large !)
Timour Kozy
La peste frappe tout le pays (on peut comparer à notre célèbre grippe porcine), faisant d’innombrables victimes, mais, inexplicablement, elle n’a pas touché Konya, la ville sainte, ou Timour a eu l’audace d’installer depuis quelque temps son quartier général. (Dans le palais de l’Élysée il y en a un autre qui s’est installé depuis 2007).
Le Tartare n’est pas loin de s’attribuer le mérite de ce qui touche au miracle et il se vante auprès de Nasr Eddin, qui lui rétorque :
- Seigneur, il ne fait aucun doute en effet que ta présence en est la cause, car Allah, dans Sa suprême bienveillance, n’envoie jamais deux fléaux à la fois.
(D’après le livre : Sublimes paroles et idioties de Nasr Eddin Hodja, traduction de Jean-Louis Maunoury)
Rappel : Nasr Eddin Hodja, ce héros « légendarisé », dont la tradition s’est constamment diversifiée et enrichie au cours des siècles devrait avoir sa place dans la politique de nostre beau pays ! La vérité par l’absurde, le renversement des choses dites normales est conforme à la loi des croisements, celle de la focale d’un objectif, et il se révèle à l’œil du lecteur témoin l’inanité de toute entreprise humaine. Il ne devrait y avoir a résoudre que ces deux problèmes : pouvoir manger correctement, pouvoir s’abriter du Soleil du froid et de la pluie, c’est un minimum pour cette planète... Pour les autres, je ne sais pas encore !
M. Roudakoff
Dernière mise à jour : 10-09-2009 16:38
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