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Adepte, Disciple, et Maîtres du monde Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 25-09-2009 23:30

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Adepte, Disciple, Maître, Monde, Puce


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Adepte, Disciple, et Maîtres du monde
 
 
On parle beaucoup de liberté face à une société de plus en plus complexe, où naissent de plus en plus de lois contraignantes, et de plus en plus de déséquilibre physique et mental, alors que beaucoup de pays se vantent d’être des démocraties.
Sans étaler ici des phrases creuses et fatigantes, voici ci-dessous un texte intéressant sur la relation Maître et Élève. Il faut faire attention au sens que l’on donne au mot Maître, sinon on tombe dans le côté négatif des maîtres du monde, ou des « méchants banquiers » qui tirent les ficelles de leurs marionnettes esclaves. Avec ça il s’ensuit que l’occultisme a mauvaise réputation maintenant dans le grand public ! tout du moins sur Internet. Étrange ! Comme si ceux qui savaient quelque chose voudraient s’en servir pour asservir ceux qui ne sauraient pas. Le pouvoir est effectivement aussi dangereux qu’une bombe, et ceux qui l’ont mal employé sont partis en fumée avant l’heure... Tout est dualité et tout est lié...
   

L'Adepte et le Disciple
J. Krishnamurti a fait une déclaration surprenante : « les gurus détruisent les disciples, et les disciples détruisent les gurus. » Certains ont considéré ces paroles comme une plaisanterie, d’autres furent perplexes. Cependant, selon la tradition dans certains pays, il y a entre le véritable Instructeur spirituel et le disciple sérieux un lien très étroit – plus étroit que celui entre un père aimant et un fils dévoué. Cette relation est testée durant un certain nombre d’années pendant lesquelles l’Instructeur observe le disciple et, s’il le trouve valable, il lui accorde le grand privilège d’une relation intérieure plus étroite. Alors, que devons-nous comprendre de ceci, spécialement à une époque où les gurus prolifèrent, où on est en quête de « mères », et où toutes sortes de gens se prétendent instructeurs ?
 
Nous utilisons ici le mot « adepte » et non « guru », parce qu’un guru est un instructeur dans n’importe quel domaine – en musique ou en électronique, en gymnastique ou en écritures sacrées. Mais un Adepte n’est pas un instructeur sur des sujets profanes et temporels. Le mot « adepte » se réfère à une personne hautement compétente – un expert, non dans les arts ou les métiers ordinaires, dans la philosophie ou la science, mais dans l’art de vivre et la science de la vie. Les deux sont étroitement reliés, car c’est seulement un aspect en apprenant l’art de vivre qu’un aspirant découvre que le voile est enlevé de ses yeux et qu’il est capable de connaître les secrets et les merveilles de la vie.
Pour pratiquer l’art de vivre, certaines qualités essentielles, ordinairement associées avec les arts, doivent devenir partie de la vie quotidienne – la beauté, l’harmonie, un sens des proportions, et ainsi de suite. Beaucoup de gens affluent vers de soi-disant gurus parce qu’ils veulent quelque chose – un soutien, des bénéfices spirituels, des bénédictions, être libérés des pressions de la vie, des problèmes du monde des affaires ou des afflictions causées par la mauvaise santé. Les disciples croient que s’ils paient suffisamment, s’ils plaisent au guru et lui obéissent, ils avanceront spirituellement. La servilité des disciples aide à détruire les gurus, en leur donnant la sensation d’être supérieurs et puissants. Les gurus exploitent les disciples avec des offres de récompenses spirituelles, tandis qu’eux-mêmes reçoivent des dons matériels tels que des avions privés, des voitures et des résidences luxueuses, et d’autres objets de confort.

Le véritable Adepte est complètement différent. Il vit dans un monde différent où ces satisfactions matérielles ou psychologiques n’ont aucune place ni aucun intérêt. Les Adeptes disent : « Quittez votre monde et venez dans le nôtre. » Leur monde n’est pas géographiquement différent du nôtre ; il n’est pas nécessaire d’aller dans les Himalayas ou au Tibet pour trouver un vrai Instructeur spirituel. C’est le monde de leur conscience qui est différent, parce que c’est un monde de complète liberté par rapport à soi, un monde d’unité et de pureté, de sagesse et d’amour. Ils demandent au disciple d’entrer dans un monde dépourvu d’ambition, d’envie, de cruauté et des conflits dont souffre la vie humaine.

C’est un Adepte qui a écrit : « La porte est toujours ouverte à l’homme juste qui frappe. » Cette porte ne mène pas à plus de satisfactions, il n’y a aucune richesse de l’autre côté, aucune position à occuper, aucun statut à atteindre. Par cette porte, nous ne pouvons pas échapper aux difficultés et aux pressions, parce que c’est nous-mêmes qui les créons toutes, nous générons ces forces qui créent les conditions que nous trouvons difficiles.
Alors, qui est la personne qui frappe ? Frapper n’est pas si facile, car cela signifie qu’il doit y avoir une véritable ferveur. Nous accordons très peu d’attention à un conseil bien connu mais très utile tel que : « Vous ne pouvez servir en même temps Dieu et Mammon ». Nous ne pouvons pas nous accrocher à ce monde et espérer entrer dans le monde des Adeptes ou jouer un va et vient entre les deux. Frapper, c’est être avide d’apprendre, être enthousiaste, brûler de trouver la sagesse. Le disciple devrait avoir réfléchi à la naissance de la souffrance, à la raison pour laquelle nous sommes incapables d’être paisibles, et à d’autres questions profondes, et après avoir médité sur de tels sujets, il devrait avoir compris, au moins jusqu’à un certain point, quelles valeurs sont réelles et quelles valeurs sont fausses.

Ainsi, ce n’est pas l’Instructeur qui ouvre la porte. Aucun véritable Adepte ne peut être abusé ou soudoyé pour ouvrir la voie à une dimension spirituelle élevée. La porte est ouverte pour le disciple par ses propres actions, par ce qu’il pense et ce qu’il ressent envers toutes les créatures vivantes sur cette terre. Ces actions libèrent les énergies qui créent des conditions efficaces ou des obstacles. L’Univers est gouverné par des lois inchangeables qui, à l’inverse des lois faites par les hommes, ne peuvent être brisées sans impunité. Il y a des lois que connaissent les scientifiques et d’autres dont ils savent peu de choses mais dont les Adeptes ont une totale connaissance. Ces lois sont le fondement même de la manifestation. On nous dit que si les conditions de l’univers étaient modifiées, ne serait-ce que d’un minuscule degré, il pourrait cesser d’exister. Il y a un parfait équilibre de forces qui opère selon les lois de l’univers. De même que les choses sont soumises à ces lois universelles, il n’y a pour le chercheur spirituel aucune autre possibilité que de travailler et de créer pour lui-même des conditions favorables. Personne d’autre ne peut le faire pour lui.

A la différence des faux gurus, les vrais Adeptes disent : « Remplissez les conditions ». De tels Instructeurs peuvent paraître sévères, mais ils sont cependant de réels bienfaiteurs. Les gurus qui disent « Faites ce qui vous plait ; je vous accorderai mes faveurs quand vous me serez fidèles » trompent leurs disciples.
Écoutons les paroles d’un Maître qui a dit : « Soyez pur et résolu sur le sentier de la droiture (comme indiqué dans nos règles). Soyez honnête et désintéressé ; oubliez-vous vous-même pour vous souvenir du bien de tous les autres. » Celui qui suit de tels conseils attire l’attention d’un Adepte. On nous dit que lorsque l’Adepte éclairé regarde notre monde, il le voit sombre et lugubre, mais ici et là une lumière jaillit de la conscience de ceux qui sont purs et désintéressés, qui oublient leurs propres intérêts pour le bien des autres. Les Adeptes ont à plusieurs reprises indiqué que seule cette affinité intérieure peut amener l’aspirant près d’eux. La droiture et la générosité sont nécessaires pour atteindre la porte et frapper.

Comment l’Adepte obtient-il la connaissance ? Non pas par ce que l’on appelle la chance, car ni la chance ni la malchance n’existent dans un univers gouverné par des lois immuables. L’Adepte est « la rare efflorescence de générations de chercheurs. » Vie après vie, il s’est engagé dans l’investigation du but et de la nature de la vie. La vie du Bouddha indique que dans maintes incarnations il a lutté pour trouver la vérité, il a fait des sacrifices, même celui de sa propre vie, et puis il a reçu l’illumination. L’esprit de recherche – non l’imitation ni la répétition – est de la plus haute importance, c’est pourquoi le Bouddha enseignait : « Soyez à vous-même votre propre lampe. »

Pour devenir illuminé, on doit se préparer à abandonner les « considérations prudentes du monde » et à suivre « l’impulsion intérieure » de son âme. Ayant travaillé dur, un Adepte arrive à voir, à sentir et à vivre à la source même de toutes les vérités fondamentales. Sa conscience est une avec toute vie, ainsi il connaît toutes les choses dans leur essence et n’a besoin de faire aucun effort pour faire la distinction entre le réel et l’irréel. Par conséquent une véritable Instructeur n’encourage jamais ses disciples à poursuivre leurs désirs mondains et ne leur promet pas de récompenses. L’Adepte non plus n’assujettit jamais un autre à sa volonté, comme le font ceux qui foulent le sentier de « la main gauche ».
Le fleuve de la vie coule tout entier dans une seule direction – que Krishnamurti appelait « l’éveil de l’intelligence ». L’évolution est un développement de l’organisme physique pour rendre les facultés de la conscience capables de fleurir en intelligence suprême. L’Adepte, étant pleinement conscient de ce but, n’abrutit pas la conscience d’un disciple en la contrôlant ou en lui demandant une obéissance aveugle. Il guide, mais attend de chaque personne qu’elle agisse comme elle le pense correct, qu’elle soit responsable pour elle-même, tirant la leçon de ses erreurs si nécessaire. Ainsi l’intelligence du disciple se développe et son pouvoir de discernement grandit. Il cesse d’être dépendant .Dans les débuts de la Société Théosophique, un Adepte a dit : « Nous conseillons, mais jamais nous n’ordonnons. » Tous ceux qui comprennent la nature du progrès spirituel suivent cet exemple ; ils discutent, montrent les choses, mais jamais ne disent ce qu’un autre devrait faire ou ne pas faire. Un d’entre eux écrivit : « Les Chélas, à partir d’une idée fausse de notre système, guettent et attendent trop souvent des ordres, perdant un temps précieux qui pourrait être occupé par l’effort personnel. »

Un fait très important que doit apprendre un disciple est que tout ce qu’il reçoit sous forme d’enseignement, de conseil ou de connaissance doit être considéré comme lui ayant été confié pour le bénéfice des autres êtres humains et des créatures vivantes. Nous devons donner dans la mesure où nos avons reçu. Nous ne pouvons pas attendre d’être pleinement illuminés pour partager. Nous devons partager tout ce que nous avons maintenant. Comme tout véritable enseignement est destiné au monde entier, il n’y a aucune place sur le sentier spirituel pour de l’orgueil ou de la vanité. L’affinité avec un Instructeur qui n’a aucun préféré, et qui incarne l’amour sans limites, exige un peu du même esprit de la part du disciple qui doit chercher la vérité par égard pour elle-même, et non parce qu’elle vient de « mon instructeur ». Comme le disait un Adepte : « Apprenez à être loyal envers l’idée plutôt qu’envers ma pauvre personne. » Le seul but pour lequel on doive lutter est l’amélioration de la condition de l’humanité par la diffusion de la vérité.

Comment une personne commence-t-elle à s’entraîner pour être un disciple ? La colère, le désir et l’illusion sont les trois grands poisons qui doivent être éliminés de sa nature. Un Adepte conseillait : « Méfiez-vous d’un esprit peu charitable, car il bondira comme un loup affamé sur votre sentier, et dévorera les meilleures qualités de votre nature. » N’essayons pas de découvrir ce qui est mauvais chez les autres ou d’entretenir de mauvais sentiments « même contre un ennemi ou quelqu’un qui vous fait du tort ». Ne jugeons pas les autres. Les normes du monde spirituel sont différentes de celles qui prévalent dans le monde des hommes ordinaires. « Un honnête cireur de chaussures est aussi bon qu’un roi honnête. » Une personne spirituelle regarde tous les êtres avec affection, avec compréhension, et avec une vision claire de l’ensemble de leur passé, de leur présent et de leur futur. Il se soucie peu de la personne extérieure – des vêtements qu’elle porte et ainsi de suite. Ce qui importe est la condition intérieure, si elle est pure. « Un balayeur immoral est plus élevé et plus excusable qu’un empereur immoral », car le pauvre balayeur peut n’avoir jamais eu la possibilité d’apprendre la moralité, on peut lui avoir enseigné dès l’enfance à voler pour survivre. La vie du disciple doit être bien sûr d’une stricte moralité, « une conquête quotidienne du moi ». L’égoïsme, qui prend la forme du désir, s’exprime en colère et est l’obstacle le plus sérieux à la compréhension de la vérité, doit être déraciné. « Celui qui est vainqueur du moi est plus grand que celui qui gagne de nombreuses batailles. L’Adepte a vaincu le moi : le disciple doit s’engager dans le même travail ».

Radha BURNIER
The Thesophist
Février 2004
 
 
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Petites choses : virus, bactéries, micro-puces ou nouveaux maîtres, plus les dangereuses nanotechnologies.

Il est vrai que : « Grandes vertus gisant es chouses petiotes créées par Dieu » (Note du mode de faire des mélanges du Livre 3, des Trois Livres de l’Art du Potier du “ Cavalier ” Cyprian PICCOLPASSI DURANTOYS). Je ne me lasserai jamais d’inscrire cette si belle phrase sur mon site, car comme tout est double, on peut réaliser des choses pour le meilleur ou pour le pire !

Voir par exemple la page du forum Anti Nouvel Ordre Mondial pour se faire une idée des maîtres du monde et de leur pouvoir absolument mal placé ! Car les méchants veulent empêcher les gentils d’évoluer spirituellement. C’est comme les adeptes de cultes diaboliques qui inversent les choses : par exemple mettre un cache métallique au-dessus d’un bougie pour empêcher sa flamme d’enrichir l’invisible.

Conclusion de la page du forum résumant cette « affaire de psychose collective de vaccin et de puce » :
« Le programme de micropucage est absolument vital pour l'élite mondialiste, c'est leur objectif N° 1 bien avant l'abandon des souverainetés, la dépopulation, l'économie, la politique, le contrôle des médias, la nourriture etc...
La pandémie servira à pucer le maximum de gens, il y aura d'autres maladies, beaucoup de gens devront mourir afin de créer la panique.
Dans un premier temps la puce ne sera pas obligatoire sauf pour ceux qui veulent voyager, puis pour ceux qui veulent travailler et finalement ceux qui veulent acheter ou vendre (comme l'annonçait l'Apocalyspe).
La puce ne consiste pas en un contrôle au sens big brothérien, c'est de tout autre chose qu'il s'agit, c'est la marque de la bête, accepter cette puce équivaut à un passeport pour l'enfer, c'est être damné et renoncer à l'accomplissement de son potentiel spirituel ».

Voir aussi « la Marque de la bête ».

On peut donc se faire son idée, c’est très difficile d'ailleurs ; mais le jour où on annoncera cette possibilité de pucage « souhaitable » sur une grande radio nationale, il sera trop tard et il faudra alors partir en courant !...
 

Dernière mise à jour : 25-09-2009 23:57

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