Voilà bien tout le problème. Et dans son même Dictionnaire à l’article LOIS CRIMINELLES (et elles sont nombreuses quelque soit l’époque) Voltaire écrit : Il n’y a point d’année où quelques juges de province ne condamnent à une mort affreuse quelques père de famille, et cela tranquillement, gaiement même, comme on égorge un dindon dans sa basse-cour. On a vu quelquefois la même chose à Paris. Plus près de nous, il n’y a qu’à voir
l’affaire d’Outreau en plus sur fond de « déviance sexuelle », et autres condamnations à mort du temps où cet ultime supplice honteux était pratiqué en France.
Le problème de la loi est que c’est une règle, le règlement du jeu ; oui il en faut pour toute vie en société, tout fonctionnement d’un organisme sinon c’est l’anarchie, mais cette règle est établit par des humains, et on demande son respect par une autorité chargé de faire respecter cette loi, quelle soit bonne ou mauvaise... C’est bien là le problème. « Dura lex, sed lex ». Non ce n’est pas une nouvelle marque de préservatif. Si une loi va contre les intérêts du peuple, le seul devoir est de la violer !
En conclusion, certes rapide, la loi n’est qu’une chose faite pour VIOLER. Car quand il y a fluidité naturelle dans un organisme, une transparence lorsque les choses s’assemblent naturellement, et donc s’approchent de l’équilibre, de la justesse, la loi est inutile. Il n’y a besoin que de conseils.
Le plus terrible, c’est qu’on parle de normes, alors celui qu’on qualifie « d’anormal », pour ne pas dire de fou, parce qu’il ne pense pas comme « tout le monde » serait déclaré comme « hors la norme, hors la loi » ! exactement comme le qualificatif humain et quasi planétaire de
« mauvaises herbes ». L’herbe est alors qualifiée de mauvaise uniquement
parce qu’elle dérange... Essayez de vous promener tout nu dans la rue, en pleine été c’est mieux, ce que j’ai pu voir de mes propres yeux à Paris en 2008 dans le 18è arrondissement. Je suppose que le type a rapidement été cueillit par une quelconque « force de l’ordre ». Mais il est sûr que ça surprend de voir le petit bout de chair qui se balance entre ses cuisses au rythme de ses enjambées ; « nous ne sommes plus habitués ! » ; tellement plus habitués que l’on se dira : il avait bu ou consommé quelques produits illicites, ou il s’était fait voler ses vêtements, ou c’était de la provocation, c’était un fou, etc.
L’ordre, l’ordre, toujours l’ordre...
Oui ! le propre du MIRACLE, c’est qu’il échappe à la loi des pauvres humains, à ceux qui veulent imposer un ordre, un règlement, une loi ; et dans le Miracle, ça ne colle plus, plus personnes n’y comprend rien ! C’est une chose rare, voir UNIQUE, une SINGULARITÉ ; La loi est violé à son tour : les lois mathématiques, divines et dites éternelles par les humains, n’ont plus court. Et en mettant là-dedans Dieu ou le Créateur de toute chose, ça devient scabreux : comment ce Créateur peut-il avoir créé une de ses lois qui se fassent violer ?!
Un quelconque dieu n’a rien à voir là-dedans, et la Nature, c’est à dire nous-même pouvons fort bien être pris en violation de certains principes ou adresses ou pirouettes, mais il n’appartient à personne d’énoncer que 2 + 2 = 4 ou 5 ! puisque encore une fois : NOUS SOMMES LA NATURE. Pour éventuellement, je dis bien éventuellement trouver un autre résultat à la petite addition, il faudrait pouvoir sortir de la Nature, sortir de l’univers dans lequel nous sommes...
Le Miracle n’est que ce que l’humain ignore encore, et en tous les cas il devra se contenter d’ignorer certaines choses à jamais, sous peine de se voir disparaître lui-même ; c’est aussi simple que cela. Cela rejoint le NŒUD : il y a des nœuds à ne jamais défaire, sous peine de tout perdre, ce qui est arrivé à Alexandre appelé à tort « le grand ». A vouloir résoudre un mystère qui transporte, élève, on risque de tout perdre en le tuant. Là encore c’est très simple.