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Les lois et les fessées de l’État Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 31-10-2009 15:42

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Autorité, Banques, Bourreau, Chef, Démocratie, Division, Esclaves, Fessée, Juges, Lois, Police, Prison, Punitions, Sadisme, Sécurité, Tabou, Terrorisme, Tortures, Victimes


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Les lois et les fessées de l’État
Pas loin de pipi-caca ! donc de l’instinct
Comment l’État devient un terroriste et un sadique ordinaire


Autorité et lois scélérates
 
NON à la TORTURE (1) des BANQUIERS
 
ATTENTION PAGE IMPORTANTE : concerne l’attitude face à un refus de l’autorité, par exemple celui de refuser DE SE FAIRE VACCINER si ça devenait OBLIGATOIRE. 83 % des Français se déclarent actuellement opposés au vaccin contre la grippe porcine. Cela laisse augurer que 83 % refusent et refuseront de se laisser vacciner, mais ce n'est pas si simple, car une chose est de s'abstenir d'une démarche, lorsque l'on se sent libre de la faire ou non, une autre chose est de refuser l'obéissance lorsque l'ordre arrive par les « autorités ou voie hiérarchique ou voie pyramidale ». Ceux d’en haut qui décident...

D’après des psychologues, certainement des comportementalistes et même pas des psychiatres ! selon leur « théorie », l’être humain apprend mieux lorsqu’il sait que chaque erreur de sa par lui attirera une punition. Donc nous ne sommes pas loin du bourreau, du prof d’école et de sa règle frappeuse de fragiles phalanges ou de souples cuisses. C’est l’appel des fonctions de base : dormir, boire et manger et le chier.
 
« Si tu ne me dis pas la vérité, je te donne une fessée ! comme ça tu apprendras, tu te souviendras »... Bonjour Sigmund Freud and Co. et les pharamineuses sommes d’argent qu’il faut donner en analyse pendant de très longues années, et sans remboursement de la Caisse de Sécurité Sociale...

Il paraît qu’il y a des sadiques qui s’amusent à « scientifiquement » chiffrer l’influence que la punition peut avoir sur la mémoire ou plutôt l’autorité, chez des personnes qui maîtrisent leur sphincter et leur vessie, autrement dit des adultes. (En principe plus besoin de couche culotte).
Ainsi dans l’expérience de la vidéo ci-dessous, extraite du film I comme Icare, avec Yves Montand, il y a : le masochiste et le sadique, pardon : l’élève, et le professeur ou moniteur. Mais on peut aussi comprendre : la victime et le bourreau ; la police et le voleur ; le justiciable et les juges, etc. Bref les contraires au prise avec la loi de dualité bien de chez nous dans le monde de la manifestation.
Inutile de dire que depuis la découverte de l’électricité ça y va bon train les décharges sur les fragiles parties du corps des malheureuses victimes du bourreau.

Dans la vidéo ci-dessous, on peut voir la règle de l’imbécilité de l’association établit selon la « bonne vieille pensée unique » :
- Ciel = Bleu
- Animal = Féroce
- Vent = Violent
- Esprit = lent
- Bouillon = Gras
- Livre = relié
- Meuble = Ancien
- Sommeil = Lourd
- Rire = Sardonique
etc.
Mais beaucoup d’associations sont en plus dans une tendance négative guère encourageante pour la future victime. Et la victime risque fort de finir électrocutée ou d’un arrêt cardiaque, car dans l’idiotie de la vidéo, le pauvre type doit retenir pas moins de trente associations.
Bref, pas d’autre alternative que de se comporter comme une machine binaire, sous peine de se prendre des décharges électriques de la par de votre bourreau. Et attention, plus la victime, pardon l’élève se trompe, et plus la décharge est puissante ! Ba voyons...
Ce « test » est une variante de celui des taches (test de Rorschach). La « victime » de l’illusion doit pouvoir interpréter librement les associations, sinon ce n’est que de la torture tout simplement. Rien ne doit m’empêcher de faire l’association : bleu et lumineux, animal et vigoureux, vent et automne, etc. Comme d’ailleurs savent le faire très bien les enfants, avec leur imaginaire pas encore aboli par l’âge adulte. Car l’indétermination est l’un des caractères les plus frappant du langage des enfants. Un soldat de plomb par exemple, comme objet, peut être nommé un canon, un avion, un sous-marin, etc. et parfois un soldat, selon les besoins du moment. Alors qu’aux yeux d’un adulte un soldat de plomb ne peut être qu’un soldat de plomb : pensée binaire et rien de plus ! Je préfère nettement la définition mouvante ou cavalante !

Expérience de la vidéo ci-dessous totalement idiote, criminelle, inutile, ne portant que sur la mémoire, appelée ici pompeusement : « Expérience sur la mémoire » et donc sur ce que l’école de Jules Ferry entend par : « bourrage de crâne », en d’autres mots : lavage de cerveaux, ou programmation d’un individu. La formation, ou in-formation ou privation de forme sous toutes ses formes ! J’imagine ce que ce genre de tortures peut donner sur de très jeunes enfants, ce que ne s’est pas privé de condamner David Icke, dans ses divers ouvrages sur le Nouvel Ordre Mondial et ses tendances totalitaires de la pensée unique.
Et dans l’expérience idiote de la vidéo, le bourreau, pardon le professeur s’exclame en bon bourreau : « Réfléchissez avant de dire n’importe quoi, si vous croyez que ça m’amuse de vous envoyez des décharges ». Là, je vois le bourreau avec son marteau à la main, sous les ordres du prêtre inquisiteurs qui râle de devoir faire casser les os des jambes de la victime.

Et le sadique en chef explique que la mémoire n’a en plus rien à faire dans ce test, seul compte la soumission à l’autorité ; ce qu’à très bien démontré dans ses livres David Icke, toujours à propos de la torture de très jeunes enfants pour les programmer dans le futur quand ils seront « adulte ».

Le problème est :
- Jusqu’où la victime va t-elle obéir aux ordres imbéciles de son bourreau, et le bourreau obéir à son autorité, toutes ces autorités étant anonymes, comme le bourreau sous sa cagoule, puisque dans l’expérience, victime et tortionnaire ne se connaissent pas, sauf ici seulement visuellement. Donc jusqu’où la victime va t-elle aller pour exécuter la « mission qui lui a été confiée ? » Là encore, David Icke explique bien cela à propos des douleurs et même sévices sexuelles (ça marche encore mieux) infligés à de très jeunes enfants pour les programmer.
Dans la vidéo, c’est au bourreau, pardon au « professeur » de se révolter contre l’autorité, et de cesser de tourmenter sa victime. L’autorité étant représentée dans la vidéo par un type en blouse blanche parfaitement froid et insensible, mécanique même.
Et le sadisme de la vidéo est particulièrement diabolique, car le bourreau ne peut pas s’arrêter si facilement de martyriser sa victime, s’il s’arrête, il reconnaît qu’il a eut tord d’aller jusque là ! En continuant, il justifie tout ce qu’il a fait jusqu’à présent. C’est exactement ce qui se passe avec Obama et Guantanamo. On peut dire qu’il y a une étrange étroitesse d’esprit ou prison.

Le subtile la-dedans, c’est que le chef ou autorité en blouse blanche, sous les questions angoissées du bourreau à propos de sa victime de plus en plus mal, le décharge de sa responsabilité comme pour permettre à son bourreau de poursuivre malgré sa compassion envers sa victime. Cette même autorité en blouse blanche qui veut aller jusqu’au bout, « sous peine de fausser les résultats ».  Diabolique ! Puisque le pire, si je peux écrire, est a venir : tout est en placebo, il n’y a aucun courant qui arrive sur le corps de la victime. C’est la torture psychologique employé à Guantanamo. Il faut rappeler que : « Toute blessure physique demande du secours, et que toute blessure mentale demande du temps ». (Blessures mentales demandant du temps pour se réparer : des dizaines d’années... donc une vie gâché)
En ce qui concerne l’autorité, lorsqu’il y a un désaccord entre les divers pouvoirs, le bourreau refuse d’obéir par une finale compassion envers sa victime.
L’effroyable résultat du test de la vidéo, c’est que 63 % des bourreaux acceptent l’autorité, ou sont obéissant, et accepte donc le principe imbécile de l’expérience.

Les deux tiers de la population sont capables d’exécuter n’importe quel ordre venant d’une autorité supérieure. « J’ai fais ce qu’on ma dit de faire moi ! ». Si on vous dit emprisonner, vous le faites ? A cause de la loi ? de quelle loi ?
« Quand on ordonne de lancer une bombe sur Hiroshima, on demande pas si c’est bien ou mal ! On lâche la bombe »
On voit bien ici que l’on est très très très loin d’une Alephtocratie ! et très très très loin d’une démocratie. Alepthocratie où chacun est responsable, le plus important c’est qu’il n’y a pas de chef, donc de morcellement de pouvoir permettant à un tyran de recruter des millions de petits chefs exécutant avec compétence et sans remord les ordres venant « d’en haut ». Diviser pour régner est bien connu (2). Les uns vont arrêter les victimes, d’autres vont les conduire dans des camps, directeur du camp faisant aussi son  devoir de directeur de camp, etc. « Vous comprenez, je ne fais que mon métier » m’explique le contrôleur SNCF qui me colle une contravention parce que j’ai simplement oublié de composter mon billet à la gare, billet pourtant acheté. « Vous comprenez, je vous torture pour le bien de l’autorité », ou : « interrogatoire musclé pour sauver des populations », selon la formule militaire hypocrite. Le mot « interrogatoire » étant un mot fourre tout pour cacher la torture ou psychologique (la pression), ou physique, comme au Moyen Age il y avait la « Question ordinaire » et la « Question extraordinaire ».
A tous les maillons de la chaîne démocratique, ne pas avoir peur de l’écrire, le pouvoir central a rendu l’obéissance confortable, SÉCURITAIRE. Comportement enfantin qui croit que l’autorité sait tout. Pire : autorité déifiée, puisque respectée, l’argent n’ayant aucun pouvoir sur la fonction du bourreau, seul sa FOI en l’autorité compte. Il serait tabou de remettre en cause cette autorité. Mais je vais encore une fois citer le conte de Hans-Christian Andersen : Les habits neufs de l’Empereur, où un petit garçon brave le tabou, grâce à sa pureté.
L’Alephtocratie n’est portée que par une voie, une sorte de Tao, donc pas de pouvoir, c’est essentiel. Un est le Tout.
Rappel en ce qui concerne la DÉMOCRATIE :
- « Les biens portants sont des malades qui s’ignorent, et la santé est un état précaire qui ne présage rien de bon », écrivait Jules Romains à travers son Dr Knock. Aussi les systèmes trop parfaits explosent ou implosent souvent d’un seul coup. Voir ce qui se passe dans les dernières secondes de la vie terrestre d’une braise.
LE JEU DANS LA MÉCANIQUE, ou son ÂME est si important. Tout comme le cerveau n’est qu’un système biologique traitant des informations ; le programme est ailleurs ! Tout comme l’origine du mal se situe d’abord dans l’humain, et non dans les virus et la maladie chère à Big Pharma. Tout est double et il faut croiser...


Attention, dans tous les cas de la vie hélas courante,  il est important à tout instant de rester ÉVEILLÉ.
 
M. R.
 
 
Notes.
1. Le travail (du latin tripalium, un instrument de torture) désigne l'effort, l'application nécessaire pour faire quelque chose. On appelle aussi le travail : le labeur. Ces termes désignent donc la souffrance, le tourment, la torture. Travailler à la sueur de son front.

2. La même chose se passait par exemple dans les Studios de Walter Elias Disney !
 
 
 
 
 
 
 
300 à 400 torturés par mois

« De Gaulle a dit : ‘plus de torture’ ; alors messieurs, plus de torture,
mais torturez quand même »

(Général Bigeard)


Guantanamo français ou gestapo française ou institutionnalisation et industrialisation de la torture par l’État pendant la guerre d’Algérie.
Bien regarder le détachement avec lequel décrivent leurs tortures ces bourreaux, sauf la sincérité du dernier bourreau qui explique même que des soldats français raflaient simplement des femmes non pour les interroger, mais pour les violer...
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 01-11-2009 17:28

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