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Killer Louis Pasteur Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 08-11-2009 21:13

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Banques, Business, Pasteur, Tueur, Vaccins, Vie, Virus

 
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Killer Louis Pasteur

Extrait d’un article du journal NEXUS n°65 de novembre-décembre 2009, sur le dossier des vaccins, par Pryska Ducoeurjoly. L’extrait sur Pasteur est un article de Sylvie Simon.

Le grand public ignore les échecs des premiers vaccins, comme celui de la variole, et les accidents qu’ils ont engendrés.

Pasteur, le mythe fait toujours rage

Dès l'école, nous apprenons que Pasteur qui est officiellement le « père de la vaccination » a sauvé le petit joseph Meister, mordu à la main par un chien enragé. Or, il n'existe aucune certitude que le chien était enragé, car il mordit d'autres enfants du village qui ne manifestèrent pas la maladie. De plus, le risque pour le jeune Meister était infime, car un animal réellement enragé ne transmet la maladie que dans 5 à 15 % des cas.
 
Édouard Rouyer, un autre enfant dont on parle beaucoup moins, fut la malheureuse victime de Pasteur, Il fut mordu le 8 octobre 1886 par un chien et Pasteur lui inocula son vaccin. Le 26 octobre, l'enfant mourut et fut officiellement déclaré « mort d'urémie ».
Ces mensonges concernant le vaccin contre la rage sont une réédition des mensonges concernant le vaccin contre la variole, et l'exemple même des mensonges de Pasteur, qui ont été tellement répétés et introduits dans la mémoire collective qu'ils sont devenus des vérités inattaquables.

Autre mensonge, le vaccin antirabique ne fut pas créé par Pasteur, mais par Henri Toussaint, professeur à l'École vétérinaire de Toulouse, dont le nom a été oublié par l'histoire. Le vaccin créé par Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux, au point qu'il fut bien vite abandonné. À cette époque, 40 étrangers et 34 Français étaient déjà morts à cause de Pasteur. Le Pr Michel Peter, membre éminent de l'Académie de médecine, concluait : « Monsieur Pasteur ne guérit pas la rage, il la donne » ! À son tour, l'écrivain Léon Daudet s'éleva contre ce qu'il appela « la nouvelle morticoli » et publia une série d'articles sur le sujet.
Pasteur a maquillé les résultats des expériences qui ne lui étaient pas favorables comme l'aurait fait un vrai faussaire, mais en France, il est « interdit » de critiquer cet homme idolâtré car toute l'industrie du vaccin repose sur ses recherches et ses « succès ». Tous les défenseurs acharnés de Pasteur devraient lire les ouvrages du Dr Philippe Decourt, de Xavier Raspail, d'Ethyl Douglas Hume, ou de Gerald Geison, professeur d'histoire des sciences et de la médecine de l'université de Princeton, qui rapportent tous des faits parfaitement authentifiés qui devraient suffire à faire tomber ce personnage de son piédestal. Mais le mythe pasteurien est tellement ancré dans l'esprit populaire, il a créé une telle idéologie, que rien n'a encore pu l'ébranler. Et en février 1993, le très sérieux magazine Science dénonça « l'imposture pasteurienne », mais en France, personne n'en a entendu parler.
Il est évidemment bien triste que l'un des plus grands héros des Français soit un imposteur, d'autant qu'il inaugura une certaine forme de mensonge qui règne actuellement sur l'information scientifique et particulièrement en ce qui concerne les vaccins.


Quand la polio rencontrait le virus simien
En 1923, Gaston Ramon, vétérinaire à l'Institut Pasteur, créa les premières anatoxines contre le tétanos et la diphtérie. Alors que 63 249 cas de diphtérie furent traités par l'antitoxine, plus de 8 900 décédèrent, soit une proportion de 14 %, alors que sur 11 716 autres cas non traités par l'antitoxine, 703 moururent soit seulement 6 %.
En 1954, le vaccin Salk contre la poliomyélite provoqua immédiatement une « épidémie » de cas de polio. Ainsi, l'état du Vermont signala une augmentation de 266 % des cas, le Rhode Island de 454 %, et le Massachusetts de 642 %. Les cas de polio ne cessèrent d'augmenter et l'on commençait à savoir que les médecins qui faisaient partie du personnel des institutions de santé évitaient de vacciner leurs propres enfants. En 1956, le gouvernement octroya 53,6 millions de dollars pour aider les États à vacciner gratuitement les moins de 20 ans, alors que le Dr Peterson, directeur de la Santé de l'Idaho, signalait que la maladie ne touchait que les enfants vaccinés dans les districts où aucun cas ne s'était produit depuis l'automne précédent. Dans 90 % des cas, la paralysie concernait le bras dans lequel le vaccin avait été injecté. Dès lors, on appliqua la censure aux rapports d'accidents causés par ce vaccin.
 
 

Dernière mise à jour : 08-11-2009 21:15

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