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Terrorisme d’État et Vaccins Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 22-12-2009 18:29

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Banques, BCG, Business, Grippe, Laboratoires, Politique, Vaccins, Virus


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Terrorisme d’État et Vaccins
Exemple du BCG ou comment faire vendre avec l’aide de l’État des vaccins
pour augmenter les bénéfices des actionnaires des laboratoires
 
La diarrhée législative française promulgue sans arrêt de nouvelles lois mal étudiées, souvent même inapplicables (cas HADOPI). Le Nombre de nos « obligations » n’a plus de limites. (Diarrhée législative est un terme d’après Georges Clemenceau)

Le cas de l’hystérie française du A H1N1 n’est pas nouveau, il ne faut pas remonter si loin pour un peu plonger dans la vaccination obligatoire du BGC et de sa dangereuse Cuti-réaction tuberculinique.
 
Avec sa « réclame » ou propagande du « Stoppe au virus de la grippe » (du même ordre que vouloir stopper les terroristes à la mode), en forme de délit de sale gueule envers les formes de vie que sont les virus, le pouvoir en place n’a pas osé imposer, heureusement, une vaccination obligatoire dans le cas du A H1N1, mais d’une manière déguisée il a fabriqué un système hiérarchique bien administratif ronds de cuir et bons (points) selon les priorités.

C’est soi-disant gratuit, mais pas l’information téléphonique (0,15€ ttc/min), le gouvernement en faillite taxant tout. Qui paye tout ce cirque et les vaccins ? mais les contribuables bien-sûr : nous tous !

> Coup d’œil sur les fichiers pdf du gouvernement du A H1N1.

Maintenant, le nombre de vaccins obligatoires :
- Cas des années 1950 : variole, diphtérie, tétanos, fièvres typhoïdes, et BCG. (A cette époque une personne évoque déjà un vaccin contre la grippe, le Dr. Topsent dans la Presse Médicale de juin 1949. Ce même docteur parle également d’indemnisation des victimes des vaccins)
- Cas des années 2000 : poliomyélite, tétanos, oreillons, rougeole, rubéole, variole, varicelle, coqueluche.
On voit facilement l’arsenal beaucoup plus long dans les années 2000 (c’est la guerre contre l’autre, toujours le délit de sale gueule), pour « sécuriser » le futur consommateur ! en boostant ses défenses immunitaires malgré lui, en lui injectant un virus « atténué ». Que ne ferait-on pour la mode du tout sécuritaire. A quand un vaccin contre la mort ?
Le régime hitlérien voulait lui aussi protéger le peuple, tout comme le Petit Père des peuples : Josef Staline.
Hélas dans la France de Tsar Kozy, on sait maintenant que le pouvoir veut tout contrôler, surtout Internet. Toujours l’arnaque du sécuritaire.
S’il s’agit de soumettre l’autre, le microbe, il s’agit aussi de se soumettre à LA LOI ! C’est la prison de l’Ouroboros.

Le tapage merdiatique des moyens modernes de communication et de propagande n’est pas en reste par rapport à celui des années 1945-1950, où l’on proclamait partout, affiches, radio, conférences, que du moment que la tuberculose augmente, c’est que l’on avait pas encore surveillé suffisamment nos enfants et nos adolescents et qu’il fallait leur faire encore plus de cutis réaction en série. Et l’on construisit des préventoriums et des sanatoriums : une année d’un tuberculeux en sana coûte 250.000 francs de l’époque (juin 1949). Mais comme maintenant, pour maintenir l’emploi et faire baisser les statistiques du chômage, il fallait faire vivre tout un tas d’infirmières, de visiteuses et d’assistantes sociales, et assurer chaque jour la fabrication et la vente de flacons de tuberculine pour cuti-réactions.
Et toujours au bout c’est le contribuable qui paye.

Comme il est écrit dans les Cahiers de l’Humaniste médical de mai 1949 :
« Faire de la propagande, c’est masquer le tout et refaire le reste ».

Le pouvoir suisse plus intelligent que le pouvoir français n’a pas voté le dépistage obligatoire de la tuberculose par cuti, vote par 621.807 voix contre 201.511. La bureaucratie française réduisant ses citoyens à l’esclavage, tout comme maintenant avec le A H1N1. La peau de chaque citoyen tout comme notre santé nous appartient, personne ne peut imposer contre sa volonté une prévention de santé. Je ne suis pas un numéro de sécurité sociale, ni de carte d’identité nationale, ni de compte bancaire. Difficile maintenant à admettre.

Vu ma date de naissance, j’ai hélas subit les armes de la cuti-réaction, avec la plume d’acier qui écorche la peau et le liquide ressemblant à du caramel sur l’écorchure. Étonnant que je n’ai jamais eu de réaction négative visible ?
J’ai donc été un cobaye gratuit sans le savoir, qui a du rapporté à des familles d’actionnaires. Comme ma mère n’était pas tuberculeuses, je ne risquais probablement rien avec la cuti. Pourtant il paraît que les enfants de tuberculeux avec un teste à la naissance ne donnent aucune réaction à la cuti ! Leur teste est négatif. La soi-disant « primo-infection » est encore une invention humaine fort douteuse. A ce propos voir la revue L’Avenir Médical de juillet 1948 à l’article du Prof. Auguste Lumière.

Le cuti à la tuberculine est dangereuse.
« Il est normal qu’une cuti à la tuberculine déclenche des poussées de tuberculose évolutive chez des sujets qui avaient été même très légèrement touchés et auraient pu rester définitivement guéris sans cette cuti prétendue... spécifique et inoffensive par certains.
Ainsi, au lieu de vouloir faire des cutis pour appliquer le BCG, soi-disant pour immuniser, faut-il commencer par ne plus faire de cutis à personne, ne serai-ce que pour ne pas démolir l’auto-vaccination que l’organisme a pu se fabriquer lui-même ». (Docteur Paul Chavanon, dans son livre La Guerre Microbienne est Commencée)
On a la même prétention de « sans danger » de l’actuel ministre de la santé !

Je cite toujours le Dr. Paul Chavanon :
Tous les prétextes sont bons pour imposer de telles cutis. Dans quel but ? On a le droit de se le demander, puisqu’un candidat au bachot ne pouvait, il n’y a pas bien longtemps, s’inscrire pour en subir les épreuves, sans d’abord se soumettre à une cuti à la tuberculine... On voudrait savoir quel rapport cela peut avoir avec une épreuve d’examen et s’il s’agit ou non de fabriquer le plus possible de flacons de tuberculine...

Actuellement avec le A H1N1 nous n’en sommes pas encore là, quoique les réquisitions pour les centres de vaccinations...

Toujours du Dr. Paul Chavanon.
Le BCG, s’il produit de l’allergie est dangereux, et à supprimer, et de toute façon, la cuti-réaction est sans valeur et dangereuse aussi. il faut donc, dans ce doute grave, non seulement ne pas obliger à subir BCG et cutis, mais plutôt les déconseiller aux médecins et aux familles (pour lesquelles cela devient une question de légitime défense).
Faire des cuti-réactions à la tuberculine, c’est peut-être donc commettre des fautes graves et n’ayant qu’une seule utilité discutable, celle de faire vendre de la tuberculine pour cuti-réactions. (Nous avons la même chose avec le vaccins de la grippe saisonnière et celle du A H1N1)
 
Calmette a demandé dans son testament, que le BCG fût gratuit. Assistons-nous maintenant à une ruse habile, consistant à profiter du désir de Calmette pour exploiter la naïveté des Français, à qui l’on fait trop facilement croire que l’on s’occupe gratis de leurs enfants et qu’on leur fait tous les vaccins et cuti-réactions gratuitement aussi, pendant que l’on fait payer tout cela par ces même Français, dits contribuables ? De toute façons, pour les cuti-réactions, c’est certain; le contribuable les paye. pour le BCG, même si l’Institut pasteur le donne gratis, ne recevra-t-il pas une subvention compensatrice ? Or, les subventions, n’est-ce pas encore le contribuable qui les paye ?

S’agirait-il donc d’une comédie tragique, où l’on ferait payer machiavéliquement aux parents ce qui peut démolir la santé de leurs propres enfants ?
Et comment expliquer cette prime de quinze francs, donnée avant-guerre aux mères qui acceptaient l’administration du BCG à leurs enfants ?

Le comique ou tragique de l’histoire du BCG, c’est que Calmette lui-même à demandé au Parlement de faire retirer la loi votée sur l’obligation du BCG.

Le Prof. Ferru dans le Concours Médical du 1 décembre 1949 :
Or, nous savons bien, nous aussi, que des doses infinitésimales d’antigène spécifiques [NTMR : les nosodes] suffisent (Pasteur Vallery-Radot) à déclencher une crise d’asthme ou d’urticaire et, parfois, des accidents graves chez un sujet hypersensible. pourquoi dans les mêmes conditions de susceptibilité ou d’instabilité humorale, un test tuberculinique ne serait-il pas capable de provoquer une poussée de tuberculose évolutive ou une dissémination bacillaire ? Et si on a abandonné les uns après les autres, les vaccins préparés à partir de produits microbiens tuberculeux, n’est-ce pas parce qu’ils exposaient à de telles réactions ?

Du Dr. Runacher, dans Cahiers d’Homéopathie, de 1949.
Ce Docteur propose d’appeler la cuti-réaction : tuberculinothérapie. Il précise que les accidents de la cuti-réaction surviennent chez les personnes en période de croissance, pubertaire, les surmenés, les mauvaise conditions d’alimentation ou alimentation industrielle, les antécédents héréditaires. Ces accidents latents ou hérités et provoqués par la cuti se traduisent par : amaigrissement, inappétence, insomnie, fatigalibilité, asthénie, pleurite, pleurésie, rhume des foins, asthme, urticaire, eczéma, ganglions, psoriasis, coxalgie, mal de Pott, érythème, granulie et méningite.
Le Docteur déconseille donc systématiquement la cuti-réaction, parce qu’elle est faite sans discernement, sans précaution, car elle est trop concentrée et trop violente.
Le Docteur précise qu’en thérapie deux notions sont fondamentales :
- La spécificité : un traitement est-il spécifique, para-spécifique, ou indifférent par rapport à une maladie donnée ?
- La dose : faut-il employer une dose forte (macrodose), moyenne (dose physiologique), ou minimum (microdose) ?
...
On veut nous faire croire que le vaccin du BCG est inoffensif. Ce vaccin a un mode de préparation para-spécifié. Il est comparable dans son action, à la tuberculine et est exposé aux mêmes inconvénients et aux mêmes dangers.
...
En résumé :
Nous déconseillons les cuti-réactions systématiques parce qu’elles sont une forme de tuberculinothérapie dangereuse du fait qu’on les applique à tous sans discernement et sans préparation sous le vocable de manœuvre diagnostique pure.

Un médecin, le Prof. Rappin et directeur de l’Institut Pasteur de Nantes a mis au point vers 1909 le « pénicillium Glaucum » désagrégeant peu à peu le bacille de Kock, et il a montré l’influence sur ce même bacille du Fluorure de Sodium. Une société baptisée pompeusement : Société de Pathologie Comparée, et réunit en commission a rejetée la méthode du Prof. Rappin en disant que c’était inefficace !


Pour terminer temporairement sur ce sujet inépuisable, on peut aisément comprendre le dépôt de plainte contre l’actuel ministre de la Santé ! tellement son incompétence est condamnable ; comme est condamnable l’ensemble du gouvernement actuel, qui est une honte pour la France. Mais il n’y a hélas pas que ce gouvernement, les bagnes pour enfants... et adultes de la troisième république et autres peines de mort furent encore plus condamnable !
 
M.R.
 
 

Dernière mise à jour : 23-12-2009 20:31

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