Les hommes comptaient pour 23 406 du total et les femmes 9347.
La hausse reflète apparemment la crise économique avec le nombre de suicides par mois avec en tête 3000 de Mars à Mai en relation avec la tendance des gens avec des problèmes économiques à se suicider au moment d'une année où l’activité se termine. La plupart des sociétés japonaises ferment leurs livres (bilan financier) au 31 Mars.
Source :
Kyodo News
Contrairement à ce qui semble logique : voir des beaux paysages enchanteurs et son peuple heureux, le film Avatar entraîne des suicides, puisque il est facile alors de comparer le « Paradis » d’Avatar renforcé par la sensation du relief remise au goût du jour, et la merde du mercantilisme et de la consommation et de la violence dans laquelle nous vivons : d’où de nombreux suicides, comme le laisse entrevoir cet article du site japonais
Asahi.com.
WASHINGTON, Katsuta Toshihiko - Le film "Avatar", qui est retombé à une vie normale après que nous avons vu qu'une série de postes dans les médias américains et l'Internet.
Après avoir vu la
« Dépression Avatar » comme certains appellent ce phénomène.
Ce phénomène, en 3D (3 dimensions) et la mystérieuse planète Pandora avec ses magnifiques paysages inspirant leurs habitants à vivre en osmose avec la Nature, les spectateurs peuvent souffrir d'une comparaison entre ce qui se passe dans le film et dans la
« vraie vie ».
Pages en anglais sur l'internet pour un fan du film "manière de sortir de la dépression par le rêve de Pandore" où les gens ont écrit leurs soucis :
« Retour à la vie après le cinéma, vraiment déprimé. Un autre regard sur une époque, a rebondi contre le désespoir ». « Après avoir vu le film, pas de se sentir plus comme
Let's Play, mais essayer de trouver un endroit comme Pandora ». [NTMR : bref, un retout à la Nature, un peu comme les Hippies des années 1960 et du
Flower Power]
CNN édition américaine parle d’Avatar : « Ce film est un monde virtuel avec une technologie permettant de produire le meilleur » [NTMR : en apparence et au premier degré !]. Au contraire, les spectateurs du film ont l'air encore plus frustré et très brimé face à la réalité différente, selon ce qu’en analysent les psychiatres.
Ce phénomène est devenu un sujet brûlant au Japon, le sujet est : « Le Japon a une pratique profondément enracinée pour les jeux animés, les dessins animés, la lecture des mangas ». En attendant, « Ne faites pas comme le film » dans les maisons.