La Tchéka chez nous en Vendée en 1793
 

Ecrit par Sechy, le 25-04-2010 18:30

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Argent, Banques, Business, Mort, Révolution, Russie, Terreur, Terroristes, Vendée


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La Tchéka chez nous en Vendée en 1793
Comparaison Révolutions de 1789 (France), et de 1917 (Russie)

A l’heure des imbécilités laïques autour de l’identité nationale
Et du signe d’appartenance à une croyance,
Honte, honte, honte à la République Française !
Honte, honte, honte à la démocratie !
 
« Un vrai Bolchevik doit être solide et brave et ne jamais plier. Il doit être toujours prêt à sacrifier au Parti non seulement sa vie mais aussi encore son amour-propre et tous ses sentiments personnels ». Lazar Kaganovitch. (Si ce n’est pas du dogmatisme religieux ça ! ou de la manipulation d’opinion ! comparable à la République à la française ou royauté em pire ! et on ose employer le mot démocratie ; on peut aussi comparer ça à la foi envers son Saigneur, voir plus bas à Féodalité ; ou à la République massacreuse des Vendéens !)
 
 

Lazar Kaganovitch, le Loup du Kremlin, ou Ouroboros cyclique : Re bis du génocide vendéen de la Révolution française de 1789.

Quatre points clefs selon moi :
- L’infamie française d’un salaud de pape et d’un roi scélérat contre les Templiers, et de nos jours la troublante affaire politisée du Temple Solaire (uniquement à cause de l’argent)
- L’élimination de Gilles de Rais (uniquement à cause de l’argent)
- Les horreurs de la Révolutions française de 1789 (uniquement à cause de l’argent)
- La Révolution russe de 1917 (uniquement à cause de l’argent)

Bien que la Tchéka a été établi comme un organisme d’enquête sur le 20 Décembre 1917, elle s’est rapidement transformée en une police politique qui a été commise à l’extermination de tous les opposants à la composition idéologique de l’État soviétique. En fait, les déclarations faites par son directeur fondateur, Félix Dzerjinski, fait écho à cet engagement : « La Tchéka n’est pas un tribunal. La Tchéka est obligé de défendre la révolution et de vaincre l’ennemi, même si son épée ne tombent parfois par hasard sur la tête des innocents ». [On a l’impression d’un cycle ou tout recommence : même chose quelques décennies plus tôt à la Révolution de 1789]

La Tchéka est devenu la principale force de « contrôle » du pouvoir en Russie. C’était exactement ce que Lénine voulait. En 1922, il a tenté d’adoucir son image un peu en changeant le nom de la politique de l’Administration générale, le GPU, mais sa fonction reste la même. Deux ans plus tard, il a été rebaptisé l’OGPU de manière à inclure toute l’URSS.

En 1926, Dzerjinski est mort, et l’OGPU est soutenu par Staline. Tout ce qui avait été commencé par la Tchéka depuis en 1917 a été poursuivi trois décennies plus tard par Staline. Conformément à l’idée que tout ce qui sert à faire progresser le communisme était moral, par définition, l’OGPU fait assassiner et enlever tout ce qu’il lui plaît, y compris les étrangers - et même en territoire étranger. En effet, en 1926, les agents OGPU ont abattu l’ukrainien Petlioura chef Simon à Paris. [Et n’oublions pas l’enlèvement du Général Koutiepoff]

Au lieu de jouer les inquisiteurs à propos de la burqua, le gouvernement français, ou ce qu’il en reste ! devrait balayer devant sa porte, ne plus faire de religieux là où il ne doit pas en faire, et reconnaître les horreurs républicaines comme le génocide en Vendée entre le 1er août 1793 et 1794, digne de celui de la Révolution russe de 1917. Tout est toujours une question d’Ouroboros, ou de cycles.


LA TERREUR FRANÇAISE (1792 - 1794) - PLUS SAUVAGE QUE CELLE DE LA RÉVOLUTION RUSSE

« Exterminer la race rebelle », ça ne vous rappelle rien ? un génocide ? un ethnocide ? en Allemagne ? en Russie ? Et bien c’est chez-nous en France il y a 221 ans, autrement dit, hier ; la phrase était prononcée par un certain député Barrère de Vieuzac, notre Trosky français.

Au lieu de fêter les déportations de ceci ou de cela, les holocaustes de certains pratiquants religieux et autres populations jugées indésirables par des gens de pouvoir, les hommes qui ne savent même pas qu’ils font de la politique, mais se croient les détenteurs d’un pouvoir feraient mieux de retirer la poutre qu’ils ont dans l’œil, et examiner les horreurs de 1789 qui ont établit une République et une démocratie fourre-tout qui n’en est pas une et même moins que du temps de la royauté.

Enfin, cet article 35 de la dite Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1793, repose non seulement sur des tonnes de chair et de sang, mais porte en elle son propre poison de la violence. Nous avons eu la même chose, les mêmes révoltes du temps de la royauté, on appelait ça les jacqueries (révoltes paysannes puisque la France était composé d’une majorité de paysans) ; on peut appeler ça aussi une rébellion, une émeute, etc...
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».

Doc pdf de la proposition de loi de reconnaissance du génocide vendéen de 1793 et 1794.


Voir aussi :
- Génocide Vendéen

- Charniers découverts

- Sur facebook

- Massacre jacobin

- Mars 1793, les Vendéens se soulèvent contre la Convention

- Selon « l’esprit républicain » (autre forme de chapelle !) la République ne reconnaît pas de génocide, mais seulement des « organisations ‘victimaires’ et revanchardes ».

- Pour Gilles de Rais, la puissance de l’Inquisition quasiment état dans l’État, et les machinations machiavéliques du pouvoir contre Gilles, et les curieux soubresauts actuels de l’Église catholique à propos justement de pédophilie, dont on a accusé Gilles, voir l’intéressante étude psychologique de Salomon Reinach. A cette époque avec le diable et la torture, et la peur abominable de l’excommunication, il était facile de coller n’importe quoi sur le dos d’une personne.

- Pour l’affaire de l’Ordre du Temple Solaire (OTS) et l’escroquerie sous-jacente, voir une série de sept vidéos intéressantes sur You Tube.



FÉODALITÉ : le plus fort protège le plus faible, ou un « atome de démocratie » avant la lettre.
Dominants et dominés existent toujours, par la force des choses... (qui n’a jamais essayé de « prendre le contrôle de l’autre ? »)


Entente entre deux personnes.
 
La féodalité au sens simple du mot est un devoir réciproque entre deux personnes, en principe égale (dans le sens social ou de parenté) puisque un baiser, signe de parenté, peut être échangé entre eux. Il y a une relation naturelle du plus âgé au plus jeune, du plus fort au plus faible : le senior (Seigneur) à l’égard de son vassal (vassalus, garçon, ami, valet).
Féodalité visible dès la fin du 8è siècle et largement au 9è siècle, ces relations peuvent prendre une connotation de dépendances ou l’âge n’a rien à voir.
Cependant il s’agit bien de protéger le plus faible, ou le moins chanceux, ce qui participe déjà d’une forme de « démocratie », d’une forme de protection naturelle. Le Seigneur (dominus) s’engage à protéger son ami, son homme, aider à marier ses filles et élever ses enfants, et aider dans la vie de tous les jours. En retour, l’ami, l’homme, le vassal, marquera son dévouement, sa foi, parfois avec des cadeaux (beneficia) ; et souvent des services à caractère militaire si le Seigneur a donné un fief à son vassal (le feudataire).
Vers 1070 le développement des châteaux et la mise en sommeil du pouvoir central publique ouvre la voie à un grand développement à la féodalité
Maintenant, et surement depuis la Révolution de 1789, on voit cela comme hiérarchie d’un supérieur à un inférieur. Mais on a cela constamment dans la République et la soi-disant démocratie et dans la vie de tous les jours, en entreprise, en Justice, dans le pouvoir et le prestige de l’uniforme, de l’administration, du fonctionnaire zélé, etc.
La féodalité peut être entaché de caste : celle du devoir entre deux personnes uniquement aristocrates.

Le problème de la féodalité est très complexe et nécessite une solide documentation, ce qui n’est pas le but de cette page ; mais ce fut une époque importante de notre histoire sur laquelle repose pourtant cette si abusive démocratie. Car il ne faut pas s’endormir ni se leurrer : les dominants exercent toujours leur pouvoir sur les dominés : le peuple, nous tous... Les privilèges plus ou moins cachés et l’argent et les impôts exercent encore plus leur pouvoir qu’au temps de la féodalité, à cause du délire matérialiste de notre époque, chose qui n’existait pas au Moyen Age, où les nécessités matérialistes étaient uniquement vitales. D’une certaine manière en République, la féodalité existe toujours... et plus féroce car totalement dénaturée.
(Survol de la Féodalité, d’après le Dictionnaire du Moyen Age, de Claude Gauvard, Alain de Libera, Michel Zink)

M. R.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 25-04-2010 22:47

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