INTUITION
 

Ecrit par Sechy, le 09-06-2010 18:12

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Tags : Intuition, Science, Source


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INTUITION

SCIENCE


"Ce qui est réel doit exister toujours".
"Seul est vrai ce qui est depuis toujours". Ramana Maharshi
Ce qui existe depuis toujours s'appellent les "essences", essentia.
 
ICI JE VAIS HURLER !
 
 
INTUITION : connaissance immédiate qui n’utilise pas le raisonnement ou l’analyse dans un étalement chronologique. Trouver la SOURCE.
Intuition ou Soi Divin, ou Grâce divine, sorte d’instinct Divin. “ C’est l’œil de l’Âme ” écrivait H. P. Blavatsky. Alors que l’opinion est un système intellectuel vécu comme une propriété (la propriété intellectuelle issue de la révolution de 1789), MON OPINION a un prix.
L’Intuition est la destruction de l’ego et donc du mental. « Ce qui n’est pas naturel, mais acquis, ne peut pas être permanent et ne vaut pas la peine que l’on s’efforce de l’obtenir », Ramana Maharshi. Cela correspond à vouloir entrer dans un système, à obtenir un outil pour acquérir un POUVOIR, toutes choses non naturelles. Ce n’est pas cela l’Intuition. Voir plus bas pour plus de détails. Aucun pouvoir quel qu’il soit n’apportera un quelconque bonheur. Alors qu’on voit que les humains dépensent des énergies folles au lieu de se connaître eux-même, il n’y aura jamais de paix sur cette planète. Seul le fric dirige le monde, et la république quelle qu’elle soit, ou n’importe quelle Déclaration dite universelle des Droits de l’Homme n’y pourront rien et seront des prisons de plus. Seule la connaissance de sa propre Source fera le bonheur de l'autre, de tous les autres.
 
Dans l’intuition, on passe directement d’un point à un autre sans intermédiaire. La “ petite lueur ” qui indique que je m’approche du centre (Vérité).
« Le besoin de Vérité naît sur le fumier des complexes. La vie spirituelle se réalise à l’étage supérieur dont la vie sensible n’est que le rez-de-chaussée ». (Jean Coulonval).

IMPRESSION :
- Opinion
- Vocabulaire
- Syntaxe
- Mots
- Accidents
- Pièges
- Règle-ment et fixation

INTUITION :
- Science
- Norme(1)

L’intuition triée de l’imagination s’incarne dans l’INFIRMITÉ DES MOTS et y perd sa pureté d’en dehors du Temps. (Avec une image, on peut résumer un concept).
Surtout ne pas introduire d’imagination dans l’intuition, ce serait un DANGER (ce que précise l’Alchimiste et Médecin Paracelse)

Il existe aussi une « Intuition sourde », ou beaucoup plus faible et difficile a décoder, on peut en être conscient mais elle est rejeté et simplement mémorisée. Puis quelques chronologies plus tard tout se concrétise en une lumière : « Bon sang mais c’est bien-sûr ! », du bon sang du : être au courant de... être au cœur des choses (le Point sur le I ou Point Focal). Aussi est-il mauvais d’A-Prendre par Cœur, on se prive du Cœur (en référence au bourrage de crâne des écoles de Jules Ferry et autres universités).

Aussi l’Intuition correspond à la déesse égyptienne Maât : ce qui est directe; qui n’utilise pas l’espace entre les choses. Il n’y a donc pas de mental, de sensible, et encore moins de connaissance apprises : ni à l’école, ni par hérédité, ni par la société. L’intuition échappe à la chronologie : on ne peut pas penser à utiliser un moyen comme l’intuition, parce que ce n’est pas un outil, ni un moyen. L’intuition c’est être dans l’INSTANT, donc elle correspond au POINT FOCAL, source (TOUT) et « endroit » où il n’y a aucune distance mais qui fait observer toutes les distances et dans l’Instant. Comme l’Intuition n’est pas un outil, on ne peut pas apprendre à l’utiliser, et encore moins enseigner comment s’en servir. Donc on ne peut pas dire qu’il « existe » un moyen de parvenir à : tel point ou tel résultat, cela correspond à : « ce que l’on cherche on ne le trouve jamais » ; ou « on n’atteint vraiment que ce que l’on ne cherche pas à prendre » (du A privatif : ne pas prendre).

Des mystiques se préparent cependant pour s’approcher de l’étape de l’Intuition, et cette préparation est mentale ou consciente. Mais s’ils rentrent dans un système, un dogme, une foi trop rationnelle, ou subissent le piège du pouvoir, le tout sera inutile, ils chuteront. Avec cette préparation, on ne peut pas dire à l’avance : « il va m’arriver ça ». D’ailleurs le mot Saint est proche de Science : Scientia, Scire : savoir ; et Saint : sanctus, consacré, vénéré. La Science est proche de l’Intuition, et donc on ne peut absolument pas faire comme on le fait actuellement : confondre science avec technique. Ceux qu’on appelle scientifiques ne sont que des techniciens qui « consomment » de la science pure.

L’intuition qui correspond au Soi divin, est dans un premier temps la connaissance de soi : « Connais-toi toi-même ». Pour s’occuper des autres il faut d’abord se connaître, c’est du même ordre que de partir de l’invisible pour chercher le visible ; hors la « science » actuelle fait le contraire et ne comprend rien. Partir de l’invisible vers le visible est la même chose que la conscience éternelle, dans laquelle l’ego et les pensées prennent naissance, explique Maharshi.
L’Intuition étant Maât ou Directe, « seul notre propre « conscience » est connaissance directe sans parasites ou influences. C’est l’expérience commune à tout le monde. Aucune aide n’est nécessaire pour connaître son propre Soi, c’est-à-dire pour être conscient », comme l’exprime R. Maharshi dans l’Enseignement 92.

SAVOIR : se A, du A privatif, et voir, donc ne pas se voir. Il y a donc Intuition, Point Focal, dans lequel n’existe aucune distance (ne pas voir S ou le déploiement dans la chronologie), donc aucun but ni aucune altération. Pas de chronologie tueuse donc pas de lecture, donc pas d’interprétation ou point de vue ou opinion tueuse. Comme il n’y a pas de distance, il n’y a pas de sujet et d’objet, ou d’opérateur et de matière, ou de dualité avec les deux parties.
Dans l’Égypte ancienne, Savoir, avoir conscience de, s’écrit: rh (reh), proche du son R ou AIR, de « connaître la musique ». Et l’inverse : hr (her), toujours dans le son AIR, indique près de, chez, il indique un rapport de chose à la cause : le « ne pas se voir ! » Her indique aussi : tomber, être renversé.
Hpr (heper) indique : adulte, mais aussi scarabée. (La notation des Hiéroglyphes dans nos caractères n’est pas complète, à cause de police de caractères peu ou pas disponible dans les navigateurs web).



Le FEU du VOLCAN ou ÊTRE EN GUERRE.

Protester, blâmer contre quelque chose, c’est VITUPÉRER, en français du Moyen-Age : mutiler, ce qu’on critique et attaque vivement verbalement ou par écrit, comme je le fait de la démocratie actuelle selon mon Intuition.
Vitupérer : Vis tout, perds E. Vis : tu perds E. Le E symbolise un trident, comme celui du dieu Neptune. Vitupérer c’est la bonne guerre : lutter contre ces quatre  catastrophes : la rentabilité, la compétition, la nuisance, le fanatisme ou cancer religieux.
La mauvaise guerre ce sont les guerres intestines, le mental, là où le ventre est le lieu des empoisonnements, on parle souvent en mal du bas-ventre ; cette guerre qui entretient le soi vulgaire. La mauvaise guerre c’est le dogme prison de toutes les religions et philosophies, c’est la « guerre sainte » (comment d’ailleurs une guerre peut-elle être sainte ?). La mauvaise guerre ce sont les CONTRAIRES, qui cependant se transforment en bonne guerre par l’expérience perpétuelle en s’épaulant l’un et l’autre, ils deviennent INSÉPARABLES. La mauvaise guerre c’est  la Trinité des Brisures : guerre, progrès (en apparence), religion. la mauvaise guerre c’est encore associer les ténèbres à quelque chose de mauvais (voir plus bas la partie sur l’enfer et le feu).

Aussi vitupérer c’est être en guerre, c’est être comme le feu du volcan de la Terre qui se met en colère, qui vitupère, il vit... Vitupérer c’est trouver le I, pivot du E, après avoir blâmé des manifestations du monde des accidents. Le I représentant le POINT (Focal) sur le I, du POINT C’EST TOUT (Intuition).

Celui qui vitupère est le pauvre ère pas achevé, celui qui n’est pas comme tout le monde, le dernier de la classe, le laisser pour compte, c’est Pinocchio la marionnette au long nez et en bois, c’est le Loser, c’est celui que toute société jette aux orties ou aux ordures. Celui qui est rejeté sera plus a même, plus naturel, pour vitupérer contre cette société injuste, cruel et despotique. Il doit toujours lutter. Il ne doit pas être le “ Ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants ” que l’on trouve à la fin de certains contes de Fées ; après que les héros aient lutté dans bien des aventures/guerres.
C’est comme les bons élèves ou les personnes douées (winner) : aucun intérêt !
Sauf que le doué ou bon élève doit travailler encore plus que la personne banale.
La bonne guerre c’est faire un travail pour rester éveillé, conscient. “ Quel problème suis-je ? ”
« Celui qui a souffert dans les profondeurs les plus intimes de l’Âme, et qui a été conduit a être à lui-même le propre objet de sa connaissance devient SACHANT ». (Je sais que je sais). Jean Coulonval.

D’ailleurs, le loser, le marginal est qualifié par la société « bien pensante » (les républicains ?) de DÉVERGONDÉ. Ce dévergondé qui ne respect pas les lois humaines, qui encore une fois furent chié par une magistrature avide de pouvoir, lois qui furent chié par une quelconque religion directement ou indirectement ; ou lois qui furent chié par un pouvoir économique au bons sens de société de consommation, où seul compte le visible et le rationnel, et le plaisir jetable de l’immédiat.
Pour le profane, le dévergondé, celui qui sort de ses gonds, comme pour sortir d’une ligne de conduite : le borderline, un machin encore hérité de Sigmund Freud ! donc pour ce profane le dévergondé sera celui qui mène une vie licencieuse, qui n’a point peur de la religion ou « bonne conduite ». Pourquoi la société républicaine, soi-disant démocratique, est si tueuse et inquisitoriale en qualifiant ainsi le dévergondé ?

Car la révolution de 1789 et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme ont systématiquement bloqué un retour à la source de ses sujets, comme assécher un fleuve en tarissant sa source. Le résultat est un immense travail pour retrouver l’ORIGINE. C’est toujours le sens républicain de l’égalité : une seule tête et la même source pour tous imposée, par le pouvoir en place(2) ; celui qui n’est pas content, en prison ou à l’asile. Cette république et sa Déclaration Universelle nivelant par le bas se prétendant une avancée de civilisation sur l’ancien régime, comme gommant d’un coup de lois tout le passé et ses riches acquisitions. Mais quel travail il faut pour retrouver ses poussins... Civilisation possède le sens de si et vile, vil indique une chose à bas prix, de peu de valeur, une chose abjecte, mais aussi être lâche, de basse condition. On retrouve ainsi le côté républicain de l’égalité là encore tueuse, où les valeurs ont disparues, sauf celle de la république ! Ces valeurs républicaines parfois mises en avant par des hommes politique.
Si et Vile, vil ramène donc à la ville et au village, qui eux aussi contiennent ce côté de chose de peu de valeur et autres comme exposé ci-dessus.
Dans la fable de La Fontaine : Le Rat des villes et le Rat des champs, ou le tracas des villes et le calme des champs, se « mettre au vert » (enfin sauf dans notre société moderne avec les énormes machines agricoles). Donc on peut penser que la ville est la source de bien des maux. On a aussi la ville avec sa puissance et son pouvoir, sa pollution, sa concentration, opposée à la fragile campagne. A la limite on pourrait opposer la ville (la république) à la campagne (la royauté)...

Dans l’Égypte ancienne ville s’écrit : njwt (neiout), et indique aussi le maire ou vizir du village. Mais njw indique une autruche, un bol. Dmj (demi) indique une localité, un village, un quoi, porter atteinte, blesser. Dmt (demet) indique un couteau.
En résumé de dévergondé : il est le ROUTIER, celui qui parcourt le SENTIER libérateur. Celui qui est déjà sur le Sentier n’a plus besoin de guide, et est moins intéressant que celui qui va commencer son chemin.
En Égypte ancienne chemin s’écrit : w3t (ouat), et w3d (ouad) indique : vert, frais, vigoureux.
Enfin, « les premiers seront les derniers » précise la Bible.

Rappel :
« La loi est faite pour un homme uniformisé, statistiquement moyen, [la même soupe pour tous] ce qui est monstrueux. Cela conduit à exclure de la loi ceux qui ne sont pas comme tout le monde, ou les indésirables, les inutiles. La loi uniforme conduit à l’injustice. Elle doit au contraire tenir compte des situations de famille, des métiers, des particularismes locaux. Et pour cela, il faut que tous ces gens puissent être représentés sincèrement, et non pas au travers des idéologies et des partis. (Court extrait d’une page du site de l’Alliance Royal, mouvement auquel je n’appartiens pas ni ne fréquente, je précise, mais c’est assez lucide).
J’ajoute cette précision pour la république inquisitoriale et pour tous les rationalistes : « La spiritualité ne peut pas s’accorder avec le rationalisme. La spiritualité est transcendante [Note : voir la symbolique de la croix Svastika. Et j’ajoute qu’Hitler n’était peut-être pas « tout-à-fait » ce qu’on en a dit et ce qu’on a tenter de démontrer et de démolir, la propagande allait à fond à la fin de la deuxième guerre mondiale ; et je pèse mes mots, car c’est mon opinion et je commence à comprendre mon père]. Il suffit de laisser tomber sa fausse identité et de demeurer dans son état éternel, naturel, inhérent ; le Soi, le Cœur (d’après Ramana Maharshi).
Et à propos de république et du sophisme de l’égalité des « chances », même s’il y a eut la séparation de l’Église et de l’État, la tentative de libérer la conscience des citoyens, par exemple les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il n’est pas possible d’instruire en masse. J’ai même vu un auteur américain, Michael Bradley, suggérer que l’attirance vers la spiritualité était « presque » une déviance ! une critique, tout comme la croyance en l’Unité... associé à la race de Néandertal. Monde de fous et de guerres de l’opinion. Mais surtout monde de la pensée unique, car on voit par exemple où mène l’article 30 de la Déclaration prétendue Universelle des Droits de l’Homme, modèle 1948 : carrément le délit de dignité humaine, comme si on condamnait pour ne pas aimer la Nature ; n’en déplaise à Saint-Just et à son grotesque « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté », d’ailleurs on lui a coupé la tête à 26 ans. Cet article 30 est la porte ouverte à TOUTES LES DÉRIVES, du spirituel au matériel.
La république et son dogme de Déclaration Universelle est comparable à la pointe d'un compas, si la pointe dérape, la circonférence (le raisonnement et les actes) sera faux. C'est l'exemple qu'en donne Coulonval. Ainsi Galilée, et tous membres d'un parti politique, surtout d'un parti communiste, sont supposé avoir parfaitement conscience d'avoir défailli au dogme, sauf cas de psychose. Aussi le condamné, s'il sait qu'il a failli au dogme, comme Galilée, comme Luciolo Vanini (qui n'eut pas la chance de Galilée) est obligé de s'auto-critiquer pour amoindrir ou supprimer la punition, comme pour les communistes chinois ou russes. Ainsi on peut comprendre que tout parti, tout 'isme' sont des dictatures QUI IMPOSENT À L'ENSEMBLE. Ce système d'auto-critique est particulièrement vicieux et sadique.
 
L’intuition « développée » est comparable à la PARABOLE, qui est un récit didactique, une petite histoire moraliste, destinée à suggérer, au-delà du sens immédiat, une sorte de leçon de morale ou un enseignement. La Parabole joue de l’effet MIROIR, joue de signes.
Rappel : le symbole est différend du signe : il est FUGACE, il révèle dans l’Instant, l’Intuition, pour mieux revoiler dans l’Instant suivant.

Aussi l’Intuition est FULGURANTE, comme le FEU, celui de la Terre, du Volcan, comme le SOI DIVIN.
Ce FEU dénaturé par quelques religions dont la chrétienté avec son feu de l’enfer ou lieu de punition. C’est à se demandé si ces traditions religieuses ne préféraient pas la CUISINE. En effet, celui qui commet un gros péché est envoyé se faire cuire en enfer, comme s’il n’était pas À POINT (focal), comme s’il fallait qu’il Soi plus digérable ! Étonnant !

Pourquoi en tout temps on lave le cerveau du peuple avec ces histoires d’enfer et de punitions ? Il y a sur Terre dans le monde des accidents déjà assez de difficultés pour ne pas en ajouter dans l’Après-Vie ! Ces religions à punitions sont d’un sadisme !

(Merci à Yves Monin, auquel j’ai emprunté quelques précisions dans son livre : Hiéroglyphes français et Langue des Oiseaux, pour les mots Dévergondé et Vitupérer)

M. R.


Notes.
1. Une NORME est une Forme qui TEINTE en partant de l’invisible (Tout) vers le visible, et surtout pas une chose issue d’un pouvoir humain et d’un quelconque peuple en un quelconque pays. Norme commence par le N : les ondes sur Terre, le Noun des Eaux primordiales des Anciens Égyptiens. Donc la Norme véhicule des énergies premières, mais certainement pas fabriquées par les humains ; ils peuvent tout au plus s’en servir comme outil, puisque Norme vient de norma : équerre, règle, règle de conduite. Règle, du latin : ruile, apparenté en français du Moyen-Age à rui, ruiel, ruel : le ruisseau (du latin rivum). Suivre un cour d’eau possède bien le sens de conduite, de flux... Ruiotel est un petit ruisseau, un conduit.
 
2. A propos de voir une seule tête : celle de la république, et d’entendre une seule histoire dite officielle : « Gayssot a mis un flic dans la tête de chacun : On traîne en justice Pierre Bergé pour avoir critiqué le Téléthon mais ne doutons pas que le même sort eût été réservé à celui qui se serait attaqué au sidaction.
Une multitude d’inquisiteurs veillent - partout - à la rectitude du langage. Et vous cloueront au pilori pour un mauvais mot supposé contre les juifs, les blondes, les belges, les suisses ou moi-même. Un jour Frêche, un autre Hortefeux. Le bien universel roule droit et ne s’arrête pas pour pisser sur les bas côtés.
Et pendant ce temps de véritables ordures, des racistes nazillons se fondent dans la masse puisque tout est partout et nulle part. Quelle réussite cette loi ! ». Bravo pour le pertinent propos à l’auteur de cet article dont j’ai collé un court extrait. Il est des lois contre lequel c’est un devoir et un honneur de lutter, tout simplement. Cette loi Gayssot est digne d’une dictature, d’une police de la pensée et d’une inquisition, il n’y a pas d’autre mot ; sauf pour dire que cette loi n’est même pas de la MERDE, car la merde est porteuse de vitamines.
 
 

Dernière mise à jour : 10-06-2010 00:17

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