Salauds de Couilles en Or
 

Ecrit par Sechy, le 10-11-2010 20:08

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Bagnes, Banques, Communisme, Dictature, Enfants, Enfer, Goulags, Justice, République, Politique, Prison, Travail

 
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Salauds de Couilles en Or
Ou la France républicaine


Page dédiée aux enfants morts au bagne de l’Île du Levant

Joyeusetés des sauvages politiciens et de l’ENFER des institutions judiciaires françaises après 1789.
C’était hier, chez nous, en France républicaine !
 
 Même la fumée dispersée ne reste pas sans traces
(La Voix du Silence)
 
 
 
Photo du haut : Napoléon III par Nadar.
 
Napoléon III est a faire condamner post mortem pour crimes contre l’Humanité, tout comme les premiers Rothschild et leur pendant, les Rockefeller (famille de Huguenots français : les Roquefeuille), car ce sont eux qui ont institué le libéralisme avec quelques idées de philosophisme, dont découla les goulags des Juifs Bolcheviks, oui, je répète : les GOULAGS, et tout ce qui est BAGNES ; car c’est de l’ESCLAVAGE MODERNE : oui, notre monde du travail actuel, mais avant cela : se procurer une main-d’œuvre bon marché, corvéable à merci, comme l’indique le plan d’utilisation des goulags en URSS (utilisation des bagnards dans les trois premières semaines, après ils ne sont plus bon à rien et sont à laisser mourir), mais aussi en FRANCE, dans les BAGNES, aussi bien pour adultes que pour ENFANTS (à partir de 5 ans, oui, vous avez bien lu : 5 ans).
 
Le grand responsable des goulags pour enfants, avec travail forcé, ce fut Napoléon III ; goulags confiés souvent au privé, c’est le début du libéralisme socialisant... et de la révolution industrielle, de la chimie et des banquiers galopants. La pire des époques du 19ème siècle.

Le règne de Napoléon III fut celui des grandes banques, on peut d’ailleurs le voir avec les travaux du baron Haussmann, ce bâtisseur d’immeubles pour riches « honnêtes gens » avec chambres de bonnes, voir aussi les restaurations de l’architecte Viollet le Duc. D’ailleurs Napoléon est une pièce d’or métal... Puisque c’est le plein développement de l’individualisme, le « droit de propriété », le « respect des biens d’autrui », et donc le règne de l’égoïsme, il n’est pas étonnant d’arriver à des déséquilibres énormes, favorisant la pauvreté et les envies des plus pauvres pour trouver à manger, donc ils peuvent être amené a voler. Le 19ème siècle fut vraiment un siècle pourri, prenant la sinistre succession du Siècle des Lumières...

Napoléon III voulait, comme Nicolas Sarkozy, « débarrasser les villes et les campagnes des gavroches, vagabonds et orphelins » qui les peuplent. Mais Sarkozy avec les Roms fait moins bien puisqu’il se contente de les expulser comme les ordures, et ne les fait pas travailler de force dans des goulags privés, par exemple tenus par ses amis industriels milliardaires genre Bolloré, bien-sûr en cheville avec les Rothschild ! Là-dedans on fait feu de tout bois, c’est le cas de l’écrire : pâte à papier et médias, histoire de mieux laver la cervelle du peuple, et détruire les poumons avec le papier à cigarettes. Quand on a du fric, les médias et l’énergie pour le transport c’est l’eldorado ou pays des Couilles en Or.

Donc pour les amis financiers de Napoléon III, ceux qu’on ose appeler : « les honnêtes gens », et pour cause, puisqu’ils ont plein de fric (mais ils l’ont obtenu par le vol), ils furent plus astucieux ou ils avaient lu du John Locke sur le libéralisme, puisqu’ils firent établir les BAGNES POUR INNOCENTS, je répète, pour se procurer une main-d’œuvre presque gratuite (il fallait les nourrir, mal, mais les nourrir tout de même), corvéable à merci, utilisée pour mettre en valeur et rentabiliser l’île du Levant, propriété du Comte Henri de Pourtalès. Croyez-vous qu’on nourrice les gens, adultes ou enfants, à ne rien faire ? Pourtant, on nourrit bien ses animaux de compagnie genre chiens et chats à ne rien faire... Tout au moins actuellement, naguère ils chassaient des souris ou le gibier...

Le premier bagne privé pour enfants fut donc installé sur l’île du Levant, alors la propriété du comte Henri de Pourtalès. Ce bagne fonctionna pendant 17 ans, de trop !
Le terrorisme et mensonge d’État de l’après révolution de 1789 baptisa ce bagne, cet enfer, du doux nom, accrochez vos ceintures : « Colonie agricole de Sainte-Anne ». Déjà l’annonce d’un socialisme à la Juifs bolcheviks, qui annonce rapidement les goulags.

L’enfer ne fut pas directement facilité par de Pourtalès, car il paraît que celui-ci n’était pas intéressé, mais il a laissé faire et a accepté de louer ou prêter son ile pour créer cet enfer. Il est donc aussi responsable, même s’il avait une « rigueur morale et une foi religieuse » qui pouvait lui faire croire à une rédemption de ces « brebis égarées ». Les obédiences de Franc-maçons qui faisaient en sous-main la politique de la France, avec quelques banquiers, au 19ème et dans la première moitié du 20ème siècle sont aussi responsables, que je sache aucun d’eux ne s’est élevé contre ces bagnes d’enfants.
Enfer créé par les responsables et cadres de ces bagnes, venant du privé pour beaucoup ; exactement comme les directeurs et sous-chefs des goulags des Juifs bolcheviks, qui eux étaient tous du dogmatique socialisme. Et il y avait de véritables sadiques, bornés, démons, salauds et pervers en tous genres, tous ivres de leur toute-puissance sur la chair fraîche à leur merci, tous ivres de la barbarie militaire qui régnait dans les bagnes en général et autres lieux d’enfermement, comme le moderne camp de concentration de Guantanamo.

Le crime de Napoléon III, car c’est vraiment un crime, c’est d’offrir de la viande fraîche à ses riches amis du privé pour y « arranger leurs jardins », je n’hésite pas à écrire : comme Sarkozy ; à croire que celui-ci a pris modèle sur les Napoléons, car le premier ne valait pas plus... et fut un dictateur comme un autre.

« En février 1861, un convoi d’une soixantaine d’enfants de 5 à 21 ans sort de la prison de La Roquette à Paris [là où on coupait les têtes des humains].
Leur destination : la plus sauvage et la plus belle des îles d’Or, Le Levant. Ils seront les premiers pensionnaires de la « Colonie agricole » de Sainte-Anne, propriété du comte Henri de Pourtalès ». Tel est le début du dos de couverture du roman de Claude Gritti : Les Enfants de l’Île du Levant, qui s’appuie sur les archives d’époque.

Qu’étaient en réalité ces « terroristes », ces « délinquants », de la graine d’assassins, ces sauvageons, ces petits culs-terreux d’époque ???
Des malheureux gosses victimes des Couilles en Or ou du manque d’affection de leurs parents, eux aussi les victimes des Couilles en Or, et qui avaient abandonnés leurs gosses. C’étaient des chapardeurs qui cherchaient à manger ou à revendre le fruit de leurs larcins, ou des vagabonds qui, pour des délits, des peccadilles, et qui malgré leur jeune âge étaient arrêtés et incarcérés jusqu’à l’adolescence, voir la majorité (21 ans à l’époque). Ainsi on mettait même en prison des enfants de 5 ans, oui, 5 ans. Alors quand j’entend le mot/maux MORAL maintenant, je crache dessus ! Surtout lorsqu’il s’agit de « morale chrétienne » genre ‘trop poli pour être honnête’ et de propriété façon libéralisme... Des petites filles de 10 ans étaient obligées de se prostituer pour procurer de quoi manger à leur famille. Des gamins se retrouvaient dans l’enfer de ces bagnes (4 ans par exemple) pour avoir simplement volé un saucisson ou des bonbons.
Il paraît que les juges de l’époque envoyaient les enfants au bagne pour les rééduquer et leur éviter de recommencer ! Plus con tu meurs... Mais surtout, il fallait protéger, « sécuriser » comme on dit maintenant, « les honnêtes gens ».

Le résultat du séjour en enfer des enfants fut surtout négatif : sous-alimentés, meurtris dans leur chair et dans leur âme, victimes de « mauvais traitements ». Entre février 1861, date d’ouverture de la colonie agricole du Levant et novembre 1879, date de sa fermeture et évacuation, une centaine d’enfants moururent, soit environ 10% des internés...  La plupart s’ils ne devenaient pas fou devenaient aigris, violent, pervers, réduit à l’état animal ; le petit nombre qui survécu, comme dans les goulags des Juifs bolcheviks et autres bagnes d’adultes, réussirent leur « intégration sociale » au sein de la population locale.

Je parle souvent du killer et franc-maçon Jules Ferry, mais c’est lui qui a œuvré sous la troisième république (la plus longue), après le dictat de Napoléon III ! C’est donc lui qui a institué le lavage de cerveau, « l’instruction pour rentrer dans le rang », l’instruction : « il n’y a que ça pour réussir » comme le proclamait les pauvres gens de l’époque des bagnes. A part compter, pour les banquiers, et aussi un peu lire et écrire, l’apprentissage de la vie se faisait facilement « sur le terrain ». Et puis, pour « aller à l’école », avoir de l’instruction, il fallait le pouvoir, car en agissant ainsi un enfant privait sa famille de menus travaux quotidiens ou aux champs ou à la ferme. Souvent, c’était le curé, ou un lettré charitable qui apprenait la lecture à des enfants.

La loi des 3 juillet et 5-12 août 1850 de Napoléon III sur les bagnes d’enfants. Mine de rien et sans rire, il s’agit de corriger les rebelles et insoumis à l’ordre établit. J’appelle ça tout simplement UNE DICTATURE, car imposer à l’ensemble est une dictature ; pour moi c’est une preuve qu’après 1789 se fut établit, je répète, UNE DICTATURE. Je suis passé par le service militaire obligatoire, et pour en sortir et ne pas passer pour un « insoumis », il fallait ruser... car l’insoumission était condamnable par le pouvoir en place.

Je n’ai pas connu le bagne, mais j’ai connu la colonie de Breteuil-sur-Iton, ce n’était pas certes comparable à un bagne, mais côté concentration c’était bien là ! Quand je pense que mes pauvres parents m’ont menacé plusieurs fois de m’envoyer en « maison de redressement », probablement lorsque j’étais « insupportable »... et je n’avais même pas idée de ce que c’était ! ni eux non plus probablement...
J’ai connu le scoutisme avec les curés, c’était considéré comme « éducation », j’en garde le plus souvent des mauvais souvenirs, genres brimades et imbécilités... Où était l’éducation ?

Page complète sur cette « loi ».

Autre page de l’État français sur la « justice » et les enfants (1791 - 1945)

Voir aussi la « loi » du riche Alfred de Falloux

Détail de l’article 3 qui illustre bien le goulag socialiste dans toute son horreur. La fin ‘Il est pourvu à leur instruction élémentaire c'est le truc utopique et mensonger pour vendre la camelote, même recette que pour les Droits de l’Homme, car les enfants envoyés aux bagnes étaient souvent prépubères et manquaient cruellement de nourriture essentielle :

Art. 3.
Les jeunes détenus acquittés en vertu de l’article 66 du code pénal comme ayant agi sans discernement, mais non remis à leurs parents, sont conduits dans une colonie pénitentiaire ; ils y sont élevés en commun, sous une discipline sévère, et appliqués aux travaux de l’agriculture, ainsi qu’aux principales industries qui s’y rattachent. Il est pourvu à leur instruction élémentaire.

L’article 4 en rajoute une couche car totalement utopique.
Art. 4.
Les colonies pénitentiaires reçoivent également les jeunes détenus condamnés à un emprisonnement de plus de six mois et qui n’excède pas deux ans.
Pendant les trois premiers mois, ces jeunes détenus sont renfermés dans un quartier distinct, et appliqués à des travaux sédentaires.
A l’expiration de ce terme, le directeur peut, en raison de leur bonne conduite, les admettre aux travaux agricoles de la colonie.

L’article 5 fait penser à Sarkozy et à ses amis les « honnêtes gens »
Art. 5.
Les colonies pénitentiaires sont des établissements publics ou privés.
Les établissements publics sont ceux fondés par l’Etat, et dont il institue les directeurs.
Les établissements privés sont ceux fondés et dirigés par des particuliers, avec l’autorisation de l’Etat.


M. R.
 
 
 
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Photo de l’un des dortoirs de la colonie de la Mairie du 17ème arrondissement de Paris,
à Breteuil-sur-Iton, dans les années 1950.
 

Quelques liens sur les bagnes pour enfants en France, ces « maisons de correction », « maisons de redressement », maisons « d’éducation », tous ces noms démoniaques annonçant une psychiatrisation forcée de la société ou déguisement d’enfermement, que ce soit par camisole chimique ou entre quatre murs :

Pénitencier de l’Île du Levant

Bagne pour enfants en Corse sous le second empire

Récit sur une révolte dans le bagne de l’Île du Levant

Chansons pour les enfants de l’Île du Levant par Claude Brasseur

Page du site ordiecole sur l’Île du Levant et son bagne

Interview de Marie Rouanet par Historia, et particulièrement détaillée et intéressant.

La « chasse à l’enfant » par Jacques Prévert
 
 
ENFER SUR TERRE
« Petit à petit, l’image de l’enfant pauvre et vagabond, de « l’innocent coupable », est remplacée par celle de l’enfant criminel en référence aux nouvelles théories du « criminel-né ». En 1860, l’heure n’est plus aux projets d’éducation, il n’y a plus que le châtiment et l’enfermement dans des colonies pénitentiaires publiques, des prisons qui ne disent pas leur nom. L’Etat en multiplie la création, les mineurs y sont placés de très longues années, dans une simple logique d’exclusion et de punition : les dortoirs sont progressivement compartimentés en « cages à poules grillagées ». Le travail n’est plus, comme trente ans auparavant, guidé par un souci d’apprentissage, il est devenu un élément de la peine. « Il faut soumettre l’enfant », écrit le directeur de l’administration pénitentiaire, en 1890, « s’il continue à fauter, c’est que la discipline n’est pas suffisante ». On renforcera le dressage en intensité et en durée... les bataillons disciplinaires, dans le cadre de l’armée, prendront le relais et poursuivront... l’œuvre de redressement ! »
 
Complément d'infos, que je fais coller sans trop me tromper avec les politiciens du 19ème siècle qui sont responsables des bagnes pour enfants et pour adultes ; car le politicien est un moulin à paroles, il fait chier des lois pour justement emmerder ses frères et sœurs humains.
« En revanche, nous avons devant nos yeux la démonstration à la fois amusante et terrifiante du mode de fonctionnement du législateur, qui applique aveuglément des recettes générales à des situations spécifiques qu’il ne cherche même pas à comprendre. Il est inacceptable qu’un homme politique ne sache jamais répondre par une phrase toute simple qui ne le rendrait pas moins intelligent : «  je ne sais pas, je ne comprends pas, expliquez-moi ».
Dans le cas d'Internet : On adapte pas le Net à une politique et au pouvoir des banquiers, on adapte sa politique au Net... Pareil pour les choses de la vie courante.
 
 

Dernière mise à jour : 13-11-2010 16:12

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