Modèle de société romaine 2
 

Ecrit par Sechy, le 12-11-2011 16:53

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Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur

 
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Modèle de société romaine 2

La Rome friquée et les Orfèvres-banquiers et la catalyse en
premier niveau du mondialisme.
Début de l’ère industrielle dans la Rome antique.
Et c’est cette société qui nous sert de modèle...
 
 
 
 
 
Une société dite secrète qui maîtriserait la vraie Télépathie et serait composée de seulement neuf membres (chiffre du Ciel en Chine), et qui bénéficie d’une parfaite transparence entre ses membres grâce à la Télépathie, pourrait se prolonger indéfiniment par cooptation parfaite sur des millénaires.
Grâce à cette transparence et à cette fluidité sur la chronologie, cette société ne pourra pas comploter, ni imposer un quelconque POUVOIR sur le monde, cela lui sera naturellement interdit. Si cette société estime aider ses frères et sœurs embrouillés ou menacés par leur civilisation destructrice, ou un cataclysme, elle ne pourra intervenir qu’à travers une multitude d’intermédiaires et seulement une ou deux fois par siècle. Une telle société de peut pas employer le pouvoir pour imposer une opinion ou un système de pensée ou une technologie révolutionnaire quelconque. Par conséquence le mot POUVOIR est bannit de son rayonnement. Tout réside dans l’emploie de la vraie Télépathie... là est la clé. Et cette Télépathie a probablement été perdue AVANT la construction de la Tour de Babel (ou le symbolisme qui s’y rattache). De nos jours, le moindre pouvoir fera tout pour empêcher le développement de cette vraie Télépathie ; ou au pire, l’embryon de son étude est déjà relégué au rang de « paranormal » à la mode New Age.

Théorie du complot = FRIC, tout simplement.
 
 
L’encadré ci-dessus a tout de même un rapport avec la civilisation romaine. Il échappe cependant à la mode de l’actuelle « Théorie du complot », car il y eut de véritables complots éclatés au grand jour. Il y eut à toutes les époques des complots, petits ou grands ! Mais la définition de complot comprend le sens du mot « secret », or le secret est incompatible avec la Télépathie !!! D’autre part plus un groupe de personnes est important en nombre, et plus il sera difficile de garder le secret ! Il faudra alors avoir recours à des stratagèmes d’opinion pour détourner et diviser le publique.

COMPLOT = INSÉCURITÉ et ENNEMI DU SPIRITUEL
Or pourquoi a-t-on remis au goût du jour le « terrorisme » avec les attentats du 11 septembre 2001 avec toutes les conséquences que nous connaissons ? Du temps de la « guerre froide » c’est le stalinisme qui était le grand méchant comploteur. De nos jours il y en a une multitude ; c’est éclaté en groupes. De plus avec la technologie et le dogme tyrannique de l’OPINION nous allons à fond la caisse vers le FAUX. Dernier exemple en date, l’affaire de la note des trois A appliquée à la « santé économique de la France » et qui a faillit être diminuée : ce serait « une tentative de manipulation ». D’autre part, les Américains sont les maîtres incontestés de l’Administration, ce qui se sent dans leurs moindres films notamment ; alors ils sont aussi les maîtres du CLOISONNEMENT. J’ai déjà eu l’occasion ici d’évoquer le travail hyper cloisonné dans les studios de tonton Walter Elias Disney ! Alors en matière de domaines « sensibles », comme celui du militaire... et de la propagande médiatique ou du commerce....

Les Anciens Romains vont en connaître des complots.
Ainsi ça traficote dur à Rome autour de l’an 174 avant notre ère. Comme il y a construction de nombreux bâtiments, il se créer de nombreuses entreprises, et une classe de capitalistes moyens se mettent à vivre à l’aise sur les fournitures publiques de l’État ! Les grandes fortunes se construises et les esclaves s’achètent. C’est un peut le « meilleur des mondes » à la romaine, et avec cette « modernité », les riches fermiers ne veulent plus vivre comme leurs ancêtres. Dans cette modernité citadine se développa les appétits animaux : gloutonnerie, sensualité, vanité, exacerbation des sentiments, ivrognerie, croissance et profusion de la richesse pour faire bling bling ; les parvenus étale leur crasse fortune.

Le marché aux esclaves se porte fort bien : les belles esclaves et les beaux éphèbes coûtent très chairs. Les cultes orientaux deviennent à la mode.

ACHETER DES ESCLAVES = CONFORT.


Vers l’an 192 avant notre ère s’établirent à Délos des entrepôts de marchandises asiatiques. Ne pas oublier aussi l’ouverture des premiers bains publiques à la même époque. Inévitablement apparaissent les premiers banquiers : les orfèvres qui se font CHANGEURS tant affluait de monnaies étrangères à Rome. Ces orfèvres deviennent banquiers en faisant commerce de l’argent : accepter des dépôts, et fixer les taux des prêts et travailler sur l’USURE.
Ensuite les étrangers affluèrent pour faire du business, ouvrir tavernes, bains, teintureries, boutiques de savetiers, de tailleurs, boulangers, etc. Les gens des campagnes commencent à délaisser leur coin attirés par les mirages de la cité de Rome, si bien que les terrains à Rome commencent à manquer, et que des plaintes sont déposées au Sénat. Les prix des terrains augmentent.
Vers cette même époque beaucoup d’Italiens s’enrichirent grâce au business des esclaves ; d’autres firent des entreprises pour éduquer ou formater les esclaves, leurs faire apprendre des métiers pour ensuite les revendre... On les dressaient aussi pour en faire des gladiateurs.
Dans ce « meilleur des mondes » romains beaucoup de gens pauvres devinrent aisés, et des gens aisés devinrent très riches ! d’où la naissance de la fameuse bourgeoisie d’argent.

CITÉ - VILLE = ARGENT et ENRICHISSEMENT
(cela fait plus de 2000 ans que ça reste valable !)


BOURGEOIS
: de Bourg ou cité ; c’est donc comme le citoyen de 1789 et de nos jours républicains : tout dans la cité, rien dans la campagne ! Ainsi naissait déjà la société industrielle. Bourg = privilèges, pouvoir. Ainsi le bourgeois est synonyme de gain, de fric, d’intérêt uniquement au profit.

Alors il y a bien comme dans la fable de La Fontaine : le rat des villes et le rat des champs deux classes :
Celle des villes est riche et puissante. Les citoyens sont vicieux, avides et débauchés, paresseux, égoïstes, indisciplinés...
Celle des campagnes est pauvre et traditionaliste. Elle est simple, honnête et respecte les lois et la noblesse.

La population commence a devenir un « bouillon de culture » avec un brassage d’étrangers, d’esclaves, de changement de classes. Désormais, pour faire moderne, il faut la CROISSANCE : s’imposer à n’importe quel prix et réussir par tous les moyens, tels furent les principes de la nouvelle diplomatie romaine, qui par des intrigues ou complots de plus en plus perfides, abaissa les États alliés, Rhodes, le roi de Pergame, l’Égypte mourante. À cela se mêla l’espionnage, l’esprit séditieux, les guerres civiles.

C’était déjà la civilisation du CONFORT et de la SÉCURITÉ. On considéra désormais que n’importe quelle perfidie était légitime contre les barbares.
« Une démagogie cosmopolite d’étrangers arrivés par hasard dans la métropole, comme hôtes adventices, opéra le changement décisif d’où devait naître la politique impériale et l’empire de Rome, malgré les répugnances de la population sincèrement romaine, qui ne voulait abandonner ni les mœurs ni la politique
de ses pères », écrit superbement G. Ferrero à propos de la Rome des années 200 à 100 avant notre ère, dans son livre : Grandeur et décadence de Rome.
C’est cette Rome là qui commence véritablement le MONDIALISME que nous connaissons aujourd’hui et qui tente de se mettre en place.

Au fur et à mesure que Rome s’enrichissait, elle devenait plus perfide, plus violente et cruelle : une fois la Macédoine tombée, la république romaine se sentit la puissance prédominante, ce qui rappel immanquablement la « démocratie » actuelle soi-disant libératrice « universelle » et avant tout colonisatrice, comme les Conquistadors espagnoles et portugais allant fabriquer à leur sauce chrétienne les peuples du soleil : Aztèques, Incas, Mayas, etc. Bref  : des DESTRUCTEURS. Voir à propos de démocratie ce qu’il se passe en Europe, qui n’a plus rien de démocratique, car le pouvoir en place ne demande désormais plus son avis au peuple !!! C’EST LA BANQUE QUI VOTE... Déjà que le suffrage dit « universel » est un piège à cons.
« Dans la classe moyenne beaucoup de jeunes gens durent abandonner la campagne pour la ville voisine, avec l’espoir de s’enrichir ; et ne trouvant pas de travail dans les petites villes, appauvries par l’émigration des grandes familles et par la détresse croissante des paysans, la plupart d’entre eux furent poussés jusqu’à Rome... », écrit G. Ferrero. Non, cela ne se passe pas au 19è siècle de notre ère, mais dans l’Italie des années 200 à 100 avant notre ère.

Mais qui dit cité dit croissance, ainsi plus Rome grossissait, et plus elle avait de bouches à nourrir ! Quand les récoltes étaient mauvaises, le petit peuple faisait des dettes chez le boulanger ! Plus Rome s’enrichissait et plus la décadence grossissait : physique, morale, économique, disparition de la vieille aristocratie romaine, corruption de la classe dirigeante. Dans les familles nobles enrichies pendant la période prospère du commencement du siècle, l’orgueil et la débauche corrompirent beaucoup de jeunes gens, qui grandirent paresseux, stupides et vicieux. Beaucoup de jeunes gens se couvrirent de dettes ; les uns congédièrent leur clientèle, vendirent la maison de leurs ancêtres, se résignèrent à habiter une maison louée, essayant de disparaître dans l’anonymat de la foule et de vivre sur les débris de leur fortune ; d’autre encore tentèrent de gagner de l’argent en faisant de la politique !!! Ainsi prenait forme un semblant de LIBÉRALISME avant l’heure. Mais TOUT EST CYCLIQUE. Ainsi on mélange déjà allègrement pouvoir politique et pouvoir économique : des financiers commencent à occuper la place des sénateurs ! comme de nos jours le nouveau premier ministre grec qui était vice-président de la banque centrale européenne (BCE) et est un économiste ! Faut le faire, et les Grecs l’ont fait... pour leur malheur... Évidement, maintenant GRÈCE = DETTES !

Au temps de Rome ARGENT = RÉPUBLIQUE, c’est aussi valable de nos jours !

« A mesure que croissaient l’aisance, l’orgueil, les vices, la cupidité de cette oligarchie mercantile d’artisans, d’affranchis, d’entrepreneurs, d’armateurs qui formaient alors le peuple romain ; à mesure que la noblesse en dégénérant perdait le prestige et les richesses, et qu’au lieu de dépenser magnifiquement ses revenus pour le bien général elle aspirait au pouvoir pour les augmenter », écrit G. Ferrero. La démocratie tente de se faire une place dans ce peuple corrompu. Mais la démocratie fait des ravages dans l’armée romaine : destruction de la discipline ; les consuls, au moment des levées de troupes, et pour ne pas se faire trop d’ennemis, exemptaient un grand nombre de citoyens romains, les riches surtout, pour qui le service militaires étaient une terrible corvée puisque ça les éloignaient des plaisirs et du confort de la ville. « Les officiers n’osaient plus punir les citoyens, qui se seraient ensuite vengés en votant dans les comices ; ils les laissaient amener aux camps des esclaves, des maîtresses ; s’enivrer, prendre leurs bains chauds, commettre des cruautés et des rapines, fuir les fatigues et les dangers, de sorte que la lâcheté et la bassesse éclataient dans toutes les armées », écrit Ferrero. Les rapines, la bêtise et la cruauté régnaient dans toutes les armées, accélérant la décomposition de la civilisation romaine, agricole, aristocratique et guerrière, commencée alors qu’elle avait déjà conquis l’hégémonie militaire dans la Méditerranée, et qu’il naquit un semblant d’impérialisme romain.

Pendant ce temps là dans le Piemont, avec l’aide de 5000 esclaves, ont fit tirer de l’or des mines de la région du Piémont et on en fit commerce.

C’est l’impérialisme qui détruit un empire, avec l’aide de l’orgueil, de la cupidité, de la soif du confort, de la passion pour le mercantilisme et son mélange avec la politique.
Quand je pense que c’est cette civilisation qui nous sert de modèle, avec les philosophistes grecs !...


[Références à Pierre Grimal : La civilisation romaine ; et Grandeur et décadence de Rome, de G. Ferrero]


 
Les Romains de nos jours du côté de l’Amérique : les grosses couilles avec leurs HAARP, leur STUPIDITY, and leur big toys and with big black wallets. (Attention, pas tous les Américains !)
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 12-11-2011 17:12

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