Révolution Ouroboros
 

Ecrit par Sechy, le 26-09-2012 22:59

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Révolution Ouroboros
C’est pour bientôt !
En voiture Simone !
 
 
 
Vive Kim Dotcom ! Il a bien raison et est en plein dans la réalité frôlant même l’Instant, à part peut-être son ego ? Bravo à celui qui ose dire tout haut « MERDE » à l'imbécilité de la « propriété intellectuelle » et aux Couilles en Or de Hollywood ! OSEZ disait François 1er. OSEZ prendre des risques. ÊTRE TOUJOURS EN GUERRE comme disait jadis Jabir Ibn Hayyan. C’est ça réaliser le Soi, au moins sur le premier échelon.


Les clés des problèmes actuels sont au Paléolithique, sous Saint Louis (Louis 9), la Renaissance et la Réforme, les révolutions de 1789 (France) et 1917 (Russie), les première et seconde guerres mondiales, et je dois en oublier !
 
 
Il n’est pas au pouvoir des humains de « fabriquer l’humanité », sinon on tombe comme actuellement dans la religion de l’homme. La fondation d’une cité et de la politique y afférent pour l’organiser exigerait des forces supérieures en l’état actuel de la ©onscience humaine ! Or toutes les révolutions quelles qu’elles soient sont le fait des humains, alors la tâche à laquelle ils s’obligent est voué aux drames comme 1789, 1917, et à venir, si la réalisation du Soi ou Instant n’entre pas dans la danse prochainement. Et plus la cité ou le pays est grand, plus l’organisation devient problématique et source de désordres contre « ordres », d’où nécessairement la dictature ; alors que dire avec le mondialisme et des « États » comme « l’Europe » ???
« Les lois de la meilleure organisation humaine ne peuvent se trouver que dans l’ordre universel » comme le dit Soljenitzyne.
« L’ordre social doit être le reflet de l’ordre de la création », écrit Jean Coulonval. C’est la seule façon de trouver la Vraie Paix.

« On ne doit pas dire pouvoir dire : « C’est ma religion [ou ma science], la religion de mes pères, la religion de ma race [ou mon peuple] », pas plus qu’on ne peut dire : « C’est ma vérité à moi », car une chose est vraie ou pas vraie, et le vrai ne peut en aucune façon être un objet de propriété ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).
Dire « Notre Dieu ; Notre religion », c’est conférer les attributs de l’Absolu à ce qui n’est que vulgaire opinion (ego).
Hitler, la démocratie actuelle avec sa laïcité sont l’aboutissement du règne de l’opinion commencé à la Renaissance et maintenant arrivé à maturation en prenant le masque de l’Universel en renversant leurs rôles : Ce sont les accidents qui engendrent les Essences ; nous le voyons bien avec le derniers discours de François de la Hollande à l’ONU en septembre 2012 (voir vidéo en fin d’article). Il confond les mots ‘général’ et ‘universel’, ou plutôt n’emploi à tort que le mot ‘universel’ en renforçant ainsi la religion de la laïcité franc-maçonnique. Ce genre de non emploi du mot général comme le pratique François de la Hollande est la marque du satanisme absolu, volontaire, caché ou non.
L’universel c’est la Catholicité comme l’indique le sens de ce mot. Mais certainement pas ce qui émane du Vatican.
 
 
 
Fabrice Bouthillon dans : Nazisme et Révolution - Histoire théologique du national-socialisme 1789-1989, tente de démontrer la division Droite et Gauche de 1789, véritable cassure qu’Adolphe Hitler tenta de refermer en réconciliant une valeur de Droite, le nationalisme, avec une valeur de gauche, le socialisme, ainsi le nazisme s’est offert aux Allemands comme la solution, paradoxalement centriste, à ce problème millénaire de la construction de l’unité nationale, en faisant confluer ces deux héritages sur la personne charismatique d’un meneur, un « homme de la rue » nommé Adolphe Hitler, et ancien peintre ayant étudié dans la même classe que Berthold Bartosch.
Malheureusement cela conduit toujours au DORG (Demain On Rase Gratis) ou même soupe pour tous ou pensée unique. Tel est le principe de tous États, qu’ils soient monarchistes ou républicains. Ce n’est pas à une État, à une idéologie ou opinion de fabriquer l’être humain, c’est l’œuvre de Dieu, l’œuvre de chacun en réalisation de l’Instant ou Soi. Vouloir fabriquer les êtres humains est par nature anti-christique, anti-cosmique. 1789, le marxisme communisme et 1917, le nazisme furent anti-cosmique. Ce ne furent que des dictatures imposants à l’ensemble, à la masse. Le marxisme est une religion au sens qu’il prétend re-lier l’homme à son origine qui est la matière. Le Catholicisme dit que dans le principe était le Verbe. Le marxisme caricature, en creux, l’Église, il est une pseudo-synthèse qui couve des œufs clairs qui ne peuvent que pourrir au bout d’un temps.

La tentative du National-Socialisme fut une tentative qui tourna à la tragédie dans tous les sens du terme, et la chute d’une véritable religion, comme celle du communisme. Et ce qu’il y a de plus démocratique dans le nazisme, c’est la personne même de Hitler, comme l’écrit F. Bouthillon, qui classe Hitler dans « l’extrême droite ».
Bouthillon écrit une chose très juste : « Le sacrifice est le mécanisme religieux par excellence, et celui dont la violence (il cite René Girard : La Violence et le Sacré), parce qu’elle aboutit à éterniser la présence de sa victime. La mémoire du sacrifié [comme Osiris, comme le Christ, comme la Shoah] devient immortel, au travers des cérémonies répétitives, elles-mêmes sacrificielles, qui rappellent sa mort. Auschwitz a encore de beaux jours pour l’exploitation touristique et de son prosélytisme !
Le sacrifice est donc le noyau originel de toute culture, qu’elle soit religieuse, puisqu’il en naît un culte ; civique, puisque la cité se structure autour de lui ; ou même, dans le sens évaporé que notre époque donne au mot, étant donné que la réitération sacrificielle suppose celle d’un récit qui en explique le sens : la poésie, le théâtre, l’histoire, le roman, sont nés de cette matrice ». Ainsi le mythe et sacrifice de Hitler est un égrégore toujours présent, et pourra aboutir à la résurrection du mouvement nazi lui-même. Surtout que le nazisme s’inscrit bien dans le paganisme antique mélangé de christianisme, chose étonnante puisqu’il y avait haine du judaïsme et mépris du christianisme. Le nationalisme de Hitler voulait faire de son pays un retour au culte païen de la Terre-Mère. Malheureusement il n’était pas en synchronisme avec ce qu’il se passe actuellement par exemple, et sa richesse symbolique était trop riche et trop complexe et également pas en phase avec son temps.

SACRIFICE - ABANDON - DON - DÉVOUEMENT - GRATUITÉ : action de rendre quelque chose ou quelqu’un sacré. SACREFIXE sacrefise : 1120, du latin sacrificium, de sacrificare. Immolation, libation, oblation ; le football moderne et nombre de sports médiatisés par les médias dont la télévision sont des sacrifices et des messes modernes sous couvert de la religion de la laïcité : RELIER.
Évidemment le mot Sacrifice se transforme à la seconde moitié de 1600 (Réforme oblige) en : renoncement ou privation volontaire : en vue d’une fin religieuse, morale, ou militaire.
Le Sacrifice implique la notion de SÉPARATION, de DIVISION : on se sépare du monde profane pour se donner à Dieu (ce que font les moines). Le Sacrifice est donc un renoncement aux biens terrestres. Le sacrifice est bien dans le thème ÉCONOMIQUE : un ÉCHANGE, un TROC : « parce qu’un bien matériel symbolise un bien spirituel, l’offrande du premier attire le don du second en récompense, on dirait même en juste et rigoureuse récompense. Toute la vertu du sacrifice, qui sera pervertie dans la magie, réside dans la relation matière-esprit et dans cette persuasion que l’on peut agir par le truchement ou la méditation des forces matérielles sur les forces spirituelles ». (Dict. des Symboles, de Chevalier et Gheerbrant).
Ne pas confondre Sacrifice et Masochisme (genre auto-sacrifice) !
Bien-sûr on offre aux Dieux des sacrifices (immolations), soit des humains, soit des animaux, ce qui revient au même ! On tue de la même façon et on offre les entrailles et le cœur de la même façon. La chair est partagée entre les assistants.
Le Sacrifice peut signifier une victoire intérieure : victoire de l’humain sur son animalité, dont le Taureau est le symbole cornu.

Dans le même thème :
SACREMENT : sacrifice de la messe, partie de la messe qu’on appelle la consécration et l’élévation.
SACRAMENTAGE : droit que paye celui qui prête serment.
SACRE : fête du Saint-Sacrement.
Maintenant, un SAC est ce qui sert à envelopper.
SACQUAGE : droit sur les denrées qui se mettent en sac.
SACQUELET SACQUIAU : petit sac, sachet.
Et un SAS (SACIER SASSER) : passer par le sas ou le tamis, le blutoir. Passer au cible.

Le contraire du Sacrifice est REPRENDRE SES BILLES ou TIRER SON ÉPINGLE DU JEU : se dégager adroitement d'une situation délicate, se retirer à temps d'une affaire qui devient mauvaise, sauver sa mise. On reprend son don.

L’Allemagne fut SACRIFIÉ au profit du MONDIALISME et de ses Couilles en Or.
Et 1789, 1889 (naissance de Hitler), 1989 année de tous les dangers couronnant étrangement la tentative de Hitler de réunification Droite et Gauche : chute du mur de Berlin, Place Tian’anmen, prix Nobel de la « paix » à Tenzin Gyatso (chef de guerre ‘spirituelle’ des Couilles en Or), naissance de la chaîne télé Arte ; tous phénomènes pour mettre en place le mondialisme. D’ailleurs la somme ‘arithmosophique’ des chiffres 1789, 1889, 1989 donne successivement 25, 26, 27, soit 789 !


Une ligne est une longueur sans terminus désignable, mais en bouclant le début A sur la fin B elle devient quantitativement finie, close, connectée ; on ne peut plus lui assigner un commencement et une fin. Jean Coulonval cite son voisin mineur d’Arras qui voyait autour de lui l’horizon circulaire et pouvait bien déplacer le centre de cet horizon, en déplaçant ses pieds. Il ne voyait jamais qu’un horizon circulaire. Pourquoi aurait-il une fin ? Pour le mineur de Coulonval la Terre était un camembert dont les bords se situaient à l’infini, au non-defini, à l’in-défini. Il ne lui venait pas à l’esprit qu’il fallait lui mettre concrètement un terme. Il percevait les choses comme un paysan qui veut agrandir son champ : après chaque parcelle j’en achèterai une autre, puis une autre, à l’infini : « Il n’y a pas de raison que ça s’arrête », c’est ça la croissance.
Pourtant la Terre est une sphère dont la surface est finie. De la même façon que la ligne, en bouclant sur elle-même pour accomplir le cercle, se transforme d’in-finitude en finitude : de la même façon que la circonférence est une ligne qui n’a pas de commencement assignable, la sphère est une surface qui n’a pas de centre géométrique assignable. Mais en perdant ce centre, elle réalise la sphère pleine, le volume sphérique, comme la circonférence a concrétisé la surface du cercle. Le diamètre du cercle inscrit dans la sphère peur définir une infinité de pôles. L’opposition polaire A B est identique à l’opposition B A, de sorte que chaque pôle est à la fois lui-même et son contraire.
Question : monde clos ou Univers infini ?

La totalité du cosmos peut être une collection d’étoiles, comme le total de biles dans le sac d’un gamin. On aurait alors l’analogue de ce qu’est la ligne pour le ver : « Pourquoi la ligne aurait-elle une fin puisque après une reptation je peux en faire une autre ; ou l’analogue de ce qu’est la Terre pour le mineur de Coulonval : une collection de parcelles de terre s’ajoutant, in-définiment. Le problème du ver est résolu par la circonférence. Le problème du mineur est résolu par la sphère. Ceux qui tiennent l’Univers pour un total fini de sphères dans un volume fixe, même s’ils envisagent la possibilité d’ajouter in-définiment des sphères à des sphères (comme le gamin qui gagne aux billes), même s’ils croient que leur imagination suffit à le faire gonfler, ceux-là sont aussi crétins que le mineur.
Par quoi est limité le camembert du mineur ? Un abîme ? Une muraille ?
Par quoi est limité l’univers sac-de-billes, en nombre fixe ou croissant, ou occupant un volume en expansion ?
Le vertige intellectuel est le même dans le cas du mineur ou des partisans du fixisme.
Fini ou infini ??
Le saura-t-on jamais ?
 
 
 
 




François de la Hollande à l’ONU qui confond « universel » et « général » et dilue un verbiage bien faux cul démocratique, bien gender comme l’est la mode masculine et féminine actuelle, et toujours au nom de la liberté. On ne sort pas des révolutions de 1789 et 1917 ! Pauvre François, il me fait de la peine.
 
 
 

Dernière mise à jour : 26-09-2012 23:38

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