Civilisation du présumé et religion des banks
 

Ecrit par Sechy, le 22-12-2012 22:33

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Civilisation du présumé et religion des banks
donc qui éloigne de l’Instant.
Une civilisation de la peur et des winners, avec sa Sainte Croissance.
Nous sommes dans la civilisation du « Principe de précaution », donc du CONFORT ou SÉCURITAIRE.
La peur de la mort en est d’ailleurs un des grands symptômes.
On cache la mort avec le transhumanisme et autres ismes.
 
 
 
En démocratie avec nos zamis francs-maçons nous sommes tous des PRÉSUMÉS riches !
Le problème est qu’un petit groupe de gens (La City et Wall Street) ont droit de vie et de mort sur nous tous. Voilà le mondialisme des Couilles en Or.
Donc en 2012 notre planète la Terre appartient à un petit groupe de Couilles en Or. Il est temps de passe du pouvoir d’achat au POUVOIR D’ÊTRE : je suis CE JE SUIS.
 
 
La civilisation qui a peur de la mort et qui le comble par le NON SILENCE : « La force de l’habitude nous pousse à croire qu’il est difficile de cesser de penser. Quand cette erreur est découverte, personne ne serait assez stupide pour s’efforcer à penser inutilement » (Ramana Maharshi, entretien 398). Voilà la Vraie égalité, mais surtout LA VRAIE ÉCONOMIE.

 
Démocratie = société de surveillance par défaut : on parle tout le temps de PRÉSUMÉ. C’est la « société du par défaut », parce que par principe démocratique il faut tout contrôler puisque nous sommes censés être dans une époque libérant la libre pensée, et que naturellement pour un pouvoir il est impossible de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord. La démocratie actuelle n’est qu’une dictature molle et ne peut fonctionner comme telle.

PRÉSUMER : 1190, du latin præsumere : prendre d’avance, donner comme probable, que l’on croit tel par hypothèse. Donc on ne sait rien, on imagine, on projette, aussi bien en arrière qu’en avant, mais jamais ICI et MAINTENANT.

La civilisation du « Principe de précaution » (du « Au cas où ») c’est donc la SURVEILLANCE : nous sommes pistés dès la naissance, puis scrutés, numérotés et archivés ; c’est pour « notre protection » puisque ça dégage la responsabilité de l’État.

Uns civilisation qui s’éloigne de plus en plus de l’Instant et qui paradoxalement « se connecte » de plus en plus (informatoc des i-machins et des réseaux « sociaux » et autres tétéphones portables tant les gens biberonnent avec leur machine).

Présumer, prendre des précautions, tout cela entre dans le thème de l’ESPACE, de la DISTANCE, donc du TEMPS-CHRONOS et de la RAISON (temps d’idéation). Or l’espace comme le temps ça n’existe pas, c’est dans le mental.
Ainsi :
« Vous avez quittez votre maison dans une charrette, pris le train, êtes descendu à a gare, remonté dans une charrette et vous vous êtes retrouvé dans cet ashram. Quand on vous à demandé ce que vous avez fait, vous avez dit que vous avez voyagé depuis votre ville jusqu’ici, n’est-ce pas ? Le fait n’est-il pas plutôt que vous n’avez jamais bougé et que ce sont les divers moyens de locomotion qui vous ont transporté tout le long de votre route ? De même que vous confondez ces mouvements avec les vôtres, vous faites ainsi pour les autres activités. Mais ce ne sont pas les vôtres. Ce sont les activités de Dieu ».
(Ramana Maharshi, entretien 78)

Savinien de Cyrano de Bergerac dit un peu la même chose : le transport, c’est un échange de volumes ; ou donner de la chaleur aux pieds ! Bref, c’est dans le corps ou la tête.


L’espace n’existe pas :

« On n’atteint pas le Soi [ni aucun but ou site]. S’il fallait l’atteindre, cela voudrait dire que le Soi n’est pas toujours ici et maintenant, mais qu’il doit être obtenu comme quelque chose de nouveau. Ce que l’on obtient comme quelque chose de nouveau sera aussi perdu ; ce sera donc impermanent. Ce qui n’est pas permanent ne mérite pas d’être recherché. C’est pourquoi je dis que l’on atteint pas le Soi. Vous êtes le Soi. Vous êtes déjà Cela. Le fait est que vous ignorez votre état de Félicité. L’ignorance survient et étend un voile sur la pure Félicité. Les efforts servent uniquement à dissiper cette ignorance. L’ignorance consiste en une fausse connaissance. Et la fausse connaissance consiste en fausse identification du Soi avec le corps, le mental. Cette fausse identification doit disparaître. ile ne restera alors plus que le Soi ».
...
« Où allez-vous ? Vous n’allez nulle part. À supposer même que vous soyez le corps, votre corps est-il venu de Lucknow à Tiruvannâmalai ? Vous étiez simplement assise dans la voiture ou autre moyen de locomotion qui a bougé ; pour finir, vous dites que c’est vous qui êtes venue ici. Le fait est que vous n’êtes pas le corps. Le Soi ne bouge pas. Le monde bouge en lui. Vous êtes seulement ce que vous êtes. Il n’y a pas de changement en vous. Par conséquence, même après un soi-disant départ d’ici, vous êtes ici, là-bas et partout. Ce ne sont que les scènes qui changent.
Quant à la Grâce, elle est en vous. Si elle était extérieurs, elle n’aurait aucune valeur. La Grâce est le Soi. Vous n’êtes jamais hors de son activité. La Grâce est toujours présente ».
(Ramana Maharshi, entretien 251)

- Question : L’ego est ce ui se réincarne.
- Maharshi : Oui. Mais qu’est-ce que la réincarnation ? L’ego reste toujours le même [le centre de l’ego est le Soi, le Centrum Centri]. De nouveaux corps apparaissent et se l’approprient. L’ego ne change pas. Il ne quitte pas un corps pour en chercher et en trouver un autre. Regardez ce qui arrive à votre propre corps physique. Supposez que vous allie à Londres. Comment faites-vous ? Vous prenez une voiture qui vous emmène au port, puis un bateau qui vous transporte jusqu’à Londres en quelques jours. Que s’est-il passé ? Ce sont les moyens de transport qui se sont déplacés, non pas votre corps. Cependant, vous affirmez que vous avez voyagé d’un bout à l’autre du globe. Les mouvements des véhicules ont été transportés à votre corps. Il en est de même pour votre ego. Les réincarnations sont des transpositions. Par exemple, quand vous rêvez, que se passe-t-il ? Rentrez-vous dans le monde onirique ou bien est-ce ce dernier qui se déroule en vous ? La dernière hypothèse surement. Il en va de même pour les réincarnations. L’ego reste inchangé au cours de celles-ci.
De plus, dans votre sommeil, le temps et l’espace n’existent pas. Ce sont des concepts qui naissent une fois que la pensée ‘je’ a surgi. Avant l’éveil de cette dernière, les concepts étaient absents. Par conséquent, vous êtes au-delà du temps et de l’espace. La pensée ‘Je’ est illimité, universel, au-delà du temps et de l’espace... »
(Ramana Maharshi, entretien 311).

Le présumé actionneur du communisme n’est pas un présumé, il passa à l’acte, il s’agit de Gracchus Babeuf.

Pour « gagner de l’argent » il faut travailler, encore faut-il qu’il y ait du travail ! On appel ça le « Droit au travail », ça existait déjà sous Louis XVI pour les sans emploi à Paris. Louis Blanc auquel on attribut ce droit au travail n’a rien inventé. Aujourd’hui ce sont les ANPE, pardon, le Pôle emploi qui, théoriquement, doit fournir du travail aux sans emplois. La formule « droit au travail » viendrait de Robespierre. Karl Marx proteste (Lutte des classes en France) en répondant : « Quel État moderne ne nourrit pas le pauvre d’une manière ou d’une autre ». Les doctrines de Louis Blanc étaient celles du communiste Babeuf, de Rousseau et de Robespierre, augmentées des théories de Saint-Simon, de Fourier, Étienne Cabet, Buonarroti.

Pour Louis Blanc l’État doit régler d’une main ferme les conditions du travail... « Nous souhaitons un gouvernement fort, parce que dans le régime d’inégalité où nous végétons encore, il y a des faibles qui ont besoin d’une force sociale pour les protéger ». Nous avons la même opinion avec les « caméras de protection » (surveillance) de nos jours, qui va dériver vers INDECT (Big Brother).
Étonnant, Lénine en bon égalitariste parle presque de la disparition d’un gouvernement, parce qu’il n’y aura plus de classe supérieur et inférieur ! Bref, comme pour Louis Blanc, on baigne dans le rêve de travailleurs du chapeau.

SOCIAL :
de 1557, période de la Renaissance et des grands voyages, donc signifiant : agréable aux autres, donc se faire des alliés, de grès, ou de force dans le cas des massacres des Peuples du Soleil (Incas, Mayas, etc.). Au 18è siècle : relatif à un groupe d’individus, d’hommes, conçu comme une réalité distincte (société) ; qui appartient à un tel groupe et participe de ses caractères (opposé à biologique, psychique, individuel). (Réf. dict. Le Robert).
Évidemment SOCIALISER ne pouvait être qu’un mot de 1786.

Le communisme vient bien de Robespierre et surtout Babeuf influencé par Weishaupt, avec les suiveurs, Robert Owen, Saint-Simon et Fourier. Tous ces gens détruisirent le concept de « démocratie ». Étienne Cabet suivit la doctrine de Weishaupt : « De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins », ce qui plus tard nous donnera le système du Goulag où la faim fut le principal instrument de contrôle du Goulag : les normes exactes pour les divers catégories de prisonniers étaient fixées à Moscou et changeaient souvent. Il fallait calculer la quantité minimale de nourriture nécessaire aux prisonniers pour qu’ils puisse travailler. Les prisonniers qui accomplissaient la norme suivant le plan de Moscou recevaient leur norme de bouffe ; ceux qui étaient malades et épuisés ne pouvant faire leur norme et donc n’accomplissaient pas le plan des communistes, ils ne recevaient pas cette norme et crevaient à petit feu. En 1933 : rations pour les prisonniers qui réalisaient le norme à 79%, entre 80 et 89%, entre 90 et 99%, entre 100 et 109%, entre 110 et 124%, et 125% ou plus. Facile à imaginer la bureaucratie démentielle pour établir ces plans ! Voilà un détail principal du communisme issue de Robespierre Babeuf et Weishaupt & Co.

Évidemment l’expérience communiste de Cabet s’écroula comme celle de New-Harmony, de New-Australia, à cause inévitablement du leader devenu naturellement autocrate. Il fut contaminé par le POUVOIR.
Cabet se conduisit dans le genre Staline : interdit aux travailleurs d’avoir du tabac, interdit de parler pendant les heures de travail. Évidemment la communauté se révolta ! Tous ces gens utopistes ont une haine de la liberté ! Étrange paradoxe.

Un autre communiste français qui donnera le bolchevisme fut Constantin Pecqueur, il trouva le terme « socialiser » et publia en 1838 : Des intérêts du Commerce, de l’Industrie et de l’Agriculture et de la Civilisation en général. Pecqueur avait le projet de « socialiser » toutes les banques, les mines, les chemins de fer, et toutes les industries (comme en URSS). Il écrivait : « En économie sociale, le vrai bien sera la socialisation progressive des sources de toutes les richesses, des instruments de travail, des conditions du bien-être général ». En voiture Simone pour le MONDIALISME !
« Le capital doit finir par être entièrement social et chaque personne doit toujours recevoir une part de la production en fonction de son temps de travail ». On retrouve encore cette « Méritocratie » installée dans l’outil nourriture du Goulag, avec un capitalisme d’État (socialisation de la terre et socialisation des capitaux), donc inverse du libéralisme mais capitalisme toujours !!! La prison est solide.
Gracchus Babeuf sous le Directoire prêcha ouvertement l’abolition de la propriété et la distribution de toutes les terres et de toutes les richesses (façon Incas, voir la page Mythe de l’égalité).
Les « Égaux » de Babeuf jusqu’aux socialistes de la fin de la Monarchie de Juillet continuent la tradition.
Buonarroti publia en 1828 L’Histoire de la Conspiration des Égaux, qui fut pendant dix ans l’évangile du prolétariat français. Pendant que le communisme se développait il se pointa bientôt la doctrine anarchiste, notamment avec Proudhon (auteur de la maxime : La propriété c’est le vol).

D’après Proudhon :
- Le Communisme c’est la terre, les richesses et la propriété enlevées aux particuliers et placées sous le contrôle de l’État (comme le système des Incas).
- L’Anarchie prône le principe contraire : aucun État et aucun gouvernement, appropriation des richesses par le peuple. On entre alors dans deux tiers de la trinité franc-maçonnique : Liberté et Égalité (Fraternité, faut voir !).
Le Communisme se résume en un mot : LA MASSE.
L’Anarchie se résume à : « Individualisme fou ». Bref, ce n’est pas Proudhon qui réglera le problème.

EN RÉSUMÉ : La Vraie Civilisation passe par la Trinité : Pouvoir spirituel, politique et économique, en parfaite CIRCUMINCESSION : Compénétration mutuelle fondée sur l’unité d’essence, en parlant de la Sainte Trinité. Circumincession qui pourrait d’ailleurs être représenté par le TORE, mais ce n’est pas le sujet de la page déjà bien chargée !
En tous cas, la Circumincession ne peut pas être la trinité maçonnique Liberté-Égalité-Fraternité qui est une devise parfaitement mayerialiste (Mayer Amschel Rothschild). Cependant, les francs-maçons ont bien compris qu’il fallait une Trinité pour faire fonctionner le machin !



La « monnaie » n’a aucune valeur en soi, même un pièce d’or métal, et encore moins un bout de papier nommé « billet ». C’est la CROYANCE qui donne la valeur et le banquier s’appelait autrefois : « Marchand de Confiance ». Nous sommes tous responsables de la situation actuelle. Comme de tout, la monnaie n’est qu’une convention sociale fondée sur la CONFIANCE, trompe l’œil ou illusion, un extraordinaire lavage de cerveau ou de conditionnement ; et ça dure depuis au moins 5000 ans !
Donc comme pour la démocratie actuelle, il faut rendre OPAQUE la confiance envers ces marchands de confiance ou banquiers afin de rassurer et obscurcir les éléments d’incertitude et d’instabilité, surtout que la monnaie est maintenant totalement dématérialisée : un comble, ou plutôt une RELIGION, qui est LA VÉRITABLE PRISON MODERNE ! Cette religion-prison remonte à 1971 : fin de la conversion or en papier. Il commence alors l’ère de la monnaie virtuelle, merveilleusement adaptée à notre informatique... et aux traders fous et autres Couilles en Or genre Goldman Sachs... Commence aussi l’ère de l’argent dette et des faux-monnayeurs autorisés, nous entrions en PLOUTOCRATIE de l’argent-dette ; et c’est là où n’existe aucune égalité, nous sommes en guerre les uns contre les autres. Babeuf et Robespierre ont échoué depuis longtemps.

Comme avec le lobby US des Armes à feu qui préconise d’armer chaque écoles pour éviter des attentats, la dette préconise une nouvelle dette en réempruntant pour soigner l’économie actuelle ! Tout cela est de la médecine allopathique du Diable ! Conséquence : démantèlement des services publiques et des protections sociales !

Communisme ou Individualisme : même combat : la monnaie.
Bien comprendre que l’humanité a vécu pendant des centaines de milliers d’années SANS ARGENT. Cette série de vidéos passionnantes et soignées relatent ce qui est décrit plus haut sur les utopies et paradoxes individus-collectif au niveau pouvoir politique et pouvoir économique.

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Dernière mise à jour : 22-12-2012 23:11

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