Yahvistes = capitalo-socialistes-communistes
 

Ecrit par Sechy, le 16-05-2013 00:14

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Yahvistes = capitalo-socialistes ou communistes

PROMÉTHÉE ou le POUVOIR DU CHAT (d’achat, synonyme d’amen ou amène dans ma poche : être agréable ou confortable)
 
 
1 c’est Dieu, mais 0 c’est la Stargate ou l’Instant mécanisé. Les humains découvrent le Feu et ensuite, ou en même temps, découvrent les chiffres : donc le 1 (unité) ou Dieu, puis la paire ou 2 (dualité), et tout au plus le 3 ou Trinité (pluralité), ce qui peut expliquer cette obsession du binaire, de la cause et effet. Rappel : la roue telle que nous la connaissons n’a pas l’ancienneté du Feu et de la Trinité.
Au-delà de la Trinité ça devient hasardeux. Nous avons seulement deux mains et deux pieds, ce qui facilita les choses, comme facilitera les choses de regarder un oiseau voler avec ses DEUX ailes (Imaginez un monde où un oiseau aurait 3 ailes...). Mais, visualiser les nombres : reconnaître d’un coup d’œil (dans l’Instant), hélas, avec les 8 chiffres actuels (sans l’Unité et le Zéro), l’intuition visuelle directe au-delà de la Trinité n’est plus là, on pénètre dans l’ABSTRAIT. Car l’œil humain n’est pas un « instrument de mesure » précis, son pouvoir de perception directe des nombres ne dépasse jamais le chiffre quatre : voir le 4 en forme de 4 bâtons dans les alphabets : étrusques, araméens, syriens, crétois, égyptiens, mayas, etc. Au-delà il faut des calculs ou petits cailloux comme ceux déposés sur un sentier pour retrouver sa trace... en les visualisant les uns après les autres. D’ailleurs des indigènes s’aperçoivent rarement que deux épingles ont été enlevées d’une rangée de sept ; mais ils remarquent tout de suite qu’on en a retiré une ! Le sens de la ressemblance étant très fort chez les indigènes plus que leur « compréhension » ou « raisonnement » par des nombres. Ils mettent simplement en correspondance l’unité et la paire, donc ne savent « compter » que jusqu’à 2, ce qui n’en fait en rien des « primitifs », terme de crétins occidentaux se disant « scientifiques ».
Ainsi les nombres sont bien une chose matérialiste, ou du domaine du mental : sujet-objet. Je n’ose imaginer les ravages psychiques futurs dans les prochaines générations, provoqués par la mouture 2013 de la parité introduite par l’opinion du pouvoir du moment avec le « mariage sodomite » et ses « parents 1 et 2 ».
Pour moi les plantes savent compter... au moins jusqu’à deux : en dessous, au-dessus, ou Intérieur et Extérieur. Par contre un minéral comme une pyrite de Fer compte jusqu’à trois : triangle équilatérale. Or l’être humain est constitué de minéral, de végétal et d’animal.
 
 
Les Yahvistes et leurs tribus sont fondamentalement des socialistes, de social = la ville ou cité, la QUANTITÉ ou le GÉNÉRAL : l’architecture chère à cette nouvelle franc-maçonnerie uniquement spéculative car ne touchant à aucune truelle mais travaillant uniquement du chapeau, est un pur produit de la culture matérialiste, et sociale car touchant à l’environnement et aux rapports sociaux et familiaux régis autrefois par ces fameuses règles ou lois trinitaires des trois pouvoirs : religieuses, économiques, politiques.
Pour les sociétés nomades ce qui compte n’est pas l’architecture mais l’organisation du territoire, et secondairement la construction établissant alors des relations sociales entre ouvriers. Les nomades n’ont que faire de la « propriété privée ». Leur architecture se réduit à quelques matériaux légers et démontables et transportables. Ainsi la technologie doit être simple : quelques perches, et on peut construire des formes fondamentales.
Dès qu’il y a villes et cités et architecture importante arrive la compétition sociale, les calculs et conventions et la violence nécessitant des « forces du désordre » puisque avant tout c’est bien de ce principe qu’il s’agit (comme l’ambiance générale que nous vivons de nos jours à cause du « libéralisme » bancaire).

Maintenant, les Yahvistes, leur Adam, et leur problème avec le temps ont tout salopé, et le christianisme a suivit sur cette lancée de Chute ou « faute d’Adam » et de la quincaillerie qui suivit : rédemption ou salut, et « fin des temps » ou éloignement de l’Instant.
Les Yahvistes ont tout salopé parce qu’il n’y a pas de « fin des temps ». Il n’y a qu’un Éternel Présent : l’Instant ou Soi, ce qui bazarde toute idée de mal héréditaire ou « faute d’Adam ». La « Chute » ce n’était pas par le « sauveur à l’envers » ou Adam, mais la « Chute » c’est DANS L’INSTANT. C’est trop facile ou confortable de rejeter la faute sur les Anciens ou sur Adam, et attendre un « sauveur » ou messie tel un médicament de Big Pharma qui soignera la « faute d’Adam » (chose effectuée par le Christ dit Jésus). Après plus de 2000 ans il devient urgent de sortir de cette hallucination collective de « Chute d’Adam ».

Hallucination collective Yahvisto-Chrétienne de la période des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture qui a donné le communisme ou socialisme : le social pour rendre l’humain solidaire d’une destinée collective, donc adamique, et non cosmique : depuis plus de 2000 ans nous sommes dans la cervelle des Yahvistes et leur Adam et leur messie et leur rédemption future. Ça fait plus de 2000 ans que le socialisme est installé, avec sa morale ou lois de Moïse, par conséquence sa politique, la religion passant en second plan. Tout cela pour construire une base solide de société sédentarisée de voie de l’Agriculture, selon le système yahviste de la carotte et du bâton : on promet aux déshérités le « Royaume de Dieu (des yahvistes) sur Terre » et le Paradis dans les nuages d’Allah comme cadeau Bonux en compensation de la dureté de vivre dans le monde spatio-temporel. Le système de la république date bien de l’idéologie yahviste et chrétien : égalité humaine devant la loi humaine et « divine ».

Yahvisme et chrétienté sont des religions du sociale, du politique et du militaire, qui nous donneront l’ÉTATISME et l’Empire du monde ou actuelle États-Unis-sioniste. Moïse et ses Commandements sont le type même du symbole de la cité, de la ville, du socialisme compas-équere franc-maçonnique : la LOI est là alors « fait ce que doit », fait ce que dit la loi (que je traduis souvent par « compas-équerre »). On comprendra facilement que l’actuelle franc-maçonnerie dite spéculative soit essentiellement POLITIQUE et veille ne faire que du social à la place de l’Église de Rome (mélange du temporel et du spirituel). Dans ce système il n’y a que la LOI, ou OPINION puisque loi nécessairement humaine, loi religieuse ou politique (maintenant uniquement économique) tenant tout l’édifice, sans quoi tout s’écroule et les liens sociales se disloquent. Nous sommes encore à l’état sauvage bien plus sauvage que par le passé, tout cela étant si fragile.

Du temps des nomades, au Paléolithique chez les Chasseurs-Cueilleurs, la « loi » était à la foi socialisante mais, et surtout, COSMIQUE : en accord avec le Cosmos. L’idée de « liberté » ne pouvait venir que de l’accord, de la COÏNCIDENCE avec le bombardement énergétique du Cosmos (planètes, astéroïdes, influences diverses, etc.). S’il existait une idée de « rédemption » au Paléolithique, le Chasseur-Cueilleur devait la résoudre DANS L’INSTANT et ne compter sur l’arrivée prochaine d’aucun « sauveur ». Son seul éloignement de l’Instant était la magie qui perturbait sa réalisation du Soi (Magie étant TOUJOURS accolée à un moment ou une autre au cancer du Pouvoir). Le Chasseur-Cueilleur devait connaître intensément ce qu’était le MERVEILLEUX : être surpris, se donner merveille, donc encore une forme d’éloignement de l’Instant ! puisque le mot Merveilleux exprimait aussi : être hautain, fier, insolent, étonné, épouvanté, admirer. Dans le même thème se trouve : Magie, Miracle, Enchantement, etc. Avec l’invention d’une langue écrite, comme l’écriture avec les Hiéroglyphes de l’Égypte ancienne, la Magie se réfugia dans chaque Hiéroglyphe. Il n’est pas étonnant que par la suite cela donnera aux Yahvistes leur guématria utilisée dans la Kabbale.

Nous assistons à la lente dégradation, produit des 10.000 ans de cette voie de l’Agriculture, avec la perte du sens originel, « organique et cosmique » d’un phénomène naturel, non encore dégradé par le conventionnel ou le « compas-équerre » du social, pour aboutir à la MÉCANISATION de l’humain à la fois dans son âme et son corps. Le processus s’est vraiment déclenché à l’époque de la Renaissance, où la technologie, les évènements cosmiques devient autonomes par rapport à l’universel, pour s’intégrer dans le conventionnel : lois mécaniques ou début de la même soupe pour tous. L’exemple est flagrant avec la dérive du sens du mot SCIENCE : aujourd’hui on confond Science et Technoqie, et ça a commencé à la Renaissance en Alchimie, où les « noces » deviennent « combinaison » ; l’amour devient « combustion » ; la mort devient « neutralisation » incinération, etc. La Renaissance a réussit parfaitement, surtout avec l’invention de l’imprimerie, à instaurer pour de longs siècles une conception du monde minéral, mécanique du Cosmos. La « Matière » est devenue « inanimée », sauf l’humain devenu roi (avant le citoyen de 1789). Le paroxysme de cette mécanisation de la société fut le 19è siècle, ce n’est donc pas pour rien qu’est apparu une forte résurgence de l’occultisme, du spiritisme, de la théosophie, etc., et d’un grand bon de la technologie.

La voie de l’Agriculture permit dans un sens de rapprocher l’humain avec le Cosmos, car les « lois » se trouvaient sous le signe de l’identification de la Terre à la femme, à la pluie, à la fécondité, à la naissance et à la mort. Cela fut rendu possible par l’expérience de la découverte du phénomène agricole, Ce qui modifia totalement la géométrie du cerveau humain dans l’ensemble de la planète : l’agriculteur découvrit des lois dont le nomade n’avait que faire ; il découvrit des lois et compris des symboles auxquels son mental était totalement opaque avant qu’il ne vécût l’expérience avec les céréales. Il découvrit aussi la violence et autres conséquences qui vont avec comme la sédentarité avec l’édification des cités : on ne peut pas « rouler » son champ de blé pour le transporter ailleurs ! Par contre l’ouvrier d’usine est exportable : mondialisation des outils (la faucille et le marteau...), comme est exportable l’esclave salarié puisque « l’argent n’a pas d’odeur » il est le même partout comme l’est la langue anglaise, langue du business.
Quand l’humain découvrit la métallurgie une autre géométrie mentale s’établit : tout est mouvement et bouge tout le temps, il n’y a pas de « fin des temps ». Tous ces processus de « découvertes » allèrent dans le sens yahviste de la fuite en avant : la technique s’étale depuis la découverte du Feu puis de la métallurgie, jusqu’à nos actuelles cochonneries du nucléaire et du binaire informatique ; mais sans que le niveau de conscience s’élève, car qui dit géométrie du mental dit seulement le mental ! Donc problème de l’ascension ou croissance ou progrès, ou évolution : « Mme de la Tour du Pin disait déjà, il y a plus d’un siècle : « Si les sentiments et les vertus avaient suivi les mêmes progrès que l’industrie [et la technologie], nous serions des anges, dignes du Paradis. Il est loin d’en être ainsi » (cité par H. Dubreuil dans : J’ai fini ma journée).

Donc le problème actuel a échappé aux humains ayant découvert le Feu  (vulgaire, celui que produit des branchages de bois mort).
Depuis la découverte du Feu jusqu’à nos jours ce ne furent que des découvertes stériles qui nous donnèrent ce qu’on appelle « thermodynamique » ; une conception stérile du Cosmos et de la vie, qui concentrèrent l’attention de l’humain sur des « lois » de la matière morte, ce qui rendit incompréhensible le symbolisme des cultures traditionnelles et faussé depuis plus de 10.000 ans jusqu’aux principes métaphysiques. Je repère, comme le fit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, que cette conception stérile du Cosmos fut instaurée dans la conscience occidentale européenne par la Renaissance, ce qui ne put que donner la révolution de 1789 et la « raison » des francs-maçons et autres philosophistes.
Dès ce moment où une primauté absolue (la raison ou dictature de l’opinion) fut accordée dans la connaissance occidentale aux « lois de la matière morte et inanimée », de nombreuses expériences devinrent inaccessibles et tout un univers de symboles se fit opaque, la géométrie mentale ayant changée.
Avec la Renaissance nous pénétrions dans le mondialisme, avec pourtant la découverte de l’INDIVIDUATION : ce qui différencie un individu d'un autre de la même espèce. Ou encore : l’individu expulsé du plérôme ou monde céleste : il chute sur Terre, afin de se « cultiver » comme un GRAINE pour ensuite ascensionner, selon la conception yahviste de l’éloignement de l’Instant. L’individu expulsé tombe ainsi dans LA MERDE ou Putréfaction : ou conception yahvisto-chrétienne de souffrir pour mériter le Paradis : soit « le chemin de croix » ou chemin à parcourir dans le processus de l’ego pour accéder à la rédemption ou salut. Putréfaction, un mot proche de Pute : corruption, débauche, puant, corrompu ; et Puits : cavité profonde et étroite maçonnée pratiquée dans le sol pour atteindre une nappe d’eau souterraine. Putréfaction est du thème STARGATE, et aussi du thème DIGESTION, NOIR, RENONCEMENT ou ABANDON (s’abandonner ou SOUMISSION obéissance, Lâcher prise), mourir pour renaître...

En résumé : pas de rédemption, pas de fuite en avant ou de but à atteindre : le Soi ou Instant est toujours là où réalisé, donc personne n’est un corps. La réalisation du Soi Instant entraîne naturellement la réforme sociale dans le sens de Loi Cosmique. C’est aussi cela le sens de la devise supposée des Alains : « Mes droits sont à mon libre arbitre », à ne pas confondre avec la devise de l’Abbaye de Thélème : « Fais ce que voudras » qui conduit à l’existentialisme et au « Cogito ergo sum », qui n’a rien a voir avec le « Je suis CE JE SUIS ». « Fais ce que voudras » correspond parfaitement au libéralisme actuel : un monde exclusivement marchand où surtout ne subsiste aucune morale qui empêcherait de jouir de ses « biens » : le savant plaisir avant tout de la religion lunaire comme le yahvisme. Dans ce système on ne jure que par le mot « liberté »... ce qui prouve qu’on en est constamment frustré, ce qui aussi rejoins directe PROMÉTHÉE où là encore fuite en avant tout azimut : « Oui, dit Prométhée, j’ai délivré les hommes de l’obsession de la mort... j’ai installé en eux les aveugles espoirs... je leur ai fait présent du feu [voir plus haut]... de lui, ils apprendront des arts sans nombre » (Prométhée enchaîné, 7, 110-250). Prométhée est un symbole de la fuite en avant ou progrès ou évolutionnisme. Prométhée signifie « la pensée prévoyante » ; il est comme le Calife voulant être à la place du Calife, donc une grave atteinte de l’ego et aussi atteint du cancer du pouvoir. Prométhée c’est le mental, la « raison » et le franc-maçon voyeur voulant contempler en même temps tous les côtés d’un polyèdre ou droit suprême de la consommation du voyeur, du jouisseur. Plein pot dans la société de la POSSESSION : votre mutuelle, votre assureur, votre médecin, votre lessive, votre bite ; donc uniquement TOUT POUR LE CORPS et sa dualité sujet-objet, alors que personne n’est un corps.
À propos d’égalité : la diversité est Loi de Nature, mais seul l’Instant ou Soi est égale et synchrone pour tous, y compris dans une galaxie à des milliards de milliards d’années lumière chez nos lointains frères et sœurs ou enfants 1 et 2 de l’Espace (suite à la mouture « mariage sodomite », car tout action ici-bas doit avoir sa correspondance à des milliards d’années lumière de « distance »).
 
 

Dernière mise à jour : 16-05-2013 01:08

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