Le premier diviser pour régner de cet après seconde guerre mondiale est l’outil inquisitorial nommé « antisémitisme ».
Le diviser pour régner est utilisé à toutes les révolutions, de 1789 en passant par 1917 en Russie, jusqu’au Nazisme et à la Chine, etc. Il y a toujours l’imbécilité : « les ennemis du peuple » et les vainqueurs, soit les winners et les losers, soit les initiés et les profanes. Tous les vainqueurs disent et promettent la même chose, mais ils apportent ce qu’ils appellent « paix » en construisant un désert, résultat du massacre des opposants, opposants qui eux aussi recherchent la paix et la libération.
Ensuite, ou avant, pour diviser, tous les moyens sont bons : le faux et le mensonge, la trahison, la délation et la lâcheté, le vil et le crime, la fabrication de mouvements subversifs qui sont illégaux, etc.
Initiés contre profanes, immanquablement les initiés exploiteront les profanes. Peut-être seulement qu’un minuscule petit nombre d’initiés se libéreront en rayonnant vers les autres sans imposer quoi que ce soit.
Diviser pour régner : lois humaines, ou lois divines ??
Malherbe (Mol-hir-abi, pour
Hiram Abiff l’artisan du Temple du roi Salomon) est le mot de passe du 33è degré du rite écossais, du souverain grand inspecteur général (les francs-maçons spéculatifs se masturbent l'orgueil avec des titres ronflants tous plus ridicules et grotesques les uns que les autres). « Il signifie la vigueur des traditions antérieures, ou de l’antérieur ; cette énigme peut donc s’interpréter ainsi : « Un apôtre femelle empestera la rigueur des anciennes traditions de la France, d’une foi délétère, qui nie toute loi humaine », écrit
Grasset d’Orcet dans :
Œuvres décryptées, il ajoute cette interprétation :
Mais l’an viendra signé d’un arc turquois
De cinq fuseaulx et trois culs de marmite
Onquel de dos d’un roy trop peu courtois
Poyvré sera soubz en habit d’hermite.
O la pitié ! pour une chattemitte.
Laisserez-vous engouffrer tant d’arpents ?
Cessez, cessez, ce masque nul n’imite,
Retirez-vous au frère des serpens.
« Un arc turquois c’est une M, cinq fuseaux IIIII, trois culs de marmite CCC.
MIIIIICCC indiquent fort clairement l’an 1800 qu’on peut considérer comme la fin du grand drame révolutionnaire de 1793. Le reste est beaucoup plus obscur, cependant on y démêle les malheurs d’un roi trop peu courtois [trop éloigné du peuple], et l’on peut, croyons-nous, hasarder avec une certaine vraisemblance l’interprétation suivante :
L’an 1800, roi tuera peuple,
Pouvoir se fera remettre loup.
Tue chat, maître pend, nie foi royale.
Roi chasse promit mesconnu l’a
Retour veut frère des bois...
En l’an 1800 le peuple tuera le roi, puis se fera remettre le pouvoir par les loups (allusion à la louve romaine et au clergé romain). Prophétie qui s’est vérifié, un peu avant, avec la mort de Louis 16. « Le reste indique que les fanfreluches antidotées sont un contrat entre les Faons de la forêt de Loches (Faons forêt Loches) et les seigneurs de la Touraine, c’est-à-dire les rois de France. Antidote ne veut pas seulement dire contre-poison, mais don ou guerdon en retour, c’est-à-dire un contrat
synallagmatique [contrat bilatéral] entre les rois et les
forestiers [francs-maçons anciens, compagnonnage]. Quant à ce titre de chat qu’on trouve ici, l’explication en est donnée par
Paradin dans ses emblèmes héroïques. Les rois Francs, Burgondes et Goths, portaient sur leur enseigne la chatte de la
déesse Freya, dont ils prétendaient descendre, et dont elle tirait son nom grec de
thera, ou
fera, qui signifie sauvage, indompté. Les forestiers avaient le droit de pendre, de tuer, et de chasser le chat qui avait manqué au retour promis aux frères des bois. Cette pénalité se trouve dans toutes les chartes secrètes, ou accords conclus entre les rois de l’Europe et les forestiers, qu’ils fussent de rite solaire ou lunaire.
Charles II et Louis XVI ont été jugés d’après des lois qu’ils avaient acceptées, et leur procès public n’a été qu’un simulacre. Le fameux discours de Robespierre indique très clairement que le roi avait été condamné par un autre tribunal. Mais, en revanche, il est fort possible que cette date fatidique de 1800, étant une croyance générale, ait été fortement influé sur les imaginations et particulièrement sur celles de ses juges », écrit Grasset d’Orcet.
Il est fort possible que chaque président de république en France, depuis la troisième république, signent un pacte ou contrat avec cette franc-maçonnerie à pouvoir genre Grand Orient de France, ou
Grande Loge Nationale Française.
Diviser pour régner : le peuple élu et le peuple non élu (les Gentils ou non Juifs), soit les initiés contre les profanes. Et même s’il y a des initiés sincères qui aident les profanes indirectement sans forcer, inévitablement le pouvoir viendra contaminer le reste des initiés. L’Église de Rome est un exemple du pouvoir des initiés sur les profanes ou laïcs. Aujourd’hui les initiés ce sont les BANQUES et la finance internationale avec toutes leur quincaillerie de savants calculs économiques renforcés par de super programmes informatiques.
Diviser pour régner et le principe de l’établissement du mondialisme ou d’une gouvernance mondiale.
Les révolutionnaires de 1789; plus tard Lénine, furent des initiés ayant tout pouvoir sur les profanes : le peuple ou la masse à traiter comme du bétail : « Les millions d’êtres humains dont j’ai besoin pour faire mon expérience sociale ne valent pas plus à mes yeux que des millions de cochons d’Inde » (Lénine, cité dans :
Le Corps Mystique de l’Antéchrist, de René Bergeron).
Ce qui rejoins la parfaite explication du socialisme ou communisme donné par Jean Coulonval dans :
Synthèse et Temps Nouveaux : « Ce sont les accidents ou monde spatio-temporel qui engendrent les essences », en d’autres mots : « La matière seule existe, l’homme est un animal technique, la religion est l’opium du peuple, Dieu c’est le mal, la famille est un foyer de putréfaction bourgeoise, le mariage est une institution absurde et immorale ». Donc cela forme une nouvelle religion, à l’envers, en creux, selon le principe du Diable qui organise Tout. Le darwinisme y est pour beaucoup quand on voit ce qu’écrit un
Jules Guesde dans son
Essai de Catéchisme Socialiste : « Qu’est-ce que l’homme ? L’homme est le dernier terme dans la série animale ». Nous sommes dans le vieux matérialisme issu des Lumières et du 19è siècle industriel. Guesde ajoutait méprisant : « Pour atteindre un but révolutionnaire, tout est permis... Pour faire cent soi-disant bolcheviks, il suffit d’un vrai communiste, à quoi on adjoint 39 criminels et 60 imbéciles ».
En voiture Simone pour la pan-c, ou la panse unique (pensée unique) : On lui fera valoir [à la Nation] et on lui fera dire ce qu’elle n’a jamais pensé... La Nation est un grand troupeau qui ne songe qu’â paître et qu’avec de bons chiens, les bergers mènent à leur gré... »
Ce n’est pas étonnant où depuis l’époque de la Renaissance règne la libre pensée, qui n’est plus libre du tout depuis, car prisonnière de la tyrannie de l’opinion. Pour s’en délivrer, s’est à chacun de sortir par le centre du Labyrinthe. Alors bon courage !
Le mondialisme s’enfonce dans la doctrine luciférienne, APRÈS LA CHUTE DE
LUCIFER.
RAPPEL : Lucifer est un ami et un ange TANT QU’IL N’A PAS CHUTÉ. Mais il est Lucifer, ou Lucifaire et presque Prince de ce Monde dans sa chute (le côté négatif du symbole). Ne pas non plus confondre
Lucifer avec Satan. Le Satan est l’être qui fait de l’homme un être terrestre assujetti à la matière, alors que Lucifer et les forces lucifériennes tendent à l’en détacher, à ce qu’en précise bien
Rudolph Steiner. (Tout est double et de toute façon tout est dans le mental).
Lucifer a été détourné par
Weishaupt et ses Illuminés. C’est trés récent.
Le pendant de Lucifer pourrait être le Dieu égyptien
SETH. Il n’a pas toujours été le méchant, des temples lui sont dédiés. Et le Satan c’est
Apophis la méchante fréquence, ou méchante sous-porteuse. Seth est le côté obscur d’Osiris, son subconscient.
Aujourd’hui c’est Apophis qui tente de détruire la catholicité, donc un comble puisqu’il tente de détruire l’universel en établissant l’universel ou mondialisme. Y aurait-il deux universalités ? À tel point que mon correcteur orthographique me signale que universalité ne peut pas prendre de S ! On veut détruire la catholicité alors que celle-ci n’a JAMAIS été faite depuis plus de 2000 ans, comme le précise d’ailleurs Jean Coulonval, nous n’avons que le catholicisme, qui est un système comme tous ismes. Et à propos de cette Église de Rome, il faudrait s’interroger sur le pourquoi on à cloué un type sur une croix et on l’a nommé Jésus et on en a fait un Juif !!! À propos de croix Jean Coulonval fait une pertinente remarque : si le supplice de la croix pour les esclaves fautifs était si courant dans l’empire romain, pourquoi se casser le cul a construire une belle croix alors que normalement elle aurait du avoir la forme du T ? Ce qui est plus facile à construire, pas besoin d’être menuisier pour s’en apercevoir ! Alors pourquoi une Croix ? Bref, c’est son sens mystique qui compte : le Soi ou Instant, le POINT.
Normalement la vraie démocratie est la catholicité, comme l’explique Coulonval. Et c’est le Christ ou Soi-Instant qui est le VRAI LIBÉRATEUR DE LA PLÈBE : LA PLÈBE SE LIBÈRE TOUTE SEULE suite à l’impulsion christique. Alors il n’est pas étonnant que Grasset d’Orcet écrive que le type du christianisme n’était pas un Juif, qu’il n’a pas été cloué à Jérusalem sur une croix, mais qu’il était de liturgie grecque ou phrygienne, et que, probablement, il n’a été pendu qu’en effigie. De tout temps la plèbe, la masse, a cherché un libérateur : élever la colombe au-dessus du faucon !
La encore dans l’Église de Rome on retrouve le diviser pour régner.
La vraie catholicité n’a jamais pu se faire à cause qu’en
313, à Milan, fut fixée par décret impérial, la date de la religion chrétienne, de même qu’à Rome, le 9 juin, se signe, par le consentement des nations libres, la date de la RELIGION DE LA PENSÉE (du sentiment comme dirait Jean Coulonval, donc du corps, du mental), soit des prémices de la tyrannie de l’opinion qui mena à l’Inquisition et aux guerres de religions et aux croisades... et à 1789.
Autrefois la libre pensée ÉTAIT DISCRÈTE, ou cachée sous forme d’ART, d’où la pratique de l’Alchimie entre autres. Au Moyen-Âge la discrétion était l’unique garantie de la libre pensée : on respectait l’autre.
Le moderne diviser pour régner c’est la fabrication de l’État d’Israël ou concrétisation du sionisme bouffant la Palestine.
Cette l’Église de Rome n’est pas clair, c’est une évidence surtout depuis Vatican 2 ! Mais de là à la détruire avec violence, qui s’exerce déjà par la destruction de nombre d’églises ne pouvant pas payer leurs réparations, il ne faut pas retomber dans les crimes républicains de 1789 et de ses délires.
Le franc-maçon actuel bâtit sa destinée future (son temple), le profane en fait autant ! Et comme pour chacun, elle doit être le miroir de la présente vie, le maçon l’aura guerrière et voluptueuse, ou savante, suivant ses propres goûts, pourvu qu’il n’emmerde pas les autres. Il en est de même du profane, à la différence que le franc-maçon spéculatif à pouvoir, est socialiste (communiste ou mondialiste).
Le réseau maçonnique autrefois, mais faisant comprendre ce qu’il en est aujourd’hui : « Une cave m’est connue [le gîte], une lampe m’a éclairé [le confort ou le labeur], une source m’a désaltérée [la bouffe ou les repas maçonniques mensuels]. Tel est le principe du réseau maçonnique... et dans une moindre mesure, de l’Internet et des réseaux sociaux, parce que à travers l’Internet on ne trouve pas, ou très rarement, de gîte et de couvert totalement gratuits !
Le premier ennemi est le despotisme de l’étatisme qui ne songe qu’à former des esclaves ou prolétaires. Ce prolétaire qui fournit la chair à État et à canons, l’État étant devenu les banquiers et leurs usines.
[En haut de page : caricature du socialiste Jules Guesde, avec ajout d’un Satan en guise de mental]