Ainsi la révolution française de 1789, celle de la Russie en 1917, et celle provoquée par le régime de Pol Pot au Cambodge sont identiques : supprimer les forces vives et intellectuels de la génération précédente.
En France, lors de la Terreur, de nombreux scientifiques ou chercheurs qui voulaient en faire bénéficier toute la population furent exécutés simplement parce qu’ils étaient nés nobles, ou parce qu’ils étaient reçus dans les milieux de la noblesse à cause de leur science.
En Russie en 1917, tout s’inversa aussi, l’incapable d’hier devint gouverneur, et au contraire, les scientifiques furent employés à balayer les rues ou à nettoyer les écuries de la cavalerie des Rouges, au pire ils étaient tués. Les bolcheviks étaient particulièrement cruels et sadiques avec les scientifiques et tous ceux qu’ils considéraient comme des « intellectuels » assimilés à des bourgeois. On retrouvera ça dans le cycle de Pol Pot au Cambodge où les
Khmers rouges inspirés par 1789 et surtout 1917 imposèrent un plan impitoyable digne des meilleurs bolcheviks les plus malades, afin d’obliger tous les Cambodgiens à travailler dans l’agriculture. Tous ceux qui étaient soupçonnés, à tort ou à raison, d’être des « intellectuels » furent éliminés. Les écoles et les universités furent fermées, de même que les hôpitaux. Des avocats, enseignants, ingénieurs, chercheurs et professionnels de tous domaines (y compris dans l’armée) furent assassinés et jusqu’à leur famille, comme sous les bolcheviks et Staline faisant exterminer toute la famille d’un opposant.
Comme sous Staline, sous les républicains de 1789, la religion fut interdite. Comme en France et en Russie, au Cambodge les grands moines bouddhistes furent tués et presque tous les temples furent détruits. Même la musique et les postes de radio furent interdits. Des gens pouvaient être abattus simplement parce qu’ils portaient des lunettes, riaient ou pleuraient, ou parce qu’ils parlaient une langue étrangère.
Dans ce cycle de révolutions et de totalitarisme, tous les malades atteint par le pouvoir n’ont trouvés d’autres moyens pour contrôler les foules que de détruite les classes instruites. Cela se pratique aujourd’hui subtilement par le lavage de cerveau dans les écoles, aussi bien françaises qu’américaine où on dégrade simplement le niveau du système éducatif jusqu’à ce qu’il ne reste plus personne en mesure de penser par lui-même.
Adolf Hitler procéda de même en envahissant la Pologne : les Allemands considéraient les Polonais comme une race inférieure, de même que les autres nations slaves.
Tous envahisseurs, tous conquérants supprimera automatiquement les forces vives du territoire conquit, car c’est par l’élimination et la suppression des penseurs compétents que n’importe quel régime s’établit. C’est une règle de l’oppresseur : la terreur massive contre les opposants, réels ou prétendus « ennemis en puissance ». Aujourd’hui comme hier, les malades mentaux et leurs suiveurs cancérisés tout autant par le pouvoir ont systématiquement éliminés de la population humaine les esprits les meilleurs et les plus brillants, enlevant comme l’ADN de la réserve génétique humaine de l’ensemble de l’humanité qui cherche aussi la délivrance. Cycles après cycles, cela peut expliquer en partie la ruine et la civilisation mourante dans laquelle nous nous débattons.
Le Goulag institué par Lénine juste après la révolution russe de 1917, à l’été 1918, fut non seulement caché aux yeux des Occidentaux, mais fut le plus vaste système de camps de concentration du 20è siècle, le temps d’une génération : entre le début des années 1920 et le milieu des années 1950 un vingtaine de millions de soviétiques, un adulte sur six, allaient y passer. Sur ce nombre plus de deux millions moururent durant leur détention. Au début des années 1950 le Goulag avait fini par jouer un rôle central dans l’économie soviétique : il produisait un tiers d’or du pays, une bonne partie de son charbon et de son bois d’œuvre, et une grosse quantité de presque tout le reste.
Les camps de concentration sont nés sur la base expérimentale aux îles Solovski dès 1923 ; tout le système soviétique de « travail forcé comme méthode de rééducation » y avait débuté, comme le témoigne ceux qui passèrent par le Goulag. Ce fut aussi aux Solovski que le régime soviétique dissimula pour la première fois l’horreur concentrationnaire derrière une façade de propagande, claironnant sa volonté de « rééduquer les détenus par le travail ». Les républicains du 19è siècle procédaient de même avec les bagnes pour enfants, où en fait les bourgeois sous l’hospice des curés exploitaient honteusement les enfants réduit à l’esclavage, la soi-disant « éducation » était inexistante.
La nouveauté, mais cela exista aussi du temps des républicains de 1789, était l’internement arbitraire : « le principe de précaution » ou l’accusation de crimes qui n’avaient pas encore été commis. Ainsi les gens se retrouvaient en qualité d’otages (au cas où), parmi les catégories jugés par le nouveau pouvoir « socialement dangereuse » : les bourgeois, les nobles, les intellectuels et les koulaks (propriétaires de leur ferme), les prêtres. Les Juifs bolcheviks écrasaient surtout les intellectuels et les politiques sous toutes ses formes : représentants de l’ancien régime, d’autres socialistes comme les mencheviks, les anarchistes, les socialistes révolutionnaires. Dès les premiers jours du nouvel État socialiste, on condamnait des gens non pour ce qu’ils avaient fait, mais pour ce qu’ils étaient ! Ceux qui avaient prit le pouvoir condamnaient « au hasard » les « ennemis de la révolution ». Peines de prison, travaux forcés et peine de mort furent arbitrairement infligés aux banquiers, aux veuves de marchands, aux « spéculateurs » (ceux qui pratiquent une activité économique individuelle), aux anciens gardiens de prison de l’époque tsariste, aux suspects, aux prêtres, aux bourgeois, etc.
Cet internement préventif sur simple mesure policière a été décidé et mis en œuvre par la Tchéka (dans laquelle on trouve un grand nombre de criminels). Inutile de préciser que la corruption était généralisée !!!
Donc la suppression de toute une génération de Russes affecte inévitablement le fond de la pensée russe actuelle, et cela devait être voulu par les chefs Juifs bolcheviques par la pratique de la
Tabula Rasa. Il s’ensuivit une corruption généralisée avec des chefaillons incultes, ivrognes et souvent malades mentaux, mais membre du parti communiste, ce qui leur donnait le droit de commander des chercheurs, des écrivains, de les noter, de leur faire la leçon ou de les conduire à la mort.
Avec les Juifs Bolchéviques, dans le Goulag les Russes devinrent des esclaves de l’État. Les guides juifs du communisme russe ont voulu faire le « bien de l’humanité ». Ils n’ont apporté que le mal, un mal sans précédent, incroyable, apocalyptique, à l’échelle de l’univers, parce le mondialisme actuel en découle, pour le moment en douceur ! Le Nouvel Ordre Mondial ou mondialisme c’est l’étatisme généralisé. Un étatisme tout puissant, gigantesque, surpuissant grâce à la folie technologie, « éternel » pour reprendre le mot du Grand Orient de France à propos de sa république, qui se veut aussi « invulnérable » puisque « indivisible » (comme Dieu), ce qui en fait une religion à elle seule.
On dirait que tous les totalitaristes appliquent la « loi du plus fort » : celui qui écrase les autres a seul le droit de vivre. Cela s’apparente à certains animaux qui combattent pour de la nourriture ou pour une femelle, ou qui se battent pour être le mâle dominant ; mais dans l’espèce animal qu’est l’espèce humaine, l’intellect et le savoir dépendent des expériences du passé, donc d’avant toute Tabula Rasa ! Tuer les gens les plus intelligents et expérimentés dans n’importe qu’elle domaine, c’est mener à la perdition le peuple tout entier, et même jusqu’à la population de la planète. C’est encore le drame du cancer du pouvoir.
Si pendant longtemps la véritable élite, les chercheurs, écrivains, artisans expérimentés sont marginalisés ou détruits, les générations futures en seront génétiquement modifiées, avec moins d’intelligence, moins d’expérience, ce qui donne notre civilisation actuelle en pleine désintégration.
Si le vraie sens du mot Science n’avait pas été détruit au moment de l’époque de la Renaissance et du développement de ce qu’on nomme aujourd’hui « humanisme », nous vivrions dans un monde où notre existence même ne serait pas une honte pour la planète qui nous a donné naissance, parce qu’ici nous ne sommes que des visiteurs, rien ne nous appartiens. La Vraie Science c’est l’énergie gratuite, propre, et en quantité indéfinissable ou inépuisable. la pauvreté n’existerait pas, il n’y aurait pas de problème de surpopulation. Les problèmes de santé qui ruinent la civilisation occidentale n’existeraient pas parce que la nourriture serait saine et naturelle. Bien-sûr il n’existerait pas de guerre car chacun se connaissant parfaitement, toute justice, toute police, toute armée seraient inutile.
Les enfants ne seraient pas drogués, aussi bien par l’esprit que par les drogues de l’actuelle industrie chimique.
Normalement l’humanité devait vivre en ACCORD avec le Cosmos, soit avec la Nature.
Aujourd’hui c’est le chaos, le cancer de la civilisation mondiale, alors que le Vrai Chaos est constructif et non destructeur. Ce faux chaos est évidemment produit par les humains eux-mêmes, essentiellement produit pas des malades mentaux et leurs suiveurs tout aussi détraqués. La thermodynamique qui est la violence même a été absorbée par l’impérialisme et son avidité matérielle. Et les petits chefaillons en moutons suivent et font leurs ravages par la tromperie et la manipulation démocratique.
L’humanité devrait être un corps cosmique. Aujourd’hui elle est cancérisée par le pouvoir et la corruption qui se résume en un mot : démocratie, ou république, soit dégénérescence des sciences qui sont devenues des techniques, dégénérescence des religions, des gouvernements et de l’élite intellectuelle.
Tout cela risque fort de se terminer en forme de : « Celui qui cherchera à sauver sa vie la perdre, et celui qui la perdra la retrouvera », parce que prochainement ça risque de « secouer fort sur la planète Terre. Voir ce qui arriva à l’Atlantide... Tout est cycles.
Isis adorée par les républicains. Pour faire plus « raison », on remplace l’ancien Dieu par une Déesse qui n’est autre que la Vierge Marie !!! Isis se retrouverait même sur les armoiries de la Ville de Paris, avec la devise
Fluctua Nec Mergitur qui rappellerait la navigation héroïque des Suivants d’Horus (survivants de l’Atlantide)...