Radiations mortelles oligarchiques maçonniques
 

Ecrit par Sechy, le 30-04-2014 18:53

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Radiations mortelles oligarchiques maçonniques
Notre civilisation pyramidale du Nouvelle Ordre Mondial
et étatique voulue par le patriarcat est
naturellement inégalitaire, c’est le monde de la
chefferie cancérisé par le pouvoir.... de l’OPINION.
Notre civilisation étatique de mort qui détruit
toutes les deux secondes une surface de forêt
grande comme un terrain de football,
soit 43.200 surfaces de forêts détruites de par
le monde en une journée.
 
 
Qui tient ce monde par les Couilles ? Sinon la DETTE de cette religion des Couilles en Or, la juiverie financière internationale.
DETTE = POUVOIR
Dette commence par le D, à la panse bien terrestre indiquant le pluriel indéfini (des). Le D est comme un E concentré mais non manifesté : DÉbut, Départ ; le D implique le temps potentiel : DETTE. Le D c’est le Départ et le T de « l’Arrivée à bon Port » : D-Te.

Le Pouvoir est l’éteignoir de la Chandelle comme les grandes idées sont tuées si on les transforme en dogme ou en compas-équerre maçonnique.
 
 
TRIBUT : sens de être tributaire de quelque chose mais surtout de quelqu’un. Tribut : du latin tributum (impôt, contribution), de tribuere répartir (l’impôt par exemple) entre les tribus. C’est aussi une contribution violente et forcée au vaincu par le vainqueur, ou payée par un État à un autre, en signe de dépendance ou de soumission.
La ou les TRIBUS étaient les divisions du peuple romain, et évidemment la descendance de chacun des douze fils de Jacob.
Le tribut ne va pas sans la DETTE et donc le POUVOIR qui IMPOSERA.
 
 
Le Patriarcat c’est l’industrialisation de notre civilisation.
Les religions monothéistes patriarcales poussent à l’élimination de ceux qui n’ont pas les mêmes croyances : « Mon Dieu est meilleur que le tient ! ». Les gouvernements vous forcent à vous aligner d’un côté ou de l’autre, les deux essayant sans relâche d’opprimer le point de vue de la minorité.

Il n’y a pas pire esclave que celui qui est sous la manipulation des sociétés secrètes comme la franc-maçonnerie spéculative rongée de politique et donc de pouvoir. Il n’y a pas pire esclave que celui qui est sous la coupe du « Pouvoir Occulte » pour reprendre l’expression de Paul Copin-Albancelli.
Cet esclavage commence à la naissance de la société patriarcale, donc des Noé, Abraham, Moïse & Cie., pour se finir avec les rois et les « Petits-Pères-des-Peuples » modèle Staline ou Hitler.
La société patriarcale est impeccablement représentée par la franc-maçonnerie à pouvoir imprimée sur les billets de un dollar : la PYRAMIDE en briques ou grosses pierres apparentes (l’œil au sommet est un détail ajouté).
Qui dit pyramide dit hiérarchie, chefs ou meneurs, donc guerres perpétuelles pour prendre sa place : c’est le poison compétition et rentabilité. Contrairement aux apparences des pyramides d’Égypte, la pyramide patriarcale hiérarchique est fragile, car qui dit pyramide dit croissance continue, le fameux « progrès », et à toutes les sauces, donc au bout d’un temps les conséquences seront incalculables... au point de vue catastrophes ! La « croissance » étant le parfait parasite, et microscopique...

La dualité est toujours guerrière, comme le bien et le mal, les « bons et les méchants ».
Exemples :
- 1. Depuis des millénaires on parle de « liberté », de « fraternité » ou d’Amour, et jamais ça ne vient !
- 2. Depuis des millénaires, le « progrès » tente, en vain, de comprendre et de courir après la Vérité qui se dérobe perpétuellement.
Le fameux « Bien » semble parfois aboutir à coups, non pas de bombes démocratiques, mais à coups de « bonnes volontés ». Mais dans la dualité, il en est de même d’une pensée mauvaise lorsqu’elle survient dans l’opinion : elle est alors à égalité de force avec sa sœur contraire, et de ce fait, propage de la même façon sa résonance, donc les conséquences de ce que la mauvaise pensée émise peut engendrer.
Depuis des millénaires l’être humain semble vouloir chercher une réponse dans la dualité ou domaine du Bien et du Mal, et de nos jours ça empire avec la dualité technologique d’où surtout notre informatique, ainsi cela ne pourra jamais apporter ni apaisement ni dépassement.
Vouloir atteindre un but, ou poser une question, c’est encore être dans la dualité sujet-objet ; ainsi on doit toujours s’efforcer de trouver sa réponse dans et par le Monde de l’Unité ou Réalisation du Soi-Instant.

ATTENTION : Dans la dualité ne jamais oublier que dans Bien et Mal, le bien est seulement « le mieux du mal » et qu’il agit toujours comme tel !
Le Mal n’existe pas dans la Nature, par conséquence il n’existe pas chez l’humain, sauf dans le cas du mental ou opinion, donc dans le règne de la « libre pensée » ou coupure d’avec la Nature.
Chez les Chrétiens le noir est vu comme le deuil ou en provenance du mal ! D’abord la Lumière ne peut prendre sa source que dans le Noir ou Ombre. Ensuite, « voir Dieu » ou prendre dans l’Instant la Connaissance dans la gueule peut tuer ou créer la PANIQUE, c’est-à-dire aucune possibilité de recule ou d’ombre entre le récepteur et la source lumineuse. La Lumière ou Couleurs de la Connaissance surgissant dans l’Instant, et sans préparation, cause une Panique absolue...
Il y a noir et noir comme il y a ombre et ombre ! J’aurai l’occasion d’y revenir.

Le patriarcat c’est la manipulation et l’exploitation de l’autre. Dieu est illustré par un vieux bonhomme aux cheveux et à barbe blanche (Yahvé) !
Le patriarcat commence il y a plus de 5000 ans : on parle de « religion des patriarches » avec les religions du Livre (Pentateuque notamment), Yahvé, Abraham « choisit par Dieu » pour tuer les Païens.

PATRIARCHES : Abraham et ses fils Isaac, et la suite : Jacob, Joseph, constitue la période dite des « Patriarches ». Le récit « la Genèse » dans l’Ancien testament est typique « Modèle patriarche ».
La religion des Patriarches se caractérise par le culte du « Dieu du Père ». Ce Dieu se manifeste comme le « Dieu de mon/ton/son père » (Genèse 31, 5 etc.). La prière des Chrétiens  s’appelle « le Notre Père ». Des formules de l’Ancien Testament son précédé du mot « Père » : « le Dieu d’Abraham » (Genèse 31, 53), « Le Dieu de ton père Abraham » (Genèse 26, 24), « le Dieu d’Isaac » (Gen. 28, 13), « le Dieu de mon/son/père Isaac » (Gen. 32, 10), ou « Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob » (Gen. 32, 24 etc.).

Le « Dieu du Père » est primitivement le Dieu de l’ancêtre immédiat, que les fils reconnaissaient. Mircea Eliade explique que c’est un Dieu des nomades qui n’est pas lié à un sanctuaire, mais à un groupe d’hommes, qu’il accompagne et protège. Bref, c’est toujours la carotte et le bâton genre maffia : le Dieu protège et s’engage en marchandant avec ses fidèles et en leur promettant quelque chose. Le marchandage de la promesse revient souvent dans la Genèse : nous sommes plein pot déjà dans l’actuel matérialisme de la religion des Couilles en Or : promesse d’une postérité, d’un « royaume où on rase gratis » ou Paradis, promesse d’une « terre d’Israël » ou du « temple », etc.
MARCHANDAGE = DETTE. Faire une prière à un Dieu en échange de ses « services » est passer une dette, un CONTRAT avec ce Dieu. Si ça ne marche, on crache sur ce Dieu et on ne l’honore plus ! Canoniser un type pour en faire un « saint » est du même thème du marchandage et des diplômes. Même chose pour le chef qui « a une dette envers la société » parce qu’il est le chef ! Dès que le chef arrête « d’honorer sa dette », il n’est plus le chef ! DETTE = CONTRAT, DEVOIR. Ainsi il y a dette et dette ! La Vraie Dette étant celle que les peuples imposent à leurs chefs.

RAPPEL : les sociétés anciennes sont des sociétés SANS ÉTAT ou CONTRE L’ÉTAT, donc sans organe de pouvoir séparé, comme des sociétés NON CANCÉRISÉES PAR LE POUVOIR. ÉTAT : terme du 16è siècle, forme de gouvernement et de pouvoir s’exerçant sur des peuples dans un territoire déterminé ; on parle alors d’administration, de gouvernement, de politique et de politiciens et de fonctionnaires, tous parasites, donc de pouvoir. Ainsi, la dette du chef envers son peuple assure que ce chef restera extérieur au pouvoir, qu’il ne deviendra pas un organe séparé de pouvoir.

Qui dit patriarches dit chefferie, donc dette et commencement de l’étatisme : la dette passant du peuple aux chefs ; ainsi la société a été divisée et le pouvoir est passé aux chefs formant notre civilisation des dominants et des dominés, ou du « peuple élu » et des peuples non élus, ou  des « terroristes » et des « gentils démocrates ».
La bascule vers l’étatisme ou chefferie provient donc du renversement de la dette : dans l’étatisme le chef n’a plus de dette envers les peuples et les institutions de l’étatisme retournent les relations de pouvoir à son profit et contre les peuples, et ainsi créant une société en forme de pyramide ou la base doit constamment « payer le tribut » au sommet (voir les siècles de diarrhées législatives...).

Le patriarcat bouffe des rituels, ce que font aussi les francs-maçons bouffeurs de dogmes compas-équerres.
Ce qu’on appelle de nos jours « Science », qui n’est que de la technique, est utilisé comme arme par le patriarcat : destruction en tous genres, dont les tortures sur les animaux pour les « étudier » afin de leur soutirer leurs « secrets » en vu d’en faire le business de Big Pharma. La « recherche scientifique » est aujourd’hui omniprésente, et encore et toujours dans un but guerrier. L’espérance de vie augmente d’un côté, et de l’autre nombre d’oligarques et de Couilles en Or voudraient diminuer drastiquement la population mondiale pour la ramener à moins d’un milliard !


Le patriarcat est source de guerres et destructions permanentes.

En pénétrant à Canaan, les patriarches ont été confrontés au Païens et au Dieu EL, ou Al le Soleil ou le Dieu Mithra, le Sauveur. Dans Isis Dévoilée, de H.P. Blavatsky, elle cité Sir William Drummond (Œdipus judicus) montrant que Beth-El signifie la maison du Soleil, en traduction littérale, et non de Dieu [abstraction ou opinion]. Ainsi EL dans la compositions de ces noms Chananéens ne signifie pas Deus, mais SOL. (La Genèse à 28, 10-22, a fait de Beth-El ou Al la « maison de Dieu »).
Note de bas de page 70, vol.1 d’Isis Dévoilée : « Les premiers Pères de l’Eglise et les théologiens qui les ont suivis se sont trouvés dans l’absolue nécessité de commettre ces pieuses fraudes. C’est évidemment parce que, s’ils avaient laissé subsister le mot AL tel que le donne l’original, il devenait trop clair, sauf pour les initiés, que le Jéhovah de Moïse et le Soleil étaient identiques. Les multitudes ignorant que les anciens hiérophantes ne considéraient le soleil visible que comme un emblème du soleil central invisible et spirituel, auraient alors accusé Moïse, comme l’ont fait d’ailleurs beaucoup de commentateurs, d’adorer les corps planétaires et, en un mot, de s’être rendu coupable de Sabianisme ».

Donc les patriarches identifièrent le EL à « Dieu du Père », une dimension cosmique qui ne pouvait pas avoir ce rayonnement en tant que divinité des familles et des clans. Première naissance du patriarcat. Dans la Genèse les Patriarches offrent des sacrifices, élèvent des autels et dressent des pierres (massebah) en les oignant d’huile ! Pourtant les pierres dressés sont typiquement des pratiques des Païens, et les Yavistes les assimilèrent à de l’idolâtrie.
« Mais il est vraisemblable qu’on pratiquait uniquement le sacrifice sanglant (zébah), de type pascal, sans prêtres, et, selon certains, sans autel : « chaque offrant immolait lui-même sa victime, prise du troupeau ; elle n’était pas brûlée, elle était mangée en commun par le sacrificateur et sa famille », écrit Mircea Eliade dans : Histoires des croyances et des idées religieuses, chapitre : Quand Israël était enfant.
Mircea cite R. de Vaux en note de bas de page : « En Arabie Centrale, la victime était immolée devant une pierre dressée, symbole de la présence divine, le sang était versé sur la pierre ou répandu dans une fosse creusée au pied de celle-ci. De tels sacrifices étaient offerts particulièrement aux fêtes que les Arabes nomades célébraient au premier mois du printemps pour assurer la fécondité et la prospérité du troupeau. Il est probable que les ancêtres d’Israël, pasteurs demi-nomades, célébraient déjà une fête analogue ».
Dans la Genèse le sacrifice d’Isaac (22, 1-19) est décrit en détail : Yahvé lui avait demandé de lui offrir son fils en holocauste, et Abraham s’apprêtait à le sacrifier, lorsque un bélier fut substitué à Isaac. Une arnaque et saloperie sans nom !!!
Abraham ne faisait pas de rituel à ce sacrifice : il ne poursuivait aucun but puisque ne comprenant pas le sens de son acte ; et sa « foi » l’assurait qu’il ne commettait pas un crime. Abraham était-il fou ? Ou il était Alchimiste : « Pour Dieu tout est possible »......


Dette envers Dieu, ou envers les Couilles en Or = Pouvoir.


Normalement c’est le peuple ou la société qui détient le pouvoir sur le chef ; or avec  l’étatisme c’est devenu le contraire ! Normalement le chef DOIT À SON PEUPLE, ce n’est pas l’inverse ! Car la dette du chef envers son peuple assure que son chef ne sera pas cancérisé par le pouvoir ou séparé par le pouvoir qui divise toujours et renforce la dualité guerrière.
Les sociétés anciennes étant contre l’État sont anti-production, donc anti-économie.
RAPPEL : le marxisme ne peut pas fonctionner sans le capitalisme, donc le marxisme ne peut pas s’employer pour étudier le moindre aspect ethnologique des sociétés anciennes refusant toute économie. Les marxistes et les économistes et les chercheurs en « sciences humaines » sont les même escrocs que tous les philosophistes, car la Vérité, pour l’Homme et pour chaque homme, c’est l’opinion qu’il se fait de sa nature d’humain. Un équerre à centrer situera toujours un centre de façon subjective, par approximation du mental ; aucune idée de l’humain acquise par un discours logique, et qu’on appelle « opinion » n’a de valeur scientifique, quoi qu’elle en prétende.
La connaissance de l’humain par l’humain est une escroquerie d’opinion car il y a toujours cette dualité Bien-Mal entre le sujet qui étudie et l’objet à étudier ; et que d’autre part l’être humain est ontologiquement, en ses essences, le résumé, la globalité de l’ÊTRE, il est de ce fait dans l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant un Univers qui lui serait extérieur. C’est géométriquement impossible, il faudrait « sortir » de l’univers pour l’étudier.

Comment jeter de l’huile sur le feu, par un franc-maçon et humanitariste.

Chant de guerre, d'orgueil, de fanatisme et d’ignorance en 1902 du franc-maçon Delpech, donné par Copin-Albancelli :
« Le triomphe du Galiléen [symbole du Christ ou de l’Instant] a duré vingt siècles. Il se meurt à son tour. La voix mystérieuse qui, jadis, sur les monts de l’Epire, annonçait la mort de Pan, annonce aujourd’hui la fin du Dieu trompeur qui avait promis une ère de justice et de paix à ceux qui croiraient en lui. L’illusion a duré bien longtemps. Il disparaît à son tour le Dieu menteur [et pour cause puisqu’opinion] ; il s’en va rejoindre dans la poussière des temps les autres divinités de l’Inde et de l’Égypte, de la Grèce et de Rome, qui virent tant de créatures abusées se prosterner au pied de leurs autels. Francs-Maçons, il nous plaît de constater que nous ne sommes pas étrangers à cette ruine de faux prophètes...
Au point de vue politique, les francs-maçons ont varié... ; mais, en tout temps, la Franc-Maçonnerie a été ferme sur ce principe : Guerre à toutes les superstitions, guerres à tous les fanatismes ».

Exemple de patriarcat franc-maçonnique :
- Le 25è degré dans le Rite de Perfection : Très illustre Souverain Prince de la Franc-Maçonnerie, Sublime Chevalier Commandeur du Secret Royal.
- Le 20è degré dans le Rite Écossais Ancien et Accepté : Vénérable Grand Maître des Loges Symboliques.


IMPORTANT, et résultat du « patriarcat scientifique » et de la religion du Saint Fric des Couilles en Or !
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 30-04-2014 19:30

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