Kimi wa Petto
 

Ecrit par Sechy, le 19-10-2008 20:43

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Publié dans : Sommaire JDramas, Sommaire Dramas du JAPON

Tags : Dramas, Japon, Kimi wa Petto

 
Kimi wa Petto
きみはペット
 
 
http://wiki.d-addicts.com/Kimi_wa_Petto
http://dl.roadrunner5.net/index.php?file=Drama&op=categorie&cat=70

Drama en 10 épisodes diffusé au Japon sur TBS en 2003.

Une jeune femme se souvient qu’adolescente elle aimait tendrement son chien appelé Momo. Elle le considérait comme un enfant. Pour des problèmes de maux de tête, elle se confie à un médecin en nous renseignant en même temps sur son bagage scolaire : diplômée de l’Université de Tokyo, elle a étudié aussi à Harvard. Son niveau d’étude lui fait avoir un salaire important, de plus elle est grande, de la a en faire un complexe de supériorité... Elle explique au médecin qu’elle ne supporte pas les hommes ayant un complexe d’infériorité ! En plus elle ne veut pas pleurer devant quelqu’un... On la dit intelligente... Un monstre ?
 
 
 
En tous cas, il s’agit donc d’Iwaya Sumire, joué par Koyuki. Une jeune salarywoman qui ne saurait se passer de son téléphone portable et qui travaille comme journaliste. Un monstre, parce qu’elle fait pleurer sa collègue de bureau en lui renvoyant son inaptitude à la gueule ; du coup Iwaya reçoit des remontrance de la par de son chef. Et... situation comique à propos d’un fonctionnaire du gouvernement, qui au cours d’une visite, aurait touché son dos, selon son chef... mais selon elle c’était son cul... Alors Iwaya montre aussi sa force : elle envoie au tapis son chef d’un coup de poing, risquant ainsi de se faire virer.
 
 
 
Le soir en rentrant chez elle elle découvre un gros carton, avec dedans un jeune homme blessé. Elle ne sait pas si elle doit appeler sur son portable la police ou une ambulance. C’est une averse qui décidera pour elle (ou un Kappa), elle traîne le gros carton jusque chez elle. Le « paquet cadeau » se révèle bien mal en point et il a plus de 39° de fièvre. Finalement elle nettoie ses blessures et pose bandages et pansements. Une vraie infirmière, il manquait ça dans son bagage universitaire. Le tableau sado-maso n’est pas loin : se faire dorloter par une si belle infirmière et maîtresse femme...
Le mal de tête après cette compassion involontaire... je ne sais pas, en tous cas le mal de tête d’Iwaya a disparu, et le beau jeune homme blessé lui rappel Momo, son chien...
Au bureau, le coup dans la figure de son chef lui vaut d’être muté du département des affaires extérieures à celui des « affaires de la vie de tous les jours », en bref : la rubrique des « chiens écrasés ».
 
 
 
Ça doit être difficile de courtiser une femme belle et de grande taille, intelligente, avec un bon salaire, et bardé de diplômes. J’imagine celui qui essaye de la courtiser, s’il n’a qu’un petit salaire, est de petite taille, et ne s’intéresse pas à grand chose... Reste le sexe ?
Après sa mauvaise journée de changement de service, Iwaya rentre chez elle et découvre son « Momo » bien installé devant la télévision comme un enfant. Le voyant ainsi rétablit Iwaya veut le mettre dehors. Il n’a nul part où aller aussi il décide de « rester quelque temps » chez Iwaya. Elle le fout dehors. Il revient. Iwaya va en faire son « animal de compagnie ». Là encore il y a un léger rapport sado-maso : elle dit à Momo qu’il n’aura aucun droit et qu’il devra faire tout ce qu’elle dit... D’ailleurs « Momo » a compris, puisqu’il l’appel : maîtresse ! Seulement Iwaya le prévient, il ne couchera pas avec elle... et puis les hommes ne l’intéressent plus ! elle les trouve égoïstes. Surprise : Momo, joué par Matsumoto Jun, se révèle un super acrobate. Bravo à Matsumoto Jun pour ses pirouettes.
 
 
 
Dans une école de danse, on s’inquiète d’un danseur vedette nommé Goda Takeshi (joué par Matsumoto Jun), et qui se prend pour un vagabond. Ainsi vous aurez deviné qui était le Momo de Iwaya.
Au bureau du journal, dans les toilettes, Iwaya sur le « trône » écoute les filles jaser sur son compte : « les gens qui savent tout m’énervent », etc. En rentrant chez elle, deux salarymen essayent de la draguer maladroitement, elle les envoi balader. Alors découragé, elle s’écroule de fatigue. Tel un « compagnon fidèle », Momo l’accueil et demande une caresse sur son pelage, sur sa tête.
C’est joliment rendu, émouvant aussi ; mais par le jeu du personnage de Iwaya on retombe dans la « dure réalité de l’animal de compagnie ».
Il y a des disputes, bien vues, notamment quand « Momo » commence a « flairer » la solitude d’Iwaya, mais celle-ci ne veut voir en Momo qu’un animal de compagnie, et surtout elle se cramponne à sa « supériorité ». Alors Momo prend son sac et s’en va... Mais rassurez-vous...
Dans l’épisode deux, il y a une séquence hilarante : Iwaya déguisé en gros nounours, pour le parc d’attraction Tokyo Familyland, se fait chahuter par une bande de petits morveux, comme elle les appelle.

L’idée du scénario est intéressante, ça donne quelque chose d’un peu théâtrale, drôle et tendre. Un peu spécial tout de même, mais en rentrant dans le jeu et en se laissant guider et en étant bon public, c’est un drama léger, accrocheur, un peu comme First Kiss. Matsumoto Jun est très drôle, et il est un bon comédien je trouve ; en plus dans l’épisode quatre il dit quelques mots dans un français parfait. Pourquoi pas trois étoiles pour ce drama. Mais c’est tout de même inquiétant l’insistance de la comparaison animal de compagnie et être humain... Et Iwaya pour se rassurer précise souvent qu’il n’y rien de sexuel entre elle et Momo, puisque c’est un animal. Alors s’il y avait quelque chose de sexuel entre eux, ce serait pire que de la zoomanie, ce serait de la bestialité !... Pourquoi pas aussi faire la comparaison entre être humain et géranium !... Après tout, les plantes sont aussi vivantes sinon plus que nous, et ce n’est pas parce qu’elles ne se déplacent pas, sauf les graines transportées par le vent, qu’elles sont moins évoluées qu’un mammifère.

M. Roudakoff
 
 
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Dernière mise à jour : 19-10-2008 21:01

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