La religion d’Israël invente le TEMPS
 

Ecrit par Sechy, le 18-07-2014 19:30

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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La religion d’Israël invente le TEMPS
et l’HISTOIRE, mais le temps n’existe que
s’il y a une personne pour le regarder,
pour lui donner une valeur


La religion d’Israël et de ses Prophètes inventent
LA HAINE
 
 
C'est la Terre qui pardonne pour empêcher le souvenir.
L'individu doit trouver un soutien en lui-même s'il ne veut pas devenir le jouet des divers intérêts et idéologies. Pour qui veut vivre sans dépression ni addictions de toutes sortes : Big Pharma légal ou illégal, manipulations médiatiques et politiques et de « l’instruction scolaire », il demeure nécessaire de trouver son soutien dans le vrai Soi, celui qui est NATUREL, c’est-à-dire dans l’accès à ses propres besoins et sentiments réels, et la possibilité de le exprimer clairement, de les vivre dans la transparence.

Chacun sait que la religion d’Israël est par excellence la NORME, le compas-équerre : la religion du LIVRE.
Ces Yahvistes ou Juifs inventent aussi un Dieu fou : Yahvé, avec la « Chute » qui ne pouvait fonctionner que dans une religion fondée sur le CANCER DU POUVOIR doublé de métastases de jalousie, donc un Dieu rongé par le cancer ! Je répète, le Dieu des Juifs est un Dieu rongé par le cancer du pouvoir.

Les Yahvistes qui copyright tout et bannissent l’idolâtrie ont volé la symbolique de l’Arc-en-Ciel : l’Arche de Noé et l’Arche d’Alliance, et en ont fait des idoles ; et de ce fait ont inventé l’HISTOIRE.

Les Juifs et le judaïsme inventent le TEMPS, la CHRONOLOGIE TUEUSE.

HISTOIRE : début du 12è siècle, du latin historia, du mot grec qui avait le sens de « information », connaissance, puis de chronologie ou RÉCIT se déroulant selon l’idéation du mental ou progression dans le spatio-temporel. On dit bien 'racontes-moi une histoire'.
Histoire, connaissance, informations : notre époque est étouffé par les informations. L’histoire est donc du thème de l’ÉVOLUTION, du DÉROULEMENT.
 
Les Yahvistes inventèrent l’histoire et par là même l’évolutionnisme. En effet, dès que l’opinion des prophètes « valorisent l’histoire », les événements historiques prennent désormais une « valeur » en eux-même : il deviennent comme une idolâtrie, dans la mesure où ils sont déterminés par « la volonté de Dieu », c’est-à-dire par l’opinion des fabricants de l’histoire. Ainsi les faits historiques deviennent des « situations » de l’humain face à Dieu (face à lui-même), et comme tel l’opinion acquière une « valeur religieuse » que rien jusque là ne pouvait lui assurer. Donc les Yahvistes furent les premiers à inventer une signification à une histoire en y introduisant la notion de leur Dieu Yahvé, et c’est cette conception qui fut reprise et amplifiée par le christianisme.
Avec les Yahvistes l’histoire devenait une « preuve de la manifestation de Dieu » (volonté divine), c’est-à-dire la manifestation d’un puissant égrégore-opinion d’ensemble destiné à manipuler des tribus. Bref, le Dieu des Juifs aspirait au mondialisme, et donc déjà au Nouvel Ordre Mondial source de bien des « guerres de religions » ! Il n’est pas étonnant non plus que l’industrie du cinéma de Hollywood soit organisée et tenue par des Juifs, et que nombre de Juifs se retrouvent à la tête de banques.

C’est dans ce courant de l’évolutionnisme et des religions du Livre que nécessairement se trouve « la justice » humaine avec surtout les « Commandements de Moïse « et ses « droits » qui nous donneront la complexité infernale actuelle. Je pense que désormais beaucoup de Terriens ont compris que la « justice » ne pourra pas être réelle sur cette planète tant que les Terriens n’auront pas appris à retrouver le Soi ou Vraie Créativité dans tous leurs actes quotidien. Aujourd’hui avec la Bible des « droits de l’homme » et ses « droits », nous vivons un enfer car la justice n’existe toujours pas, elle n’est qu’une projection de l’ego humain, une projection à sa mesure de ce qu’il voudrait que la justice soit, et cette projection elle-même remet continuellement en question la Vraie Justice. Le court-circuit est permanent, surtout avec les capitalo-socialistes.

La religion du Livre fabriqué par les Yahvistes et Israël n’est pas nouvelle puisque les mythes n’ont pas d’âge, sont universels, et appartiennent même, en partie, à l’UNIVERS PRÉCÉDENT. Ce qui est nouveau, comme écrit ci-dessus et en titre, c’est  que comme pour Hollywood fabrique de lavage de cerveaux du monde, les Yahvistes ont transformé leurs opinions en inventant un Dieu qui les auraient « élu » en une histoire sacrée jamais concoctée auparavant. À partie d’un certain moment, cette Histoire devenue une « valeur », donc sacralisée, devient exclusif à une « nationalité » et se révèle le mondialisme sous forme d’une religion universelle devant « convertir Dieu au judaïsme ! ».

Les Yahvistes inventent le patriarcat en détrônant Mère-Nature des religions cosmologiques comme les Baal des Hittites et des Cananéens.

Deux conceptions du monde :
- Les religions du Livre et leur « évolution » ou « croissance ». Courant essentiellement venant de l’Occident.
- Les religions cosmiques et leurs CYCLES et RYTHMES an accord avec la Nature et ne coupant pas l’humain de la Nature, comme le pratiquent les Orientaux comme les Chinois, les Hindous et les Mayas et autres Peuples du Soleil. Les religions cosmiques représentent essentiellement LA JOIE DE VIVRE.
Cycles et Rythmes : par exemple un Dieu comme Osiris est lié au cycles de la Nature : il « apparaît et disparaît ».
RAPPEL : tout cycle commence d’une manière absolue parce que tout « passé » et toute « histoire » ont été définitivement abolis grâce à une fulgurante réintégration dans le Saint Chaos (le PRALAYA ou STARGATE), que les Judéo-Chrétiens nomment aussi « Apocalypse », et d’autres nomment « Atlantide ».

Les Yahvistes se bombardant « peuple élu » coupèrent l’humanité d’avec la Nature, ILS DIVISÈRENT. Ils rejetèrent et avec extrême violence toute religiosité cosmique et ils rejetèrent surtout l’importance décisive accordée à la régénération spirituelle de l’individu ou réalisation du Soi-Instant par le retour définitif à leur Dieu Yahvé, parce que pour les Yahvistes de cette époque lointaine, c’était la réponse de leurs prophètes aux crises historiques qui menaçaient l’existence de leurs deux royaumes juifs. Le danger était considérable et immédiat. Pour le Yahvistes la joie de vivre, solidaire de toute religion cosmique, était une apostasie, une illusion ! et condamnée à disparaître dans l’imminente catastrophe nationale. Le mystère de la fertilité, la vie et la mort, pour les Yahvistes ce n’était pas une « sécurité » primordiale !

Yahvé ou le Dieu mâle : on parle de « religion des Patriarches », caractérisée par le culte du « Dieu du père ». Celui-ci est invoqué, ou se manifeste, comme le « Dieu de mon/ton/son père » (Genèse 31 5 etc.). D’autres formules comportent un nom propre parfois précédé du mot ‘père’ : « le Dieu d’Abraham » (Genèse 31 53) ; « Le Dieu de ton père Abraham » (Genèse 26 24, etc.) ; « Le Dieu d’Isaac » (28 13). Ces formules ont des parallèles dans l’Orient ancien...
Ce « Dieu du père » qui certifie une sorte de parenté est un Dieu de nomades, qui n’est pas lié à un sanctuaire, parce que par exemple en Égypte ancienne tous les Dieux ont une « maison », alors que ce « Dieu du père » est lié à un groupe d’hommes qu’il accompagne et protège. Il « s’engage envers ses fidèles par des promesses » (promesses revenant souvent dans la Genèse, promesses prenant diverses formes : postérité, obtenir une terre, ou les deux à la fois).

Yahvé appelle, ou plutôt on lui faire dire que les descendants des Patriarches sont « mon peuple », donc le peuple élu, et nullement le reste des Terriens !!! Le Yahvé avait inventé le COPYRIGHT : les Yahvistes ou Juifs étaient la PROPRIÉTÉ DE YAHVÉ !!! Comme déjà écrit sur nombre d’articles, LE JUDAÏSME EST PUREMENT DU MATÉRIALISME, parce qu’il ne s’attache QU’À LA MORALE qui nécessairement prend racine dans le spatio-temporel, dans l’OPINION (au moins cinq commandements du Décalogue se réfèrent à la morale).
Les Patriarches de l’Ancien Testament, dans la Genèse notamment, offrent des sacrifices, élèvent des autels et dressent des pierres en les oignant d’huiles. Il est aussi vraisemblable qu’ils pratiquaient le sacrifice sanglant (zébah), de type pascal, sans prêtres, et selon certains sans autel : « chaque offrant immolait lui-même sa victime, prise du troupeau ; elle n’était pas brûlée, elle était mangée en commun par le sacrificateur de la famille » (R de Vaux cité par Mircea Eliade dans : Histoire des croyances et des idées religieuses).


La religion d’Israël et de ses Prophètes inventent LA HAINE


Jusqu’aux prophètes, il n’exista pas de haine institutionnalisée, dès leur arrivé, ce qui frappe c’est leur critique et férocité avec laquelle ils attaquent les croyances cananéennes, ce qu’ils appellent « la prostitution », c’est-à-dire la spiritualité en accord avec la Nature ou le Cosmos quand les humains n’étaient pas coupé de la Nature, de leur nature. Jamais comme auparavant la spiritualité cosmique n’avait été attaquée aussi sauvagement. Ce sont les prophètes qui coupèrent les humains d’avec la Nature. Des secteurs entiers de la Nature, les hauts lieux, des pierres, des sources et des fontaines, des arbres, certaines récoltes, certaines fleurs, furent dénoncés comme idolâtrie et déclarés « impurs », puisque souillés par le culte des divinités cananéennes de la fertilité. Pour les prophètes les régions « pures et saintes » étaient le désert ! Mais les Juifs se trompent car le COSMOS ENTIER CONSTITUE LE DIVIN : « Oh Adoré des Devas ! De tous les Devas et Devis - que dis-je, de l’univers tout entier, de Brahma jusqu’à un brin d'herbe - ce sont ses formes » comme l’exprime le Mahanirvana Tantra 2 46. Que la vie soit dans les humains, dans les animaux ou dans les plantes, et même dans les minéraux, c’est toujours la VIE, et quand vient la minute de la mort, c’est toujours la Réalisation du Soi-Instant qui se retrouve spontanément, aussi bien dans un arbre, un insecte, un caillou ou un humain ; mais chez l’humain c’est facilité si son ego ou mental est en paix.

Le mépris de l’autre et de ses croyances commence dès l’enfance. « À l’origine de tout mépris, de toute discrimination, se trouve le pouvoir exercé par l’adulte sur l’enfant, un pouvoir plus ou moins conscient, incontrôlé, secret, et toléré par la société (sauf en cas de meurtre ou de graves sévices corporels). L’adulte est libre de faire ce qu’il veut de l’âme de son enfant, il la traite comme si elle était sa propriété. C’est la façon dont un État totalitaire traite ses citoyens. Mais l’adulte n’est jamais aussi complètement à la merci des puissants qu’un bébé dont les parents font fi de ses droits. Tant que nous ne deviendrons pas plus sensibles aux souffrances du petit enfant, personne ne prêtera attention à ce pouvoir, nul ne le prendra au sérieux, et on en minimisera l’importance, car après tout « ce ne sont que des enfants ». Mais dans vingt ans ces enfants seront des adultes qui reporteront tout cela sur leurs enfants. Consciemment, ils lutteront peut-être contre la barbarie « dans le monde », mais inconsciemment ils infligeront des horreurs à leur entourage, parce qu’ils portent en eux une expérience de la cruauté à laquelle ils n’ont plus accès, une expérience qui reste cachée derrière l’idéalisation de leur enfance et les pousse à des actions destructrices.
Il est urgent de mettre fin, par la prise de conscience émotionnelle, à cette « transmission héréditaire », d’une génération à l’autre, de la destructivité. Un homme ou une femme qui gifle, bat ou offense consciemment quelqu’un sait qu’il lui fait mal, même s’il ne sait pas pourquoi il le fait. Mais combien de fois nos parents et nous-mêmes n’avons-nous pas blessé douloureusement, profondément et durablement le Soi naissant d’un enfant sans nous douter le moins du monde de ce que nous lui infligions », écrit justement Alice Miller dans : Le drame de l’enfant doué - À la recherche du vrai Soi.
 
 

Dernière mise à jour : 18-07-2014 20:04

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