Propagande du système et uniformité
 

Ecrit par Sechy, le 23-04-2015 22:56

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Propagande du système et uniformité
et accessoirement critique et attaque de la Russie
 
 
La nouvelle religion universaliste à travers une machine à barbe déguisée en femme (vidéo en fin de page). Que des clichés avec la quincaillerie judéo-maçonnique à la mode socialiste  du « vivre ensemble » dont une variation est « la tolérance », qui symbolise le système capitalo-socialiste : une tolérance évidemment pour les « bons », pas pour les méchants, les « terroristes », et qui ne vise qu’à encourager les comportements destructeurs et les traditions de nos Anciens. On continue donc la tabula rasa de 1789.
Ce genre de propagande digne de la propagande stalinienne de la fin des années 1920 reflète l’apparition de l’industrie mécanisée commencée tout au long du 19è siècle dans la foulée de l’après 1789, ce qui amena un fait social qui semble ne pas avoir existé dans les temps antérieurs. « Sans doute y a-t-il toujours eu des hommes qui se sont enivrés. Mais aucune des descriptions que nous avons du comportement des anciennes populations ne fait mention d’un développement particulier de l’ivrognerie », écrit Hyacinthe Dubreuil dans : J’ai fini ma journée. Il ajoute justement qu’à la Renaissance des cités italiennes comme Florence, ou celle des Flandres, avaient une production qui présentait déjà un certain caractère industriel, « même avec son complément de troubles sociaux, dont l’exemple le plus célèbre est l’insurrection des Ciompi, à Florence, en 1378, insurrection dont le caractère a pu être comparé à notre révolution de 1848 ».
L’ouvrier non qualifié ne devait pas être beaucoup payé, sinon il passait tout son temps libre à dépenser son salaire dans les débits de boissons alcooliques installés aux portes des usines !!! (Les vendeurs de drogues sont maintenant aux portes des écoles...).
 
Bref, même dans le Florence de la Renaissance, le peu de machines laissait la place à des procédés artisanaux, dans lesquels le travail à la main, et par conséquence le savoir professionnel restaient indispensables, comme l’indique H. Dubreuil. Il ajoute cette importance : « C’est peut-être cette dernière observation qui pourrait servir de guide pour une étude approfondie du développement de l’alcoolisme, après l’apparition des occupations qui n’exigent aucune qualification, et dans lesquelles par conséquent, l’esprit des ouvriers ne possède pas le point d’appui que représente l’activité intellectuelle requise par le travail professionnel…
En effet, l’observation qui vient d’être faite au sujet du travail professionnel semble contredite par le développement de l’alcoolisme dans les professions où une haute qualification est exigée ».
Vers 1848, l’ensemble « sublime ouvrier » désignait un ivrogne !
Au 19è siècle le chemin de fer frappait les imaginations, c’était le départ de l’ère du speed. Au début du 20è siècle ce fut l’aviation, autre speed ; aujourd’hui c’est le binaire de l’informatique et ses transistors et ses ordinateurs et son Big Brother.

Tout cela combiné, avec l’alcoolisme encore très présent, notamment à travers les livres scolaires des années 1950, avec du texte genre : « Les boissons alcooliques sont utilisées en grande quantité dans notre pays. Si, à dose modérée, elles constituent un appoint intéressant à l’alimentation [sic], elle ne tarde pas, à dose exagérée, à provoquer des troubles importants », ça se compare avec la dégénérescence de notre civilisation comme on l’observe dans la propagande en vidéo ci-dessous. Ce genre de propagande est comparable à l’incitation à boire : en 1951 il y avait 450.000 débits de boissons contre seulement 49.000 boulangers ; des débits de boissons souvent installés à la porte des usines, voire des établissements d’enseignement. De nos jours l’alcoolisme, la drogue, C’EST LA TÉLÉ, LE SMARTPHONE, LA TABLETTE, LES RÉSEAUX SOCIAUX, etc. En 1951 en France il y avait plus de 3 millions d’habitants qui étaient des bouilleurs de cru et qui avaient droit de produire en franchise 10 litres d’alcool pur (soit 20 litres d’eau-de-vie à 50°). Même s’ils s’en tenaient à cette quantité, ils avaient à leur disposition une notable provision d’alcool, dans laquelle ils hésitaient d’autant moins à puiser qu’elle était d’un prix de revient très minime. Après la fin des années 1950, probablement pour combattre l’alcoolisme frénétique du monde ouvrier, il commence à se pointer les sodas sucrés et autres boissons de jus de fruits en bouteille de verre.
Les médias comme la télévision et autres entretiennent, comme l’alcoolisme, la misère sociale et certainement pas le « vivre ensemble » des capitalo-socialistes, ni même la moindre liberté pour vaincre l’ignorance !!! CELA PERMET D’OUBLIER QUI ON EST ET ÇA ENTRETIEN L'IGNORANCE. La vidéo ci-dessous en est une preuve et est digne d’une campagne ou il faudrait « boire pour être un homme » ou pour être du côté du système ; même peine avec le tabac. Aujourd’hui il faut voter, être « tolérant » et « vivre ensemble » pour être démocrate ! Comme l’alcool et le tabac, les humains adultes, et maintenant des adolescents, boivent parce que ça fait homme : on porte donc l’uniforme, comme le jeans il y a quelques années. On fume et on boit parce qu’autour de nous tout le monde boit, et fume (moins vrai de nos jours à cause de la diarrhée législative du républicanisme). La réunion, le « vivre ensemble » est prétexte à fumer et à boire de l’alcool. Il serait impoli de refuser… Alors on fait comme les moutons : on suit les autres, on s’uniformise, le grégarisme diabolique et l’opinion sont à l’œuvre !
En 1951, 30 à 40% des condamnés étaient des alcooliques notoires ou en état d’ivresse au moment du délit.
En 1951, 40% des auteurs d’accidents de circulation avaient plus de 1 gramme d’alcool par litre dans le sang.
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 23-04-2015 23:04

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