Les Yahvistes ont oubliés l’Instant
 

Ecrit par Sechy, le 02-07-2015 22:26

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Les Yahvistes ont oubliés l’Instant
Cette poursuite de l’Instant et contre l’Instant
se traduit par le culte du Superman dans le système
de l’américanisme, chez Nietzsche, de la gratuité
chez André Gide, de la liberté chez Jean-Paul Sartre,
de la Jérusalem future et la redécouverte du
« Nom de Dieu » chez les Yahvistes.
L’ego de l’humain se révolte contre L’instant,
mais la soif de l’humain reste suspendue aux
dons de l’Instant,
cette soif voudrait ces dons dans l’Instant,
en s’en éloignant.

Une histoire yahviste de CNV
 
 
Quel est celui qui est libéré : celui qui comme les Yahvistes ne croit qu’en l’avenir (fin des temps), c’est-à-dire la Super Carotte qui ne grossira jamais, ou à coups de pesticides ; ou celui qui sait que la Libération nous attend dans chaque repli de chaque Instant qui passe ??

Celui qui confond vie dure, et vie inhumaine (techno et confort ou sécuritaire du socialisme), s’est condamné presque uniquement à corrompre sous prétexte d’humaniser.


Notre époque est celle du « drame de l’humaniste athée », soit la tentative insensée de l’humain pour « reconquérir le divin sur l’Instant ou Soi ». Exactement comme si le divin n’était pas l’Être même de l’Instant ou Soi, mais un simple ego ou avoir qui peut changer de possesseur, comme si la Source ou Instant n’épuisait pas en elle tout le divin !
Les athées sont comme les existentialistes de Jean-Paul Sartre : ils veulent voir, ils veulent des preuves de l’existence de Dieu. Donc selon leur ego ils veulent POSSÉDER Dieu !
 
« Nous acceptons mal de n’être que des Créatures ; nous voulons toujours un peu nous créer nous-mêmes » (Gustave Thibon). Surtout les transhumanistes et autres Yahvistes des Google adeptes de la « fin des temps » (FDT) veulent se créer eux-mêmes (ils sont surtout en révolte contre l’INFINI… et veulent en finir… ). La technologie est de la pure idolâtrie.

Un bel exemple de cette division galopante de notre époque : « Pourquoi Dieu a-t-il créé les punaises et les moustiques ? » m’a demandé cet imbécile. - Mais pourquoi t’a-t-il créé toi-même ? Si les imperfections - ou les mystères - de la Création sont une preuve contre Dieu, ta propre existence réfute la Providence au moins autant que celle des punaises ou des moustiques ». (Gustave Thibon : Notre regard qui manque à la lumière).

Sur cette page je tente d’exposer le grand danger actuel que nous fourguent tous Yavhsites qui se respectes, comme les Sigmund Freud & Cie. et autres « peuple élu » qui se croient « peuple-prêtre » envers les Goys qu’ils veulent « sauver » (de nombreux psychiatres sont de confession et culture juive), Noé voulait sauver des animaux, Noé symbole de ventre.
C’est vrai que c’est une folie que d’être Sage tout seul, parce que la Sagesse ça rayonne naturellement, comme l’auréole peinte derrière la tête des Saints. Ainsi à notre époque ou le roi qui représentait Dieu sur Terre n’est plus ce repère, tant de fous veulent présenter leur folie comme sagesse, ou plutôt pour employer un mot à la mode depuis 1789 : comme la LIBERTÉ. C’est ce que veulent nous fourguer tous ces psychiatres Yahvistes et autres behavioristes sautant sur la mode du quantique et de la « non-violence » remise au goût du jour par un Gandhi qui de ce faite engendra un « isme » de plus : le gandhisme ou « non-violence ».

Alors nous entrons dans le conformisme, le confort, le sécuritaire de cette « non-violence », que c’est une grande sagesse que de savoir être fou tout seul (ce qui n’était pas le cas de Gandhi), c’est-à-dire de ne pas répandre en opinion sa folie au dehors, de ne pas renverser l’échelle des valeurs sous prétexte qu’on se trouve en bas. Donc on garde pour soi ses fèces, et on partage naturellement ce qu’on a de bon.

Un nouveau système yahviste est apparu il y a peu : une mouture de Peace and Love que les Yahvistes apprécient particulièrement tant leur « Communauté », leur « socialisme » est dans leur sang ; on retrouve ce système dans la terrible division winner-loser. Il s’agit du système pour bien vivre le capitalo-socialisme : « la Communication Non Violente ou CNV, de Marshall Rosenberg (ayant deux grands-pères émigrés juifs russes), qui prétend avoir « mis au point » sa méthode dans un « processus dépassant le cadre de la communication, puisqu’il s’agit d’abord d’une conscience et d’une attitude ». Et voilà que le behaviorisme point à nouveau son nez ! Les héritiers de Freud ont de la suite dans les idées comme tous Yahvistes qui se respecte depuis plus de 4000 ans : ils font sur la durée, sur l’histoire, puisqu’ils attendent la « fin des temps ».
Bref, le concept CNV peut se résumé par le mot moderne : EMPATHIE, que l’on peut résumer plus simplement par SYMPATHIE (avoir de la sympathie pour quelqu’un c’est lui témoigner une forme d’empathie…  SYMPATHIE : du grec sumpatheia, participer à la souffrance d’autrui).

M. Rosenberg utilise la division winner-loser avec sa girafe et son chacal bien dans la tradition judaïque du bien et du mal, évidemment la girafe ayant « un gros cœur » c’est le bien, et le chacal c’est le mal ou les mauvaises habitudes de « fonctionnement » ; il emploi des peluches pour enseigner son isme tout en se dégageant d’un certain manichéisme en précisant que personne n’est totalement « girafe » ou totalement « chacal »… Bah voyons !!!
Il emploi le carré suivant : OSBD :
- Observation (on se garde son opinion ou jugement sur l’autre).
- Sentiment : savoir communiquer ce qui se produit en nous (là encore sans opinion ou jugement, on ne divise pas entre moi et l’autre).
- Besoins, base de la CNV. Nous y voilà bien dans le matérialisme du judaïsme ou du behaviorisme. Assumer ses besoins, avec les risques que ça comporte. Là on rejoint l’opinion et le grégarisme qui tyrannise cette civilisation dans la dualité winner-loser, soit une civilisation ultra compétitive (voyez la résurgence des « jeux olympiques » dans la fin du 19è siècle ultra banquérisé qui ne jure que par la possession !).
- Demande : en respectant trois règles : formuler de façon positive ce que l’on veut plutôt que ce qu’on ne veut pas ; formuler de façon consciente et sans sous-entendus piégeants ; formuler de façon le plus simple (binaire) pour bien le faire comprendre à l’autre (le prendre pour un crétin).

Bref, tout ce qu’énonce M. Rosenberg c’est du bon sens, mais il est connu que les Yahvistes copinent tout : ça a commencé chez les Anciens Égyptiens ! Le simple bon-sens consiste à savoir que les êtres ne sont pas les actes ! Monsieur Jean n’est pas un pompier, il s’appel Jean et EXERCE LE MÉTIER DE POMPIER. Ainsi on ne confond pas le métier et la personne, comme si souvent de nos jours. Rosenberg n’a rien inventé. Mais son business marche fort avec sa girafe et son chacal : évidemment succès dans les écoles et les entreprises : rentabilité des esclaves oblige (le travail forcé a pour corollaire le plaisir forcé !) C’est tout bénéfice pour l’entreprise et sa source, les écoles : « le CNV fait des miracles » en milieu scolaire et dans le monde du travail », deux milieux actuellement en grande crise !!! Les Yahvistes savent saisir la balle au bond pour ensuite proposer leur marchandise !

J’ajoute que le CNV de Rosenberg est bien dans la mode du règne de l’opinion : le libre arbitre, la « liberté » (d'expression) et tout le tralala démocratique capitalo-socialiste. « Même si la liberté n’existait pas, la croyance au libre arbitre suffirait à créer un déterminisme supérieur. D’où le danger moral de l’enseignement du déterminisme », qui se retrouve dans le CNV.
EN RÉSUMÉ : Rosenberg se situe dans l’évolutionnisme, dans ses interventions il cite Teilhard de Chardin.
Le CNV c’est de la RENTABILITÉ ou être 'libéré' pour être mieux compétitif, une énième tentative de construction d’échafaudages dialectiques. Le CNV rentabilité, parce comme dans l’histoire et l’évolutionnisme et la « science » : ON CHIFFRE, on DONNE UN PRIX À quelque chose, alors que « les biens » ou l’amour n’a pas de prix : ils valent plus que tout… et aussi ils ne valent rien : au-delà de tous les chiffres ou zéro et un du binaire informatique.

Un grand nombre de travailleurs du chapeau comme les Yahvistes, pour qui le « réel » doit être rationnel et donc rentable rentre dans cette catégorie. Ils sont incapables de comprendre que la vie tout court, comporte tout un monde de faits « infra-rationnels » et « supra-rationnels » (ce que dit aussi tout le travail alchimique… )

Deux mots sur le béhaviorisme, qui rejoint le CNV de Rosenberg : supprimer tout spiritualité, ne retenir que le psychologique : enregistrer les faits, rien que les faits, soit faire des observations et tenter des expériences, partout où c’est possible. Car le CNV de Rosenberg c’est aussi du comportement, tout ce qui est mesurable et contrôlable, de « l’objectif » ! C’est-à-dire selon le sens moderne du mot « science » : une expérience mesurable et enregistrable par des appareils, et surtout, pouvant être reproduite en tout lieu et tout climat par n’importe quel opérateur. On est dans le social ou on ne l’est pas ! Pour ces gens seul le comportement observé à l’abri de toute ingérence subjective revêt à leurs yeux une « valeur scientifique ».
De nos jours le terme « scientifique » veut dire : mesurable, comptable (rentable), pondérable, enregistrable par exemple par un tracé graphique. Ainsi les manifestations du « supérieur » sont systématiquement proscrites (« pas de Dieu chez nous » !)

Comme dans le CNV, l’une des caractéristiques les plus frappantes du behaviorisme et de la psychologie dite « scientifique », et de nos jours « quantique » ou de « libération » façon ‘Peace and Love’ est d’imprimer à ces disciplines une sorte d’aversion pour le conscient : elles se veulent absolument être des psychologies sans conscience psychologique.
Le CNV comme le behaviorisme se veulent « objectif », rentable, (libératoire et donc « démocratique »).

Le mot CHRIST ne veut pas dire, comme le fait le Nouvel Ordre Mondial (le jardin publique) et le CNV : « Qu’ils soient unis » (le 'vivre ensemble'), mais : « Qu’ils soient UNS ». Le CNV copié sur Gandhi est une singerie de « Qu’ils soient UNS » du sens du mot Christ. Le UN est aussi AMOUR, ou GRATUITÉ.
La Vraie Vie est SILENCE. Toute parole introduit dans sa pureté des fèces de mort.

Le CNV fait aussi la partie de cette mode du transhumanisme et de la peur de mourir, d’être mal, d’être inconfortable, d’être malade, donc d’un côté d’être rentable pour l’industrie de Big Pharma et de ses pilules chimiques ; et de l’autre, de n’être pas rentable pour le monde du travail. Nous sommes entrés depuis un moment dans le culte de tous les moyens pour ne pas mourir, on cache la mort notamment, culture du jeunisme, on assure sur tout, les distractions nous font oublier la mort ; tout cela qui permet le confort de l’existence dans le spatio-temporel mais ne permet pas de vivre, car l’unique source de la Vraie Vie réside au-delà du temps qui coule et contient la mort dans son unité.

Le « Peace and Love » et le CNV sont des humains qui se frottent les uns aux autres, dans la tradition du gender et de la mode du socialisme (vivre ensemble), et se repaissent les uns des autres, mais qui restent irréductiblement seuls. Parce que le drame de l’être humain aujourd’hui, est qu’il voudrait contempler à la fois l’oiseau et manger le gibier. Chose impossible. Il faut choisir entre le rassasiement immédiat des entrailles comme le veut la société de consommation du « tout tout de suite », et l’ivresse du lointain regard (1). L’intimité vraie n’est pas posséder, c’est un échange entre deux libertés qui se contemplent l’une l’autre, et cet échange implique UNE DISTANCE (sinon on tombe dans le grégarisme).

Quand nous gérons notre propre Unité, ou propre indivision, là est la source de la Vraie Paix dans le monde. La seule division possible est celle de l’objectif de « pointer », afin de dompter l’identification avec l’ego ou corps ou mental.

La mode du social et du 'vivre ensemble' est la vanité propre à notre époque ; une véritable idolâtrie, soit un comble pour les Yahvistes, qui ont pourtant leur super idole : l’Arche d’Alliance ! À cela il faut y ajouter l’idolâtrie pour la technologie des Google et autre Ray Kurzweil. Ainsi, pour échapper au social, on se réfugie dans le ‘moi je’ ou ego, opinion. L’idolâtrie du social est le propre de la laïcité, là où ne règne pas le divin. Celui qui ignore Dieu a besoin de cette illusion pour vivre et agir parmi les humains. Aujourd’hui on parle de « couverture sociale », donc du superficiel, de la surface des choses. Même peine avec le « critère social » (fortune, honneurs, emplois, réseaux, etc.) qui fait la partie de la tyrannie de l’opinion où l’on juge, sans tenir compte de l’Être ou valeur.
Avec leur « fin des temps », il n’y a pas plus idolâtres que les Yahvistes, eux qui divisent entre bien et mal : « Dans le mal comme dans le bien, l’homme manque terriblement de modestie et réduit Dieu à sa chétive mesure : il n’arrive jamais à « réaliser » jusqu’à quel point Dieu dépasse par sa pureté la plus haute vertu et par sa miséricorde le pire péché. Ainsi infectés de présomption et d’idolâtrie, le bien et le mal trahissent, chacun dans son ordre, leur finalité essentielle qui consiste à tout attendre de Celui qui est tout [attente d’un messie juif]. Sans Dieu, l’homme le plus vertueux ne peut pas s’élever, mais avec Dieu, le plus misérable pécheur peut toujours SE RELEVER », écrit Gustave Thibon.


À tous les Rosenberg, Kurzweil et autres Google qui rêvent de péter plus haut que leur « fin des temps » :
L’accélération actuelle de l’histoire ou évolution due principalement à la technologie qui ne pourrait exister sans l’argent des banques, a pour effet de précipiter la rotation de la cage de l’écureuil captif, mais non de reculer les limites de cette cage (voyez par exemple le premier film Cube). Le cercle du temps reste infranchissable. Notre seule supériorité sur nos Ancêtre tient aux facilités qui nous sont données d’explorer de plus en plus le territoire de notre prison… privilège enivrant en apparence, mais décevant dans ses résultats, puisqu’il nous conduit à prendre plus rapidement conscience de notre incurable captivité dans ce monde des accidents ou spatio-temporel. Réaliser ses désirs est le principal symptôme de la vanité. La « fin des temps » des Yahvistes est la CAROTTE ou IDOLE SUPRÊME, car plus la distance est grande entre la soif et la coupe, plus nous jouissons longtemps de la Super Carotte de l’illusion.

Si Histoire il y a vraiment, elle ne peut avoir lieu que dans le sens d’être EN DEHORS DE L’HISTOIRE, c’est-à-dire non dans une suite d’événements temporels, mais dans le reflet de ces mêmes événements au fond du REFLET de l’éternité.

La France ne retrouvera sa mission qu’en retrouvant son Dieu, son Instant. Ignorante de cet Instant, la révolution de 1789 fit dévier vers le néant la grande idée chrétienne d’égalité [les premiers Chrétiens]. Le monde attend maintenant une révolution française chrétienne [de réalisation du Soi-Instant].
L’égalitarisme athée est malsain parce qu’il n’a pas d’autre ressource que de rogner jusqu’au néant les différences humaines [voir l’actuel politiquement correct]. Mais l’égalitarisme chrétien est sain parce qu’il est fondé sur le DÉPASSEMENT et non sur l’EXTINCTION de ces différences : il les prolonge jusqu’à leur origine et leur fin communes, qui est l’amour éternel. Et c’est ainsi que s’accomplit dans l’unité de cet amour, la synthèse de l’égalité et de l’inégalité. (En référence à Gustave Thibon : Diagnostics).

Pas besoin de CNV de Rosenberg qui se situe aussi dans le courant du gender, car la Vraie paix c’est une identité de convergence, de Point Focal, du SOI-INSTANT, et non sur la monstrueuse identité de nature à laquelle tend nécessairement l’égalitarisme du capitalo-socialisme, et qui ne peut se réaliser qu’au prix de la ruine de la nature (on en voit les sérieux effets maintenant).
Enfin, depuis des millénaires, il est connu que celui qui travaille à l’amélioration de la condition humaine a généralement cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque !



Note.
1. On a là une petite définition de ce qu’on nomme « énergie » :
« Si je la tuais [la parole], cela me ferait bien peu de nourriture ! » Il reprit donc l’union de la parole et du mental, et à partir d’eux il projeta tout ceci, jusqu’à la moindre des choses qui existent - les Rig, Yajur et Sama Védas, les mètres prosodiques, les sacrifices, les humains et les animaux. Mais tout ce qu’il projetait, il décidait de le manger. Il dévora (ad) toute chose, aussi l’Étendue primordiale fut-elle appelée Aditi [là où apparaît la Déesse Mère]. Qui sait comment Aditi reçut son nom devient celui qui se nourrit de tout ceci, pour qui toute chose est nourriture ». (Upanishads, Madhu Kanda, section du Miel, chapitre 1, I-ii-5, traduction de Martine Buttex)
 
 

Dernière mise à jour : 02-07-2015 22:56

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