Talmudisation du monde = Hollywood
 

Ecrit par Sechy, le 11-08-2015 23:03

Pages vues : 7142    

Favoris : 39

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Jérusalemisation, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Tétévision, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
 
 
Talmudisation du monde = Hollywood
Art de l’illusion ou Eyes Candy
La société du tout confort et
de l’American way of life of Hollywood
L’Art de raconter des histoires
pour avoir la paix, comme
avec Yahvé ou Allah !
Alors on étale,
on étale en évolutionnisme
jusqu’à une « fin des temps » modèle judaïsme
ou religions du Salut.
 
 
ANCÊTRE DE LA TÉLÉVISION : LA LANTERNE MAGIQUE, jouxtée avec la société industrielle du 19è siècle naissant avec ses banques juives et protestantes. Raconter une histoire est le propre du Crédit-Crédo-Croyance et de ses banques à venir, les Marchands de Confiance talmudique, LE MARCHAND DE SABLE OU MARCHAND DE TEMPS… Avec ces Juifs américains, le pauvre coq de Charles Pathé n’a qu’à bien se tenir ! Mais ne jamais oublier que le cinéma dans son principe d’entertainment est né en France : le café sur le boulevard des Capucines où se projetèrent des films des frères Lumière, le 28 décembre 1895.
RAPPEL : Louis Aimé Augustin Le Prince inventa un principe d’images sur pellicule défilant par intermittence devant un objectif, mais n’inventa pas de représentation pour un public, ou même devant un seul spectateur ? En effet, les frères Lumière sont les premiers qui inaugurèrent la projection d’un film en tant que SPECTACLE DE DIVERTISSEMENT, DE CURIOSITÉ, comme l’était il y a peu le premier mini ordinateur domestique : Apple ou Commodore, dont nombre de gens se demandaient à quoi ça pouvait bien servir (en plus ça coûtait la peau des fesses), sinon dans un premier temps ça servait à perdre son temps en jouant avec des trucs virtuels qui clignotaient et zigzaguaient sur un petit écran de télévision, ou en couleurs restreintes, ou en noir et blanc et niveaux de gris ; ça servait aussi à se casser le mental en programmation en langage machine (Assembleur).
 

Le schéma ci-dessus représente le business dans Hollywood : le contrôle par les grandes banques en 1939 [Tableau d’après : Le cinéma, son art, sa technique, son économie, par Georges Sadoul, Bibliothèque Française, 1948]
En 1948 Georges Sadoul écrivait que suite au krach de 1929 et à l’avénement du cinéma sonore les banques se sont réorganisées, et Hollywood « est en définitive une seule grande entreprise contrôlée par les grandes banques ».

Ne jamais oublier que Lénine, qui en connaissait un rayon en racontar d’histoires, a dit : « Le cinéma est pour nous [socialistes] de tous les arts, le plus important » ; aussi l’étatisme soviétique fournit-il des studios, de l’argent, on est déjà capitalo-socialiste, des caméras et stocks de pellicule à de jeunes socialistes voulant changer le monde.

Un Juif déguisé en noir, et avec des gants impeccablement blanc pour faire plus pur ? Est-ce du racisme ? Du business ? Ou les deux à la fois ? Un héritage de l’esclavage des noirs par le business occidental. Infernal, même si ce fils du rabbin Moses Yoelson arrivé à Washington en 1890 : Jackie Rabinowitz Yoelson, né en Lituanie, qui en 1899 transforme son nom en Al Jolson, a la patate dans la gueule, ce qui ne l’empêche pas d’avoir un bon sens musical et une présence, mais il « aboie » tout de même trop, comme un Blanc. On peut l’entendre « aboyer » sur le Wikipedia anglais dans le célèbre Swanee, « tub » de l’époque. À rapprocher des disniaiseries d’Hyperion street (enfin pas toutes). Mais Al Jolson est évidemment célèbre dans The Jazz Singer.




Vers 1925 « les frères Warner, anciens propriétaires de Nickelodeons [minuscules salles de cinéma qui prenaient le relais du cinéma forain], devenus producteurs, se trouvaient à la veille de la faillite. Ils se résignèrent alors à essayer un système dont personne ne voulait. Le Vitaphone était la propriété du trust de matériel électrique Western, lié, sous la tutelle de la banque Morgan, à la General Electric. Après le triomphe du Chanteur de Jazz, chacun voulut faire du cinéma parlant. Et l’on s’aperçut que les brevets, nés en partie du développement de la radio, étaient la propriété exclusive de deux groupes électriques : le groupe américain, et le groupe allemand (Tobis Klang Film) dominé par l’AEG [fondée par le Juif Emil Rathenau avec l’aide de la banque Morgan qui détenait aussi la General Electric]. Des batailles économiques d’une extrême violence s’engagèrent », écrit Georges Sadoul.
Si les Nickelodeons pullulaient comme le virus de la grippe aux USA, en France et en Europe on soigne mieux les spectateurs : on construit des salles de plusieurs milliers de places, on ouvre sur les boulevards des théâtres luxueux et coûteux.

Lorsque vint le déclin de la maffia juive avec la mort, dans son lit, de Mayer Lansky, le même déclin se produisit dans la finance juive internationale… Une finance juive qui allait renaître de ses cendres dans l’entertainment tout azimut, et jusqu’à nos jours, avec les toujours présent Warner Bros, MGM, RCA, CBS, Paramount, Fox, Universal, etc., toutes créations d’immigrés Juifs de l’Europe de l’Est. Walt Disney échappe à la règle, mais à sa mort l’entreprise est contrôlée désormais par le trust juif.

Adolph Zukor (la Paramount) venant de sa Hongrie natale débarque aux USA en 1888. Il travaille dans la fourrure, puis achète des Nickelodeons : petites salles de cinéma où l’on devait glisser dans un tourniquet « un nickel » (pièce de 5 cents) pour accéder au spectacle. Départ de société de consommation dans les milieux populaires. Zukor sent que le cinéma est un bon filon et se lance dans le business de films plus longs (10 mn.) en devenant aussi producteur, car « on vend mieux ce qu’on fait soi-même ». Bref, en 1916 le voilà à Hollywood associé à Jesse Lasky (nom proche du Lansky décrit plus haut…) et c’est le départ de la Paramount.

L’apprenti tailleur Carl Laemmle (Universal) découvre les mêmes Nickelodeons à Chicago au début de ce 20è siècle. À partir de 1906 il distribue des films dans de vraies salles de cinéma équipées d’une centaines de fauteuils.
En 1909 il se lance dans la production, à New York avec sa société Independant motion. En 1912 il déménage en Californie pour fonder Universal, en engageant un autre Juif, hongrois, Vilmos Fuchs (William Fox). Carl Laemmle invente le star system avec Mary Pickford. Plus tard Fuchs change son nom en Fox et s’établit à Long Island et créera le 20th Century Fox.

Les frères Warner (Warner Bros) ouvrent eux aussi leur premier Nickelodeon à Pittsburg. Ils améliorent la qualité des salles. En 1912 ils produisent leur premier film à New York. En 1918 ils fondent leur studio à Hollywood, et en 1923 fondent la Warner Bros.

Marcus Loew, passé de la fourrure au spectacle, doute de l’avenir du cinéma, et pense que le théâtre sera toujours prééminent. Cependant à partir de 1909 il distribue les films de Zukor, construit le premier réseau d’une centaine de modernes salles de cinéma : en 1913, 10 millions d’Américains vont déjà au cinéma.

Louis Burt Mayer, d’abord ferrailleur, créé des salles de cinéma de bonne qualité. Il fonde Alco, qui devient la Metro quand il fusionne, en 1920, avec le réseau de salles de Marcus Loew.

En 1916, un certain Schmuel Gelbfisz, associé aux frères Selwyn crée le Studio Goldwyn, qui devient la Goldwyn en 1920. En 1924, la Metro de Loew et Mayer et la Goldwyn de Gelbfisz fusionnent : la MGM ou Metro Goldwyn Mayer, traduite en yiddish par Mayer Ganze Mishpokhe (toute la famille Mayer).
Irving Thalberg, né à Brooklyn dans une famille juive de Rhénanie devient patron artistique de la MGM.  

En 1928, les frères Warner rachètent 250 salles de cinéma et les studios de Burbank. Les salles de cinéma et la qualité des films progressent.

En 1937, un Cecil Blount DeMille dénonce « les abus de l’influence juive sur l’industrie cinématographique »… Il avait raison parce que ça empêchait le développement du CINÉMA INDÉPENDANT (les Indépendants) qui étouffaient sous le trust juif de Hollywood, et qui avaient fait leurs preuves en Europe en imitant à la fois les Français qui avaient été les premiers à engager des acteurs célèbres pour interpréter des sujets fameux. Les Danois annonçaient aussi Hollywood. Au début du 20è siècle les Indépendants c’étaient : Griffith, Thomas Ince, Mack Sennet, Max Linder, la troupe du Keystone fondée par les Juifs Charles O. Baumann et Adam Kessel.
« À un journaliste qui lui demande en 1936 pourquoi ses films n’évoquent jamais le nazisme, Adolf Zukor - dont le propre frère est resté rabbin à Berlin jusqu’en 1932 - fait cette réponse encore plus terrible : « Hollywood ne doit se mêler que de divertir les gens. Faire jouer un rôle politique au cinéma serait une erreur, de la propagande », rapporte Jacques Attali dans : Les Juifs, le monde et l’argent. Incroyable le Zukor ! Car le divertissement EST AUSSI DE LA PROPAGANDE SOUS FORME DE LAVAGE DE CERVEAU pour justement empêcher de s’apercevoir de ce qu’il se passe un peu partout dans le monde en politique, si déplorable depuis l’après 1789.

David Sarnoff arrive à New York en 1905. Il sera vendeur de journaux à 15 ans, puis télégraphiste chez Marconi. En 1919 il est directeur commercial à la RCA qui fusionna avec Marconi. En 1921, à partir d’un émetteur de la marine il a l’idée de commenter pour un public le match de boxe Carpentier-Dempsey. C’était les débuts de la radio. Sarnoff met sur pied le premier réseau de radiodiffusion en 1926, devient président de RCA en 1930. En 1939 il lance la télévision : la NBC, qui sera connu notamment pour ces célèbres retransmissions des concerts d’Arturo Toscanini.

Dans le thème Radiodiffusion nous avons William S. Paley, qui découvre en 1917 la radio à l’occasion de publicités faites par l’entreprise paternelle dans une petite station radio de Philadelphie qu’il rachète en 1929. Il en fait la CBS, en 1939 il lance CBS télévision en même temps que Sarnoff et sa NBC.


LE CAS GOOGLE.
Google, fondé par deux Juifs : Larry Page et Sergey Brin, prend la relève d’Hollywood dans la lignée de l’évolutionnisme du judaïsme et de l’invention de l’histoire. En effet, le mot GOOGLE est un nom inventé par le mathématicien américain Edward Kasner, dans les années 1940. Google désigne 10 à la puissance 100. Un nombre qui ne représente plus rien que le cerveau humain puisse entrevoir dans le monde spatio-temporel. Les Hindous sont les spécialistes mondiaux des Grands Nombres, notamment grâce au sanskrit : la numérotation sanskrite possédait un nom particulier pour chacune des puissances de 10. Un exemple de Grand Nombre : le Lalitavistara Sûtra désigne toutes les gouttes de pluie qui, en 10.000 ans, tomberaient chaque jour sur l’ensemble des mondes ; un genre de Grand Nombre comme 10 puissance 140 !

Autre mot qui rejoint les Grands Nombres : l’INFINI, L’ÉTERNEL : LE NON MENTAL, LA NON-DUALITÉ. Leur attribuer une valeur c’est faire mousser son ego. Je soupçonne les Juifs de Google de vouloir jouer avec leur sempiternel « fin des temps » puisqu’ils ont ça dans le sang de par leur « religion » transmise par la mère et que c’est très pratique, on ne se casse pas le cul ! Bref, l’Infini est de l’ordre de ce qui ne peut JAMAIS être atteint, un peu comme le spirituel. Alors je souhaite bien du plaisir aux Google & Cie. Même une « intelligence artificielle », donc conçu naturellement par l’humain, ne comprendra JAMAIS la « grandeur » de l’infini ; comme l’Univers, il faudrait pouvoir en sortir pour l’étudier ! Alors, bonne chance les Google X.
Par exemple, rien que pour écrire 10 puissance 10 puissance 100, soit 10 à la puissance du Google, en notation décimale positionnelle classique, il faudrait autant de volumes de type « encyclopédie » qu’en contiendrait une sphère de plus de dix milliards d’années-lumière ! (réf. Dic. des symboles numériques indiens, de Georges Ifrah).
Évidemment qu’il ne faut pas voir le monde finit ! TOUT BOUGE PERPÉTUELLEMENT « le Tout est nécessairement plus grand que la partie. Car lorsque le Tout est un ensemble infini, il peut fort bien coïncider avec l’une de ses parties ou même avec un ensemble encore plus vaste que lui », ce qui rejoint Jean Coulonval (Synthèse et Temps Nouveaux) où il n’existe pas de plus petit « grain de matière insécable » et à l’inverse de plus grand grain de matière. Le Protestant George Cantor établit la théorie des nombres transfinis. À n’en pas douter les Google devaient connaître ce Protestant…

En résumé : nombreux sont les Juifs intéressés par la TECHNIQUE, voir un Albert Einstein, un Sergei Eisenstein icône en URSS et analyste du racontar, et de nombreux autres ; d’ailleurs beaucoup de Juifs sont des Prix du dynamiteur Nobel. Vous connaissez des Prix du dynamiteur Nobel qui soit Musulman ?

RAPPEL : DIASPORA = « Toute la doctrine économique vise désormais à fixer les meilleures conditions de survie du groupe en milieu étranger. Elle est fondée sur trois principes : travail, concurrence, solidarité », écrit J. Attali, mais il y a un court-circuit entre les deux derniers termes : concurrence et solidarité, ça ne va pas ensemble !!!
Pour résumer, ce qu’il y a de terrible dans ce monde appelé « système solaire », C’EST LA NOURRITURE. À QUAND LA NOURRITURE PRANIQUE ?!! QUI FERA S’ÉCROULER LES BANQUES ET LE JUDAÏSME ET LES VOLEURS-COMMERÇANTS ET GOOGLE X TRANSHUMANISTIQUES…

[En références à : Les Juifs, le monde et l’argent - Histoire économique du peuple juif, de Jacques Attali ; Le cinéma, son art, sa technique, son économie, par Georges Sadoul]
 
 

Dernière mise à jour : 11-08-2015 23:37

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved