NIS L’ÉGYPTIEN 6
 

Ecrit par Sechy, le 02-07-2016 16:22

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NIS L’ÉGYPTIEN 6
 
 
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Publication d’un projet de long métrage comportant plusieurs chansons.
Dans la page précédente nous laissions Nis le chanteur et harpiste à la Cour du Prince Amouansi et ses enfants, dont sa fille ainée la belle Sataï.

- AMOUANSI : Nis, viens prendre place à mon côté.
Nis s’assied.
- AMOUANSI : Que tu sois arrivé jusqu’au pays de Tonou est une chose bien extraordinaire. Y aurait-il eut acte de déloyauté dans la Grande Maison du Roi des 2 Egyptes ?
- NIS : Je ne sais pas pourquoi j’ai été jeté en ce pays ; c’est comme une idée de Ptah qui possède le cœur de mon Roi Djéser ; car c’est un Maître de sagesse, prudent dans ses desseins, bienfaisant par ses habilités. C’est un brave qui n’a point son semblable sur cette planète. On le voit qui s’élance contre les barbares. C’est un lanceur de javelines qui rend débile les mains des ennemis. C’est un intrépide qui brise les crânes.

Pendant que Nis parle, les enfants jouent à la guerre avec des morceaux de bois et des boucliers en forme de couvercles d’osier.
- NIS : Nul n’a tenu devant lui. C’est un coureur rapide qui détruit le fuyard. C’est aussi un bien-aimé qui a su merveilleusement conquérir l’amour : son pays l’aime, hommes et femmes accourent à ses appels. Roi, il a gouverné dès l’enfance, et il est un être d’essence divine, par qui cette terre se réjouit d’être gouvernée. Il élargit les frontières, mais ne convoite pas les pays du Nord. S’il vient ici, puisse-t-il connaître ton nom par l’hommage que tu adresseras à sa Majesté ! Car ne fait-il pas le bien au pays étranger qui lui obéit ?
Les enfants continuent leurs jeux de guerre. L’un d’eux est au sol et tire sa langue, l’autre fait semblant de lui transpercer le flan. La fille aînée du Prince, Sataï, regarde Nis avec admiration.
 
- AMOUANSI : Alors tu es comme le représentant de la Grande Maison du pays d’Égypte. Le gouvernement de ton pays, qu’il soit heureux, et sa prospérité, qu’elle soit de longue durée ! Tant que tu seras avec moi, je te ferai du bien !
Il fouille autour de son cou et enlève un collier scarabée amulette ; il se lève et passe le collier autour du cou de Nis.
- AMOUANSI : Je sais que, dans ton pays, vous adorez le scarabée sacré. Aussi je t’offre ce collier porte-bonheur, un seul me suffira bien (il montre son cou). Là, tu ne peux pas refuser le cadeau.
- NIS : Quelle magnifique pierre sacrée. Mais si tu avais 2 colliers, je ne peux pas garder celui-ci !?
- AMOUANSI : Ah ! Tu ne vas pas recommencer ! (Il fait signe de lui couper les oreilles).
- NIS : Bon, je le garde.
Il se met à rire, lorsque arrive l’un des enfants d’Amouansi.
- ENFANT : Tu fais voir ton collier ?

SÉQUENCE 16.
De jour, dans la chambre aux trésors, éclairage par les lampes à huile. Djéser contrôle sa richesse. Il examine le scellé du gros coffre. Satisfait, il regarde d’autres coffres plus petits et autres objets ; il va pour refermer la chambre, quand son regard s’arrête sur le collier au scarabée. Il le regarde et commence à se douter de quelque chose.
Il va pour briser le sceau du gros coffre, l’ouvre, vérifie le niveau des pièces de cuivre et en plongeant ses mains dedans, il constate le sable qui se trouve au fond. Djéser se met en colère.
- DJÉSER : Yamourap ! Yamourap ! Ah !
Mais personne ne l’entend ; Il amorce l’action de refermer la chambre.

Dans une pièce de la maison de Sakay et Saky. Les murs peints dégagent un certain luxe. Il se trouve quelques coffres de bois avec des pieds de félin en bronze, et aussi quelques tissus brodés. Sakay et Saky jouent aux dès le partage de leur butin volé au Roi. Au bout d’un moment ils contemplent leur tas respectif.
- SAKY (étonné) : Et ton collier Sakay ? Jouons le aussi aux dès !
- SAKAY (enlevant) : D’accord Saky.
Finalement, le collier revient à Saky. Il est si heureux qu’il en tombe à la renverse.
- SAKAY : Bon, on y retourne, on peut faire mieux.

De jour dans le couloir aux petits sphinx à tête d’homme, là où se trouve l’entrée du couloir menant à la chambre aux trésors. Djéser est accompagné de Yamourap. Trois ouvriers s’éloignent d’eux en tirant une charrette dans laquelle se trouvent des matériaux de construction. Yamourap les suit. Djéser referme le couloir en poussant la grosse pierre sur laquelle est gravé le mot Ré. Il rejoint Yamourap. On les suit un instant.
Au détour d’un autre couloir, ils passent devant Saky et Sakay qui redoublent d’effort pour ne pas être découvert. Dès que Djéser et les autres sont partis, Saky et Sakay vont vers l’entrée de la chambre aux trésors.

Dans l’étroit couloir menant à la chambre aux trésors. Saky et Sakay s’avancent en riant de joie.
- SAKY (montrant le levier de bois servant à basculer le bloc fermant la chambre) : Tiens, c’est toi le plus fort.
Sakay s’avance pour manœuvrer le dispositif avec le levier de bois. Lorsque le bloc de pierre commence à dégager l’ouverture de la chambre, brusquement 2 arceaux fixés au bout de 2 tiges de bronze surgissent de chaque côté de l’étroit couloir, et viennent coincer le cou de Sakay. Pris dans ce collier, il se met à crier.
- SAKAY (en pleurant) : Prends ce que tu peux du trésor, l’un de nous doit-y rester… Je n’aurai pas dû te jouer aux dès le collier… Tranche-moi la tête afin que je ne te dénonce point sous les tourments.
Saky tremble, pleure, hésite, embrasse son frère.
- SAKY : Qu’il soit fait selon le désir de Ptah et selon le désir de ton cœur. Oh Sakay, va retrouver ton Ka.
Saky tranche la tête de son frère, il arrive à pénétrer dans la chambre et emporte juste une cassette. Il l’ouvre et met la tête sanglante de Sakay dedans, et ressort vivement de l’étroit couloir.

Dans le couloir aux petits sphinx, Yamourap s’avance et remarque du sang suintant de la paroi cachant l’entrée. Il court prévenir Djéser. Celui-ci pénètre dans l’étroit couloir et semble désolé de voir le corps sans tête de Sakay.
- DJÉSER : Appelle les gardes !

Le soir dans une salle de la Maison de Vie, éclairage par des lampes à huile. Sur un socle repose le corps sans tête de Sakay. Des vases d’encens brûlent à côté, pour chasser les mouches commençant à tournoyer près du corps.
Djéser s’entretient avec Yamourap et un scribe. Il y a 2 gardes de chaque côté de Sakay.
- DJÉSER : J’espère que la famille viendra récupérer le corps pour le pleurer et l’embaumer, ainsi nous en saurons plus sur le ou les voleurs. Quelle époque ! Qu’est-ce que façonne Ptah ? (Il est désolé).

La nuit dans la cour de la maison de Sakay et Saky. La mère de Saky est en pleurs.
- SAKET : Oh mon fils Saky ; vas récupérer le corps de ton frère. Si tu refuses, je vais dire au Roi que c’est toi qui as volé dans son trésor.
- SAKY : Point n’est besoin mère Saket.
Sous la lueur de quelques lampes à huile, il commence à charger sur un âne plusieurs petites jarres de vin.

La nuit dans une salle de la Maison de Vie éclairée par des lampes à huile. Prudent et évitant les gardes, Saky se faufile dans les couloirs, avec son âne dont les sabots sont gainés de cuire afin d’éviter le bruit.
Arrivé dans la salle où repose le corps de Sakay, Saky renverse une jarre de vin qui se met à couler en direction des 2 gardes.
- GARDE A : Regarde ça, on dirait du vin (il se penche et trempe son doigt qu’il renifle). Oui, c’est du bon vin !
Le garde B se penche à son tour.
- GARDE B : Quel gâchis de perdre tout ce vin. Cela vient de là-bas. (Il indique là où est caché Saky).
Aussitôt apparaît Saky.
- SAKY : Vous en voulez ? J’en ai d’autres jarres.
- GARDE A : Comment tu es arrivé jusqu’ici ?
- SAKY : C’est pas ça l’important, tiens noble soldat (il lui tend une petite jarre), ça t’aidera à passer ta nuit de garde, et toi aussi.
Il tend une autre jarre et commence à boire. Les 2 gardes brisent l’ouverture de leur jarre et commencent à boire.
- GARDE B : Oui, c’est le bon goût fruité des vignes de Mur-Blanc.
- GARDE A : Oh ami, reste avec nous et jouons aux osselets ensemble.
Il rapproche une lampe à huile et tous les trois s’asseyent sur le dallage.
La partie d’osselets commence, entrecoupée de rasade de vin que s’envoient les 2 gardes. Saky leur passe des jarres de vin avec aucune retenue. Au bout d’un moment les 2 gardes finissent par s’écrouler ivres-morts et s’endorment en ronflant.
Alors Saky enveloppe le corps de son frère et le traîne sur le dallage jusqu'à son âne, lequel attendait au détour du couloir. Il charge son frère sur l’âne, s’en va voler les colliers des 2 gardes, puis il s’avance prudemment dans le couloir.

Le matin dans la salle de la Maison de Vie éclairée par la lumière du soleil levant, les vases à encens brûlent toujours. Yamourap découvre les 2 gardes encore endormis et constate la disparition du corps sans tête.
- YAMOURAP : Garde, garde !!
Aussitôt accourt 2 autres gardes.
- YAMOURAP : Courrez à la Grande Maison prévenir notre Roi.

Le matin dans le jardin intérieur de la Grande Maison. Djéser se lave dans le bassin situé au milieu du jardin, il est vêtu d’un pagne. Un serviteur lui apporte des parfums et lui en verse sur les mains, puis Djéser se regarde dans un miroir de bronze poli. Il met sur sa tête sa couronne-bonnet couleur bleu de cobalt, lorsque les 2 gardes font irruption dans le jardin.
- GARDE C : Seigneur, le mort est parti !
- DJÉSER : Parti rejoindre son Ka, oui bien sûr !
- GARDE C : Non Seigneur… Eu… Oui Seigneur. Il n’est plus dans la Maison de Vie.
- DJÉSER : Il a rejoint son Ka, je te dis… Quoi ! (très fort)… Qui l’a emporté sans mon ordre ?
- GARDE C : Personne Seigneur, eu… On l’a volé.
- DJÉSER : Un voleur volé ! Quelle époque. Qu’est-ce que tu façonnes Ptah (il lève les yeux au ciel). Allez me chercher mon intendant Yamourap.

Dans la grande salle aux piliers carrés de la Grande Maison, nous suivons un instant dans le couloir un scribe accompagné de Yamourap.
- YAMOURAP (au scribe) : Maintenant il s’est envolé vers le ciel, il est allé rejoindre la bonne demeure ; tu comprends, c’est moi qui vais avoir des ennuis.
Ils entrent dans la grande salle. Djéser est assis sur son siège trône ; à son côté se trouve un seul garde, des fumées d’encens s’échappent des vases. Yamourap se met à plat ventre devant le Roi puis se relève.
- DJÉSER : Tu feras publier dans toutes les villes que je pardonne à ce voleur et que, s’il veut se présenter à moi, je lui ferais grands biens.
Le scribe à côté de Yamourap écrit sur sa tablette d’argile.

Le jour sur la place de Mur-Blanc, proche de la Grande Maison, quelques commerçants sortent de leurs échoppes et se dirigent vers le Nord de la place, suivit par quelques habitants.
Arrivée de Saky, il se décide à voir ce qui se passe.
Tout ce petit monde devant un mur portant seulement quelques hiéroglyphes, où se creusent deux encoches supportant deux mats avec des oriflammes ; entre les mats, dans un renfoncement est affiché un des papyrus mentionnant en écriture hiératique (3è dynastie) le désir de Djéser. À côté, deux gardes surveillent. Les gardes rendent compte du texte pour ceux qui ne savent pas lire.
- GARDE D : Le Roi pardonne à son voleur, il veut lui faire grands biens.
Saky se trouve derrière les habitants agglutinés devant le texte. Il se faufile entre les gens et arrive devant le papyrus qu’il lit, en se faisant bousculer.

Devant la Grande Maison, à l’aspect massif, dont les blocs de pierres sont savamment taillés et ne portant pas d’inscription (3è dynastie). L’escalier menant à l’ouverture est finement agencé. Devant cette ouverture, Yamourap discute avec 2 gardes.
Saky s’avance, gravite les marches, et salue Yamourap les 2 mains sur les genoux.
- SAKY (inquiet) : Je crois… Je crois que le souhait de notre Roi, publié sur la place, à un rapport avec ma personne.
Yamourap s’incline devant lui, et le prenant par la taille, il invite Saky à entrer. La caméra pénètre un instant avec eux dans le couloir d’entrée.
Grande salle aux piliers carrés, des fumées s’échappent des vases à encens. Djéser est assis sur son siège, à son côté se trouvent 2 gardes et un scribe. Les 5 enfants de Djéser, dont sa fille cadette Neferi, se chamaillent d’un autre côté.
Entrée de Yamourap et de Saky. Celui-ci se met à plat ventre sur le dallage et commence à se traîner vers Djéser.
Yamourap fait des signes à Djéser pour lui signifier que c’est son voleur.
- DJÉSER : Tu peux t’arrêter de flairer le sol.
Saky se redresse, tandis que 2 serviteurs arrivent et lui versent sur les mains et les pieds de l’eau parfumée.
- DJÉSER : Comme j’ai fait écrire, je pardonne ton vole. Ton habilité et tes ruses te valent une récompense.
Djéser appelle sa fille cadette.
- DJÉSER : Viens me voir Neferi.
La jeune fille accourt.
- DJÉSER : Neferi, ce jeune garçon te plaît-il ?
Neferi regarde timidement Saky des pieds à la tête et fait oui de sa tête.
- DJÉSER : Jeune et habile voleur, ma fille Neferti te plaît-elle ?
Saky fait oui de la tête.
- DJÉSER : C’est parfait, je vous autorise à vivre ensemble.
Aussitôt Saky et Neferi s’embrassent sur le front. Les 4 autres enfants viennent faire une ronde autour d’eux.

(De jour, retour à la cour d’Amouansi, mariage de Nis).
Dans la grande salle de la maison d’Amouansi, aux gros blocs de calcaire et au pavage de pierres polies.
Les jeunes enfants d’Amouansi font une ronde autour de Nis et d’Iri. (Liaison raccord avec la scène précédente). Puis ils se poursuivent joyeusement à travers les rayons de la lumière du jour et les volutes de fumées des vases à encens (suite de l’éloge de Djéser par Nis). (Sataï n’est pas présente pour le moment).
Amouansi rejoint la petite bande et les entraîne vers le jardin intérieur.
- AMOUANSI : Nis, j’ai promis de te faire du bien, viens, suis-moi, toi aussi Iri… Les enfants, venez.

Dans le jardin de la maison d’Amouansi, avec ses palmiers dattiers, vignes et long bassin. On a installé une sorte de dais en une vaste toile protectrice aux couleurs vives, des oriflammes au bout de leurs mats claquent dans le vent. Il y a quelques invités, d’autres enfants et peu de gardes. Des femmes apportent des pains et des fruits aux convives. Ceux-ci s’inclinent
lorsque arrive Amouansi. Celui-ci se dirige avec Nis et Iri vers le dais, sous lequel se tient seule Sataï. Nis a toujours sa harpe et le collier au scarabée donné par Amouansi. Les enfants s’éparpillent en pagaille à travers les convives.
- AMOUANSI (à Nis) : Ainsi, je propose de te marier avec ma fille aînée Sataï.
- NIS : Oh c’est un trop beau cadeau, je ne suis pas digne de la fraîcheur de sa jeunesse princière.
- AMOUANSI : Ah, tu ne vas pas recommencer à refuser, sinon (il montre les oreilles).
- NIS : Ce n’est pas une question de perdre mes oreilles, c’est que je ne sais pas comment te remercier.
- AMOUANSI : Et bien pour accentuer ton embarras, j’offre à Sataï et à toi un domaine. C’est une terre excellente, Aïa est son nom.
- NIS (pleurant de joie) : Oh Prince Amouansi, il n’y a qu’un événement qui me puisse consoler (il indique Sataï).
Amouansi fait oui de sa tête et d’un geste l’invite. Nis et Sataï courent se couvrir de baisers sur le front, les joues, les seins, la poitrine. (Mais pas plus pour le moment !)
Aussitôt Amouansi donne un ordre. Un coup de corne de bélier retentit.
Dans un autre coin du jardin. Un serviteur s’apprête à ouvrir les cages des pigeons pour les lâcher dans le ciel. Furtivement, un chat s’approche de l’une des cages. Il n’est autre que Miou, venu ici contrôler la bonne marche du destin de Nis. Mais Miou n’a pas le temps d’attraper un pigeon. Le serviteur compte les 10 coups de corne ; et, au 10è coup, il ouvre toutes les cages. On suit un instant l’envol des pigeons au-dessus du jardin.
Miou mécontent s’en va en agitant fiévreusement sa queue.

À suivre… Si le Dieu Ptah le permet…


DISTRIBUTION (CAST) pour les séquences ci-dessus :

NIS L’ÉGYPTIEN : (25 ans) chanteur pour le Roi Djeser
AMOUANSI : Prince de Tonou
LES ENFANTS (du Prince Amouansi)
SATAÏ : fille ainée du Prince Amouansi
ROI DJESER : (45-50 ANS)
CINQ ENFANTS (de Djeser)
NEFERI : fille cadette de Djeser, une des 5 enfants
YAMOURAP : intendant du Roi Djeser
SAKAY : un fils de Sak
SAKY : frère de Sakay et fils de Sak le maçon de Djeser
SAKET : mère de Sakay et Saky
DES GARDES (de la Maison de Vie)
GARDE A
GARDE B
GARDE C
GARDE D
SERVITEUR (de Djeser)
SCRIBE (de Yamourap)
DES COMMERÇANTS
IRI : l’homme à l’arc
CHAT MIOU
PLUSIEURS PERSONNES
 
 

Dernière mise à jour : 09-07-2016 22:15

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