UN est le TOUT et RIEN
 

Ecrit par Sechy, le 26-04-2017 22:40

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UN est le TOUT et RIEN
Toute Unité saine postule une diversité.
réciproquement, toute diversité saine
repose sur une Unité,
qui n’est certainement pas celle de l’actuelle
formule capitaliste du « vivre ensemble ».
Car l’unité du Vaisseau humain se conçoit en
fonction de la diversité de ses organes,
les organes ne sont divers que
parce que le Vaisseau est le Soi.
Dans un Vaisseau malade, l’unité dégénère
en jacobinisme et la pluralité
en « United Colors of Benittron ».
La centralisation et le « United Colors »
s’aimante mutuellement :
l’un ne va pas sans l’autre.
Ça s’appelle le « mondialisme ».
FAUTE DE POUVOIR UNIR, ON CENTRALISE
(ce que veux faire Marine Le Pen,
et E. Macron n’est pas mieux).
 
 
La pseudo unité qu’est le mondialisme sous domination de la City de Londres et son « vivre ensemble » qu’est sa centralisation se fait généralement autour de l’élément le plus corrompue. Un corps malade est asservi aux exigences du moins sain de ses organes, une nation malade est gouvernée par la lie de ses habitants, comme actuellement en France du régime républicain.
Depuis 1789 et depuis l’idolâtrie technologie, surtout le Dieu informatique, depuis le « tout connecté » permis par cette idolâtrie, Jamais les êtres humains n’avaient été aussi étrangers les uns aux autres, d’où l’invention par l’oligarchie du slogan « vivre ensemble » pour essayer de recoller les morceaux. Mais, jamais non plus les êtres humains n’avaient été agglomérés entre eux par des liens aussi artificiels et aussi inhumains que l’informatique et ses « réseaux sociaux » et son tout connecté idole technologie.
 
L’humanité actuelle ressemble à un Vaisseau dont les organes en voie de dissociation seraient rattachés les uns aux autres par du « tout connecté » en crampon de métal qui rouille.
Comme dans toute maladie profonde, il naît un implacable cercle vicieux : le mal appelle un remède artificiel, comme de nos jours d’idolâtrie technologique, et l’idolâtrie, à son tour, après un coup de fouet factice de eyes candy qui en fout plein la vie, aggrave le mal, exactement comme un morceau de braise qui, avant de mourir, lance une émouvante dernière lueur plus éclatante que précédemment puisque c’est la dernière, comme un alzheimer retrouve tout son mental intact pendant un court Instant avant de mourir.

Depuis l’industrialisation de la civilisation humaine au court du 19è siècle et la montée de l’idolâtrie technologique, la fabrication standard, la production en série (en ”démocratique”), le social, tout l’artisana agonise, toute division organique ou naturelle du travail agonise, on a alors une palanquée de « spécialistes » et de « spécialités », ces « diplômés » issus des « grandes écoles » usines à spécialistes genre l’ENA pour l’administration.

Maintenant il faut être un Indiana Jones pour trouver un cordonnier à Paris ou dans un village, mais on trouve partout un endroit où acheter un coup à boire ou à grignoter, une pharmacie ou un magasin de produits de beauté, une boutique de fringues, une banque, même si les « banques en lignes » leur font une grande concurrence.
La Vraie spécialité ne peut qu’être organique, et certainement pas issue des « grandes écoles » (comme s’il en existaient des « petites »…), grandes écoles production du quantitatif.
La Vraie spécialisation est organique : limitée, de l’ordre du qualitatif : les métiers vitaux ne sont pas du quantitatif, comme multipliables à l’infini.
Au contraire, la fausse spécialisation comme de nos jours résulte de l’uniformité, le Super Grégarisme et sa « liberté d’expression » ou tyrannie de l’opinion et de réseaux sociaux, et par là même cette uniformité ne connaît pas de limites : on peut diviser sans fin un corps indifférencié ; on peut diviser sans fin un « United Colors of Bennitron », d’où d’ailleurs le phénomène « migrants » de l’après 11 septembre 2001.
Telle est le principe de cet apparent paradoxe, qui fait croître simultanément l’atomisation ou amplification des ego et leur uniformité ou pensée unique.

SAINE SPÉCIALISATION PROFESSIONNELLE : Un est le Tout. Pointée vers la partie, la diversité reste enracinée dans le Tout.
FAUSSE SPÉCIALISATION : division, division, division, perte totale de l’ensemble ; abstraction et artifices en tous genres ; son objet n’est pas la partie gonflée du Tout, mais le la singerie du Tout gisant dans le cadavre de la partie mutilée.

De nos jours de Super Grégarisme ou « tout connecté » d’idolâtrie technologique, l’être imite, est sans originalité et EST EN ÉMISSION, tourné vers l’extérieur : tel un lycéen qui imite les adultes en fumant sera une singerie de lycéen. Ne pas être soi-même, donc en RÉCEPTION (et par là-même naturellement en émission-rayonnement), est un crime contre le Soi-Instant. C’est le mépriser totalement, c’est une RÉSISTANCE, et ça chauffe, il n’y a pas fluidité !!! Par exemple, celui qui marche dans une rue de Paris perdu dans ses pensées, est regardé par l’autre d’une façon différente (avec comme un air de reproche) ; fait vécu, mais qui n’est plus vrai à notre époque où nombre de gens sont plongés dans leur tétéphone portable et que maintenant cela semble « normal », alors qu’en fait c’est carrément une nouvelle psychose issue de l'idolâtrie technologie !

UN EST LE TOUT : INSTANT.

Instant : ce qui est sans double comme Dieu est sans double, comme il ne peut y avoir qu’une universalité, car s’il y avaient deux Dieux ou deux universalité, on retrouverait la dualité où chacun serait limité par ce qui le distingue de l’autre, ainsi aucun ne pourrait être qualifié de Soi ou Instant, et par conséquence éternel.
L’Instant ou Réel est donc dans double, mais il doit être reconnu comme tel par L’INEXISTENCE DU DOUBLE, sinon il tombe dans la dualité sujet-objet.
Bref, le double éventuel, de par son manque à être, porte du même coup la marque de ce qu’il ne réussit pas à doubler, apparaissant ainsi comme émission de l’Être ! Soit le contraire de l’Être ou Réel, et révélateur ou témoin de la réalité du Seul Réel ; ce ne sera pas le Néant mais bien le double. Pas de Néant dans le ‘Je’ immortel : on ne peut retourner à « quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. Le ‘Je ‘ est Nous naturellement. Seulement aux frontières du Réel commence l’émission du Double, comme la braise qui s’illumine fortement une dernière fois avant de mourir, parce que c’est sa négation la plus forte dans l’Instant. La lueur suprême de la braise est le Un, quand elle sera le deux, la braise sera morte. La lueur suprême est donc le bonheur suprême de la braise.

Par sa dernière illumination la braise retourne à L’ÉNERGIE ÉTERNELLE : la Matière n’est autre chose, « vivante ou morte », qu’une « cristallisation » de l’Énergie éternelle ; voir Christ Jésus qui se cristallisa à un moment propice puisque Tout est dans Tout.

Le principe du Seul réel semble être du NÉGATIF, DE LA TERRE OU MASSE (en électronique). Voie par exemple un Maître Eckhart persuadé qu’on ne peut connaître que par la cécité, connaître que par la non-connaissance et comprendre que par la déraison ; parce que la Connaissance ne peut se faire que dans le RIEN : elle se fait DANS L’INSTANT, par naissance instantanée (con : avec), par émission de la partie du Tout nécessaire dans l’Instant hors de l’ego même de l’individu, et certainement pas à partir de son « bagage » de « grandes écoles » ou bagage culturel !
Maintenant je reprend l’exemple du sketch des croissants de Fernand Raynaud :
Un consommateur désire manger des croissants avec son café crème. Comme des croissants il n’y en a plus, le consommateur change constamment sa commande de « café » mais jamais sa demande de croissants. Il refuse toutes les autres offres du bistroquet. Seul lui importe ses deux croissants. Sketch inspiré peut-être sur Hegel, avec un acheteur de fruits qui refuse tous les fruits offerts par le commerçant, donc apparemment en inverse des croissants qui n’existaient pas mais que désirait le consommateur de Raynaud. Fruits et croissants sont à la fois à vendre et pas à vendre ou pas à acheter ! L’acheteur de fruits voit bien qu’on lui offre des fruits de toutes sortes, néanmoins, comme avec le sketch de Raynaud, il apparaît qu’il n’y a pas de « fruits » à vendre.

Aussi je répète que l’impossibilité « croissants et fruits » est comme la Super Carotte des religions abrahamistes et leur « fin des temps », hautement plus grande et puissante lorsque l’on veut se représenter le nom-la-forme comme l’Univers opposé à n’importe quel autre nom-la-forme. C’est pareil pour le capitalisme de celui qui le construit et fonctionne comme ça : se représenter dans le mental le capital à posséder sans en posséder aucune part, les choses existantes témoignent de l‘être sans jamais s’y confondre, demeurant ainsi étrangère à leur propre réalité.
Je dis que c’est comme ça que fonctionne les Juifs actuels dit « Peuple élu » (par là même ils se mettent en dehors du monde présent) avec leur capitalisme et leur Super Carotte « fin des temps », extra-ordinairement résumé dans le livre de J. Allali : Les Juifs, le monde et l’argent, en une citation fondamentale ou devise capitaliste des frères Abraham et Simon Oppenheim, qui en 1840 disaient : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà qui s’appelle faire des affaires ». ET LE MONDE POLITIQUE EN RÉGIME RÉPUBLICAIN ET SA « DÉMOCRATIE » FONCTIONNE COMME CELA À TRAVERS SES ÉLECTIONS, SES DIVISIONS ET SA PROPAGANDE !

Donc les actions d’un capital représentent icelui sans que le capitaliste en possède un gramme ou une part, comme les choses existantes témoignent de l’Être sans jamais s’y confondre, demeurant ainsi étrangères à leur propre réalité, comme le « peuple élu » puisqu’il est élu il ne se confond pas avec le « reste ». L’existence signale l’Être mais n’en fait pas la partie ; pas plus que les fruits chez le marchand de Hegel ne font la partie du fruit considéré comme essence universelle ou Soi ; et pourtant les croissants chez Fernand Raynaud sont l’équivalent du Soi, sa Vraie Liberté.

Selon le principe du Seul réel ou « masse » (en électronique), la re-connaissance du Réel implique sa négation, sinon on tombe dans la dualité sujet-objet ! L’aveu du Seul Réel ne s’obtient que par la négation de son existence, car s’il avait une naissance il aurait ensuite naturellement un mort !

L’entretien 264 de Ramana Maharshi que je cite si souvent : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés », est comparable à l’œuvre de Heidegger qui oppose l’étant à l’être, ou le Pour-voir à l’Être, soit l’Instant et le « lieu » ou ici. Soit la comparaison d’être DÉVERGONDÉ (1) : sortir de ses gonds par le paradoxe de la Réalisation du Soi qui rend ÉTRANGER À SOI-MÊME puisqu’on est SINGULARITÉ, comme HORS DE SOI-MÊME, comme HORS DE L’ÂGE D’OR. Heidegger raisonne comme Ramana Maharshi : l’Être n’est pas né puisqu’il est « hors de lui » IL N’EST QUE TÉMOIN (T-, T de Table, Tas, Transformation, Ténacité, TOUT, Trou, Trop, Tu, Temps, TORE ”machine temporel” à Arc-en-Ciel… Et l’adage alchimique : « Tout est dans Tout ». T se résume à « arriver à bon Port » après un long voyage, soit Re-Naître, genre « La parole d’Anaximandre », dans les « Chemins de nulle part » de Heidegger analysant la célèbre formule attribuée à Anaximandre).

Ainsi, d’après l’entretien 264 de R. Maharshi, l’Être est indépendant de toute existence, comme le ”peuple élu” (qui est à l'envers), comme Dieu est sans double, il est sans double comme il ne peut y avoir qu’une universalité, car s’il y avait deux Dieux ou deux universalité, on retrouverait la dualité où chacun serait limité par ce qui le distingue de l’autre, ainsi aucun ne pourrait être qualifié de Soi ou Instant, et par conséquence éternel. L’Être est bien SINGULARITÉ. Ni présence ni présent, mais partout et nulle part. L’Être n'apparaît jamais comme tel et rien que tel : expression d’un quelconque « ceci », ou « ici », ne pouvant se concrétiser que dans la mesure où elle se double - dualité sujet-objet - d’une allusion à un ailleurs ou un « cela ».
Pour qualifier le Seul Réel j’emploie souvent l’expression « FIXATION CAVALANTE », parce que l’Instant n’est aucunement une « fixation » genre tout confort et que c'est alors « Circulez ya plus rien à voir ! ». Le privilège de l’Instant ou Éternité est d’être « cavalant » ou mouvement : la Seule Réalité s’étend nécessairement à tout ce qu’il y a et aura jamais de réel dans le « domaine » de L’AILLEURS ou de « tous les temps » possibles et imaginables. Pour simplifier, la Seule Réalité en Fixation Cavalante est comparable à l’effet dominos ou sucres (voir dessin en fin d’article) dont chacun peut basculer, dans les deux sens, les uns sur les autres pour former un flux ondulant, sorte de réconciliation entre l’ondulatoire et le corpuscule (ici le sucre ou domino… l’onde étant l’ensemble du flux des sucres).

C’est-à-dire que la Réalité tient ces autres réels ou sucres pour autant de « partie prenantes » d’une même Réalité : L’ENSEMBLE DES SUCRES OU DOMINOS (UN EST LE TOUT). Ils forment tous un Instant sans être l’Instant. Ils transcendent l’Instant.
Le Seul Réel ne peut pas être « fixe » genre « Instant » éternellement « fixe ». Il EST comme partout et nulle part.
Les sucres ou dominos sont des « sommes » de ici et maintenant, soit « l’ajout » au Réel d’un « supplément de Réalité » (comme si la Réalité germais et ferait des petits).
Le Réel ne se résume pas à l’Instant, ni la présence à l’immédiat présent, ni le simple fait de pour-voir (voir par les sens et donc par l’ego). Le Réel n’apparaît que par la NÉGATION, comme dans une forêt sombre, pour voir une chose se déplacer, il ne faut pas « pointer » son regard sur cette chose, mais À CÔTÉ, comme si on l’ignorait sans l’ignorer, ce qui rejoint qu'il n'y a aucn but à atteindre ; on retrouve alors les croissants et les fruits en exemple cité plus haut. Le Réel ressemble à un DÉCALAGE. Le Réel n’apparaît qu’aux yeux de celui qui « sait y voir à l’avance », donc devancer l’Instant.
Les sucres ou dominos évoquent l’ensemble des ICI dans le flux ou série des AILLEURS ; le Maintenant la suite des Instants (les sucres) où l’ailleurs prend place par le « basculement » des sucres les uns sur les autres dans un sens ou dans l’autre. « Basculement » qui représente « l’autre » ou le prochain. Ce prochain ou autre différent de toute existence ou totalement originel, il est vierge. Le « Basculement » sera comme l’ajout au Réel d’un « supplément de Réalité » (comme si Elle avait germée).

DÉCALAGE : DÉSACCORD. Charge naturelle : être décalé ou pas, en accord, par rapport à telle situation.
La charge est une Résistance, donc contraire de fluide, cela déclenche, provoque, d’où le principe du rire. Le rire est un décalage : au théâtre, le public applaudit le comédien, alors qu’icelui sait qu’il a fait une faute dans le texte de l’auteur. Décalage du temps profane. Décalage du rire pour se défendre contre toute autorité, comme semble l’indiquer indirectement un George Bernard Shaw quand il écrit : « La seule véritable peur qui affecte l’autorité officielle n’est pas les gens qui vont lui résister, mais ceux qui vont l’ignorer » ; ignorance qui ici correspond au RIRE : on se moque de l’autorité, on se moque de l’uniforme des juges, ON SE MOQUE DE L’IMPRESSION QUE DOIT RENVOYEZ LE FROC DES JUGES (on leur fout une déculottée). Ainsi toute autorité redoute le décalage qui la conduira dans un inconfort total, c’est pour cela que le rire est un excellent fusible contre l’autorité et le pouvoir.
Décalage du côté enfantin, avec une logique qui peut paraître absurde, mais ce n’est pas toujours le cas.
Décalage/Naïf/Charme/Maladresse.
Exemple : L’introduction de certaines sonorités en musique, surtout dans les orchestres Russes, à cause de la différence de sonorité dû à la taille de l’anche des hautbois, et à la particularité de certains cuivres. Cela donne un charme. On retrouve aussi la « maladresse » et l’aspect « sauvage », authentique Russe, comme une sorte de décalage dans les objets de fabrication artisanale soutenus par un régime politique très présent de l’ex URSS époque Nikita Khrouchtchev.
Décalage : sorte de désaccord ou de déséquilibre entre le signe et l’idée.
Décalage : [GABER] plaisanter, se moquer. [GABE] moquerie, ruse.
Un autre exemple de décalage :
Un homme aimant passionnément les chevaux. Un jour, il frappe vigoureusement les moustiques qui s’amassaient sur les chevaux, ceux-ci s’emportèrent, cassèrent leurs mors et brisèrent la tête et la poitrine de l’homme. Bien que son intention fût bonne, cet homme n’a pas atteint son but. (D’après Tchouang-tseu. Trad. Liou Kia-hway)


Note.
1. Dévergondé : celui ou celle qui « sort » de la pensée unique ou système du « isme ». Dévergondé correspond donc à celui ou celle qui s’INITIE : le vulgaire ou profane veut posséder son jugement de valeur : « il ou elle mène une vie licencieuse, à une conduite relâchée, ne respecte pas la religion ». Ainsi le social, la civilisation ou « l’ordre établi » ou la convention est systématiquement opposé au retour à l’ÂGE D’OR de ses paroissiens ou « concitoyens » qui le compose. Civilisation se décrypte : vile, villages et villes en sont les principaux symptômes et contiennent bien ce qualificatif.
Le dévergondé (ou délinquant) ne respecte pas, il est en dehors des lois humaines, celles fabriquées par l’opinion humaine, sa mode et son « bon sens » relatif au pour-voir : ce que le sens de la vue voit et mesure, catalogue, et donc à terme comme toute naissance sera suivie tôt ou tard d’une mort.
D’E vers Gond d’E : depuis le E (matière) jusqu’au pivot vertical de la lettre : le I. Soit le retour à l’Unité depuis et par le mouvement de l’Être (ego et ses sens), et le d’E-sir de s’installer à partir de l’Axe du E. Là encore on est dans la connaissance de soi, le « Connaître toi-même par toi-même ».
Dévergondé est HORS des jugements et morale. IL EST. Mieux vaut se reconnaître pécheur ou voleur, ou tyran, que de se déguiser en hypocrite au nom d’une « bien pensance » ou convention quelconque, comme le fait la démocratie et sa "liberté d'expression" ! Cependant, ne pas tomber dans les limitations genre « théorie du genre » qui est orgueil inversé genre « moi-je » si caractéristique de nos millénaires du tout à l’envers (kali yuga âge du Faire/Fer).
 
 
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Dernière mise à jour : 27-04-2017 00:56

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