Killer Louis Pasteur
 

Ecrit par Sechy, le 17-06-2017 01:31

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Killer Louis Pasteur
qui pasteurise tout
et
régime républicain tout aussi tueur
et par Guillotine,
et par opinions,
donc guerres sans fin.
 
 
Depuis la Chute, la guerre est partout, même la guerre microbienne ou bactérienne. C’est oublier que le plus petit, l’insignifiant, l’inutile, l’emporte toujours.
Louis Pasteur, qui fuyait la salle du Congrès International d’août 1881 (cf. le Times du 8 août 1881), à Londres, devant le Professeur Antoine Béchamp
La démocratie, c’est comme les vaccins et les élections, on vous les inocule de force (voir de mon temps le BCG), et si ce n’est pas encore totalement obligatoire, vous n’y échappez pas à travers les manipulations médiatiques d’opinions, à moins de vivre dans une forêt touffue et sans radio ni tétéphone.
 
 
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Dans la Gazette Médicale de France de mai 1949, le Dr. Le Blaye écrit, page 353 :

VACCINATION JENNÉRIENNE

On peut la considérer comme la plus dangereuse de toutes les vaccinations préventives. Peut-être l'est-elle plus à présent qu'autrefois. Peut-être la crainte de voir s'épuiser l'activité de la souche de Jenner a-t-elle contribué à cette situation par les manipulations que les biologistes lui ont fait subir en la faisant passer par le lapin, au risque de provoquer son neurotropisme ou d'exagérer sa virulence.

En tout cas, les primo-vaccinations actuel1es provoquent souvent une réaction fébrile qui s'accuse vers le septième ou le huitième jour par une hyperthermie parfois menaçante, mais de courte durée. Ces réactions s’accompagnent parfois d'accidents nerveux de la plus haute gravité. La maladie vaccinale peut donc parfois être grave.

Que ce soit l'effet du virus vaccinal, ou d'un ultra-virus véhiculé par le vaccin, ou encore du réveil biotropique d'un ultra-virus latent, peu importe, le résultat étant le même : en 1947, trois morts dans le seul département de la Vienne, soit un mort pour deux mille primo-vaccinations. C'est beaucoup !

J'ai souvent été appelé à voir de ces brusques accidents fébriles du sept ou huitième jour après vaccination. Je les ai toujours vus céder aisément aux bains ou aux antithermiques. Mais non traités ou traités trop tard, ils peuvent évoluer comme les trois cas que je cite : hyperthermie rapidement ascendante, convulsions, mort.

Voici comme preuve, entre bien d'autres, que la vachisation bouleverse profondément l'organisme, ceci que publie Le Concours Médical du 9-7-1949, page 1.685 :

VACCINATION JENNÉRIENNE ET RÉACTION DE WASSERMANN

La vaccination jennérienne est susceptible de modifier le sérum du vacciné, de telle sorte que ce sérum donne une réaction positive faussement syphilitique chez les sujets soumis aux réactions de Wasserrnann. Comme le constatent V. de LAVERGNE, J. WATRlN et J. CAUCHOIS, une telle modification est cependant loin de se produire chez tous les vaccinés (18 %) ; de plus, elle n’est que temporaire (entre trente jours et trois mois), ayant débuté quelques jours après Ia vaccination. D'ailleurs, il est bien rave qu'en clinique, le médecin ait à prélever du sang pour Wassermann chez un sujet soumis depuis peu à la vaccination, exception faite pour certains candidats au mariage qui, à l'occasion d'un examen prénuptial, ont voulu se mettre en règle avec toutes les mesures de prophylaxie réglementaire. C'est là le plus angoissant pour un médecin non prévenu de pareille éventualité. (Le Progrès Médical, 24 mars 1949.)

Voici, à titre d'exemple, une observation inédite d'enfant tué par la vaccine. Je connais fort bien les parents, gens robustes, qui habitent rue Caulaincourt, à Paris :

Parents en excellente santé, pas de tuberculose familiale.
Andrée C ... naît à terme le 10 janvier 1936 à l'hôpital Lariboisière, pesant 3 kgs 850. A l'âge de sept jours (je vérifie la date sur le certificat de vaccination délivré à cet hôpital), vaccination par scarification au bras gauche.
Il en résulte rapidement un œdème de tout le côté gauche du corps : tronc, cuisse, grande lèvre comprise.  
La mère, furieuse, part et emmène son enfant à l'hôpital Trousseau, en chirurgie générale, où l'on ouvre un abcès du sein gauche trois jours après. Drain.
Mort le 1-2-1936, à 22 h. 30. Enterrement le 4-2-1936. Diagnostic porté à l’hôpital Trousseau : septicémie.

Et ce cas-là, comme tant d'autres, d'enfant né de parents solides pour continuer une race forte, ne sera jamais porté dans les statistiques comme tué par la vachisation ...

Voilà pourquoi, écœuré de tous ces crimes, j'avais fait imprimer, avant la guerre de 1939, un certificat ainsi rédigé, que je remplissais aux noms des enfants sur la demande de leurs parents :

CERTIFICAT
Attendu que le vaccin, officiellement connu, contre la variole est une inoculation d'un virus vivant d'une maladie nommée « vaccine » ;
Attendu que cette inoculation ne semble pas immuniser contre la variole, ainsi que le démontre l'étude sérieuse des statistiques (Cf. : P. CHAVANON, Traité de Thérapeutique O. R. L. Homéopathique, page 68) ;
Attendu que la décroissance des atteintes de variole a historiquement suivi la même courbe que la décroissance des autres maladies contagieuses pour lesquelles il n'existe pas de vaccination (Cf. : Le Siècle Médical du 1er janvier 1936, page 9, colonnes 2 et 3), et que, par conséquent, la question de la variole ne fait donc que bénéficier des résultats d'une prophylaxie par isolement, de mieux en mieux effectuée ;
Attendu que la vaccine tue, démolit et bouleverse bien des organismes chaque année (Cf. : P. CHAVANON, idem, pages 70 à 80) ; Attendu qu'à l'inverse de la plupart des autres maladies, la tuberculose et surtout le cancer augmentent de fréquence depuis que la vaccination jennérienne sévit ;
Attendu que cette affirmation concorde avec les plus récentes données statistiques (Cf. : Le Concours Médical du 6 mai 1936, page 1.433, où le Dr Ph. DAILLY écrit, dans un article intitulé :

Statistique du cancer : « En 1911, le cancer était au septième rang des causes de décès ; en 1930, il fut au second rang ... L'augmentation des décès par cancer est limité aux hommes ... C'est seulement à partir de cinquante-cinq ans que les décès par cancer augmentent, depuis vingt ans, chez les hommes de race blanche ; tandis que, chez les femmes, la courbe s'infléchit à partir de trente-quatre ans », documents explicables par le fait que les femmes ne sont guère vaccinées après vingt ans et que leur imprégnation diminue progressivement à partir de la trentaine, tandis que les hommes sont, au contraire, davantage vaccinés, par ordre de l'autorité militaire, d'abord à vingt ans, puis à nouveau pendant les périodes de réserve, et encore plus en cas de guerre, ce qui réalise une imprégnation progressive et d'autant plus grave que l'anaphylaxie joue peut-être un rôle chez certains sujets, vis-à-vis de la vaccine comme vis-à-vis des sérums animaux) ;

Attendu que certains pays menés intelligemment (tels la Hollande) ont abandonné l'obligation de la vaccination jennérienne, en raison des accidents immédiats et tardifs qu'elle provoquait ; et que ces pays tiennent, d'une part à ne pas se dépeupler par des accidents médicaux inutiles, et, d'autre part, à ne pas affaiblir et cancériser leur race (c'est-à-dire les sujets ayant échappé aux accidents immédiats) ;
Attendu que, d'ailleurs, aucune loi humaine ne peut avoir le droit, non seulement de conseiller, mais encore moins d'exiger, l'inoculation à un être humain du virus vivant d'une maladie dont il n'est pas atteint et que de tels procédés ne peuvent qu'à peine être supposés possibles, même chez les peuplades les plus barbares ;

Attendu que le fait même de penser à vouloir établir une telle loi serait une violation du « Droit des gens » et du plus évident, primordial, logique et élémentaire « Droit de l 'Homme et du Citoyen », et tomberait, évidemment, immédiatement et logiquement, sous l'annulation du Conseil d'Etat ;

Attendu qu'il a été nombre de fois démontré que des dilutions inoffensives de pustule variolique peuvent guérir les malades atteints de variole et immuniser ceux qui sont exposés au danger de la contracter ; attendu que ces dilutions de variole constituent le seul vaccin vraiment spécifique de la maladie (car la vaccine est une maladie qui ne ressemble qu'un peu à la variole et elle ne peut donc conférer envers la variole qu'une attitude fort lointaine de celle procurée par la vraie application spécifique de la loi de similitude, c'est-à-dire l'administration de variole diluée) ; attendu que les livres et publications homéopathiques contiennent une grande quantité d'observations, scientifiquement prises, qui prouvent l'exactitude de cette affirmation, et que, seule, une formidable conspiration du silence, habilement menée par certaines organisations et certains milieux, a pu réussir à étouffer ce progrès scientifique à et pour l'avantage de la dangereuse méthode jennérienne ; attendu que, dans ces conditions, aucun médecin prévenu ne peut plus faire moralement autrement que de conseiller le procédé inoffensif et efficace des dilutions de variole vraie, et que déconseiller formellement la nocive et peu efficace inoculation de vaccine ;
Attendu que le fait d'effectuer une telle inoculation serait donc, en conscience, une faute médicale professionnelle, beaucoup plus grave que celles qui sont habituellement condamnées ;

Je soussigné, Paul CHAVANON, docteur en médecine, exerçant à Paris, 56, rue de Lisbonne (8è), respectueux du « Serment d'Hippocrate » et des devoirs les plus sacrés du médecin (dont le plus  élémentaire est : Primum non nocere), certifie que l'enfant
........................................ , âgé de…
domicilié à……. est un être humain et qu'il n'est pas un cobaye ; et j'estime qu'il ne peut donc humainement, ni officiellement, ni officieusement, lui être conseillé, et, encore moins, imposé : de subir d'inoculation de vaccine, maladie dont il n'est pas encore atteint.

Fait à Paris, le ….

Il est parfaitement exact, comme je le précisais dans le texte de ce certificat, qu'en 1928 la vachisation fut interdite en Hollande, attendu qu'il venait d'y avoir à nouveau des accidents graves : en juillet 1927, plusieurs cas de mort dans les vingt-quatre heures, dont deux dans la même famille. Mais la Hollande semble gouvernée intelligemment.


La Vie Claire de septembre 1949 publie, à ce sujet, page 12, l'article suivant :

LE MASSACRE DES INNOCENTS
SUPPRESSION DE LA VACCINATION A LA SUITE DE NOMBREUX DÉCÈS ...


MAlS... C'EST EN HOLLANDE.,.

Un article du Nature's Path de janvier 1928 annonce qu'un édit officiel du ministre hollandais du Travail, Commerce et Industrie, le Dr STATEMAKER, supprime la vaccination antivariolique par les vaccins habituels. Cette décision est le résultat de nombreuses études sur les effets du vaccin, en particulier celles du Dr A. C. A. HOFFMANN, homéopathe de Gouda, qui mena pendant des années une campagne énergique contre la vaccination. Ses articles citent plusieurs découvertes publiées dans le Biologishes Heilkunst, qui coïncident entièrement avec ses observations.

Pendant la dernière cession du Parlement, l'été dernier, il relata les cas de décès après vaccination, dont deux enfants morts le même jour dans une famille près de La Haye. Peu après, deux enfants moururent aussi immédiatement après la vaccination, dans la province de Zeeland. Répondant à l'interpellation de deux membres du Parlement, le ministre reconnut que, depuis 1924, pas moins de cent dix-huit cas d'affections du système nerveux central s'étaient développés chez des enfants, bien portants antérieurement, et que trente-sept décès avaient été causés par la vaccination dans la même période.

Le directeur social-démocrate du Bureau de la Santé d'Amsterdam, Dr C. HEYERMANS, a publiquement déclaré qu'il n'y aurait plus de vaccination, à moins que l'on ne soit menacé par une sérieuse épidémie de variole. L'inspecteur général de la Santé publique donna des ordres à tous les médecins qui se trouveraient dans l'obligation de vacciner pour qu'ils fassent des incisions très courtes et très peu profondes. Tout accident devant être signalé immédiatement aux autorités par télégraphe ou téléphone.

De son côté, le Dr ALDERSHOFF, directeur de l'Institut de Sérologie d'Etat à, Utrech, a déclaré qu'en raison des maladies et décès résultant de la vaccination, l'Etat ne peut plus longtemps en conserver l'obligation. Cette opinion fut renforcée quand il fut connu que le nouveau « neuro-vaccin » stérile développé d'après la méthode espagnole est tout aussi dangereux pour la santé et la vie.
(Traduit et condensé par M. P. CORNETTE.)

En novembre 1927, le Neau Homoepathic Zeitung rapportait 118 cas de maladie du système nerveux, dont 37 morts, consécutifs à la vachisation.

En France, il se passe, depuis quelque temps, quelque chose d'assez curieux : l'on voit des membres de l'Académie (qui ont inventé quelque chose à ce sujet...), tel M. G. RAMON (ce même cher confrère dans la recherche antidiphtérique, qui pouvait être si heureux de me voir livré à la justice par ses amis, pendant l'occupation, pour avoir osé mettre au point quelque chose de très actif et de tout à fait inoffensif…) reconnaître qu'il y a de graves complications, de la vaccination jennérienne et spécialement de l'encéphalite post-vaccinale ... Avant, on tâchait de ne pas trop en parler ...

Le Dr Etienne BERNARD, professeur agrégé à la Faculté de Médecine de Paris, a publié, page 3 du n° du 10 mars 1945 du Médecin Français, la proportion des décès par tuberculose dans les différents pays à la veille de la guerre. Cette proportion, pour 100.000 habitants était la suivante :

Hollande : 48,
Etats-Unis : 54
Angleterre : 70
Allemagne : 71
Italie : 86
France : 137

Et il ajoute que, depuis le début du siècle, il y a eu, dans tous les pays, une baisse importante de la mortalité par tuberculose. Elle a été ta suivante entre 1904 et 1938 :

Etats-Unis : 68%
Hollande : 66%
Allemagne : 64%
Grande-Bretagne : 55%
Italie : 39%
France : 38%

Il est frappant de constater que c'est dans les pays où l'on vaccine le moins contre la variole que l'on meurt le moins de tuberculose.
Pour les Etats-Unis, en effet, Le Siècle Médical du 1-3-40 (p. 3) disait :

« L'Amérique n'a pas accepté la vaccination obligatoire. »
Pour la Hollande, nous avons vu qu'en raison des accidents vaccinaux, il y a longtemps déjà que, dans ce pays intelligent, on a supprimé la vaccination contre la variole.
Pour l'Angleterre, on sait que les Anglais ne sont vaccinés que s'ils le veulent, au nom de la liberté qu'a encore, dans ce pays, tout citoyen de rester le maître de son corps et de son sang.
Car telle est la conséquence du Vaccination Act :

Pour un Anglais, il suffit de se présenter devant le juge de paix du district, de verser cinq shillings et d'affirmer, qu'en son âme et conscience, on estime que la vaccination est dangereuse pour son enfant. Le juge délivre un reçu et l'on est délivré de la vaccination.

On lit, pages 74 et 75 du livre intitulé :

Bactérioihérapie, vaccination, sérothérapie, par METCHNIKOFF. SACQUÉPÉE, REMLINGER, Louis MARTIN, VAILLARD, DOPTER, BESREDKA, WASSERMANN, LEBER, DUJARDIN-BEAUMETZ, SALIMBENI, CALMETTE (Librairie Baillière et fils, éditeurs, 1909) :

En Angleterre, la vaccination est obligatoire depuis 1867, avec la restriction apportée en 1898 par le Vaccination Act, qui fut le point de départ d'une recrudescence marquée de la variole.
Voici la clause originale et néfaste de cet acte : Toute pénalité est arrêtée si les parents déclarent « qu'en leur âme et conscience, ils croient que la vaccination peut nuire à leur enfant ».

Cette appréciation ne peut paraître un commentaire surprenant, vu les signataires du livre.

En tout cas, l'on voit croître chaque jour le nombre des médecins (non académiciens) qui estiment que les vaccins contre la variole, la diphtérie et la typhoïde provoquent ou aggravent l'état précancéreux.

On lit, page 1, colonne 3, du n° du 15-1-1939 du Siècle Médical :

Au Congo Belge, il y a une vingtaine d'années, les indigènes vivant dans la zone intertropicale étaient rarement atteints de  tumeurs malignes. Le nombre des cancéreux, parmi eux, s’est accru considérablement.

Page 556 du Concours Médical du 11-7-1943, on lit, en compte rendu d'une communication de M. Robert DUPONT, le 23-3-1943, à l'Académie de Médecine :

On ne rencontre que de très rares cas de cancer parmi les populations du centre de l'Afrique et en particulier chez les Saras. Or, les Saras n'ont pratiquement pas été pénétrés par la civilisation européenne, ce qui vient en confirmation de l'opinion du Prof. DELBET. M. DELBET a montré, en effet, que le cancer ne touche généralement la race noire que lorsque celle-ci adopta les mêmes conditions d'existence que la race blanche.

Si, d'autre part, vous interrogez de très vieux missionnaires (il y en a encore quelques-uns), ils vous affirment tous que, lorsqu'ils sont arrivés comme premiers blancs dans les contrées sauvages, il n'y avait guère de cancer. Il est troublant de penser que les missionnaires sont ensuite suivis, un certain nombre d'années après, d'équipes de blancs chargés officiellement d'apporter aux indigènes les bienfaits de la civilisation blanche. Cela commence par ... la vaccination contre la variole. Il est facile, sans être spécialiste de ces questions, de tirer la conclusion de bon sens qui s'impose :

Dès que l'on introduit dans une population le vaccin antivariolique, le cancer se multiplie.

N'est-ce pas aussi ce que nous voyons en France où, je le répète, la courbe du cancer (68.476 morts par cancer en 1947 et 70.804 en 1948, Les Echos de la Médecine, n° du 1-7-1949) est à peu près la même que celle des vaccins obligatoires ? D'ailleurs, les cancers d'enfants et d'adolescents deviennent de plus en plus fréquents. Il serait intéressant de savoir quelle autre cause peut être trouvée, qui corresponde également pour les populations noires.

Ce n'est pas l'alcool, les nègres comme les Français en ont toujours bu, souvent même sous forme d'infâmes mixtures locales et les progrès de la distillation moderne n'ont évidemment pas beaucoup aggravé, au contraire, les orgies répétées et ancestrales des nègres et de nos ancêtres, Gaulois ou autres.

Resteraient les engrais à la potasse. Mais ... c'est le Parlement qui a interdit aux fabricants d'engrais de vendre d'autres formules que celles autorisées.

Pour diminuer le cancer, il faut simplement et logiquement supprimer les engrais à la potasse et les vaccinations obligatoires.

Il est curieux de constater que l'inventeur de la guillotine, le Dr GUILLOTIN, « prit une part enthousiaste aux travaux de la société fondée pour la propagation de la vaccination jennérienne en ventôse an VIII » et contribua puissamment à la diffusion de ce vaccin...  

Quand on pense que GUILLOTIN est le seul médecin dont le nom est passé à la postérité, non pour avoir contribué à sauver ses concitoyens, mais pour avoir été le parrain, sinon le père, d'un instrument destiné à supprimer certains de ses semblables, on ne peut être surpris que, par un acte de sadisme de plus, il se soit efforcé de diffuser la vaccine, sœur jumelle de la variole et que l'on savait déjà tuberculiser ceux qui en étaient atteints.

[Extraits des pages 171-178, de : La guerre microbienne est commencée (BCG, etc.) - Les Français devant les vingt familles, du Docteur Paul Chavanon, Éditions Dangles, Paris, 1950]
 
 

Dernière mise à jour : 17-06-2017 01:53

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