Protection = Super Grégarisme
 

Ecrit par Sechy, le 19-08-2017 23:02

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Tags : Amour, Anarchie, Âne, Argent, Artifice, Babel, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Chimère, Christ, Communisme, Conte, Corée, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Fréquence, Fusible, Génocide, Gnostiques, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Israël, Jardin, Jeu, Judaïsme, Kaléidonome, Kronstadt, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Métal, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Moteur, Narcisse, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Prostitution, Ptah, Pays, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Protection, Psychiatre, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Self, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Toufta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Utile, Vaccin, Vase, Vide, Volonté, Yokaï, Zombie

 
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Protection = Super Grégarisme
Nous sommes au siècle de la « protection »,
Protection = Argent.
Protection = État big préserve-hâtif
puisque le temps c’est de l’argent.

PROTECTION ET POUR-VOIR


CIVILISATION DES PAMPERS ET DU TOUT JETABLE
(consommation-consumation).
 
 
Je jette, c’est de la caca ! Ah ! pas de ça ici !
Également mémoire et oubli, mais cette civilisation
du Big Data fait le contraire : « devoir de
mémoire »
, elle met I à mort (mémorisation),
elle met le Tout, le I de l’Axe à mort,
elle divise, divise, divise par son mental.


PROTECTION : CAVERNE, puis récemment au Néolithique et à la voie de l’Agriculture : LE TOIT. Prendre une tuile du toit sur la gueule, et c’est la tuile à Ben-Hur et à Savinien de Cyrano de Bergerac !!!
 
PROTECTION : PRINCIPE DU TERRORISME, PRINCIPE DE L’AMPHÉTAMINE, DE LA RITALINE POUR ENFANTS : MAINTENIR LES POPULATIONS DANS UNE TENSION PERMANENTE, C’EST LA STRATÉGIE DU CHOC. Sous l’influence du choc ou de l’amphétamine, les récepteurs noradrénergiques se trouvent dans un état d’alerte permanent, même indépendamment des stimuli émotionnels externes ou internes. La Ritaline est un dopant, elle ne soigne pas ! Les gens soumis au choc et ritalinisés deviennent des robots, des zombies.
L’ÉTAT EST LE PREMIER DEALER, LE PREMIER TERRORISTE (voyez l’État « islamique » de ”ceux qui sont au bar”…).

Un CROI – SEMENT :
- Ce qui réveille endort.
- Ce qui endort réveille.

PROTECTION !!!
L’être humain usine des Dieux et ainsi la dualité :
Comment un « Dieu » peut-il être « armé » et avoir une « épée » ?! On est là typiquement face à la tyrannie de l’opinion : ce « Dieu » par sa violence veut imposer son opinion !!! (Voir le Yahvé malade et le Dieu qui est au bar… notamment celui de la taverne londonienne de 1717…).

PROTECTION = MAFFIA (principe du choc) : je te casse ta baraque, et si tu ne veux pas que ça recommence, je te protège si tu me paye tous les mois.
Je te terrorise, et si tu veux être protéger, tu me paye tous les mois.

Nous sommes à l’époque des « même pas peur » et des « plus jamais ça », ceux qui foutent de l’huile sur le feu. S’ils n’avaient pas peur, ils n’avaient pas besoin de le dire ! Ces gens sont des inconscients, des ignorants de la Vraie Cause : la City, dans tous les sens du terme… et avant tout l'ignorance des fondations de l’être humain…

PROTECTION - SAFETY : Ordo ab chaos ou fabrication du sans foi ni loi (il y en a tellement qu’il n’y en a aucune) c’est-à-dire que maintenant seule la FORCE prime, la PROTECTION au sommet de la pseudo-hiérarchie sociale que représente l’État nouveau patriarche : là où seule règne la force qui ne peut que révéler la violence. Il n’existe alors plus aucune compassion ni charité, ni aucune foi (on est en laïcité pure), ni aucune justice puisque la foi et la justice sont muselées, piétinées (comme en loi martiale ou de dictature, ou de démocratie). C’est-à-dire que LE GOUVERNEMENT EST D’AUTANT PLUS NUISIBLE QUE SA DIRECTION A PLUS D’UNITÉ. Et de nos jours qu’est-ce qui a le plus d’unité ? Réponse : les Couilles en Or (même s'il y a des guerres internes entre eux), ceux de la City de Londres qui dirigent ce monde.

PROTECTION = vieux rêve d’un « Royaume universel » ici-bas, réunissant sous la direction d’un seul, voir d’un très petit groupe, tous les peuples de la Terre. Jusqu’à nos jours ce ne fut jamais réalisé. On dirait que ceux qui « vont au bar » et qui se disent « État islamique » voudraient réaliser ce rêve ! Ils n’ont pas conscience que mêmes les plus grands empires et les plus puissants n’ont eu qu’une durée de vie très courte : dès que ces constructions de mains d’hommes atteignaient, comme la Tour de Babel, le point culminant de leur puissance et de leur gloire, le levain de dissolution qu’elles portaient en elles les démolissait.
Qu’est-ce que c’est ce levain ? Réponse : le vain, le Faire/Fer de l’ego, c’est-à-dire la construction de l’État qui va entraîner l’écroulement de tout l’édifice social. À toutes les époques de l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule), les royaumes de ce monde reconnaissaient à leurs départs, la primauté du principe spirituel (et non religieux). Dès que vont apparaître les religions, ça va commencer à se dégrader, parce que les religions sont DÉJÀ du pour-voir temporel.

Les trois, l’étroit Dieu, et même très très étroits tant ils divisent comme le Diable.
- Le Dieu fabriqué par ceux qui vont au bar, y compris celui de Londres en 1717, et qui foutent la merde partout.
- Le Dieu qui chasse les Païens, le Yahvé des Hébreux-Juifs se prend pour le Père fouetard et la Française des Jeux à la fois, et qui fout la merde partout.
- Le Dieu des Chrétiens qui se prend pour les États-Unis et fout particulièrement la merde partout avec ses armées chrétiennes coloniales qui vont évangéliser, soumettre les peuples païens (ceux qui ne sont pas du camp de la démocratie) à leur « civilisation » : « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous ».

Les paroissiens de ces trois Dieux pratiquent en égalitarisme la tyrannie de l’opinion, un étatisme totalitaire, peu importe qu’il soit « islamiste » ou « républicain » (bourgeois et « libéral »), c’est, presque, la même chose, et dans peu de temps ce sera même identique au train ou va la « protection » (dont fait aussi la partie le libéralisme). Tous ces ismes et tyrannie s’occupent de nous DÈS LE BERCEAU, ce qu’avait parfaitement compris le judéo-maçon Jules Ferry, car les États totalitaires, en passant par les religions des trois Dieux cité plus haut, s’occupent intensément de l’enfance et de l’adolescence, à l’école et aux loisirs et à la culture. C’est un système fondamental pour la PROTECTION DE L’ÉTATISME, afin de former génération après génération, une civilisation entière guidée par un seul et même dogme : la laïcité présentement en France. Cela va formater leur cerveau en une géométrie particulière, comme le violoniste qui va développer une géométrie neuronale particulière. Celui qui joue aux jeux vidéos toute la journée va également développer une géométrie neuronale particulière et donc un trait de personnalité zombifié. Ces gens sont, en quelque sorte, SOUS PROTECTION. Encore plus sous protection le fils ou la fille de musicien ou d’acteur qui, sans se casser le cul, prendra la relève…


Je jette, c’est de la caca ! Idem comme les « mauvaises herbes ».


La morale ou opinion chrétienne divise en bon-mauvais par conséquence en propre-sale, chose qui parla beaucoup au killer Louis Pasteur qui entraînant l’industrie de la pasteurisation de de Big Pharma et ses vaccins et sa médecine tout confort. Depuis la mode de l’ego, donc des chiottes privées, la chose sale c’est pas propre ! Une tache, comme une « mauvaise herbe » au milieu de la pelouse de la maison du bourgeois : c’est « pas propre ».
Mais que peu bien bien signifier le mot CACA ? Besoin naturel si on ne pratique pas la nourriture prânique.
Qu’est-ce qui est « bien », qu’est-ce qui est mal ?? De même que le sale en soi ne peut être réputé sale dès lors qu’il est repéré comme connu et comme ex-istant (1).

Car enfin, qu’est-ce que le sale ? Sinon une opinion toute humaine, et question odeur, idem, idem question microbes et la guerre actuelle contre le vivant. Et à quelle condition une tache peut être considéré comme « sale » ? Et une herbe « mauvaise » ? Et un microbe ou virus « dangereux » ? S’il est dangereux, qu’il s’occupe de ses affaires et qu’il aille se faire voir ailleurs !
Il en va de même d’un être humain considéré comme « handicapé », ou « fou ». Tout cela procède de l’ego ou mental QUI DIVISE, POSE DES ÉTIQUETTES à n’en plus finir, le mental qui fait des « lois ». Ramana Maharshi évoque plusieurs fois le neti-neti (ni ceci ni cela). Ainsi une « tache » (et tâche et sale-aire) et tout ce qui est « sale » est réellement une tache, après examen, n’est apparu ni comme excrément, ni comme chocolat, ni comme soupe, ni comme fromage, NI COMME QUOI QUE CE SOIT QUI SOIT ÉTIQUETABLE À COUPS DE NOMS-LES-FORMES, À COUPS DE CORPS.
Voir aussi la page : Immonde - Immondice.

NETI-NETI = L’INNOMMABLE (qui ne peut être nommé). De nos jours l’innommable ce serait ce qui est dégoûtant, comme le terrorisme de l’État de ceux qui vont au bar !…
NETI-NETI : ni ceci ni cela ; méthode d’élimination exhaustive de l’illusion.
« Maintenant, vous identifiez à tort le Soi avec le corps, les sens, etc. Puis vous procédez à leur rejet et cela est neti. Mais vous ne pouvez le faire qu’en vous attachant fermement à ce qui ne peut être rejeté. Et cela est iti seul [iti : ainsi, qui désigne ici le Soi, et ainsité dans le chan] ». (Ramana Maharshi, entretien 366).
À l’entretien 41, R. Maharshi dit que neti-neti n’est pas de la méditation. « Trouvez la source. Vous devez atteindre la source sans faillir. Le faux ‘je’ disparaîtra et le vrai ‘Je’ sera réalisé. Le premier ne peut exister sans le second ».

TOUTES CHOSES PARTICIPANT DU SOI, DU ICI ET MAINTENANT N’EST JAMAIS SALE. Ce qui est sale C’EST LA REPRÉSENTATION, LE SPECTACLE, LA COCHONNERIE : dès lors qu’icelle a perdu le contact avec la seule instance qui puisse l’authentifier : le Seul Réel, elle n’est plus le signal que d’elle-même. L. Ferdinand Céline faisait observer que toute la vulgarité et l’obscénité de ce monde consiste, non pas dans les choses réelles et dans leur mention crue, mais seulement dans le SENTIMENT (opinion) qu’on en a et qu’on en suggère, ce qui s’appelle, encore une fois : TYRANNIE DE L’OPINION. Et « Dieu sait » que le sentimentalisme est particulièrement à la mode en républicanisme, surtout avec la fabrication d’attentats et des « même pas peur » et de « ceux qui vont au bar » !!!

PROTECTION DE L’ÉTATISME ET DE SES RELIGIONS : L’ART DE FAIRE CROIRE (le Makebelieve et la pub et la politique). Dans ces régimes dits « démocratiques » il leur faut fabriquer du consensus ou de l’approbation de la part des populations envers les têtes d’œufs au pour-voir et possesseurs des décisions. La possibilité de créer du consensus dépend DE LA CAPACITÉ DE CES METTEURS EN SCÈNE DU SPECTACLE, COMME EN PUBLICITÉ : RENDRE CRÉDIBLE UNE ILLUSION PLUTÔT QU’UNE AUTRE (ce que cette chefferie appelle « réalité »).

Le caca, le sale, le bien et le mal, la « morale » sont le résultat de CONDITIONNEMENT SOCIAL, GRÉGARISME (le « faire comme tout le monde », soit les alignés). Il s’agit pour la chefferie au pour-voir de modeler la cervelle de leurs sujets, donc du bien et du mal, du pur et de l’impur, du juste et de l’injuste, du pudique et de l’impudique (quelles parties du corps devons-nous montrer et quelles émotions sont suffisamment « décentes » à montrer au publique). Ainsi les « valeurs » morales comme les valeurs esthétiques ne sont qu’opinions qui dépendent des cultures et des modes ; elles n’ont aucun base objective.

La clé de la chefferie actuelle au pour-voir est celle, depuis le 11 septembre 2001 : « la guerre au terrorisme ». C’est la « frame ». Une fois la frame gobée par les peuples, c’est tout bon pour l’État, les peuples, les « même pas peur », vont demander sa protection, genre « Petit-Père protecteur de la Nation ». Ainsi la chefferie au pour-voir a tout intérêt à maintenir ses sujets « gérés » dans un conditionnement culturelle et sentimentale telle à favoriser une pensée automatique, comme celle des « même pas peur » ou des « plus jamais ça », un réflexe, une irrationalité (la frame, etc.) et à inhiber une pensée consciente et rationnelle. Il leur faut maintenir « la paix » qui est bonne pour le commerce…
Pour la chefferie les populations se gouvernent plus facilement à travers des poncifs, des slogans, des émotions, qu’à travers une persuasion basée sur la connaissance réelle et sur un minimum de recherche. La chefferie politique procède comme pour vendre une lessive : fabriquer des automatismes, robotiser l’humain.

Pour les « même pas peur » :
PROTECTION : le terrorisme fait peur, L’INSOLITE FAIT PLUS PEUR ENCORE, CAR TEL UN TERRORISTE, LA RÉALITÉ FAIT PLUS PEUR. TOUTE PEUR EN DÉFINITIVE EST LA PEUR DU SEUL RÉEL. La peur ne peut qu’être une invention du mental, une invention de l’imagination trompeuse par excellence, comme tout spectacle trompe, illusionne.
Le terrorisme fait peur parce qu’il représente en son principe L’INCERTITUDE, on ne sait quand il frappe, ni qui il est vraiment, ni qui en est l’organisateur et qui le finance ; c’est la stratégie républicaine capitalo-socialiste du CHOC.
L’objet terrifiant est toujours un « quelque chose » ou un « quelqu’un » auxquels vient à manquer soudain, une des multiples raisons, un nom-la-forme identifiable et certain. Ainsi, comme tout est non seulement symbole, n’importe quel objet ou personne peut devenir terrifiante. Il ou elle lui suffit pour cela de troubler un Instant l’opinion fixée (certitude) avec laquelle nous tenons généralement pour assuré, pour « constante », qu’une table est une table et un chat un chat. L’hérésie est une forme de cette contestation.
Toute peur n’a de raison d’être que proche de l’Instant, du Soi ; la peur de la Vraie Nature, quand l’Instant n’est ni loin ni instant, mais tout près.

PROXIMITÉ = INCERTITUDE.

AMBIGUÏTÉ = TERREUR, LE SACRÉ = TERREUR : la terreur numineuse (pavor sacer ou émotion de base de la spiritualité liée à l’inconscient collectif (les alignés) et bidouillage du mental à la C.G. Jung) qui est probablement une des bases de la spiritualité primitive, mais certainement pas la seule… Voir « la colère de Yahvé »… La terreur fascinante qu’inspire Dark Vador… Le mystère (mysterium tremendum) fait frissonner, d’où le plaisir enfantin du « hou-hou fait moi peur ! » et de « s’envoyer en l’R », cela en devient même une IVRESSE, voir les possédés et les maniaques (TOC) et les drogués.
Au tremendum et à l’effroi il faut ajouter LA CHEFFERIE ABSOLUE : LA TREMENDA MAJESTAS, la Majesté qui fait frissonner ; c’est peut-être à ça que le Nouvel Ordre Mondial et la City de Londres veulent aboutir, et qui là encore fait la partie de l’inconscient collectif !

Cela participe de la stratégie du choc : créer le vide, la mélancolie, l’infinie tristesse, le désarroi et la désorientation absolue, pour proposer le réconfort absolu. Car à l’horreur indicible du tremendum, il faut ajouter la splendeur du fascinans qui captive, fascine de manière à réaliser autant que possible la réduction des contraires, donc marier ces contraires, d’où l’égalitarisme judéo-)maçonnique et républicain, mais encore trop peu à leurs yeux tant ce fascinans est faiblard. Le fascinans correspond à l’IVRESSE DU SACRÉ, à l’extase dionysiaque, à l’union sexuelle sacrée métamorphosante. En maladie mentale ça correspond à la saturnale maniaque : psychose maniaque…
Ainsi l’objet ou la personne numineuse devient une « centrale nucléaire » : tantôt exaltante, tantôt déprimante. L’Empereur-Dieu, le Mikado développait une telle énergie que l’on devait briser les assiettes où il avait mangé, de peur qu’un de ses sujets s’en serve par accident, et voit sa bouche s’enflammer, ou se gangréner.
Bref, tous les mystiques connaissent ce « feu sacré » de l’amour divin qui consume au point qu’ils sont souvent tenus d’en demander la délivrance afin de ne pas mourir avant l’heure, parce qu’ils ont pénétrés dans une CERTAINE dimension !
(Référence : Médecine initiatique, aux sources des psychothérapies, du psychiatre Pierre Solié).
 
Hamlet dit que, qui accepterait de vivre s’il n’y avait cette crainte de quelque chose après la mort, Pays d’où nul voyageur ne revient ? Alors on s’accroche à notre dimension du spatio-temporel À CAUSE DE LA PEUR.
 
 
LA STARGATE.
Qu’est-ce que c’est cette division Christ/Antéchrist, identique à « démocratie/terrorisme », identique à winner-loser, ou à Bien et Mal ? Encore une violence religieuse, une violence d’opinion !


Si pour une raison ou une autre, et étant SINGULARITÉ, je décide (pour moi et pas pour les autres, pour ne pas leur imposer mon opinion), que 2+2=5, je risque apparemment pour Jean Coulonval (Synthèse et Temps Nouveaux) de passer pour un Antéchrist, puisqu’il se dit « libre » seulement par les Essences (2). Mais s’il entend par Essences l’inconscient collectif, soit la conscience conceptualisante ou mental, il s’exprime incomplètement ; parce que les « Vraies Essences », si tant ait que cela existe ! ou à minimum à travers la Stargate, dans la Vraie Création, le mot Essences ne peut exprimer que la LUMIÈRE DE L’ESSENCE libérée de l’inconscient collectif et de l'analyse, libérée de tous poncifs puisque l’Univers se trouve dans le mental, et qu’un Réalisé est, justement, libéré du mental ; libéré de l'analyse et de sa logique ; libéré de cette horreur d’opinion qu’est la dualité Christ/Antéchrist.

En effet, ‘JE SUIS’ est SINGULARITÉ, aussi bien Dieu que Diable : Lucifer et Christ-Jésus se confondent À L’ORIGINE : Ils ne font qu’un, comme Osiris et Seth, et l’inverse.
LA STARGATE COMMENCE DANS L’INFINI ET « S’ARRÊTE » DANS L’INFINI. LA CONNAISSANCE COMMENCE LORSQUE L’ON SAIT S’ARRÊTER ET S’ACHÈVE LORSQUE L’ON SAIT NE PAS S’ARRÊTER, C’EST LA STARGATE, LE VOYAGE !!! LA STARGATE COMMENCE À LA VACUITÉ DU MENTAL : IL N’EXISTE PLUS, c’est probablement cela que Jean Coulonval entend par Essences.


« Si chacun s’occupait de ses propres affaires, il n’y aurait pas de querelles » (R. Maharshi, entr. 479)
« L’homme, qui n’est qu’un grain de poussière dans le monde, veut en obtenir davantage et récolte ainsi les ennuis » (entretien 63).
 
 
Notes.
1. Ex-iste : le mot « être » est l’un des plus usité et pourtant le moins définissable en oubliant le Soi. Le sens originel devrait en être le Soi ou Dieu ou Conscience, etc., ce qui est extériorisé d’un Être. Or comme écrit souvent, toutes choses EST, de sorte que Dieu EST, et qu’Il n’est pas, ne devant son Être à personne (Il est Singularité). Il n’existe pas, IL EST : Je suis ce JE SUIS. « Dieu créa l’homme et l’homme créa Dieu… Mais en réalité ni Dieu ni l’homme n’ont été créés » dit Ramana Maharshi à l’entretien 264…

2. « C’est que je veux bien fabriquer, ce que j’ai fais toute ma vie. Mais je ne veux pas être « fabriqué ». Je veux être soumis aux Essences mais non aux accidents [monde spatio-temporel]. C’EST CELA LA LIBERTÉ », écrit Jean Coulonval dans sa lettre 47 au Père Bruckberger le 21 janvier 1978.
Dans cette même lettre il écrit : « La vérité, pour l’Homme et pour chaque homme, c’est l’idée qu’il se fait de sa nature d’homme. Et il se trouve que, de même que l’équerre à centrer [sur une bout de métal] situe le centre d’une façon subjective, par approximation imaginative, aucune idée de l’Homme acquise par le discours logique, et qu’on appelle « opinion », n’a de valeur scientifique, quoi qu’elle en prétend ». Oui, pour pouvoir « mesurer » l’Univers, il faudrait pouvoir en sortir ! Or nous sommes DEDANS, NOUS SOMMES LUI.
 
 

Dernière mise à jour : 20-08-2017 01:15

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