Pas de perception sans objet perçu, ni d’objet perçu sans un sujet qui perçoit.
Libération : vraie Nature de l’être humain libéré de ses anciens conditionnements.

Spectre-spectacle = l’être humain joue de plus en plus un rôle comme un acteur de cinéma ou de théâtre. Il s’identifie au personne : je suis ceci ou cela, je fais ceci ou cela. Il est transbahuté par les événements et les vagabondages de son mental.

 

AUTRE-TRUI : faire comme tout le monde, et s’en faire une norme. Mais l’opinion d’un développement normatif va engendrer l’angoisse, conséquence de toute déviation par rapport à la norme !
Cette « norme » va se retrouver dans les appareils de mesures et maintenant le « tout connecté » dont dépend par exemple la SANTÉ : le patient ne se sentira pas en bonne santé tant que la norme de ses appareils de mesure ou de son « tout connecté » ne le lui ont pas confirmé son état. On est toujours dans cette civilisation du TOUT EXTÉRIEUR !

Qu’est-ce que c’est de nos jours l’évolutionnisme, ou le progrès ? C’est devenu un euphémisme pour SURVIVRE !

En cette tyrannie de l’opinion et de son « vivre ensemble », il devient de plus en plus difficile de s’échapper de l’imitation d’autrui, de l’imitation de l’artiste, de l’imitation de la norme républicaine, soit d’échapper à l’égalitarisme (y compris sexuel) mondialisé par le régime républicain marchand.
RAPPEL : Le détachement ce n’est pas se détacher des choses, tombant ainsi encore dans la dualité, mais découvrir que les choses se détachent de soi, et surtout sans violence.
ÊTRE À L’AISE (sonne comme « allez ») : ÊTRE À SA SOURCE (Focale ou point sans dimension, l’Axe), seulement pour être la manifestation : JE SUIS. Le latin de la messe chrétienne dit bien : ITE ! (allez !), soyez à votre Source : vers I-T (Vérité).
ALLEZ, À L’AISE : TRANSPARENCE.

Ne pas être spectateur, être à sa Source : persévérer dans sa qualité propre ; naître à soi-même, car il ne faut pas être partagé en deux qualités, sinon il y aura toujours contrariété des obstructions. CONTRAIRE et cependant inséparable, car les Contraires se soutiennent l’un et l’autre. Il n’y a pas de « guerre » entre eux. Ainsi on ne parle pas du mot guerrier « d’opposition », synonyme de combat, de lutte, de rivalité, de résistance qui chauffe, etc. Les vrais Contraire : le JUS, être au Courant, dans la fluidité, dans la TRANSPARENCE.
La Fluidité c’est l’échange é-change de CHANGIER (change tout le Temps), l’Eau en passant d’un récipient à un autre récipient change bien de forme, il y a Fluidité. L’Eau ne résiste pas, et l’échange est présent, l’Eau gardant son caractère d’être incompressible.
Éphémère doit bien aller avec Éternel, et ils ne doivent pas être des contraires.
Réconcilier les contraires, Marier Sacré et profane.
Pour approcher l’Instant il y a l’ENIGME qui rassemble en elle-même les contraires.

« Ne rien mélanger, rechercher sa qualité propre pour en nourrir sa flamme ». (D’après Jacob Boehme). Il écrivait encore : « Toute chose qui persévère dans sa qualité propre (sa voie) est incorruptible, car le mystère dont elle procède est éternel. En naissant à elle-même, elle manifeste ce mystère dans lequel elle est enracinée ».

SPECTACLE = AUTRE-TRUI, ÉMOTION, SENTI-MENT, MORALE : La but à A-teindre, la Re-cherche (absolu, religieuse, philosophique, matérielle) du mental sélectif en dualité pur-impur toujours émotionnelle, croient et par leur opinion veulent persuader autre-trui de l’anéantissement du Tout dans le Point Focal, faisant du Zéro la « fin des temps », le « Circulez ya plus rien à voir ! ». En s’attachant au détachement, à la « fin des temps », ces spectateurs oublient le détachement de l’attachement à la délivrance de l’ego ; bref, le Vide (néant) n’existe pas, comme le précisait Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au néant, l’anéantissement du ‘Je’.mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le néant, le rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».

La « fin des temps » n’est pas la fin : « Une chenille rampe sur un brin d’herbe et quand elle arrive à son extrémité, elle cherche un autre support. Ce faisant, elle reste accrochée au brin d’herbe avec ses pattes arrière, soulève son corps et se balance en tous sens jusqu’à ce qu’elle arrive à s’accrocher à un autre brin. Il en va de même du Soi. Tout en demeurant dans le Cœur, il investit dans d’autres centres, selon les circonstances [c’est moi qui souligne]. Mais ses activités restent toujours centrées autour du Cœur », dit Ramana Maharshi à l’entretien 616.

SPECTACLE = AUTRE-TRUI, ÉMOTION, SENTI-MENT, MORALE : actuelle esthétique de vie de cette civilisation capitalo-socialiste en une esthétique de vie ou SPECTACLE : sensation, émotion, donc exacerbation de l’ego. Le mondialisme inversé du présent évolutionnisme TUE LE DIVIN.

Ne pas être spectre-spectateur, être DIRECTE, MAÂT, COUR, après D’I-solution libératrice : Eau Primordiale. Vivre les choses d’en O (Stargate, le Point c’est Tout ou Point Focal). Main ouverte comme en haut de page (Hiéroglyphe D), comme le TRUAND (en D) de la COUR (des Miracles) médiévale : Vraie Création… et non re-faire comme maintenant.

Panse (pensée) : idée arrêtée dans la panse : les intestins sont source d’empoisonnement du mental, des cellules du cerveaux s’y trouvent. La panse-pensée ne peut qu’être « idée arrêtée » qui va donner l’opinion source de tous les conflits possibles… on parle même de « guerres intestines », et sujets à spectre-spectateurs raffolant du spectacle donné en continue par les informe-ations modernes et leur « tout connecté ». Panse-pensée ou non transparence, surtout dualité pur-impur QUI TUE : NIRRTI, « anéantissement » en sanskrit.
La Taoïcité s’attache à une bonne médecine pour la liberté de l’intestin, haut lieu d’empoisonnement qui peut être, dans certaines conditions, celui d’une régénération physiologique importante. Pour la médecine chinoise, l’intestin gros ou grêle est un dynamisme cosmique, des viscères transcendantes non purifiable à coups de clystère !
Le cerveau comme le ventre sont des lieux à gros problèmes QUI PARASITENT TOUT ; à y ajouter la poitrine (maladie cardiaque, émotion et dépression, etc.). Ventre encombré = mauvaise idéation (brume, fèces ou dépôts).

MONDIALISME = PANSE et surtout SECRET : un « tout connecté » totalement paradoxale tant la chefferie au Pour-Voir fait tout pour garder le SECRET (surtout la finance), notamment en matière de VRAIE TÉLÉPATHIE, tant icelle REFLÈTE LA TRANSPARENCE qui fait tant peur à la chefferie et à ses gros secrets et à ses gros financiers. Si la Vraie Télépathie était encore effective à nos jours, il est logique que nous aurions de VRAIS CONTACTS avec, non seulement « nous dans le futur », mais avec d’autres formes de vie et intelligence « ailleurs ».
LES TERRIENS SONT CONDITIONNÉS EN LEUR PANSE-PENSÉE POUR PERCEVOIR CE QUE SOUHAITE LA CHEFFERIE AU POUR-VOIR qui, comme l’indique le mot Pour-Voir, est seule autorisé à « voir » (le ‘Je’).

L’égalitarisme vendue par le régime républicain est FAUSSE :
- SECRET : CONTRAIRE DE TRANSPARENCE, DONC OPACITÉ FINANCIÈRE, argent caché des Couilles en Or et grosses multinationales, comme la merde cachée dans les intestins (voir ci-dessus et plus bas).
- TRANSPARENCE : ça c’est pour nous, ceux qui ne sont pas Couilles en Or et que les banques peuvent suivre 24h sur 24h par tout leurs achats ; banques qui nous FLIC/FRIC réellement. Là on ne peut même pas cacher notre merde dans nos boyaux.

RAPPEL : Les excréments symbolisent l’énergie, et ce n’est pas symbolique pour les mouches-à-merde attirées comme si c’était le Saint Graal pour elle. Là nous sommes dans une inversion de la dualité pur-impur : le pur devient excrément comme l’Or, et l’impur devient, pour certains, la pauvreté, la saleté La bouse de vache dans le monde kabyle est la base de transfert magique du lait (réf. Dict. des Symboles).
C’est tout de même une perversion totale du régime républicain dominant par son « libéralisme » (marchand) que de suivre à la trace les particuliers, et que de laisser une totale opacité aux Couilles en Or et grosses entreprises qui peuvent cacher à l’aise (allez) leurs bénéfices, au lieu d’en faire profiter les États et tout leurs habitants.
Je me demande à quoi peut servir le fric que touchent les chefferies de ces grosses entreprises, devenues États dans l’État, et souvent plus riches que les États, et qui savent parfaitement s’en protéger…
Au niveau économique mondial JAMAIS il n’y aura d’égalité, c’est le plus gros mensonge du régime républicain de 1789 depuis l’histoire de l’humanité, avec son autre mensonge : la libre pensée et le « peuple roi », toute chose impossible tant qu’existera un État quelconque sur cette planète, et tant que l'ego sera triomphant : « En triomphant, la libre pensée signait son arrêt de mort, car il est évidemment impossible de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord. Le pouvoir du peuple est un bluff, et les régimes d'assemblée, si subtil que soit leur dosage, n'ont pu tenir que parce que les sociétés secrètes exerçaient occultement, en usant habilement de tout le clavier des appétits économiques des individus et des groupes, le pouvoir métaphysique qui avait été abandonné par la royauté officielle. Ils n'ont pu tenir qu'en identifiant dans les consciences, par un jeu subtil d'institutions légales et de systèmes éducatifs, le politique avec l'économique. Le pouvoir proprement politique, c'est-à-dire légitimé par la connaissance de ce qu'est l'homme en soi, sur le plan métaphysique où il trouve sa définition, a continué à être exercé très consciemment mais occultement, par les sociétés secrètes [judéo-maçonnerie genre en France du GODF, pépinière à chefferie du régime républicain marchand] », écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux. Il précise que le consensus social en France et en Occident est EXCLUSIVEMENT ÉCONOMIQUE, et atteint son apogée aux États-Unis, paradis de l’argent et des avocats qui vont avec… ÉtatsUnis, Empire du : « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous », je répéterais cette phrase de colonialisme encore de nombreuses fois…
Régime républicain construit sur la base de l’opinion, et donc encore une fois, de la mort de la libre pensée tant que subsistera un État et ses financiers qui font les lois et ce que devront penser les peuples.

PANSE-PENSÉE : endroit clos, comme la COUR, L’ENCLOS… LA CAVERNE, LE VASE OU VAISSEAU ; et aussi siège des appétits, des désirs destructeurs et dévorants, siège d’une animalité non encore résolue.
RAPPEL : les viscères étaient chargés de pouvoir magique aux yeux des Anciens Égyptiens. Viscères enfermés dans une urne, déposée dans la barque magique qui figure le voyage vers l’au-delà. Évidemment les démons et les monstres ont pour but de s’emparer de cette urne et, avec elle, des pouvoirs magiques qu’elle recèle, ce qui est du même Thème que les EXCRÉMENTS (Or) et des TENDANCES LATENTES : qui brûleront d’elles-mêmes « si seulement vous restez ce que vous êtes véritablement », dit Ramana Maharshi à l’entretien 219.
Un mental ou panse toujours agitée à cause des tendances latentes : « Quand celles-ci sont rendues impuissantes, le mental est tranquille et paisible » (R. Maharshi, entretien 223)
PANSE-PENSÉE = GLOBE, BOULE (mondialiser) : sym-bole, de la racine celtique bolg (enfler), dans ventre, sac, paquet, carapace, coque, emballage : balle, ballon, bolide, sac comme la finance dans ses coffres, PROJECTILE (pour défendre les coffres). À prolonger avec la racine grecque : jeter, re-jeter… de l’argent par les fenêtres… La finance doit être « mise à sac »…

Le phénomène actuel du terrorisme et de Ad-ition = Autre-trui est purement du principe spectre-spectacle, y compris ceux qui reviennent et qui parasitent les « spectateurs »...


SOURCE, FOCAL :
« Les choses sont là exactement où elles doivent être, et moi je suis exactement où je dois être au milieu des choses ». (Michel Drac, juin 2017, pour une note de lecture de Crimes sans châtiment, de Jean-Loup Izambert, sur l’amalgame politico-économique permettant tous les coups tordus et criminels).
Michel Drac dit comme Mazu Daoyi (709-788), maître chan (Zen) de la dynastie des Tang (618-907), à propos de L’INSTANT : « Toutes choses sont parfaites en soi, rien ne manque. Utilise-les spontanément, à quoi bon rechercher vers l’extérieur » ; ce qui rejoint qu’il n’y a pas de loi au-dehors, et comme le « dehors » est aussi intérieur, il n’y en a pas non plus qui puisse être obtenue au-dedans de soi !