Le Soi est Cru-EL
 

Ecrit par Sechy, le 28-01-2018 19:56

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Tags : Appareil, Banques, Brighton, Cadeau, Capitalisme, Champignon, Chimère, Chrétien, Christ, Civilisation, Diable, Dieux, Dragon, Drogue, Dualité, Eau, Égalité, Ego, Empire, Épine, Estragon, Évolution, Fractale, Gentil, Goulag, Gratuit, Guerres, Histoire, Huile, Instant, Japon, Juif, Laïcité, Langage, Liberté, Loi, Loser, Lucifer, Lumières, Maçon, Mahométan, Médecine, Mental, Microbes, Multiculturalisme, Musiques, Opinion, Orgie, Ouvrier, Païens, Paix, Personne, Pierre, Peste, Peur, Porc, Porte, Propagande, Radicalisme, Raison, Réalité, Religions, République, Réseaux, Sacrifice, Satan, Seuil, Simple, Socialisme, Société, Sommeil, Spiritualité, TAO, Technique, Télépathie, Templiers, Terrorisme, Thermodynamique, Train, Transhumanisme, Universel, Valeur, Vaisseau, Vérité, Vide, Vin, Winner

 
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Le Soi est Cru-EL
car il est Maât, direct
Comme la « Face de Dieu »
on ne le regarde pas impunément,
car Il SUR-PREND, il n’y a plus d’espace-temps
pour analyser, pour aviser, ON EST PRIT DE COUR
(on est possédé par l’Instant ou Soi, soumis à Dieu).
 
 
CRUEL : Cruor, d’où dérive crudelis (cruel) ainsi que crudu (aliment cru, non digéré, indigeste), donc d’un aliment cru du temps où quelques êtres humains mangeaient CRU et mangeaient la chair sanglante et écorchée, soit la chose MAÂT, DIRECTE, sans couverture, comme dans notre social recouvert par des tonnes de couvertures (artifices)….  Cru = Seul Réel.
Le Seul Réel est CRU parce qu’il est inéluctable, INDISCUTABLEMENT RÉEL, DONC SANS POURQUOI.
 
Des individus Chrétiens et récents partisans de l’évolutionnisme traitèrent les « CRUS » OU ORIGINELS de « sauvages », au même titre que les Lions, les Tigres, etc., donc le méchant, le « terroriste » qui fait du « mal ». Mais CRU-EL signifie bien : Cru (origine) et EL le Divin (1). Et Cru sonne comme Crue : croître, l’Eau qui déborde de son lit signifiant que NOUS SOMMES « EAU » À L’ORIGINE (question de vin on parle de « cru » ou en alcool de « bouilleur de cru », ou de « cru classé », qui provient d’un seul vignoble).
ÊTRE CRU : DIRE LA VÉRITÉ ET ÇA FAIT MAL.
Gérard de Nerval notait dans un carnet à propos de la Mélancolie, donc le non-confort de la bile noire ou humeur noire : « C’est un terrible mal : elle fait voir les choses telles qu’elles sont ».
La Vérité est l’anti-confort par principe, elle rappelle le caractère insignifiant et éphémère de toute chose de ce monde. Ça c’est un premier tempo, voir l’encadré en fin de page pour le second.

Notre civilisation colonisée par sa « raison », par la technologie et son tout confort VOIT LA VÉRITÉ COMME CRUELLE, COMME ANTI-CONFORT, COMME LE TERRORISTE CRUEL QUI PROVOQUE DES ATTENTATS ET EMPÊCHE LE BUSINESS DE L’OCCIDENTAL, DONC LA VÉRITÉ ÉTANT NON-CONFORTABLE, C’EST QU’ELLE EST FAUSSE : COMME LE TERRORISTE, IL FAUT L’ABATTRE !
Le libéralisme-capitalisme EST AINSI CONTRE LA VÉRITÉ, voyez le régime républicain qui se bombarde « d’unité », « d’indivisibilité », comme une religion. Alors la Vérité doit être réfutée par le dogmatisme de tout « isme » et par les médias du régime républicain et du capitalisme, elle doit être dissimulée aux peuples qui doivent être dirigé à uniquement consommer.

Religions du SALUT = PEUR DE L’INCONNU, projection distance, chose AUTRE/AILLEURS. Comme les religions du Salut la peur est une Super Carotte au même titre que leur « fin des temps ». La PEUR est un extraordinaire outil pour tous pouvoirs, individuels ou étatiques.
Howard Phillips Lovecraft disait que la PEUR DE L’INCONNU (donc le Salut, la « fin des temps ») est la PREMIÈRE DES PEURS. Il n’est pas étonnant que les Hébreux-Juifs soient SOUS LA PEUR DE LEUR YAHVÉ, en plus colérique !
La Peur c’est PAN ou PANique : la représentation n’est ni en arrière, ni projetée en « fin des temps », elle est ICI ET MAINTENANT. Une telle COÏNCIDENCE entre le Seul réel et sa représentation aura pour conséquence la PANique : priver l’intéressé de l’espace-temps, donc de l’idéation pour prendre en considération ce qui lui arrive : paradoxalement son corps est SAISIT, ET EN MÊME TEMPS IL N’A PLUS DE CORPS, parce que le Seul Réel se présente CRUELLEMENT DANS L’INSTANT : il n’y a plus de possibilité de faire volte-face (courant électrique, tension, virer, virer-vibration, lancer, tourner, refrain, etc.) comme le fait habituellement l’humain avec son mental, sa raison.
Ainsi, en apparence, Soi Cru-El parce que PANique : aucun espace-temps pour aviser, pour « se retourner », c’est-à-dire qu’il n’y a plus d’Ailleurs, d’Autre (voir la page Paradoxe ou Singularité ++). PAN = absence de temps qui coule.


La civilisation actuelle et son colonialisme technologique rêvant depuis la découverte de l’électricité dynamique du TOUT CONFORT, rêvant depuis 1789 de « liberté » et presque uniquement de « droit » (maintenant synonyme d’ego), il est évident que cette civilisation du confort va refuser le cruel, la Vérité, d’où ses leçons de morale et de sentimentalisme à n’en plus finir, qui indique ce culte de l’ego et de la POSSESSION : UN EXCLUSIVISME PASSIONNEL, JUSQU’À L’ÉFFÉMINISATION LA PLUS COMPLÈTE POUR CERTAINS HOMMES (aspect « drag queen »), LE MASQUE ou COUVERTURE SOCIALE… Je ne suis pas certain que celui qui se fait appeler Conchita Wurst meurt à sa Persona pour renaître à l’Androgynat, pour utiliser le jargon de C.G. Jung ! J’essaye d’imaginer C. Wurst à 80 ans !…
Jésus-Christ aurait dit « Aimez-vous les uns les autres », depuis ce temps ça a nécessairement été mal compris vu l’état de notre civilisation mondiale !!! Avec le Stock exchange et la « démocratie » ça a été déformé !!! Comme Pierre Hillard, je dis aussi que cette déformation vient EN PARTIE de la « Synagogue » ! Mais ne suis pas Pierre Hillard sur le terrain de SON Église de Rome et ses curés, tant il fait catéchisme coagulé, de plus il est contre les Païens au même titre que ses ancêtres Chrétiens d’il y a presque deux millénaires !

CRUEL, comme les « sauvages » anthropophages (cannibales) les Quimbayas étaient des cannibales (supposés) qui limaient leurs dents. Des représentations de ces peuples révèlent à la fois beauté et cruauté (cruauté dans le sens actuel du droit de l’hommiste et de sa « civilisation »). Les nombreuses tribus de Colombie étaient sans cesse en lutte et toutes étaient cannibales. (Réf. Les Peuples du Soleil, de C.A. Burland, pages 160-162).
Si les Quimbayas « exhibaient des têtes humaines comme trophées, plantés sur des pics », les républicains de la seconde quinzaine de juillet 1789 faisaient de même avec les têtes coupées piquées dans des piques, ci-dessous : à gauche le marquis de Launay, gouverneur de la Bastille ; L.F. Bertier de Sauvigny et Joseph François Foullon (Dessin exécuté d’après nature par le peintre Girodet. B.N., estampes).
Plus récemment, voir le martyr de Mouammar Kadhafi provoqué par ces mêmes républicains (leur opinion), croyant posséder la vérité ; ce républicanisme nommé « communauté internationale » (entendre ”République universelle” judéo-maçonnique spéculum).


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Howard Phillips Lovecraft dans ses récits est un poète de la CRUAUTÉ INSÉPARABLE DE LA BEAUTÉ QUAND IL Y A LE CONTRAIRE DU CONFORT SI EXALTÉ À NOS JOURS, QUAND IL Y LE CONTRAIRE DE L’EGO ARRIVÉ À LA MÂTURITÉ EN 1789. Je ne range pas le sadisme et Sade au Thème cruauté, tant le sadisme est artificiel, pensé corporel.
Je dis que l’étatisme de ce régime républicain est cruel, MAIS SANS BEAUTÉ. Le régime monarchique était, à certaines époques, très cruel et nettement SADIQUE, tout en étant un régime étatique qui ne manquait pas de beauté. Bien-sûr, voir écarteler le pauvre Damiens n’était certes pas une « beauté » bien qu’il devait y avoir un grand nombre de spectateurs pour se délecter de cette véritable boucherie SEULEMENT OBSCÈNE, SADIQUE, de par ce régime monarchique en fin de vie.
La boucherie sadique envers le pauvre Damiens EST PIRE que la cruauté supposée des Quimbayas que l’on traite surement de « sauvages » parce qu’ils mangent peut-être leurs frères et sœurs humains.
 
RAPPEL : les deux interdits majeurs de l’ère du Néolithique, de sa sédentarité (civilisation) sont : le cannibalisme et l’inceste. En soi-disant se « libérant de Mère Nature », donc du cannibalisme et de l’inceste (qui existe encore), l’être humain fabriqua la religion de l’homme ou « humanisme » façon époque Renaissance.

- Question : La société [et sa civilisation] a-t-elle raison lorsqu’elle punit de mort un assassin ? Étant principalement en étatisme depuis le Néolithique, cet État a-t-il le droit de tuer le criminel ? Si les pays chrétiens croient que c’est une erreur, comment la France qui orgueilleusement se bombarde de « Fille aînée de l’Église » depuis Clovis et blablabla a-t-elle laissé martyriser le pauvre Damiens ?
- Maharshi : Qu’est-ce qui a poussé l’assassin a commettre le crime [par exemple Damiens avait seulement blessé Louis XV d’une blessure sans gravité]. Le même pouvoir lui infligera également la même punition. Que ce soit la société ou l’État, tous deux ne sont que des instruments entre les mains de ce pouvoir [le drame de TOUT pouvoir]. […] Que dire alors des millions de vie qui disparaissent durant les guerres [provoqué par les États] ? […] Mais pour un homme réalisé, celui qui demeure toujours dans le Soi, le perte d’une seule vie, de plusieurs vies ou de toutes les vies dans ce monde ou dans les trois mondes ne présente aucune différence. Même s’il est amené à les détruire toutes, aucun péché ne pourra atteindre cette âme pure.

Le Maharshi cite alors la Bhagavad-gîtâ, chapitre 18, Verset 17 : « Celui qui est délivré de la notion de l’ego, dont l’intellect n’est pas conditionné, celui-là, même s’il détruit tous les mondes, ne tue pas, pas plus qu’il n’est enchaîné par les conséquences de ses actions ». (Réf. entretien 17, du 24 janvier 1935).

Bizarrement, dans cette « civilisation » où beaucoup de gens bouffent encore de la viande animale, certains parlent de « cruauté animale » ! C’est du même Thème que le « harcèlement sexuel » (big hérésie de cette culture du narcissisme), l’anti-racisme, l’anti-ceci et l’anti-cela allant avec le phénomène « droit » (”raide comme la justice” et plus personne n’a de « devoir », en laïcité ça doit faire trop « catholique », trop anti-capitalisme ! Pourtant on parle « d’extrême droit(e) », mais pas encore « d’extrême DEVOIR »).

L’AMOUR CRUEL, VOIR DÉMONIAQUE : « O mon unique amour né de ma seule haine », s’écrie Roméo à sa Juliette. Il est vrai que l’on TOMBE amoureux comme la Chute appliquée à l’éjection du Paradis d’Adam-Ève qui eux aussi « tombèrent ». Peut-être que c’est depuis ce temps là que la gravité existe et qu’elle fait tout « tomber », de ce fait, depuis les êtres humains S’ENVOIENT EN L’AIR PAR TOUS MOYENS, SURTOUT MAINTENANT EN POUVOIR D’ACHAT (y compris de drogues) ! On tombe en extase et aussi en disgrâce : les politiques peuvent « tomber » !

Comme écrit en début de page, CRU-EL = Religions du Salut, tenir par la Peur de l’Inconnu, peur de l’Ailleurs Super Carotte ; d’ailleurs les enfants non encore atteint par l’adultisme ne s’y trompe pas en jouant à se faire peur ou en aimant un héros tel Dark Vador.
Inversement le CRU-EL est le killer de l’Ailleurs, de la « fin des temps » ; le killer de tout ce qui ressemble à de l’ESPOIR (même,Thème de la Super Carotte). L’Autre, l’Ailleurs, tout ce qui vise à atténuer la cruauté, ce qui vise à apporter le CONFORT comme le fait tant notre actuelle civilisation, et qui cherche à atténuer la CRUAUTÉ DE LA VÉRITÉ, À ATTÉNUER LE SEUL RÉEL.
 
 
« Les ennuis ne surgissent que lorsqu’il y a un autre que soi-même. Lorsqu’on réalise que l’âtman [Soi et soi] est unique, il n’existe plus de second, et il n’y a donc plus de raisons d’avoir peur », dit Ramana Maharshi à l’entretien 58. Oui, parce que la peur provenant de l’INCONNU, on ne peut craindre que ce que l’autre peut : faire, dire, penser. Si on y introduit le : Dura lex sed lex : realitas crudelis sed realitas, alors ce n’est plus le Soi, le CRU-EL NE PEUT PAS être le contraire de la Félicité ! Si c’est CRU, c’est le corps, le sang, la DOULEUR. Le CRU ne peut venir que du corps commençant à se coaguler, à devenir NOM-LA-FORME, À COMMENCER À SORTIR DE L’EAU PRIMORDIALE.
LA SEULE RÉALITÉ NE PEUT EN AUCUN CAS ÊTRE CRU-EL. Contradiction totale avec le titre de cette page. Perdition dans les esprits avec la phrase devenue à la mode, notamment chez les politicards, telle : « On ne vit pas dans le monde des Bisounours », expression de WINNERISME (un seul pôle du courant) pour tenter de faire passer l’illusion de ce qu’on appelle « réalité » pour du « vrai », ce « vrai » en l’état actuel de notre civilisation étant aussi cruel qu’il y a 250 ou 10.000 ans !

Le Soi paradoxalement n’est pas CRU-EL : IL EST LA FÉLICITÉ. Comme l’explique R. Maharshi à l’entretien 96 à propos d’une peur de la séparation de l’esprit d’avec le corps ou peur de perdre son individualité (2) si chère en ce moment : « Qui a peur ? Tout cela est dû à l’habitude d’identifier le corps [ou mental] avec le Soi. Si l’expérience de la séparation entre le corps et l’esprit se répète souvent, elle vous deviendra familière et la peur cessera ».
Cette remarque du Maharshi est ESSENTIELLE ! Et rejoint LA PEUR DU VIDE : disparition de l’opinion et du mental. Oh ! quelle horreur ! On perd ses bagages sentimentaux, on perd ses repères, on perd ses dogmes. Et les dogmatismes seront d’autant plus intraitables qu’ils seront enracinés profondément dans l’inconscient, alors tout danger de ne plus y croire va créer la PANique devant le VIDE, devant la possibilité de ne plus avoir de raison de vivre, donc DE NE PLUS AVOIR DE CAROTTE, DE SALUT, POUR AVANCER ! ET ÇA C’EST PAS BON POUR LE BUSINESS ET SON POUVOIR D’ACHAT ! C’EST PAS BON POUR LE SOCIAL ET SON SERVICE D’ORDRE !
Le Vrai mystique, ou Vrai Libéré vivant comme Ramana Maharshi ne peut pas tomber dans le CRU-EL ou PANique, parce qu’il ne vit plus d’Ailleurs ou de distance : il ne croit pas au dogme, il est MAÂT, direct, sans dualité sujet-objet, sans idéation, c’est pourquoi il vit la Félicité : la Vraie Paix, « Cet état seul existe et il est constamment ressenti [étant l’Instant ou Ici et maintenant] » (R. Maharshi, entretien 28).
À l’entretien 106 : « La Félicité n’est pas quelque chose à atteindre. VOUS ÊTES TOUJOURS LA FÉLICITÉ. Le désir de Félicité provient de votre sentiment d’être incomplet. Qui éprouve ce sentiment ? »

À l’entretien 146 le Maharshi dit que la peur n’est qu’une pensée. « S’il y avait quelque chose d’autre que le Soi, il y aurait lieu d’avoir peur [ça rejoint l’Ailleurs, l’Inconnu, évoqué sur toute cette page]. Qui est celui qui voit quelque chose d’autre, extérieur à lui-même ? C’est l’ego qui s’élève en premier et qui considère les objets comme extérieurs. Si l’ego ne s’élève pas, le Soi seul existe et reste sans second (sans manifestation extérieure). Toute chose extérieure suppose un spectateur intérieur. En cherchant à l’intérieur, tout doute, toute peur - non seulement la peur, mais toutes les autres pensées centrées autour de l’ego - disparaîtront en même temps que celui-ci ».


 
Notes.
1. La Bible : « Depuis le premier chapitre jusqu’au dernier, les traducteurs des livres sacrés des Juifs ont faussement interprété le sens des textes. Ils ont changé l’orthographe du nom de Dieu, comme le prouve Sir William Drummond. Ainsi EL, correctement écrit, devrait se prononcer AL car dans l’original il y a AL. Or,  d’après Higgins, ce mot signifie le dieu Mithra, le soleil, le conservateur, le sauveur. Sir W. Drummond montre que Beth-El signifie la maison du Soleil, en traduction littérale, et non de Dieu. « El, dans la composition de ces noms Chananéens, ne signifie pas Deus mais Sol » (note : W. Drummond, Œdipus judicus, p. 250). C’est ainsi que la Théologie a défiguré la Théosophie antique et la Science l’ancienne Philosophie (note : Les premiers Pères de l’Eglise et les théologiens qui les ont suivis se sont trouvés dans l’absolue nécessité de commettre ces pieuses fraudes. C’est évidemment parce que, s’ils avaient laissé subsister le mot AL tel que le donne l’original, il devenait trop clair, sauf pour les initiés, que le Jéhovah de Moïse et le Soleil étaient identiques. Les multitudes ignorant que les anciens hiérophantes ne considéraient le soleil visible que comme un emblème du soleil central invisible et spirituel, auraient alors accusé Moïse, comme l’ont fait d’ailleurs beaucoup de commentateurs, d’adorer les corps planétaires et, en un mot, de s’être rendu coupable de Sabianisme [Sabéisme ?]).
Faute d’avoir compris ce grand principe philosophique, les méthodes de la science moderne, quoique exactes, n’aboutiront qu’au néant ».
(Isis dévoilée, de H.P. Blavatsky, page 70, volume 1).

2. « En face de ce redoutable prodige, le fragment Carter oublia l’horrible anéantissement de son individualité. Cette entité était un tout en un et un en tout, un être à la fois infini et limité [le Inné-Igné] qui n’appartenait pas seulement à un continuum d’espace-temps, mais faisait partie intégrante de l’ultime essence motrice du maëlstrom éternel des forces de vie, de l’ultime maëlstrom sans limites qui dépasse aussi bien les mathématiques que l’imagination », écrit H.-P. Lovecraft dans Démons et Merveilles.
 
 

Dernière mise à jour : 28-01-2018 20:42

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