La Religion du Désert matérialiste
 

Ecrit par Sechy, le 24-05-2018 23:35

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Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Capitalisme, Catastrophe, Chan, Chimère, Christ, Circoncision, Confort, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Fétiche, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Klan, Lait, Langage, Liberté, Lucifer, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Phallus, Pierre, Porte, Puce, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Vérité, Vide, Vieux, washingtonisme, Yokaï

 
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La Religion du Désert matérialiste
Désert ou RATIONNEL TUEUR.
Les Hébreux/Juifs et leur
MENSONGER DÉSERT-MARCHANDISE.

CA-NADA [de l’espagnol ”rien”] :
Ici rien, déclarèrent les premiers
cartographes espagnoles :
Aqui no hay nada, aca nada (Canada),
Comme dans le désert où il n’y a rien,
le Canada n’existe pas,
il est VIDE, parfait symptôme de
LA DUALITÉ HUMAINE EN NÉANTIFICATION :
on tue le microbe ou l’impure, ou
la « mauvaise herbe » pour
ne posséder que le pur.



DÉSERT ou EAU PRIMORDIALE INVERSÉE (renversée dans le sable du désert)
 
 
DÉSERT CONTRE JARDIN (Jardin = abondance ou énergie libre, éternelle et gratuite). Fausse richesse du désert contre Vraie Richesse du Jardin.
Et MÊME PARADOXE QUE L’INTERNET, QUI PERMET À LA FOIS LA « LIBRE PENSÉE » ET LE CONTRÔLE ABSOLU DE L’INTERNET ET DE CETTE PENSÉE PAR LE POUR-VOIR (ceux qui se prétendent « savoir » et surtout qui « décident » parce qu’ils en ont les moyens financiers).
Le sénateur Jay Rockefeller disait : « Nous n’aurions jamais dû inventer internet… ». Internet, ce SUPER GRÉGARISME MONDIAL (du style publicitaire : ”Rejoignez-nous sur Facebook”… ou le ”Vivre ensemble”…) ; COLLANT, MAIS COLLANT, MAIS COLLANT COMME SONT DÉSORMAIS TOUT LE CONNECTÉ ET SON « SOCIAL » (en réseaux virtuels) ET SON « TOUT INTELLIGENT », SOIT L’IGNORANCE TOTALE EN MARCHE.
 
Ciel et Enfer, deux illusions qui existent seulement par l’ego, donc par l’opinion.

RATIONNEL TUEUR : un Grec de l’île de Crète affirme « Je suis un menteur ». S’il l’affirme, il dit la Vérité, par conséquent il ne ment pas. Si ce qu’il dit (semble à 1ère vue vrai, à savoir qu’il n’est pas menteur), n’est pas vrai ou est faux à la 2ème vue ; puisqu’il dit « Je suis un menteur », à la 2ème vue, il ment ! ou bien : « il ment vraiment » ! C’est un vrai menteur.

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Il faut croiser. De toutes façons quelque soit la logique et par n’importe quel bout, le contraire de la Vérité étant le mensonge, on tombe là dans la dualité absolue qui n’a pas de fin et ne boucle pas ! C’est un puits sans fond, comme toute opinion ou polémique, exactement comme le travail du chapeau ou mental des Hébreux-Juifs et de leurs prêtres judéo-maçonniques à spéculer, ou à masturbation mentale.

La religion de l’abrahamisme prend racine dans le désert, là où rien ne pousse, mais suivant le rationnel tueur ci-dessus, cette religion du désert nous a donné ce MONDE HYPER MATÉRIALISTE ET CAPITALISTE, donc le contraire d’une zone désertique !
Symboliquement le désert devrait évoquer l’indifférenciation principielle, ou étendue superficielle, stérile, sous laquelle devrait être recherché le Seul Réel ; comme mettre les compteurs à zéro ou pratiquer la tabula rasa bien connue de toutes révolutions vendeuses de « liberté ».
L’Ismam et les Hébreux surtout en quête de l’Essence lorgnent vers « la terre promise », soit la quête du Graal, ou plus simplement la Réalisation du Soi. Évidemment, et depuis le temps, nous devrions vivre tous dans le JARDIN du Soi ; or nous vivons dans son contraire : l’enfer en forme de désert inversé du chaos organisé par ces mêmes religions du désert ou religions abrahamistes, avec leur calice ou Vase Graal pétrole !!! Source de conflits à n’en plus finir.

Prêcher non pas DANS mais POUR le désert en cette inversion du rationnel tueur cité plus haut - sinon et encore une fois nous n’en serions pas à notre état actuel - est cette sournoiserie de « déité dans le désert », pour faire référence à Angelus Silesius qui lui aussi rêve de non-dualité.
Le même paradoxe se retrouve d’ailleurs dans le livre de cette religion : l’Ancien Testament, où le symbole du désert est l’un des plus fertile, et qui va nous conduire au capitalisme et matérialisme actuel, donc en inversion totale comme ce rationnel tueur à la grec !

L’inénarrable Jacques Attali, conteur hors pair de conneries (1), explique en dernière ligne de : Les Juifs, le monde et l’argent, cette rationalité tueuse d’un désert « productif » qui annonce aussi le Super Grégarisme et ses « réseaux sociaux » du Big brother : « Au moins, que l’histoire des Juifs, du monde et de l’argent enseigne cette leçon : tout homme a besoin des autres pour être sauvé », donc il professe LE CONTRAIRE DE LA RÉALISATION DU SOI, LE MÊME SENS DU GREC MENTEUR QUI AFFIRME QU’IL NE MENT PAS, OU QU’IL DIT LA VÉRITÉ !

Pour Matthieu 12, 43 et Luc 8, 29, le désert signifie pour l’humain le « monde éloigné de Dieu », et repaire des Démons, aussi lieu du châtiment d’Israël (Deutéronome 29, 5) et de la tentation de Jésus-Christ (Marc 1, 12).

Qui dit désert dit rigueur, sérénité puisqu’il n’y a rien en principe dedans, et comparable à une mental dominé, vide. Mais ces religions abrahamistes du désert sont tombées dans la dualité winner-loser et vendent toutes leur côté winner, leur côté désert, en évacuant la Nature de toute présence divine (les arbres, les montagnes etc.). Pour ces religions la « région pure » est par essence et seulement le désert, car c’est là qu’Israël ou les Hébreux sont fidèle à leur Dieu colérique de tribus.
Ces religions abrahamistes du désert qui désacralisent la Nature, qui dévalorisent toute spiritualité cosmique, pour le judaïsme inspirateur de l’islamisme, c’était seulement un projet POLITIQUE : la réponse des prophètes hébreux aux crises politiques qui menaçaient l’existence même des deux royaumes hébreux. Le danger était considérable et immédiat.
La spiritualité cosmique, comme celle de l’Inde, encourage que la vie est éternelle, et donc que la nation ou l’État peut continuer à vivre en dépit des crises de l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule). Bref, les prophètes hébreux ne voulaient que la vie ici-bas, donc l’urgence politique, parce qu’ils ne croyaient pas à une vie après la mort terrestre, et donc ils craignaient la disparition de leurs royaumes. « Les prophètes n’arrêtaient pas de prédire afin de pouvoir modifier le présent, en transformant intérieurement les fidèles », explique Mircea Eliade dans Histoire des croyances et des idées religieuses, exprimant par là la manipulation politique des masses toujours hautement active à notre époque.

Le symbole du désert est AMBIVALENT : la stérilité ou sécheresse sans Dieu ; la fécondité avec Dieu, mais due à Dieu seul, comme S’IL ÉTAIT EXTÉRIEUR À CE DÉSERT. Mais au final le désert est SIMPLEMENT UNE MATÉRIALISATION DU SOI OU INSTANT, UNE MATÉRIALISATION DE DIEU OU VÉRITÉ. AINSI, IL N’EST PAS ÉTONNANT QU’AVEC CES RELIGIONS DU DÉSERT NOUS NOUS RETROUVIONS DANS CE MONDE DU CHAOS CONTRÔLÉ ET D’UN MATÉRIALISME INFERNAL. TOUT EST PARTI DE TRAVERS.

Voici ce qu’exprime Prahlâda, un des nombreux fils du Roi-démon Hiranyakasipu vivant en Enfer : « Hélas ! que mon père a été bête et ignorant de se contenter et de se satisfaire de cette existence physique [et matérialiste à la Juif] ! Qu’a-t-il gagné en vivant une longue existence et en régnant sur cette boulette de boue du nom de Terre ?
La joie que peuvent procurer même d’innombrables mondes semblables n’est rien comparée à la Félicité du Soi. Un déshérité qui a cette connaissance du Soi possède Tout. Qui abandonne Cela pour rechercher autre chose n’est pas un homme de sagesse. Il n’y a aucune commune mesure entre cette existence physique mortelle (comparable à un désert aride, et qui rejoint le rationnel tueur ci-dessus) et la Félicité de l’illumination (semblable à un délicieux JARDIN D’AGRÉMENT) ! La souveraineté du monde ainsi que tous les éléments que contiennent les trois mondes, se trouvent au sein de la Conscience. Pourquoi les gens ne découvrent-ils pas par eux-mêmes la Vérité qu’il n’est rien hors de la Conscience ? [Donc c'est désert...] »

Description de l’ÉNERGIE LIBRE, ou le Soi-Instant, par Prahlâda : « Tout, partout et à tout moment, s’obtient facilement par la Conscience qui est omniprésente et indifférenciée. […] L’unique Conscience cosmique, qui ignore Elle-même la division et la modification. Ainsi que le soleil répand sa lumière sur toutes choses sans distinction, cette Conscience cosmique [celle que voulaient contrer les prophètes hébreux] les éclaire sans distinction, instantanément et spontanément en tant que le Soi propre à tous les éléments de l’univers.
[…]
Ce Soi habite tous les corps, ainsi que la flagrance réside dans les fleurs. Il n’est pas réalisé par tous parce que personne ne s’interroge sur la Vérité relative à soi. S’il est réalisé par l’investigation quant à la nature du Soi [par le « Qui suis-je ? »], il y a expérience instantanée de la Félicité suprême et l’on obtient une vision de la Vérité qui jamais ne mourra. Toutes les entraves tombent, tous les ennemis sont étouffés et les désirs cessent d’agiter le mental. Lorsqu’on Le voit, Tout est vue ; quand on L’entend, Tout est entendu ; quand Il est touché, Tout est touché, car le monde EST parce qu’Il est. Il est réveillé même quand on dort. Il incite les insensés à sortir de leur léthargie. Il enlève la douleur de ceux qui souffrent et accorde tous les objets désirés. ”Dans cette création, Il existe à la façon d’un jiva (âme individuelle). Il paraît goûter les plaisirs et semble se dilater dans les objets de ce monde” (Yoga Vasistha V, 35) », du Yoga Vasistha, partie La Dissolution.

PRIÈRE AU SOI (extraits de la prière de Prahlâda).

Ô Soi, délivré du sentiment de l’ego salut à toi. Ô Soi, en qui les sens épouvantables et le mental insatiable ont atteint la quiétude, salut à toi. Ô Soi, en qui le lotus de la Félicité est parvenue à pleine floraison, salut à toi. Ô Soi, dont les deux ailes son la Conscience et son Reflet, et qui loge dans le Lotus du Cœur, salut à toi. Ô Soi, soleil qui dissipe les ténèbres de l’ignorance à l’intérieur du Cœur, salut à toi. Ô Soi, initiateur de l’amour suprême et sustentateur de toutes choses dans l’univers, salut à toi.
[…]
”Ô Soi, la distinction entre Toi et moi [le ‘je’ ou ego] est purement verbale, comme celle qui existe entre le mot et la substance qu’il désigne. La distinction est irréelle et imaginaire, comme la distinction verbale entre la vague et l’eau de la vague” (YV V, 36). Au vrai, Toi seul est déployé en tant que l’infini variété des objets créés qui donnent l’impression d’être au sein du monde.
Salutations à celui qui voit, à celui qui fait l’expérience. Salutations à l’unique qui crée, à l’unique qui se dévoile et se développe en tant que toutes les choses. Salutations à Cela qui est la Réalité intime de Tout. Salutations à l’omniprésent. Hélas ! du fait de Ton identification avec l’incarnation [surtout juive...], ô Soi, Tu avais, pour ainsi dire, oublié ta propre nature. Il te fallut donc subir d’innombrables souffrances au cours de naissances à répétition en faisant l’expérience des perceptions extérieures sans la connaissance de soi. Ce monde extérieur n’est rien de plus que de la terre, du bois et de la roche. Ô Soi, dans tout cela il n’est de Réalité que Toi seul. une fois obtenue la connaissance de soi, on n’aspire à rien d’autre… »


”Quel rapport peut exister entre Nous (le Soi) et les désirs jaillis de notions d’existence et d’inexistence, ainsi que des sens ? Qui ou quoi ligote l’espace et par qui le mental est-il ligoté ? ” (YV V, 35). Le corps serait découpé en mille morceaux que le Soi ne serait pas blessé. Si le pot est pulvérisé, l’espace qu’il contenait n’est pas détruit. mais si ce démon de mental - qui n’existe qu’en tant que mot sans être réel - cesse d’être, que perdons-nous ? naguère il y avait un mental qui consistait en notions de bonheur et de malheur ; mais maintenant qu’ont cessé toutes les notions de ce type, où est mon mental ? Quel insensé nourrissait des pensées telles que « On apprécie un autre », ou « On saisit un autre », ou bien « On subit une calamité » ? La Nature seule apprécie, le mental saisit ou comprend, la souffrance appartient au corps, le pervers est un insensé ; mais chez celui qui a obtenu la Libération, ne se trouve aucune de ces choses », exprime Prahlâda.

Effectivement, le drame de ce monde ne provient que DE CHACUN DE NOUS, DE NOTRE EGO : cet ego qui est notre propre création, qui ne nous a pas été imposé de l’extérieur, du moins à l’Origine de notre naissance, toutefois en y ajoutant l’inévitable hérédité (si on se considère « né ») ; mais avant tout cet ego ou « moi je » est créé par nos réactions À TOUTES LES CHOSES QUI NOUS ENTOURENT. Cet EGO OU ABSENCE DE BLINDAGE, qui de ce fait sera PARASITÉ DU BERCEAU À LA TOMBE PAR DES CONCEPTIONS AFFECTIVES ET SENTIMENTALES ET DONC TOTALEMENT ILLUSOIRES.

Enfin, dans le désert il n’y a rien, chose que semblaient adorer ces religions du désert comme le judaïsme et l’islamisme, or de ces religions découle maintenant LE SUPER GRÉGARISME, LE SOCIAL, SES RÉSEAUX ET SON OPINION NÉCESSAIREMENT TOUJOURS GUERRIÈRE ET INTERMINABLE. Cet autre ou cet extérieur, cette dualité, ou relativité tueuse du Soi-Instant. LE DÉSERT EST DONC REMPLI MAINTENANT D’UN TAS DE SALOPERIES…. LES RELIGIONS DU DÉSERT ONT RÂTÉ LEUR COUP QUESTION DU SOI-INSTANT OU « Je suis ce JE SUIS », comme « la Terre promise » le Soi a été confondu avec l’actuelle Palestine colonisée par les Talmudistes appâtés de « terre-carotte ». Le désert en rationnel tueur façon « logique » du Grec menteur a fait bien des ravages depuis des millénaires.
Ce désert de SILICE qui nous a fourgué la « Silicon Valley » et l’infernale colonisation de ce monde par la technologie informatique et son tout connecté remplaçant jusqu’aux religions du désert par son social avec sa NOUVELLE ÉGLISE FACEBOOK : « l’autre face de Dieu » comme écrit Attali page 693 de son livre cité, c’est-à-dire l’argent : « l’obsession juive [donc comme celle du fondateur de Facebook] de ne considérer la fortune que comme un moyen de réaliser d’autres exigences », de matérialiser, de fabriquer de la dualité, de fabriquer du temporel ou HOTC…

Si selon Attali « l’argent est l’autre face de Dieu [juif] », et si, toujours selon Attali, « comme Dieu [Juif] remplace le polythéisme, l’argent se substitue au troc [simple changement de packaging], comme lui, il SE substitue à la violence, au sacrifice, aux représailles » ; mais alors, Monsieur Attali, pourquoi le monde actuel s’enfonce toujours plus dans le chaos, les conflits et la violence ???
Ce Dieu juif d’Attali et des Hébreux-Juifs est un imposteur, c’est bien le démiurge malade des Gnostiques. Il n’y a pas pire matérialiste qu’un talmudiste comme Jacques Attali, par ailleurs guru de maints politicardés français.
 
 
David R. Olson dans : L’univers de l’écrit - Comment la culture écrite donne forme à la pensée : « Mais il semble peu douteux que l’écriture et la lecture aient joué un rôle essentiel dans la genèse d’un bouleversement, par lequel nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée [donc le RE et une distance entre]. Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, pourrait-on dire, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier ».
« Les signes ont été considérés au Moyen-Âge comme faisant intrinsèquement partie des choses, tout comme leur nom ; au 17è siècle, les signes deviennent des « modes de représentation ». Les représentations finissent par être radicalement distinguées des choses représentées ».
La digitalisation ou numérisation du monde commençait… et sans ordinateur… LA DÉGRADATION COMMENÇAIT… LE DÉSERT DE L’IGNORANCE SE CONCRÉTISAIT (le sable de l’ignorance commençait à remplir le désert et à assécher l’Eau Primordiale : LE JARDIN ÉTAIT PROGRESSIVEMENT REMPLACÉ PAR LE DÉSERT, TOUT DEVENAIT TERRIBLEMENT SEC-SECURISATEUR-BIG-BROTHER EN PURIFICATION INVERSÉE, DIGITALISÉE).

Le désert est maintenant rempli de grains de sable : l’ego de chacun de nous en grumeaux ou grégarisme de cette culture du narcissisme. C’est évident depuis l’après 1789 comme l’écrivait un C.G. Jung dans : Aspects du drame contemporain : « Longtemps avant l’ère hitlérienne, de fait déjà avant la première guerre mondiale, se manifestèrent les premiers symptômes de la transformation spirituelle de l’Europe : le cosmos du Moyen-Âge s’effritait depuis longtemps [depuis la Renaissance et commençait bien avant depuis l’effondrement de l’Empire romain et l’invasion par les « barbares », les épidémies] et l’autorité métaphysique qui présidait à ses destinées s’évanouissait pour réapparaître dans l’homme lui-même [mais évidemment sous la forme de l’exacerbation de l’ego, ce que ne précise pas Jung] ». Ces constations de Jung du gouffre s’élargissant entre monde céleste et le monde terrestre individualisé-ego actuel sont aussi remarquées par Hyacinthe Dubreuil dans : J’ai fini ma journée, de nombreuses fois cité sur le site, et évidemment remarquées par Jean Coulonval. Les conséquences de cela sont simples : l’argent…


À suivre…  

[Voyage en cette dimension en compagnie de Vasistha (ou Vasishtha), un des grands Sages de l’ère du manvantara. Énorme merci à son traducteur le Swami Venkatesananda (1921-1982). Hymnes composés par Vasishtha dédiés à Agni (Igné-Inné…]
 
 
Note.
1. Dans son livre sur l’argent et les Juifs, il écrit page 692, que son Dieu est celui de tous et qu’il est une invention ou copyright des Hébreux : « Leur première découverte est celle de l’unicité de Dieu. Une telle percée ne pouvait être faite que par des nomades : en voyageant, ils transportaient leurs Dieux [comme si c’était un truc extérieur] ; ceux-ci finissent nécessairement par se fondre en un seul, pour être transportable [incroyable ! mais pas tant que ça, car ce Dieu C’EST L’ARGENT qui n’a pas d’odeur parce qu’il est accepté partout où il passe, qui va refuser un tel Dieu ?] Ce Dieu étant désormais partout avec eux [comme notre carte bancaire ou votre tétéphone portable], il n’est plus le Dieu d’un territoire, mais forcément aussi des lieux qu’ils traversent [donc il s’agit bien d’un Dieu EXTÉRIEUR] : leur Dieu ne peut qu’être celui de tous [donc l’argent] », d’ailleurs Attali poursuit dans les lignes suivantes par l’invention par les Hébreux-Juifs de la monnaie, puis du chèque, de la lettre de change, et jusqu’au billet de banque.

Les Hébreux-Juifs, comme leurs suiveurs les Mahométans sont des COPIEURS, DES SUIVEURS. Les Hébreux n’inventèrent pas un « Dieu unique », leur Dieu qui apparaît à une époque comme chez nous le « Nouveau, vu à la télé ! », or Dieu ou le Soi, le Tout, est atemporel : l’envahissement réel de l’être humain pas Dieu, ne peut qu’être atemporel puisqu’Il est Dieu, comme l’écrit si bien résumé Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ». Coulonval décrit ainsi la définition de l’Ainsité.
 
 

Dernière mise à jour : 26-05-2018 01:19

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