Réaliser le Soi ou Visualisation des Viscères
 

Ecrit par Sechy, le 31-05-2018 21:45

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Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Capitalisme, Catastrophe, Chan, Chimère, Christ, Circoncision, Confort, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Fétiche, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Klan, Lait, Langage, Liberté, Lucifer, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Phallus, Pierre, Porte, Puce, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
visc_espritcoeur.jpg
 
 
Réaliser le Soi ou Visualisation des Viscères
donc
ÉCLAIRER LES VISCÈRES au lieu d’éclairer le
mental comme le vendent les perruques poudrées
en leur siècle des « lumières ».
Ces perruques qui veulent exalter la chair(e) et
cher pour aboutir à UNE VIANDE GÂTÉE
ou
GRILLÉE À POINT QUI DEVIENDRA UNE
DROGUE HÉBRAÏQUE (Holocauste) en vente partout.
 
 
anipucsac1.gifPage précédente : Corps du délit : Yahvé démiurge gnostique

La chairté de la vie : chair (la carne) et chaire (le mental), soit le mental n’use que si l’on s’en sert : les tripes ou viscères à la mode des « lumières » du CAC 40 et de leurs perruques poudrées du 18è siècle. Le Christianisme parlant du « Verbe fait chair » à propos du Réalisé ou Christ ou Soi enduit d’erreur sur le sens du corps et de la chair et chaire ! Le judaïsme d’Ézéchiel 36, 26 parle de « cœur de pierre » à transmuter en « cœur de chair » (ou chaire et cher ou couteux, goûteux ?? comme manger le cœur de son ennemi pour posséder ses forces…) ; toujours cet aspect matérialiste ou de noms-les-formes. La laïcité à la française et son « humanisme » façon protestantisme et judaïsme ensemble voudrait unifier, comme sa république, chair(e) et divin (comme unifier oui et non produisant du faux, ou de la viande trop grillée, ou de l’artifice, du virtuel).
 
Chair et chaire, parce qu’en Occident tout est dirigé-digéré en mental : introspection intellectuelle ou morale, nous le vivons chaque jour actuellement avec un sentimentalisme exacerbé et une morale qui pue.
VISCÈRE : généralement au pluriel, car désigne tout organe contenant les cavités crânienne, thoracique, abdominale, cerveau, cœur, estomac, foie, intestin, poumon, rate, rein, utérus ; donc les entrailles ou boyaux, les tripes en général.
En Taoïcité réaliser le Soi = apprendre à les ressentir, ainsi que les esprits qui habitent le corps : voir iceux les fixes et les rassembles. En Taoïcité il s’agit de « rendre le ventre lumineux », une variante de la Nourriture Prânique consistant à absorber de la mousse ou de la Rosée du matin parce qu’elles sont censées rendre la vue claire (sens de connaissance), et de l’herbe qui éclaire les démons et rend le ventre lumineux (le mental lumineux).
Dans le Jardin des Hespérides les Pommes sont typiquement un éclairage des viscères : ceux qui sont ainsi éclairés n’ont plus jamais faim, n’ont jamais de douleurs et de maladies, et ces Pommiers poussent tout le temps.
« Éclairer les viscères » désigne aussi la méditation, les exercices du souffle. « Parmi les bienfaits qu’apportent les techniques de méditation, les textes promettent couramment une vision lumineuse et des yeux perçants : plus les yeux sont brillants, plus ils éclairent, et si on tourne alors le regard à l’intérieur, ils permettent de voir les entrailles (en rapport avec la technique du Secret de la Fleur d'Or).
Le Taoïste doit se voir soi-même, être à soi-même son propre miroir ; il se replie, se retourne sur lui-même pour se voir en sa forme de lumière [le Soi], forme divine, corps habité pas des Dieux [les organes] », écrit Isabelle Robinet dans : Méditation Taoïste, chapitre Le Livre de la Cour jaune, et définissant par là le Thème de la Réalisation du Soi, comme l’expose aussi les écrits taoïstes du Secret de la Fleur d’Or.
 
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Viscères vus côté gauche (Sieou tchen che chou, k.18 - Tao tsang 125)
 
 
« Si les viscères sont gâtés, les esprits s’en vont », prévient Ho-chang kong ; bref, on pète ! Lao-tseu écrivait qu’il fallait remplir le ventre et vider le cœur, donc approche contradictoire par rapport à Ézéchiel cité plus haut ! Bref, les viscère sont un trésor : PAO (sens de trésor, de préserver).
 
 
 
 
Vasistha (Yoga Vasistha) dit qu’amusé par la vision d’un corps, le Soi se met à nourrir l’idée qu’il est devenue ce corps. « Tous les éléments constitutifs de l’illusion du monde prennent naissance comme un mirage dans le désert ». Illusions portant le nom de mental, capacité de discrimination, sentiment de l’ego, tendances latentes et les sens. Mental et ego sont une seule chose : « la distinction entre les deux est purement verbale. […] Seuls les ignorants pensent que l’un naît de l’autre, comme des gens ignares pourraient affirmer que la blancheur est née de la neige ». Si l’ego cesse, le mental cesse du même coup. « En conséquence, au lieu d’entretenir les opinions d’asservissement et de libération, abandonne tout désir et, par le biais de la sagesse et de la quiétude, provoque la cessation du mental. Si même le souhait « Que je puisse être libéré ! » se manifeste en toi, le mental est activité [et donc ses désirs] ; et, nourrissant d’autres notions, le mental crée un corps. Alors apparaissent d’autres concepts comme « Je fais ceci », « J’aime ça » et « Je sais cela ». Tous ces concepts sont aussi irréels qu’un mirage dans le désert ».

« Quand on se demande sincèrement « Ce corps n’étant que substance inerte, pourquoi chercher à le gratifier par le plaisir ? » toutes les faims et les soifs retombent. […] Il [le sage de la connaissance du Soi] est illuminé et cette lumière intérieure [voir plus haut les viscères et leur lumière…] brille en lui d’un vif éclat. Il voit dans le Soi le Soi de tous les êtres omniprésent, le Seigneur de toutes choses qui, bien que dénué de formes [et donc de noms aussi], les imprègnes toutes ».

SE LIBÉRER DE L’ESPOIR (la projection), CETTE INFERNALE CAROTTE POUR FAIRE AVANCER L’IGNORANT : « Le sage libéré de son vivant a abandonné toute action suscitée par un objectif, tous les désirs et les espoirs, et sur lui le conditionnement n’a aucune prise ». « Ô Râma, c’est le désir ou bien l’espoir qui fait que l’on tourne en rond, ligoté à la roue de l’illusion du monde. Une fois saisie la vérité que le seul Soi est tout cela et que la diversité n’est qu’un mot dénué de substance, tu te délivreras totalement du désir ou de l’espoir ».
GRATUITÉ ou ÉNERGIE LIBRE : « Libre du moindre attachement, il [le libéré vivant] apprécie tout ce qui vient à lui sans l’avoir désiré, de même que les yeux perçoivent les objets sans désir ni aversion. […] Ce qui lui arrive en accord avec les lois du temps, de l’espace et de la relation de cause à effet - qu’il s’agisse d’événements agréables ou désagréables - ne le trouble nullement en son for intérieur [la corde prise par ignorance pour un serpent ne fait plus peur] ».

Il existe un nombre considérable de Libérés vivants, selon Vasistha : l’empereur Janaka (ancêtre de Râma) ; Manu, premier souverain du monde ; l’empereur Mandhâtâ ; les rois-Démons Bali, Namuci, Vrtra, Prahlâda et Sambara, etc., mais aussi la Trinité (création, préservation, dissolution de l’univers).
LIBÉRÉ = VIVRE L’INSTANT : ”Ô Râma, il existe des êtres libérés même parmi les vers et les insectes ; et il y a des imbéciles patentés parmi les Dieux. Le Soi est en tous ; il existe en tant que tout partout à tout moment et de toutes les manières” (YV V, 75). […] Même ce qui n’est pas, conduit à ce qui est ! La contemplation de l’espace et du vide conduit à l’acquisition de la Vérité suprême ! Ce qui n’est pas prend naissance, guidé par le temps et l’espace. Par contre, ce qui paraît fort et puissant aboutit à sa propre destruction ».

Soi-Instant
« Dans ce monde, à toute heure et en tout lieu, la Libération est à portée de main. Par leurs propres efforts sur le Soi, des milliers d’êtres sont parvenus à la Libération. […] La conquête de la Paix intérieure par le non-attachement absolu porte ici le nom de Libération ; cela est possible, que le corps existe ou non. Qui est libre de tout attachement est libéré ».


Le temps n’existe que SI… : « Tout ces mondes, ô Râma, apparaissent au sein de Brahman, l’Absolu, mais, du fait de l’ignorance ou non-sagesse, ils sont appréhendés en tant que réalité substantielle. Pareille notion erronée cesse à l’apparition de la sagesse. La perception erronée fait apparaître tout cela en tant que « monde » ; la perception juste met un terme à cette erreur ».

LA CRIMINELLE VOLONTÉ (1) LIÉE AU MENTAL.
Le sage délivré de l’erreur, ici et maintenant, dans l’Instant, considère ce monde comme il le ferait en sommeil profond, sans le moindre désir. « Il [le sage ou réalisé] ne nourrit pas d’espoirs pour l’avenir, ne se souvient pas du passé et ne vit même pas le présent ; et pourtant, tout cela, il le fait. Endormi, il est réveillé ; réveillé, il dort (2). Tout cela, il le fait ; pourtant il ne fait rien. Il est toujours en état d’équilibre. Ses actions ne sont le fruit d’aucune volonté que ce soit. Le sage n’est attaché à rien ni à personne. Cela explique pourquoi son comportement paraît pieux au dévot, et dur au méchant ».

Siddhi (pouvoirs surnaturel) : ”Sachant que le Soi qui est la Conscience infinie peut provoquer toutes sortes de phénomènes (3), il [le sage] ne s’émerveille même pas de tels prodiges” (YV V, 76-77).

Pour Ézéchiel : ”Le cœur qui mérité notre attention est de la nature de la pure Conscience. À la fois dedans et dehors, il ne se situe ni dedans ni dehors” (YV V, 78-79).

MENTAL = PRÂNA ET DONC NOURRITURE PRÂNIQUE.

IDÉATION = PRÂNA ET DÉPENDANCE MUTUELLE (comme le vagues et le mouvement des courants, dit le YV V, 78). En vivant ou réalisant l’unique Vérité (4) le mouvement du prâna se trouve arrêté », dit Vasistha. « Le mouvement du prâna est également arrêté par la pratique dénuée de tout effort de la respiration non forcée menée dans la solitude ou en un endroit retiré ; par la répétition du OM sacré, et par l’expérience de ce qu’il signifie, quand la conscience parvient à l’état de sommeil profond [sans ego] ; par la pratique de l’expiration, quand le prâna erre à travers l’espace sans toucher les membres du corps ; par la pratique de l’inspiration qui conduit au mouvement paisible du prâna ; par la pratique de la rétention, quand le prâna s’immobilise un long moment ; par la fermeture des narines postérieurs avec le bout de la langue quand le prâna se dirige vers le sommet de la tête ; par la méditation dans laquelle il n’y a pas de mouvement de pensée ; par le maintient constant de la conscience sur un point fixe à 30 centimètres de l’extrémité du nez ; par l’entrée du prâna à l’intérieur du front par le palais et l’aperture supérieure ; par la fixation du prâna au centre des sourcils ; par le brusque arrêt du mouvement de la pensée… ».

NON-DUALITÉ : « La vision erronée conduit à naître de nouveau, la vision juste met un terme à toute renaissance. En elle n’existe pas de relation sujet-objet (connaisseur-connaissable) [la division est ignorance]. Quand cela est vu directement [Maât], il n’y a ni servitude ni libération. Quand le sage demeure en son propre Soi, son intelligence solidement établie dans le soi intérieur, quel plaisir peut l’attacher en ce monde ? »
Quand la pensée ou ego est liée à des fonctions sensorielles, il y a agitation mentale [le mental n’use que si l’on s’en sert…].
Pour résumer, voici à nouveau le principe du Yoga Vasistha :
”L’apparence de ce monde est une confusion ; de même que le bleu du ciel est une illusion d’optique. Mieux vaut ne pas s’y intéresser et l’ignorer” (YV I, 3).


PRIÈRE À L’INSTANT.
« Tu n’existes pas, ô mon mental. Que tu restes avec moi ou que tu me quitte, m’est indifférent (4). Tu es irréel, inerte, illusoire. Tu ne tourmentes que l’insensé, pas le sage. Cette compréhension met un terme aux ténèbres de l’ignorance. Sors de ce corps, et emporte avec toi tes désirs et tes émotions comme la colère. Ô mental, je t’ai tué aujourd’hui parce que je me suis rendu compte qu’en fait tu n’as jamais véritablement existé.
[…]
Maintenant que ce fantôme [de mental] a été conjuré, je ris de ma propre bêtise passée. ”Le mental est mort ; toutes mes inquiétudes et mes angoisses sont mortes ; le démon nommé sentiment de l’ego a lui aussi été anéanti ; cette VICTOIRE a été rendue possible par le mantra de l’investigation. Me voilà maintenant LIBRE et heureux” (YV V, 80). J’en ai fini avec tous mes espoirs et les désirs. Mon propre Soi, je Te salue ! Il n’y a pas d’illusion, pas de malheur, pas de ‘je’, pas d’autre [donc pas de ”social”] Je ne suis pas le soi, et ne suis pas non plus un autre ; je suis le Tout de toutes choses (3). Salut, mon propre Soi ! Je suis le commencement. Je suis la Conscience. Je suis tout l’univers. En moi il n’y a pas de divisions. Salut mon propre Soi, rien que Toi ! Cela qui de la même façon se trouve chez tout le monde ainsi qu’en toute chose, ce Soi, omniprésence immanente et subtile, je Le salue !
[…] Quand cesse le mental, les besoins cessent du même coup. Une fois le mental mort et le désir défunt lui aussi, l’illusion est dissipée et l’absence d’ego voit le jour. Me voilà donc né à cet état d’éveil. […] Que le mental perdure, ou qu’il meurt ! Â quoi bon s’interroger sur tout ça quand le Soi est établi en parfaite Félicité ? ”Je suis resté dans un état conditionné tant que j’ai eu la bêtise de me consacrer à cette investigation. Maintenant qu’au moyen de cette investigation je suis parvenu à l’ÊTRE inconditionné (5), qui est Celui qui s’interroge ?” (YV V, 81).
Maintenant que le mental est mort, pareilles pensées sont parfaitement inutiles », exprime ainsi Vasistha à propos du mode d’investigation présenté ci-dessus et adopté par le sage Samvarta, lequel lui en fit naguère lui-même la description.

À suivre…

[Voyage en cette dimension en compagnie de Vasistha (ou Vasishtha), un des grands Sages de l’ère du manvantara. Énorme merci à son traducteur le Swami Venkatesananda (1921-1982). Hymnes composés par Vasishtha dédiés à Agni (Igné-Inné…)]
 
 
Notes.
1. Volonté : principe du vagabondage mental ou idéation (formation des opinions) : décider de faire, se manifester. Décider de mettre en Mouvement.
Y croire pour le faire. Volonté représente une idée de “force”. Lorsqu’on excite la “chaleur” latente dans un “objet”, une volonté inconsciente s’active. Paracelse enseignait : « Qu’une volonté déterminé est le début de toutes opérations magiques. C’est parce que les hommes ne savent pas imaginer parfaitement et ne croient pas au résultat, que les Arts (occultes) sont autant incertains, tandis qu’ils pourraient être absolument sûrs ».
Volonté = ego : « Peut-il y avoir une volonté en l’absence du ‘je’ ? Elle est comprise dans la pensée ‘je’. La pensée ‘je’ est l’enveloppe intellectuelle. La volonté y est incluse », explique Ramana Maharshi à l’entretien 277.
La volonté est une criminelle parce qu’elle peut MANIPULER ET TUER AUTRUI, parce qu’elle s’apparente au VENDEUR qui veut fourguer SA MARCHANDISE : « La volonté devrait être comprise comme étant une force du mental, qui rend icelui capable d’affronter avec équanimité aussi bien le succès que l’échec. Elle n’est pas synonyme de succès », explique R. Maharshi à l’entretien 423.

2. Croisement :
- Ce qui réveille endort.
- Ce qui endort réveille.

3. Le pouvoir siddhi (pouvoir surnaturel) inhérent au Soi est le Thème principal du film de Luc Besson « Lucy », mais en INVERSE, comme de tout maintenant, puisque Lucy se fait développer artificiellement et très rapidement son mental à « 100% » ; ce qui préfigure le rêve transhumaniste du capitalisme et de sa folie technologique. Lucy de Luc Besson = Speed informatique et commercial et bessonisme.

4. Unique Vérité et bien-sûr paradoxe de la Réalisation du Soi : « On ne possède pas l’Instant », ou « Il n’y a pas de but à atteindre », car le but n’existe pas, le ici et maintenant ne sera jamais atteint puisqu’il est « là-bas », et qu’aucune route ou espace-temps ne mène à cet ici. Dans sa course, Achille ne rattrape jamais la tortue, car il n’atteint jamais d’abord que le point où ÉTAIT la tortue, et il a toujours à atteindre le nouveau point où elle EST, qui devient le point où elle ÉTAIT.
Même Paradoxe de la Réalisation du Soi où le Vrai qui cesse d’être vrai quand il est vu, dans la chanson du Cavalier, poème de Garcia Lorca :

    Cordoue.
    Lointaine et solitaire.
    Cheval noir, lune grande,
    Et des olives dans ma sacoche.
    Bien que je connaisse le chemin,
    Jamais je n’atteindrai Cordoue.
    Par la plaine, par le vent,
    Cheval noir, lune rouge,
    La mort est là qui me regarde
    Du haut des tours de Cordoue.

« Tant que le Soi ou Esprit suprême est non manifesté et sans activité, il n’y a pas de couples d’opposés, comme par exemple sujet et objet », dit Ramana Maharshi à l’entretien 27.
« Ce qui est naturel à l’état de Réalisation devient l’objet d’un effort volontaire (1) en état de non-Réalisation » (R. Maharshi, entretien 491).

5. « Je suis CE JE SUIS ».
 
 
visc_face.jpg
 
Viscères vus de face.
VISCÈRES = MENTAL.
 
 

Dernière mise à jour : 02-06-2018 19:35

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