Ah, non ! pas « l’ordre républicain », si sanglant depuis 1789 surtout en Vendée en passant par l’URSS et jusqu’à nos jours de tous citoyenisés tôles-boulons-béton-verre, cet « ordre républicain » (véritable Église) si marchandises de nous-mêmes pires esclaves que du temps des rois.

 

Voilà comment le roi laïcisé traite ses contestataires (qu’il n’a jamais cité en public), qui ne sont pas d’accord avec sa république capitaliste marchande :

« Que certains prennent pour prétexte de parler au nom du peuple : mais lequel, d’où, comment ? Et n’étant en fait que les porte-voix d’une foule haineuse, s’en prennent aux élus, aux forces de l’ordre, aux journalistes, aux juifs, aux étrangers, aux homosexuels, c’est tout simplement la négation de la France ».

« Une foule haineuse », voilà comment le roi laïcisé traite les Gueux. Il a moins de respect que le plus petit roi de l’Ancien Régime ! Désolé Macron-Rothschild, mais dans le fond du son des discours des gilets jaunes il y un fond de réalisation du Soi, oh, un tout petit poids comme le scrupule ou denier (1,275 gramme) et ça, c’est déjà énorme et rien ne l’arrêtera !

Et oui, Macron-Rothschild, ça sent la fin pour les millénaires de l’étatisme amorcée au départ de la catastrophe du Néolithique.
Freluquet 1er n’a pas compris que l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il vit et observe et il y a tant d’éléments d’incertitudes (que Freluquet 1er voudrait maîtriser) que l’on ne saurait accorder crédit à un discours qui se veut « une méthode » (réforme) qui, se prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve que cet individu méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité. Alors, que fait ce pantin au Pour-Voir ? De pire en pire de septennat en septennat !

Comme l’écrivait Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, toutes les « sciences humaines » ne peuvent qu’être subjectives, et c’est au contraire de la reconnaissance lucide et sincère de cette subjectivité fondamentale que dépend le degré d’objectivité relative auquel elles tentent d’atteindre. Bref, le langage, surtout publique, nous contraint à une humiliation extrême et nécessaire à l’entendement, ce qui n’est absolument pas le cas du Freluquet 1er, toujours aussi méprisant !
Toutes les « sciences humaines » ne peuvent qu’être subjectives : la connaissance de l’humain par l’humain naît de la dualité ou dialogue entre un sujet qui étudie et l’objet étudié ; et comme l’humain est par essence, le résumé, la globalité de l’Être, la Conscience infinie, il est de ce fait dans l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant d’un « Univers » qui lui serait extérieur (il ne peut pas « sortir de l’Univers » pour l’examiner et l’étudier !). Donc le politisme qui se voudrait la gestion des communautés humaines, implique de la part de ceux qui exercent le pour-voir politique, la connaissance des essences de l’humain. Connaissance qui ne peut s’acquérir à partir du spatio-temporel, pas plus que l’équerre à centrer (sur une barre métallique) ne peut définir un centre absolu, géométriquement vrai, lequel ne peut absolument pas être une opinion (référence à Jean Coulonval). Effectivement le règne de l’opinion comme critère de vérité politique (par les élections) n’a pris valeur dogmatique républicaine qu’avec le coup d’État bourgeois de 1789, et le socialisme de l’URSS en sera la maturation historique en se parant des prédicats de l’absolu (URSS = le pays le plus libre du monde, la République qui se bombarde « universelle » telle une religion), ce qui ne peut qu’en faire une religion à l’envers : une laïcité à pensée unique dite « liberté de pensée » (ou d’expression).

Plus Freluquet 1er tentera de parler aux Françaises et Français, et plus il sera détesté. LA RÉACTION EN CHAÎNE EST ENCLENCHÉE.

Sur ce, comme on est encore hélas en spatio-temporel, bonne traversée des prochaines saisons sur nôtre hémisphère.