Abo-minable et inconscient sentimentalisme
 

Ecrit par Sechy, le 22-04-2019 01:11

Pages vues : 5144    

Favoris : 64

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Apocalypse, Apparence, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Étoile, Gnostiques, Gratuit, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Maux, Méditation, Mental, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï

 
cathedrale_reve_ete2009.jpg
 
 
Abo-minable et inconscient sentimentalisme
suite au mini 11/09/2001 du 15 avril 2019
de tous ces sots qui font des « dons » et
par là-même fabriquent l’inverse de ce qu’est
l’être humain : le Divin.

Ainsi ils précipitent de plus bel le naufrage de
leur civilisation imbécile et moralisante à l’envers.
Leur civilisation de la DÉPENDANCE :
énergétique, technologique, sentimentale en premier
et TYRANNIE DE L’OPINION ET DES POLÉMIQUES,
que le pouvoir républicain a tenté d’éteindre en
annonçant dés l’origine que l’incendie « était accidentel »,
évidemment, mais QUI ET QUOI à provoqué cet « accident »
et DANS QUEL BUT ???

Une chose est vraie ou pas, et ne peut en aucune façon
être un objet de propriété : on ne peut pas dire :
« c’est ma religion », ou « c’est la religion de mon peuple ».
Qui décide que 2+2=5 ? ou 4 ?
La Vérité tout simplement quand elle est le plus pur
(à condition qu’elle ne soit pas un gros égrégore genre big cause)
transcende à la fois l’individuel et le collectif.

Dépendance au langage parlé puis écrit,
dépendance qui est le killer de la Conscience infinie.

L’ego humain va concevoir ce qu’il appelle « réalité »,
non pas telle qu’elle est en lui, mais selon ce
que ses appétits égotiques désirent qu’elle soit.
 
 
Avec le coup du 11 septembre 2001 et celui du 15 avril 2019 le pouvoir capitalo-républicain doit CHOQUER : stratégie du sentiment ; on vise le ventre et le bas-ventre, façon de parler, donc ON SIDÈRE, ON STUPÉFIE, ON PÉTRIFIE.

Comme Jean Coulonval (Synthèse et Temps Nouveaux), je crois aussi que la Chute (façon biblique) provient d’un cassure entre les trois termes, rompre les rapports naturels entre les 3 parts en les mettant en cour-circuit ou conflit, chacune tendant à usurper dans ses actes les prérogatives ontologiques, essentielles, des deux autres. C’est ce qui va se produire dans les philosophismes, les idéologies, quand le SENTIMENT IMPOSE SES DIRECTIVES AU MENTAL QUI EST AINSI DÉPOSSÉDÉ DE L’AUTONOMIE DANS SES ACTES.
Effectivement, l’intellect n’est autonome que s’il perçoit le Soi, le Ici et Maintenant par contact dans l’Instant avec les essences ontologiques, sans passer par le bidouillage des cinq sens toujours trompeur quand on prétend tirer du spatio-temporel des conclusions sur la nature des essences.
Connexions fausses, désordres en tous genres, individuels, sociaux, religieux. Installation électrique bricolée. C’est une question de CHUTE. La perception sentimentale et de la possession par l’ego commande le discours logique du philosophe, du scientiste et du politique et de tous les « spécialistes » à la mode mercantile.

Nous somme prisonnier du règne des systèmes, d’ailleurs nettement amplifié par l’actuelle technologie. Tout système philosophique et, en conséquence, tout système politique (qui se disent tous « démocratie » ou « république ») est une cage, un esclavage, une limitation de l’être. Nous sommes sous la dictature de l’opinion. On peut refuser tout système, mais le monde moderne tyrannique égrégorien, fait que l’humain qui refuse renonce du même coup à être concrètement un être social, à exister, à être inséré, à « compter » ou « traçable » dans le système social et son vivre ensemble. La PUTRÉFACTION ou RENONCEMENT C’EST DUR, mais il faudra bien un jour que RÈGNE LA PUTRÉFACTION : LE CHRIS-JÉSUS A DIT : « QUI PERD SA VIE LA GAGNE » ; IL FAUDRA BIEN UN JOUR QUE CELA NE SOIT PLUS VRAI, QUE CE NE SOIT PLUS LA RELIGION DE LA DÉCHÉANCE DE L’HOMME.

PRÉCISION : dans notre époque ou tout est devenu faux, précision sur le mot ÊTRE. Le sens primitif devrait être ex-istence, ce qui est issu ou extériorisé d’un être. C’est le sens littéraire, parce que le sens courant sans verbiage fait que toute chose EST (Ici et Maintenant, Sans pourquoi), de sorte qu’on dit aussi que « Dieu existe » alors qu’en toute rigueur, il n’ex-iste pas, sans cause, ne devant son Être à personne ou circonstance nécessairement temporel. Il n’existe pas, Il EST : « Je suis ce JE SUIS ».

L’Église de Rome enseigne son catéchisme aux enfants que le Dieu « existe », donc c’est un « bonhomme » à l’extérieur genre Père Noël selon le principe des cinq sens et du corps ou mental : un ex-istant, occupant un volume spatiale « dans le ciel », genre du vieillard aux longs cheveux et barbe blanche. Cette foi de catéchisme va nécessairement engendrer un sentimentalisme, et une foi qui ne sera qu’une opinion de plus.
La foi telle que l’égrégore la diffuse est celle de ce catéchisme, qu’il soit de l’Église ou de la propagande républicaine de 1789, soit CE MONDE DES CRÉDIT-CRÉDO-CROYANTS ET DES BANQUES : conditionnement éducatif et social, et par l’historicisme, on le voit avec les « 800 ans » de la cathédrale Notre-Dame de Paris, pur sentimentalisme de catéchisme ; c’est la foi qui peut se perdre comme un porte-monnaie lorsque change les conditions du moment ; c’est une foi qui n’est pas la Connaissance mais seulement une simple opinion, et ce n’est guère étonnant tout le remue-ménage hollywoodien après ce 15 avril 2019. Ce n’est que le prolongement de la guerre de tous contre tous (or la Vraie Vie n’est pas de ce monde…. sinon on ne se battrait pas à coups de millions d’euros à propos de « dons » pour de vieilles pierres alors que des gens crèvent de faim et de maladies). L’argent ne peut aller qu’à ceux qui l’aiment, dont les spécialistes : de nombreux Juifs, de nombreux Protestants…
Église et cathédrale sont dans l’ADN des Occidentaux des deux derniers millénaires (en comptant en temps officiel) : l’Église est l’Israël ou la Jérusalem du Nouveau Testament, Jérusalem le royaume des winners ! Église = Mère (on parle bien de « Sainte-Mère l’Église »). Bref, nous sommes bien loin des Gaulois, et nous sommes dans le paternalisme avec un « Dieu le Père » !!!

Le régime républicain et capitaliste maintenant nie le libre arbitre de l’individu et en même temps, notamment à travers la laïcité imposée, exige de lui une abnégation volontaire (le libre arbitre est à la fois affirmé et nié, principe de la laïcité). Il nie que l’individu eût la possibilité de choisir entre deux solutions et en même temps il exige qu’il choisisse constamment la bonne (la possibilité de choix est à la fois niée et affirmée), etc. (En référence à la dialectique de l’historicisme nécessairement matérialiste). Dans cette même trame de dialectique historiciste et depuis 1789 il est évident que l’être humain n’aime plus les mystères (sauf une certaine franc-maçonnerie…), car il préfère le supprimer, l’étouffer dans une pseudo-rationalité : « C’est un incendie accidentel » lancent les officiels ou le pouvoir dès les premiers quarts d’heure de l’accident du 15 avril 2019. La miviludes est une institution étatique de pseudo-rationalité visant à normer la pensée unique.

La satisfaction morale de soi-même est semblable aux observance rituelles : « Ne prends pas, ne goûte pas, ne touche pas…» (Colossiens 2, 21)
Des considérations morales sont stériles car les intérêts moraux, qui d’ailleurs constituent le principe de la démocratie, sont diversifiés à l’infini selon les situations sociales des groupes et des individus, aussi divers que les égoïsmes inconscients, que les morale de situation (cas de N-D de Paris), et ne peuvent que plonger encore plus l’actuelle chrétienté dans une quincaillerie de morale-polémique sans fin.

Guérir la cathédrale Notre-Dame de Paris c’est D’ABORD GUÉRIR L’ÊTRE HUMAIN, SOIT GUÉRIR LA « CRÉATION ». Et cela ne se fait pas à coups de millions d’euros et de « spécialistes ». Ainsi il n’est pas possible de faire d’un côté du spirituel et de l’autre du temporel, ou du sacré et du profane. Il ne peut être question d’imaginer un mariage entre un « sentiment » religieux et le temporel de la technologie. Il n’y a pas de degrés du savoir genre pyramide d’échelle judéo-maçonnique où on grimpe les degrés, qui vont engendrer les classes ou clans ou réseaux sociaux, les convoitises et les conflits d’intérêts principe de la démocratie.
GUÉRIR LA CRÉATION = ENTRER DANS LE FLÉAU, LA PUTRÉFACTION : ni existence ni non-existence. Les choses ne sont ni des inexistants ni des existants. Quand on réalise qu’elles ne sont que des perceptions au sein du mental, on s’en tient à leur Sans Pourquoi sans divaguer en opinions à leur sujet. Toutes le constructives fictives ou d’historicisme du monde s’apaisent pour toujours. C’est effectivement le FLÉAU qui porte si bien son nom ! Sans caractéristiques ou étiquettes de noms-les-formes, pas d’idées fictives ou d’historicisme, donc pas de naissance ni de cessation, on appel le Fléau aussi nirvana : état de libération (selon le Lankâvatâra).

Si la Création est Cause, comment voulez-vous qu’Elle soit éternelle ? Le Fléau de la Balance va alors prendre une sale gueule ! Libéré de l’être et du non-être, où est le créateur ? Le Fléau aussi comparable au Soi.
Exemple de Fléau ou Nirvana dans l’entretien 273 de Ramana Maharshi :
- Question : Quand on demanda au Bouddha s’il y avait un ego, il resta silencieux ; quand on lui demanda s’il n’y avait pas d’ego, il resta silencieux ; puis, si Dieu existait, il resta encore silencieux. Le Silence fut sa réponse à toutes ces questions. Les Écoles du Mahâyâna et du Hînayâna ont toutes deux mal interprété son silence en concluant qu’il était athée.
Si le Bouddha avait été athée, pourquoi donc aurait-il parlé du nirvana, de la naissance et la mort, du karma, des réincarnations et du dharma [Fléau, justesse] ? Il me semble que ses commentateurs ont tort. Est-ce que je me trompe ?
- Maharshi : Vous avez raison.
Dans l’entretien 406 : « Le nirvana est perfection. Dans l’état parfait, il n’y a ni sujet ni objet ; il n’y a rien à voir, rien à ressentir, rien à connaître. Voir et connaître sont des fonctions [et des fictions] mentales. Dans le nirvana  il n’y a rien que la Félicité de la pure Conscience « JE SUIS ».

Le capitalisme et le politisme étatique inventent la VALEUR, LE CHOIX, L’OPINION : bon et mauvais, bien et mal, qui ne sont que des VALEURS.
Comme dit Nagarjuna dans les Stances du Milieu, 23, 10 : « En outre, le mauvais, grâce auquel nous pourrions avoir une idée du bon, n’existe pas indépendamment du bon. Par la suite, le bon n’a pas de fondement rationnel ». Bref, la dualité est un parfait cercle vicieux.
Stances du Milieu 23, 12 : « En l’absence du bon, d’où viendra la concupiscence ? En l’absence du mauvais, d’où viendra l’aversion ? »

Important entretien 609 de Ramana Maharshi : « C’est parce que vous vous identifiez à votre corps que vous voyez le monde autour de vous et que vous dites que l’état de veille est plein de choses belles et intéressantes. L’état de sommeil vous paraît ennuyeux parce que vous n’y étiez pas en tant qu’individu, et en conséquence, toutes ces belles choses n’existaient pas. Mais quel est le fait indéniable ? C’est qu’il y a la continuité d’ÊTRE dans chacun des trois états [veille, rêve, sommeil profond], mais qu’il n’y a pas de continuité pour l’individu et les objets [c’est moi qui souligne].
CE QUI EST CONTINU EST AUSSI DURABLE, C’EST PERMANENT. CE QUI EST DISCONTINU EST TRANSITOIRE.
Par conséquent, l’état d’ÊTRE est permanent et le corps et le monde ne le sont pas. Ils sont des phénomènes fugitifs qui passent sur l’écran de la conscience d’ÊTRE, laquelle est éternelle et immobile.
Lorsque l’on passe du sommeil à la veille, la pensée ‘je’ doit se manifester ; le mental entre en jeu ; les pensées s’élèvent ; puis les fonctions du corps entrent en activités ; tout cela réuni nous fait dire que nous sommes éveillés [et que c’est la réalité]. L’absence de tout ce processus est la caractéristique du sommeil et, en conséquence, le sommeil est plus proche de la pure conscience que la veille. Mais on ne doit pas pour autant désirer rester en état de sommeil. D’abord parce que c’est impossible, le sommeil devant nécessairement alterner avec les autres états ; ensuite parce que le sommeil ne peut pas être un état de félicité, qui est celui du jnani, car cet état est permanent et sans alternance. De plus, l’état de sommeil n’est pas considéré comme un état de conscience, alors que le sage demeure toujours conscient. Voilà pourquoi l’état de sommeil diffère de l’état dans lequel le sage est établi. […] Le désir de Réalisation ne peut naître qu’à l’état de veille ; de même que l’on ne peut faire des efforts que lorsque l’on est éveillé. Nous savons que les pensées à l’état de veille font obstacle à la tranquillité du sommeil. « Sois tranquille et sache que JE SUIS DIEU ». Ainsi, la tranquillité est le but du chercheur ».

Tranquillité ou état du jnani : « Ce n’est ni le sommeil ni la veille mais un état intermédiaire entre les deux. Il y a la conscience de l’état de veille et la tranquillité du sommeil ». Un état qu’on peut appeler sommeil éveillé ou veille endormie, ou veille sans sommeil ou sommeil sans veille. « Il diffère du sommeil ou de la veille pris séparément. Bref, c’est un état combiné de conscience parfaite et de tranquillité parfaite. Il est l’intervalle entre le sommeil et la veille et également l’intervalle entre deux pensées successives. Il est la source d’où s’élancent les pensées ; nous pouvons l’observer lorsque nous sortons du sommeil. En d’autres termes, les pensées ont leur origine dans la tranquillité du sommeil. Ce sont elles qui font la différence entre la paix du sommeil et l’agitation de l’état de veille [les ”images qui bougent” dont le virtuel…]. Allez à la racine des pensées et vous atteindrez la tranquillité du sommeil. Mais vous ne pouvez l’atteindre qu’avec toute la vigueur de la recherche, c’est-à-dire avec une conscience parfaite.
[…]
Vous êtes déjà Cela [le Soi]. Le temps et l’espace ne peuvent affecter le Soi. Ils sont en vous ; et tout ce que vous voyez autour de vous est également en vous ».

Sentimentalisme et morale = le social actuel qui comme le grégarisme bouffe tout : Demeurer dans sa propre nature inconditionnée est la Vraie Libération. Quand on perd de vue sa propre nature inconditionnée, IL Y A CONSCIENCE DE L’AUTRE ; C’EST UNE ILLUSION ET RIEN D’AUTRE. Alors le mental tombe dans l’opinion et la dualité sujet-objet, le choix et le désir, tandis que le mental inconditionnée  se situe DANS LE FLÉAU : entre « ceci » et « cela ». L’état inconditionné est celui dans lequel il y a absence de tout concept ou fiction et où la Conscience reste aussi immobile qu’un Roc, mais en « Fixation Cavalante » (pas de fixisme ou isme). Dans cet état du Fléau le ‘je’ cesse de fabriquer la dualité sujet-objet : aucune différence entre la connaissance et celui qui connaît. (Pour faire référence au Yoga Vasistha).

LA CROYANCE EST DE CROIRE À LA CAROTTE « FIN DES TEMPS » OU « DEMAIN ON RASE GRATIS » (progrès, évolution), POUR FAIRE AVANCER LES MASSES. FAIRE CROIRE QU’IL Y A QUELQUE CHOSE À L’EXTÉRIEUR. La Carotte ou Progrès absolument capitalisme : fabriquer un désir insatiable de plaisir qui ne connaît jamais le contentement, il n’est jamais satisfait, et bien que toutes ses aspirations se soldent par une illusion de winnerisme, lui-même, le désir, ne connaît pas de fin parce qu’il n’est jamais satisfait. LE PROGRÈS C’EST COMME LA POLÉMIQUE ET LE PLAISIR, IL NE CONNAÎT PAS DE FIN, PRINCIPE DU CAPITALISME QUI SE CROIT « IMMORTEL » COMME LE TRANSHUMANISTE DE CHEZ GOOGLE QUI EN RÊVE BANALEMENT, ET QUI DÉSIR SANS FIN D’EN CONNAÎTRE TOUJOURS PLUS.
FUIR CE GRÉGARISME SOCIAL MORTEL QUE RENVOIE MAINTENANT À LA CATHÉDRALE DE NOTRE-DAME DE PARIS : « Mieux vaut être un serpent dans une grotte obscure ; mieux vaut être un ver dans une pierre ; mieux vaut être un cerf estropié dans un désert (un mirage) que de rester en compagnie des ignorants. Leur compagnie procure des plaisirs passagers [la couverture sociale, les réseaux sociaux], mais détruit la personne ». Yoga Vasistha VI 2, 23.

Plus les gens vont « donner » (pour la cathédrale de Paris) et plus ils vont s’enfoncer dans ce temps du grégarisme crasse ; de ce grégarisme dans la mode du « vivre ensemble » et du « développement personnel » qui fabrique des DISPONIBILITÉS COMMERCIALES, DONC DES DISPONIBILITÉS À L’AUTRE POUR ÉCHANGE COMMERCIAL DANS UN HOLLYWOOD DRAMATIQUE DE CETTE RECHERCHE D’UN EGO DÉVELOPPÉ COMME JAMAIS ET PRENANT PLACE DE L’EGO ÉVEILLÉ : LA VRAIE LIBÉRATION ÉTANT DE NOUS APERCEVOIR QUE NOUS N’AVONS JAMAIS MANQUÉ DE QUOI QUE CE SOIT ET QU’EN « FIN DES TEMPS », NOTRE DESTIN C’EST NOUS-MÊME. Ce mental qui EST : il ne peut pas être saisi ni tué, pourquoi même le purifier, ce qui déjà constitue un but à atteindre ?! Il n’y à rien à éradiquer, ni à vider ou nettoyer….
 
 
 

Dernière mise à jour : 22-04-2019 01:45

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved