Vraie Connaissance ne passe pas par la raison
 

Ecrit par Sechy, le 20-05-2019 00:13

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Tags : Alchimie, Amour, Apocalypse, Apparence, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Étoile, Gnostiques, Gratuit, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Maux, Méditation, Mental, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Tore, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï

 
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Vraie Connaissance ne passe pas par la raison
Seul l’Instant permet de réaliser la Vraie Connaissance
des choses que la raison est impuissante à percevoir.
Le « libéralisme » N’EST PAS la Réalisation du Soi.
Être libéré de son vivant est
NE FAIRE AUCUNE DUALITÉ SUJET-OBJET, donc ÊTRE LIBÉRÉ
DE SON MENTAL qui fait toutes les distinctions,
ÊTRE LIBÉRÉ DE TOUT DÉSIR.

« Observez le mental. Vous devez vous tenir à l’écart
de lui. VOUS N’ÊTES PAS LE MENTAL.
Il ne subsistera alors plus que le Soi » (R.M. entr. 264)

LE MONDE N’EST PAS EXTÉRIEUR À NOUS.
« Où est ”tout le monde ?” Il n’y a pas non plus
de libération. Elle pourrait exister seulement s’il y
avait asservissement. Mais en réalité, il n’y a pas
d’asservissement et, par conséquent,
pas de libération non plus » (R.M. entr. 264)
Libération est le même mot que Dieu et Dieux : il
fabrique la dualité libération-asservissement,
comme Dieu et Dieux, ou Croyants et athées.

Depuis les Anciens Grecs en Occident,
certains humains ont inventé « la liberté individuelle »
pour mieux fabriquer son contraire :
« l’asservissement individuelle » par le régime
capitalo-république désormais mondialement collant.
La « la liberté individuelle » est destinée à inventer
la dualité : libération-asservissement ; comme d’inventer
le mot « bon » pour fabriquer son contraire ; c’est comme
fabriquer l’« objectivité » modèle « omniscience » alors
que connaître de façon objectivée n’existe pas, tout
comme vouloir posséder la Vérité.
 
 
Depuis longtemps les êtres humains dorment. À leur mort ils se réveillent enfin ! Herbert Spencer n’a rien compris (il est entre-autres un adepte de l’historicisme)…
 
L’ego s’élève et s’amplifie (évolutionnisme et salut) dans le seul but de conquérir. Padam, le pied (le ”Je suis ce JE SUIS”), synonyme du Soi procède dans le seul but de l’anéantir, et son capitalisme avec lui.
L’Ego et son évolutionnisme = connaître la multitude ce qui produit l’ignorance ; car les différences ne peuvent apparaître sans que le mental-ego ne se soit élevé en premier, le killer, qui sera le point de départ ou BIG BANG de toutes les différences et du départ de l’UTILITÉ.

Le Dieu d’aucun dogmaticien ou théologien ne peut lui venir en aide contre celui d’un autre ; les antagonistes propres à l’opinion ne peuvent ni vaincre ni convaincre, ils ne peuvent que, au mieux, se quitter très mécontent l’un de l’autre, et au pire c’est la guerre. Car chaque dogme est une division, un truc qui a une naissance et une mort parce qu’élaboré par un ego ; il sera essentiellement limitation, et il éprouvera chaque autre dogme également limité comme une contradiction, un adversaire. Voué au travail du chapeau ou calcul, à la décomposition de tout en ses parties, la raison dogmatique ne peut que posséder (condition de chefferie, de roi) et condition humaine (de vassale), comme deux grandeurs contraires, hétérogènes, mais pas comme deux pôles dont les termes sont complémentaires.

La mondialisation ou Nouvel Ordre Mondial ne fait qu’entretenir les SENS, L’EGO, LE CORPS, LA RAISON. Or les organes des sens, de la raison et de l’action du Faire/Fer sont tous mus par le désir des objets des sens ; SANS DÉSIR, ils n’opèrent plus ; et le mondialisme est construit sur le désir, parce que DÉSIR = ARGENT (pouvoir d’achat et pouvoir tout court). DÉSIR = DROGUE (voir les antidépresseurs...).

Le N.O.M. ou régime capitalo-république est construit sur le principe de RENTABILITÉ/COMPÉTITION (winnerisme de la dualité winner-loser, le winnerisme obligeant à une MÉRITOCRATIE comme de fabriquer une FAUSSE complémentarité ou FAUSSE coopération, de FAUX ENGRENAGES), d’où le succès des « messes du sport » toutes les fins de semaine en Occident pour un winnerisme renouvelé en cycle sans fin) ; dualité du « Exploitez-vous les uns les autres » ou la guerre de tous contre tous. Or la Vraie Paix n’existera jamais dans ce régime et cette dualité guerrière.
Seul peut fonctionner le PRINCIPE ALCHIMIQUE ET HOMÉOPATHIQUE (le couple Créateur-Créature) : La progression, le courant, la génération ne s’opère qu’entre des contraires comportant une analogie complémentaire de la même famille : Nature esjoir Nature. Esjoir : avoir la joie de... L’un agit sur l’autre, ce sont les deux pôles de la même substance homogène, le Principe Radical de l’Univers, le REBIS. (Page 234. La Doctrine Secrète. T.1 - H.P. Blavatsky).
« Nôtre oeuvre, dit Le Trévisan, est composée d’une racine et de deux substances mercurielles (Mercure possédant une animation ), qui étant cependant de même nature, se réduisant à un seul Principe ». (Page 402. Dictionnaire Mytho-Hermétique de A.J. Pernety).
Le Mercure et le Soufre « s’épaulent » l’un et l’autre. Fluidité. « Haut et Bas l’un et l’autre se touchent. Avant et Après mutuellement se suivent ». (Lao-tseu).

Rien n’est plus souple et plus faible que l’eau,
Mais pour enlever le dur et le fort, rien ne la surpasse
Et rien ne saurait la remplacer.
La faiblesse a raison de la force ;
La souplesse a raison de la dureté.
Tout le monde le sait
Mais personne ne peut le mettre en pratique.
(Verset 78, Tao Tö king, traduction Liou Kia-hway)

La couleur VERTE et sa complémentaire la couleur ROUGE. Le Rouge de la Basse Égypte. Le VERT de la jeune feuille de Pommier, visible. Vert-de-gris du Cuivre, caché puis visible. Vert du moisi ou transformation Vert/Vers autre chose. Rouge Coquelicot, Réalgar, Cinabre, Géranium, Vermillon d’Antimoine, rouille, etc...
- Rouge = privation de blancheur ou contraire (couleurs de l’Œuvre)
- Chaud + Humide = pourriture NOIR
- Chaud + Sec = BLANC (privation de noirceur)
- Chaud + BLANC = ROUGE
 
Le winnerisme obligeant à une MÉRITOCRATIE comme de fabriquer une FAUSSE complémentarité ou FAUSSE coopération, de FAUX ENGRENAGES : les « collaborateurs » (entendre les salariés) d’une multinationale du CAC 40, selon Herbert Spencer, devrait à terme former mondialement une singerie du Verset 78 du Tao Tö king ou du « Nature esjoir Nature » ; une énième dévalorisation et non compréhension de l’Alchimie, surtout non compréhension de la Vraie Nature de l’être humain, la réalisation de cet apparent paradoxe : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la Réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction » (Ramana Maharshi, entretien 28).
Jusqu’a présent, il y a certainement sur Terre moins de cent personnes qui mettent en pratique l’entretien 28 et 41 : « Trouvez la source. Vous devez atteindre la source sans faille. Le faux ‘je’ disparaîtra et le vrai ‘Je’ sera réalisé. Le premier ne peut exister sans le second ». Alors les Herbert Spencer du capitalisme et du mondialisme auront tous perdus.

Dans le capitalisme tout ce qui commence par « liber » (livre ou écrit) EST SUSPECT ET À FUIR (comme libéralisme, libéraux, etc.), de même tout ce qui commence par fédér (fédéral, fédéralisme…) : foi et alliance. TOUS CES GENS NOUS VENDENT LEUR « PAIX » (nous vendent leur ego).
TOUT ÇA PROCÈDE À L’ENVERS, CONSTRUCTION DE MAIN D’HOMME AVANT DE RÉALISER LE SOI OU INSTANT : ENTRER EN COÏNCIDENCE (dans l’Instant), ce que le Herbert Spencer n’entrevoie absolument pas.
Chez Herbert Spencer il n’y a nul Renoncement, nul Putréfaction.
LE GRAND RENONCEMENT C’EST LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE POUR NE JAMAIS S’ÉGARER, conformément au Secret de la Fleur d’Or et du « Qui suis-je ? », donc la Réalisation du Soi. Avec le système de singerie du principe alchimique des complémentaires Soufre-Mercure, on a une lumière duelle : tantôt d’un côté, tantôt de l’autre, d’où encore des conflits ; avec un petit Renoncement on est seulement éclairé dans le dos, et alors on peut tomber dans les crevasses !

VRAIE LIBERTÉ.
« Bien qu’un jivan-mukta (Libéré-vivant), ayant un corps en raison de son prârabdha [résultat d’actions passées, responsable de la continuité de corps même au-delà de la Réalisation], puisse donner l’impression d’être ignorant ou de manquer de sagesse, il est cependant pur comme l’éther (akasha) qui garde toujours sa clarté, recouvert ou non de sombres nuages. Il se réjouit toujours du seul Soi, comme une épouse aimante éprouve du plaisir de son seul époux, tout en le servant avec des biens reçus d’autres personnes que lui (par héritage déterminé par son prârabdha). Bien que le jivan-mukta demeure silencieux tel un ignorant, son inertie ne provient pas d’un manque de savoir, mais de la dualité implicite de la vaikhari-vâk (le langage parlé) des Véda ; son silence est la plus haute expression de la non-dualité réalisée qui, somme toute, est le vrai enseignement des Véda. Bien qu’il instruise des disciples, il ne se pose pas en maître, étant pleinement convaincu que le maître et le disciple ne sont que de pures conventions nées de l’illusion (maya) ; et ainsi, il continue à prononcer des mots (telle l’âkâshavâni : voix venant du ciel). Si, par ailleurs, il murmure des mots incohérents tel un insensé, c’est que son expérience est inexprimable, comme l’est celle des amants durant leur étreinte. Si, au contraire, il s’exprime avec aisance, comme un orateur, il s’agit seulement du souvenir de son expérience passée puisqu’il est maintenant l’inaltérable, unique Réalité sans dualité et dépourvu de tout désir »

S’il apparaît quelquefois en proie à une profonde douleur, comme n’importe quel homme face à un deuil, il ne fait que manifester le juste amour et la pitié à l’égard des sens qu’il contrôlait autrefois, avant de réaliser qu’ils n’étaient que de simples instruments et manifestations de l’Être suprême. Quand il semble vivement intéressé par les merveilles du monde, il ne fait que ridiculiser l’ignorance née de la surimposition (adhyâsa : comme la corde prise dans la pénombre pour un serpent, et qui, une fois l’ignorance vaincue, on s’aperçoit de l’illusion). S’il semble avoir quelque indulgence vis-à-vis des plaisirs sexuels, il faut comprendre qu’il jouit de la Félicité éternelle et inhérente au Soi, lequel, divisé Lui-même en soi individuel et Soi universel, se délecte de leur union pour regagner Sa Nature originelle. S’il apparaît en colère, c’est qu’il veut du bien à ceux qui l’offensent. Tous ces actes ne doivent être pris que pour des manifestations divines qui s’effectuent sur le plan humain. Pas le moindre doute ne doit s’élever sur le fait qu’il est libéré bien qu’il soit vivant. Il ne vit que pour le bien du monde ».
(Ramana Maharshi, entretien 449, du 31 janvier 1938).

Mon Pays du Rien du Tout, ma Planète.
« Le Soi réel est le ‘Je’-‘Je’ infini, c’est-à-dire que le ‘Je’ est perfection. Il est éternel. Il n’a ni origine ni fin. L’autre ‘je’ naît et meurt. Il est impermanent [comme l’ego]. Voyez à qui appartient les pensées changeantes [qui vagabondent]. Vous trouverez qu’elle s’élèvent après la pensée ‘je’. Agrippez-vous à la pensée ‘je’ [retournement de la Lumière dans le Secret de la Fleur d’Or] Les autres pensées s’évanouiront. Remontez à la source de la pensée ‘je’ et seul le Soi demeurera.
- Question : Difficile à suivre. Je comprends la théorie. Mais comment mettre cela en pratique ?
- Maharshi : Les autres méthodes sont destinées à ceux qui ne peuvent pas pratiquer cette investigation. Même pour répéter ou penser « aham brahmâsmi », un penseur est nécessaire. Qui est-il ? C’est ‘Je’. Soyez ce ‘Je’. C’est la méthode directe. Toutes les autres méthodes aboutissent finalement aussi à cette méthode d’investigation.
- Question : Je suis conscient du ‘je’. Pourtant mes difficultés ne prennent pas fin.
- Maharshi : Cette pensée ‘je’ n’est pas pure. Elle est contaminée par son association avec le corps et les sens. Voyez à qui sont les difficultés. Elles sont à la pensée ‘je’. Saisissez-là. Alors les autres pensées s’évanouiront.
- Question : Oui. Mais comment s’y prendre ? C’est là tout le problème.
- Maharshi : Pensez ‘je’, ‘je’, ‘je’ et accrochez-vous à cette seule pensée, à l’exclusion de toutes les autres. (Ramana Maharshi, entretien 266, du 21 octobre 1936).
D’où LA NÉCESSITÉ D’ÊTRE SEUL.

Ramana Maharshi explique : « Quand un homme oublie qu’il est Brahman [le Soi], lequel est réel, permanent et omniprésent puis qu’il s’illusionne en pensant être un corps dans l’univers lui-même peuplé de nombreux autres corps temporaires et qu’il peine du fait de cette illusion, il faut lui rappeler que le monde est irréel et illusoire. Pourquoi ? Parce qu’ayant oublié son propre Soi sa vision s’attarde sur l’univers matériel extérieur. L’homme ne retournera pas sa vision vers le dedans de manière introspective [comme le retournement de la Lumière dans le Secret de la Fleur d’Or] à moins de lui faire clairement comprendre que tout cet univers matériel du dehors est irréel. Une fois qu’il réalise qu’il est son propre Soi et qu’il n’existe rien d’autre que son propre Soi, il finira par contempler tout l’univers comme Réalité suprême [Brahman] ».



Herbert Spencer n’a pas compris que de ressembler à RIEN c’était ce qu’il y avait de plus difficile (actuellement et depuis quelque millénaires) : le non-utilitarisme, le non-capitalisme.
Procurer un emploie-salaire à quelqu’un c’est l’ASSERVIR ; donner quelque chose à quelqu’un ou aider n’importe qui comme les politistes « sauveurs du monde » qui voudraient que tout le monde puisse obtenir ou faire ce qu’il veut façon « libéralisme », revient à satisfaire l’ego illusoire de ces salariés ou de ces assistés des pouvoirs étatico-financiers du capitalisme et à affirmer son pouvoir sur ces assistés. Par conséquent, procurer un emploi ou rendre service revient à NE PAS RENDRE SERVICE.
Le seul service que vous pouvez rendre à quelqu’un, c’est de lui faire découvrir la GRATUITÉ, LA PUTRÉFACTION OU RENONCEMENT : lui donner l’occasion de se déposséder de quelque chose et d’affaiblir la domination de son ego illusoire par ce Renoncement. Voir par exemple le scénario « Le Jardin de Ptah » où il est question du Renoncement par Imhotep, architecte de Djoser.
Dans un premier temps, la personne pourra vous remercier de lui avoir rendu un mauvais service, une hérésie envers le libéralisme et son « vivre ensemble », dans un deuxième temps la personne vous gardera rancune pour lui avoir rendu ce bon service ; à moins seulement qu’elle en arrive à comprendre…

Le sacrifice vendu par nombre de religions tournant autour du salut, notamment le judaïsme (Abraham/Isaac), est aussi une illusion TRÈS VENDEUSE : une tautologie du Renoncement ! Vous faites un sacrifice pour quelqu’un, VOUS SERVEZ EN FAIT VOTRE EGO, et par là-même vous infligez une blessure à votre victime. Si vous acceptez un sacrifice, vous êtes en train de subir une blessure et d’accorder un AVANTAGE MERCANTILE à l’autre (fait vécu dans mon enfance avec des parents pauvres). Sur le plan de la Réalité suprême, il n’existe rien pour faire un sacrifice et aucun sacrifice ne peut être fait, car Gratuité et Sacrifice ne sont plus dualité, et IL N’Y A RIEN. Le sacrifice est déjà du mercantilisme : L’ÉCHANGE, comme chez les Hébreux-Juifs sacrifier sa vie mortelle contre une vie « à l’étage au-dessus », là où il y a PLUS DE SANG POUR LE DRACULA de la finance.

Lorsque je serai enfin débarrassé du monde, de toi, je serai libre de me retourner : Retournement de la Lumière, pour vivre en accord avec le TOUT, libéré des conflits produit par l’opinion et la dualité cause-effet, libéré des souffrances qui me sont tombées dessus à cause de ton cirque social maintenant mondialisé. Je serai enfin dans le Pays du Rien du Tout, LE PAYS DE L’INUTILITÉ, DONC DE LA GRATUITÉ, DE L’ÉNERGIE LIBRE (tout utilité demandant DU FEU, UN TRUC QUI FAIT TOURNER, et depuis un moment pour faire tourner en bourrique : du pétrole, du nucléaire).
Utile : de US (comme United State paradis du dollar…) et efficacité, et comme SALUT SALUTAIRE (comme ces religions utilitaristes du salut).
INUTILITÉ = AUCUNE SOUFFRANCE. Seule l’utilité va engendrer la souffrance, comme le mental. L’utilité va engendrer le winnerisme et la méritocratie, la compétition, etc. Non, Herbert Spencer n’a pas compris ça qui est pourtant vieux comme le monde.

Le désir de posséder est, par définition, SANS LIMITES, ce qui défini par là-même le libéralisme ; et ce qu’on possède vous possède, comme votre mental, VOUS EN DEVENEZ DÉPENDANT !


 
 

Dernière mise à jour : 20-05-2019 01:17

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