Boule ou Camembert ?
 

Ecrit par Sechy, le 10-10-2019 22:45

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Tags : Alchimie, Amour, Apocalypse, Apparence, Asservissement, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Guerre, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Inquisition, Instant, Intérêt, Intérieur, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Magie, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pèlerin, Peur, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Silence, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï, Zéro

 
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Boule ou Camembert ?
M-aboule ou Plaboule ?
A-bouler ou non ?
Pas d’A-bouler :
Achille ne rattrape jamais la Tortue,
car il n’atteint jamais d’abord que
le point où ÉTAIT la Tortue, et il a
toujours à atteindre le nouveau point
où elle EST, qui devient le point
où elle ÉTAIT (ressemble à la FRACTALE…)
Donc Paradoxe de la Réalisation (du Soi).
 
 
DIA signifierait « à travers », comme DIAgonale, DIAlogue ou DIAlectique (constructivisme matérialiste et utilitariste de Hegel) : à travers le MALIN (DIAble) : celui qui calcul ou utilise le BRUIT mental, et qui roule le diable à deux roues du faire/fer.
Avant, l’existence de la Boule doit bien se trouver la Médecin Universelle même pas purgative, puisqu’il n’y a rien à purger ou à nettoyer : dans la non-dualité, l’a-temporel, rien à purger.
 
Qui a-t-il de si important dans la non-cause de la Boule ?
IL Y A LE JEU-HUMOUR, LE RIRE, OU MIEUX : LE DÉCALAGE COMME LE FLÉAU QUI N’EST PAS LE FLÉAU : UN DÉSACCORD, UNE CHARGE NATURELLE : être décalé ou pas, en accord, par rapport à telle situation.
La charge est une Résistance (1), donc contraire de fluide, cela déclenche, provoque, fait sourcer, d’où le principe du rire. Le rire est un décalage : au théâtre, le public applaudit le comédien, alors qu’icelui sait qu’il a fait une faute dans le texte de l’auteur : décalage du non prévue donc du SPONTANÉ, DU NON CALCULÉ, NON FIXÉ. Décalage ou Glissement du temps profane. Voir en ne surtout voyant pas, car autrement on tombe dans le Pour-Voir des voyeurs ; il s’agit seulement de voir la Vraie Nature des êtres en ne les voyant pas, donc en ne les possédant pas par le regard engendrant la dualité, l’opinion, la croyance, la fixation, etc. « C’est en ne voyant pas qu’on accède au regard des Saints », dit un commentateur de Nagarjuna (Madhyamaka-karikas).
DÉCALAGE : Côté enfantin, avec une logique qui peut paraître absurde, mais ce n’est pas toujours le cas.
Décalage/Naïf/Charme/Maladresse/Fraicheur.
Décalage : sorte de désaccord ou de déséquilibre entre le signe et l’idée.
Décalage : [GABER] plaisanter, se moquer. [GABE] en français du Moyen-Âge : moquerie, ruse.
Un autre exemple de décalage :
Un homme aimant passionnément les chevaux. Un jour, il frappe vigoureusement les moustiques qui s’amassaient sur les chevaux, ceux-ci s’emportèrent, cassèrent leurs mors et brisèrent la tête et la poitrine de l’homme. Bien que son intention fût bonne, cet homme n’a pas atteint son but. (D’après Tchouang-tseu. Trad. Liou Kia-hway).

Un CROISEMENT nerveux en DÉCALAGE :
- Ce qui réveille endort.
- Ce qui endort réveille.

Sous dicta de la logique et d’Aristote et de l’Église chrétienne, le RIRE sera damné au Moyen-Âge, à cause de la CROYANCE en L’OPINION DE LA BIBLE, où dans le Nouveau Testament il est dit que le Christ-Jésus n’a jamais rit de toute sa vie !!!

Pour revenir à la Boule, je cite à nouveau un extrait du Mineur de Jean Coulonval (Synthèse et Temps Nouveaux) qui croyait que la Terre était plate comme un camembert. Ce mineur était donc un « platiste » comme certains de nos jours qui croient en une « Terre plate » (et pourquoi pas pendant qu’ils y croient : une Terre cubique, avec passage hautement délicat sans tomber pour passer d’une face à une autre…).

« La question est de savoir s’il y a terminus ou pas terminus dans l’addition de surfaces planes, n’a plus aucun sens quand on considère la sphère, la question de savoir s’il y a terminus ou pas terminus dans l’addition de sphères à sphères, ou s’il faut allonger le rayon qu’on a la tentation d’assigner à la globalité cosmique, doit perdre tous sens intelligible dans la géométrie de l’Univers, de la Création. Elle doit réaliser l’identité des contraires du haut et du bas, du grand et du petit. Alors, comment doit-on la voir [la Boule] ? Je n’en sais rien. Mon mineur butait sur la sphère. Je butte sur l’Univers, à un degrés au-dessus. Je suis aussi bête que lui qui me disait ses âneries en buvant chez moi le café et la goutte. J’ai la consolation de ne pas être tout seul ». (Lettre 30, du 4 juillet 1974, à Aimé Michel, à propos de sa lecture du livre donné par A. Michel : Du monde clos à l’univers infini, d’Alexandre Koyré ).

À mon avis il manque beaucoup de rire dans la profession de politisme ! Le décalage comme le rire ne générera pas d’opinion : quand on sourit ou qu’on rit (mais pas en ricanement qui sera méprisant donc duel), on n’affirme rien, on n’opinione pas, on ne choisit pas un côté ou son contraire, on ne nie rien non plus en fait d’existence (tout est possible, pas de limitation par le jugement d’opinion lié à l’ego).
LE RIRE JOUEUR OU DE BONNE HUMEUR EST UN DES ASPECTS DU FLÉAU EN NON-FLÉAU (un milieu qui n’est pas un milieu, parce que s’il était un milieu il serait coagulé, fixé, alors fâcheux pour le FLÉAU.

Affirmer qu’il n’y a qu’un Dieu est un faux Fléau (diviser entre croyant et incroyant).
Inventer la Laïcité divise entre croyants et incroyants, et élague totalement les SACHANTS ou RÉALISÉS OU LIBÉRÉS VIVANTS DANS LA SEULE RÉALITÉ.

FLÉAU = CE QUI N’EST PAS IDENTIFIABLE D’OÙ LE SENS PRINCIPAL DU NOM « FLÉAU » (on ne peut pas le saisir ou se l’approprier, comme le GRATUIT n’appartenant à personne…)
FLÉAU VA DEVENIR NON-FLÉAU OU VRAI FLÉAU PAR LA NUIT OBSCURE DE SAINT JEAN DE LA CROIX, LA PUTRÉFACTION OU RENONCEMENT.
Rien que le fait de parler « d’égalité » suffit à engendrer son contraire ; idem par l’exemple flagrant de l’emploi de « grande école » ou « école supérieure » inventant du même coup « l’école inférieure », et la dualité WINNERS-LOSERS si présente et dévastatrice de nos jours. Le D’ANGE-R est que chaque MOT est un Mot/Maux ou un danger, un mini-labyrinthe en un faisceau de relations, du genre : « S’il n’y a point de père sans un fils, comment un fils pourra-t-il venir à l’existence ? En l’absence d’un fils point de père, en sorte qu’aucun des deux n’existe » (réf. à Shantideva). Si le fils est mort-né, le père doit l’être aussi, sinon ça ne fonctionne pas ! dans le temps, car si nous disons que le père engendre le fils nous faisons dans la cause et effet et INVENTONS LE TEMPS : opinioner après coup en attribuant à l’homme le nom de « père », par le machinisme de l’opinion du mental.

« Lorsque dans une discussion on se sert de la vacuité comme d’un instrument, toute réplique de l’adversaire est une non-réplique car le nouvel exemple qu’il invoque est du même ordre [et soulève donc la même difficulté] que ce qui est et reste à démontrer » (Stances 4, 8, Voie du Milieu de Nagarjuna).
« Lorsque dans un Commentaire on se sert de la vacuité comme d’un instrument, toute critique de l’adversaire est une non-critique car le nouvel exemple qu’il invoque est du même ordre et soulève donc la même difficulté que ce qui est et reste à démontrer » (Stances 4, 9, Voie du Milieu de Nagarjuna).
Ainsi, comment peut-on toucher ou penser à la vacuité en pensant ENCORE à la vacuité ? Pour essayer d’y voir un peu plus clair, se souvenir de la Stance 4, 7 : « Pour [les autres groupes d’appropriation ou skandha [agrégat constituant l’ego] : forme corporel, sensation affective, pensée ou mental, notions, tendances, comme pour n’importe quelle entité prise à part, la procédure à suivre est exactement la même que pour la matière sensible ». L’adversaire n’a que cinq skandha pour reculer, comme le prisonnier qui sort à reculons de la cour de la prison pour se diriger à reculons vers la porte de sortie pour donner l’illusion qu’il entre dans la prison. Ce qui rejoint Achille et la Tortue, le Paradoxe de la Réalisation du Soi où le Vrai cesse d’être vrai quand il est vu, on a le Ici et Ailleurs comme la porte de prison dans le poème de Garcia Lorca, la Chanson du Cavalier :
Cordoue.
Lointaine et solitaire.
Cheval noir, lune grande,
Et des olives dans ma sacoche.
Bien que je connaisse le chemin,
Jamais je n’atteindrai Cordoue.
Par la plaine, par le vent,
Cheval noir, lune rouge,
La mort est là qui me regarde
Du haut des tours de Cordoue.


L’ici et maintenant c’est Cordoue, et le cavalier s’en trouve définitivement éloigné, privé de toute relation avec autre chose que lui ; alors il n’y parviendra pas ; il pourra s’en approcher autant qu’il le voudra, il ne sera jamais ici et maintenant, puisqu’il est LÀ-BAS. AUCUNE ROUTE NE MÊME À ICI. Tout ce qui arrive est de l’ordre de l’Histoire-Opinion-Temps qui coule et non de la fin : rien de réel ni de définitif ne se produit ici-bas, c’est pourquoi il est imbécile de coller, par exemple, au mot « république » le mot « universel », qui ne peut que concerner le spirituel, soit le vrai sens du mot « politique » : « JE SUIS ».
Alors, « L’homme politique », ou la femme politique, C’EST NOUS TOUS.
L’Histoire-Opinion-Temps qui coule correspond au spatio-temporel, soit tout ce qui naît et meurt, qui est balayé et aussitôt remplacé indéfiniment par d’autre Histoire-Opinion-Temps qui coule. Rien de ce qui arrive dans le spatio-temporel n’est une arrivée : la mort seule ou PAN fait le mariage entre l’événement et l’ÊTRE ; au mieux la Réalisation du Soi conduit au Réalisé vivant, encore si rare de nos jours.
Bref, la « fin des temps » ne peut pas exister : tant qu’il arrive quelque chose, donc l’Histoire-Opinion-Temps qui coule, on n’est pas arrivé, et si par malheur on est arrivé, alors il n’arrive plus rien !
Comme l’Univers ici est hors d’atteinte et se dérobe à toute approche de la part de ce qui n’est pas ici. Du haut de sa tour le Cavalier de Lorca ignore à jamais son ailleurs !
L’attente du messie est identique à la peur du réel, de l’insolite, de ce que l’ego ne peut pas prévoir (il n’a pas le temps de raisonner, il ne peut pas se « sécuriser »). Donc toute peur est la peur du Seul Réel : la PANique. L’attente du messie est encore un moyen politique de « socialisation » des masses ignorantes. Le Réel devient PANique si on y introduit le spatio-temporel : réaction de panique à l’égard de quelque chose qui loge d’une manière indéterminable à proximité. La nuit fait peur (surtout aux policiers et autres « services d’ordre »), l’invisibilité aussi, dans la mesure où il ne peut être identifié immédiatement et certainement (par cette même police). La peur survient lorsque la Réalité est toute proche.
Ainsi pour échapper à cette PANique nous survivons dans le CHARME, dans le FÉTICHISME, dans l’IDÔLE ; un comble pour les religions abrahamiques du Livre faisant la guerre contre les Païens qu’ils accusent d’être des idolâtres !!!
Bible : Livre de la Sagesse : Ce qui est à notre portée nous ne le trouvons qu’avec effort. (À rapprocher de la Caverne de Platon).
Les paroles vraies paraissent paradoxales (Lao-tseu).


AUCUN BUT À ATTEINDRE ON REVIENT AU POINT DE DÉPART EN CE SENS QU’ON NE L’A JAMAIS QUITTÉ : VOUS ÊTES COMME VOUS ÊTES, LA SUPER TAUTOLOGIE « JE SUIS CE JE SUIS ».


Nagarjuna, Stance 5, 8 : « Mais les gens à l’intelligence courte, qui ne voient qu’existence ou inexistence là où sont des choses en devenir, ceux-là ne voient pas du visible l’apaisement béni ». Celui qui pense : « Il n’y a pas » divise, comme la lame de la Guillotine, la Veuve la bien nommée ; mais celui qui reste dans le SILENCE du mental en ne pensant pas « Il n’y a pas » est proche de la Libération (il est délivré de l’opinion). Mais celui qui s’affranchie des deux en faisant dans le FLÉAU DANS LE NON-FLÉAU atteint la Libération, le RIEN DU TOUT, ou RIEN DANS LE TOUT ET TOUT DANS LE RIEN.
Le Libéré vivant ne prend par parti pour le FLÉAU car il risque d’en faire un Fléau au sens désastre, maladie ou plaie, une chose redoutable comme le Yahvé des Hébreux-Juifs ; car une fois les deux plateaux de la Balance ou des contraires disparus, LE FLÉAU N’A JAMAIS EXISTÉ NI LA BALANCE NON PLUS ! LE FLÉAU OU LE MILIEU FORME DE MONOTHÉISME EST IDENTIQUE À AFFIRMER QU’IL N’Y A QU’UN SEUL DIEU (le fléau du « Allah akbar » ou le FLÉAU DES RELIGIONS OU CROYANCES centrées sur le monothéisme qui divise de plus bel).
Le Fléau en non-Fléau ou Voie du Milieu qui n’existe pas c’est la Vacuité d’un mental qui ne pense pas à sa vacuité, comme le précise le Secret de la Fleur d’Or. Donc ne même pas penser au « Milieu ». Penser au « Milieu » est déjà une précision, une fixation ou limitation et « Circulez ya plus rien à voir ! ».
Le vrai sens du mot FLÉAU sera donc celui du Secret de la Fleur d’Or : NE PRENDRE POSITION NULLE PART, PAS MÊME EN UN MONOTHÉISME, PAS MÊME EN UNE LAÏCITÉ QUI DIVISE PLUS QUE JAMAIS, PAS MÊME DANS UNE POSITION AU MILIEU OU DANS UNE NEUTRALITÉ, LAQUELLE NEUTRALITÉ NE PEUT-ÊTRE LIBÉRATRICE QUE DANS LE RIRE DISCRET (non vulgaire ou nerveux, et pas un rire-sanction non plus) ; le RIRE ou L’HUMOUR DISCRET EST LE FUSIBLE DES 11 MOTEURS : le paradoxe, les poisons, la fermentation,
le rendre liquide et rendre solide (Solve et Coagule ou le Rebis), les portes, l’icône-aquarelle, la coïncidence, le pléonasme, l’analogie, les feux, les vents ou Tautologie. Le Rire ou Fusible fait partie de l’opérateur.

Vous devez tirer des larmes ou des rires d’un Caillou et toujours garder le Rythme.

NE PRENDRE POSITION NULLE PART, QUEL FLÉAU POUR L’OPINION PUBLIQUE ET INDIVIDUELLE (et pour le système étatique des élections au « suffrage général », et évidemment Fléau pour le tout connecté et son « tout intelligent » qui bouffe constamment des opinions ou des informations, du big data).

FLÉAU = ANALOGIQUE, NON DIGITAL, NON FIXATION QUI RÉ-VÈLE POUR MIEUX NOUS VOILER DE NOUVEAU AFIN D’ATTIRER NÔTRE ATTENTION SUR : AMBIGUÏTÉ DU SACRÉ, DANGER (d’Ange).
Non, non, Dieu n’est pas « le plus grand », car ce n’est qu’un bidouillage, une opinion du mental qui fout le chaos dans nombre d’endroits sur cette planète. « Le plus grand » invente le winnerisme : l’évolutionnisme, le progrès ou winnerisme comme « le meilleur », le major du latin (meilleur), qui dans quelques dictionnaires, donne le winnerisme comme : maître, major, chef ou commandement, donc le plus « grand », le Superman. Ainsi : DANGER, DANGER, DANGER ! en l’absence du « Qui suis-je ? »

Merci cher Nagarjuna, à bientôt.


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« La Vérité suprême est si simple. Ce n’est rien d’autre que d’être dans l’état originel.
Il n’y a rien de plus à dire. N’est-il pas alors étonnant que pour enseigner une vérité
aussi simple il faille que tant de religions, croyance, méthodes en viennent à exister
avec les discordes qui en découlent entre elles ? Oh quelle pitié ! Quelle pitié ! »
dit Ramana Maharshi à l’entretien 96 du 13 novembre 1935 répondant au
Major A.W. Chadwick, lequel lui répond si justement que les gens ne veulent pas
de la simplicité mais de la complexité (la preuve : le délire aliénant de
la technologie actuelle) : « C’est parce qu’ils veulent des choses savamment
élaborées, attrayantes et difficiles à comprendre que tant de religions sont apparues
dont chacune est si compliquée ; et chaque secte, à l’intérieur de chaque religion,
a encore ses partisans et ses adversaires ». 



Note.
1. RESISTANCE, CHARGE/DÉCALAGE/DÉCALÉ/DÉPHASÉ, Fréquence, Infini.
Le RIRE est une Résistance ⁄ s’oppose à une action, un mouvement, la Résistance est une charge (une accumulation, un réservoir), une caricature, ou portrait charge.
C’est une NON FLUIDITÉ : le contraire de Résistance est donc Fluidité.
Dérisoire : se moquer de l’important ou caricaturer l’important, l’estomper par le rire.
Difficulté/charge freine la Fluidité/Courant.
Celui qui marche dans une rue de Paris perdu dans ses pensées (ou dans son tétéphone portable), est regardé par l’autre d’une façon différente (avec comme un air de reproche ou d’incompréhension).
LE GRAND DÉCALAGE, L’APOCALYPSE : Ce que vous cherchez : c’est là où vous ne l’attendiez pas : CHEZ VOUS, comme l’exemple de la femme qui pensais avoir perdu le collier qu’elle portait autour du cou, exemple souvent donné par Ramana Maharshi ! Car cela peut déclencher la PANique ou GRAND DÉCALAGE, L’APOCALYPSE (Révélation).
Le bourreau et son supplicié risquent d’être en GRAND DÉCALAGE ET CE SERA BÉNÉFICIAIRE POUR LE SUPPLICIÉ s’il se met à RIRE de ses supplices, NE FAISANT PAS LE JEU DE CAUSE À EFFET DU BOURREAU !!! Car le bourreau attend bien l’effet de la cause qu’il est censé produire…. Mais s’il n’y a pas de cause, ou si icelle est NON DOGMATIQUE, NON INCONSCIENT COLLECTIF, SINGULARITÉ, alors il y aura décalage.

[En haut de page : maisons à Rome, esquisse d’aquarelle de M. Roudakoff]
 
 

Dernière mise à jour : 10-10-2019 23:57

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