Démocratie = Limites, Divisions, Winnerisme
 

Ecrit par Sechy, le 15-10-2019 00:47

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Tags : Alchimie, Amour, Apocalypse, Apparence, Asservissement, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Inquisition, Instant, Intérêt, Intérieur, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Magie, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Paradoxe, Pèlerin, Peur, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Silence, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï, Zéro

 
 
 
Démocratie = Limites, Divisions, Winnerisme
Winnerisme et Spécialisme (notamment la
trinité étatique, armée-police-justice)


Le Bétail humain : LES SOUMIS, LES DOMESTIQUÉS.
 
 
Le Bétail humain, dont certains animaux ne voulant pas être « soumis » inventèrent la Laïcité, sont atteint du winnerisme en voulant « tuer la mort » ici-bas, en « augmentant » leur corps, leur ego ou ‘je’, fait surtout observable dans la vallée siliconée. CAR CE N’EST PAS DE MOURIR QUI EST LE PLUS TERRIBLE, MAIS DE NAÎTRE, ce qu’ont oubliés les Google-Transhumanistes et leur Arthur Levinson dans leur vallée. Car naître engendre une existence de bétail, DE SOUMIS, DE DOMESTIQUÉS : être asservi par les limitations corporelles, ce que doivent déjà savoir les Levinson, et de conscience conditionnée et dépendante, donc une vie marquée par le principe de la mort, une vie dans une seule flèche du temps n’allant que dans un seul sens…. Alors je ne vois pas à quoi sert la « laïcité » qui, pour certains citoyenisés au régime, prennent cette laïcité pour une « liberté » (de croire ou de ne pas croire, donc en ignorant la Connaissance : la laïcité n’est en aucun cas neutre, puisque en dualité ce monde croule sous la tyrannie de l’opinion, du CRÉDIT-CRÉDO-CROYANCE dont la CROYANCE EN DES DOGMES OU ÉGRÉGORES PARTICULIERS, et que pour certains au gros ego font que leurs croyances leur conféreraient un privilège, un winnerisme dominant les losers, en dualité dominants-dominés, sur laquelle reposent aussi la laïcité et sa démocratie. La « liberté de penser » sous ego du mental killer est la même illusion que l’invention du « peuple-roi », donc la démocratie). ILLUSION = EN DUALITÉ SUJET-OBJET LE MENTAL QUI OPÈRE OU SAISIT CE QUI ET DÉJÀ PASSÉ : LE MENTAL NE SE NOURRIT QUE DE MATIÈRE MORTE OU DÉJÀ CUITE, DÉPASSÉE, HORS DE L’INSTANT CAR RE-PRÉSENTÉE. L’ACTE DE LA RAISON EST LE KILLER DU VIVANT, AUSSI NE FAUT-IL PAS S’ÉTONNER DE LA POLLUTION ET DU PHÉNOMÈNE DU « RÉCHAUFFISME CLIMATIQUE ».

Le bétail humain et soumis n’étant pas réalisé ou libéré, est PIRE que les animaux (il détruit non seulement ses frères et sœurs humains et maintenant avec sa technologie aliénante il détruit un grand nombre d’espèces animal et végétal. EN FAIT IL SE DÉTRUIT LUI-MÊME).

Le bétail humain est un animal domestique (civilisé), c’est-à-dire très ordinaire car asservis à la condition humaine, notamment par la parole liée à son espèce, et qui ne sera que du « bétail pour les Dieux », des « pions de jeu » pour les Dieux. Qu’un être humain tente de sortir de cette condition d’animal domestiqué par les Dieux en pratiquant la Réalisation du Soi, les Dieux en seront contrariés comme un propriétaire de troupeaux qui perdrait une tête de bétail. Alors ils dépêchent auprès des condamnés qui se veulent libérés une nymphe céleste, ou une laïcité, ou un "développement personnel" ou un Lucifer qui par toutes sortes de « lumières » ou de eyes candy le détournent de sa Réalisation ; scénario si fréquent dans les récits mythiques.

En effet, parmi les trois Règnes : minéral, végétal, animal, l’être humain est LE SEUL qui a la possibilité de se libérer de l’asservissement - qui normalement n’existe pas puisqu’il est naturellement Félicité - s’il en prend conscience et le réalise dans ce but. C’est pourquoi la naissance dans un corps d’humain est considéré COMME UNE GRÂCE, car de tous les animaux, seul l’être humain a une possibilité de libération de l’illusion de ce monde : « Nous sommes dans notre Soi. Nous ne sommes pas dans le monde », dit le Maharshi à l’entretien 41 du 22 mars 1935.
Cet animal humain peut seul dépasser la dualité première vie-mort. Cette Réalisation est appelée ÉTERNITÉ (amrita) : « L’absence de désir suffit à elle seule à accéder au monde du Réalisé, car cela signifie qu’il n’y a plus rien qui incite à renaître » (pour réf. à l’entretien 513 du Maharshi le 16 septembre 1938).

« Si l’homme considère qu’il est né, il ne peut pas éviter la peur de la mort. Qu’il cherche donc s’il est né ou si le Soi a quelque naissance. Il découvrira que le Soi existe depuis toujours, que le corps qui est né se réduit à une pensée et que l’émergence d’icelle est la racine de tout le mal », dit le Maharshi à l’entretien 80 du 3 octobre 1935.

Donc le « tuer la mort » comme le rêve un Levinson et un Juif-Google ce n’est pas chercher à prolonger la vie ici-bas dans son actuel mode d’être dans cette existence phénoménale où vie et mort sont les deux faces de la même médaille, mais en se désaisissant de la vie mortelle pour affronter la mort symbolique qui nous fait accéder à l’« éternité ». Et c’est SHIVA qui préside à cette mort symbolique, consciemment recherchée.
Ainsi Shiva est le Feu purificateur qui détruit les faux concepts inventés par le mental, les passions aveuglantes, les désirs sans fin façon darwinnisme et winnerisme, l’orgueil de l’ego et sa gourmandise aussi sans fin ; TOUT CELA N’ÉTANT PAS NATUREL ET À DONC BESOIN D’ÊTRE DÉTRUIT PAS SHIVA : Le Renoncement ou Putréfaction, la mort pour renaître. PUTRÉFACTION = RENAÎTRE À UN NIVEAU PLUS PUR. Les Arthur Levinson n’ont pas compris que dans le spatio-temporel aucune vie ne peut être « prolongée » sans la mort d’une autre forme d’existence ; à plus forte raison dans le mouvement de retour du Manifesté à son Principe divin non manifesté, le Soi, là où il y a capitulation de l’ego et abandon des identifications illusoires, ce qui apparaît au mental humain comme une sorte de mort, mais qui sera la voie vers l’éternité.

Le Trident de Shiva (comme celui des Divinités de l’EAU : Poséidon-Neptune ou de Chalchiuhtlicue : en haut et bas de page) ; le Trident du E avec son Axe I : Feu, Vent-VAN, spiritualité, lumière, unifier les énergies déployées par la trinité et assurer ainsi le retour de l’être humain à l’Eau Primordiale puis à sa Source (Focale ou « taper dans le mille » : vers-I-Té [ne pas remplacer le verbe I-ter-er par ré-itérer qui fera dans la dualité par la copie, comme le ‘re’ signifie aussi la ‘chose’, chosifier, re-présenter])
Le trident de Shiva est destiné à trancher trois racines : L’ignorance de ce qui est derrière l’illusion, la haine, l’avidité si lié à l’ego et de nos jours au libéralisme ; ces trois racines de la démocratie et de son état de conditionnement, car la démocratie n’a jamais libéré personne !

Le Bétail humain est aussi trinitaire : le maître, le bétail, les liens (ou les chiens de garde du troupeau) qui font que les êtres sont attachés comme des animaux domestiqués ou maintenant des « animaux de compagnie », preuve que le social moderne, paradoxalement, a tout détruit !
Shiva est le Maître, le Soi, le Seigneur de tous les êtres et le Protecteur du Bétail.

SHIVA :
- Conscience infinie et seulement Cela.
- Luminosité et pureté absolues.
- Liberté absolue.
- N’est soumis à aucune loi étant Maître des lois cosmiques.
- Il n’existe pas d’être autre que Lui, dont Il dépende, mais de Lui dépendent tous les êtres.
- Il est Omniscience.
- Il est Omnipotence ou Instant, Ici et Maintenant.
- Il est félicité, Amour ou Gratuité.
- Il est Un sans second.
- Il est sans commencement ni fin.
- Il est indivisible, sans parties.
- Il marie les contraires.
- Il inflige la Mort en conférant la victoire sur la Mort.
- Il est toujours accompagné de son Énergie (ou Rayonnement dispensateur de toute Grâce).
Shiva = le Soi.

Le premier lien ou premier asservissement qui entrave est une impureté inné qui « atomise » la conscience ou la rend comme un petit pois, un atome ou une parcelle, un éclat, alors que le ‘je’ a pour véritable conscience le ‘Je’ ou Soi ; le ‘Je’ est ainsi associé à l’origine à l’impureté du ‘je’ ou ego qui le fait concevoir comme limité, d’où le concept de démocratie limité en premier par l’ego. Le premier lien atomique ou impureté atomique introduit le sentiment de limitation et de finitude du mental ; ainsi le ‘je’ ne se perçoit que comme une partie de l’infini du Seul Réel, et se sent isolé et séparé.

Pour se libérer de ce lien, le ‘je’ doit effectuer les « laveurs » (nom alchimique…) qui n’est possible que si le ‘je’ entre dans la dimension de l’expérience et du parcours libérateur, car le ‘je’ étant « sortie » des Eaux Primordiales, il n’a plus qu’a entrer dans un cheminement de prise de conscience et se dégager de l’illusion de la finitude, que renforcent les Levinson-Google.
L’auteur du Faire/Fer et également lié par la loi de causalité (le Faire/Fer qui porte ses fruits), doit renaître pour vivre ses Faire/Fer auxquels il ne peut échapper.
Les fruits ou karma accumulé dans une vie ou le résultat global des actions accomplies dans une vie rendent nécessaire une vie suivante, dont ces fruits déterminent la qualité et conditions, et cette nouvelle vie amènera l’auteur ou la cause dans toute une nouvelle  chaîne de causes-effets, dont il devra goûter les fruits ou les effets dans une existence postérieur, et ainsi de suite, sans fin en ce qui concerne cette loi de karma : le bétail humain est condamné à renaître indéfiniment pour éprouver les conséquences de ses propres actions. Tant que le bétail ou être humain est sous la loi de karma, il est sous l’énergie de Shiva qui rend la Vérité Ultime inaccessible.

KARMA : « Ce qui a commencé à porter un fruit est dénommé prarabdha-karma. Ce qui est en réserve et portera des fruits ultérieurement est appelé sanchita-karma. Icelui est aussi varié que les graine que les villageois échangent contre des légumes. Ces graines comprennent du riz, de l’orge, de l’avoine, etc., certaines flottent sur l’eau, d’autres s’y enfoncent. Certaines peuvent être bonnes, d’autres mauvaises, d’autres neutres. Quand les graines les plus puissantes de ce karma varié et accumulé commencent à fructifier à la naissance suivante, on l’appelle prarabdha de cette naissance » (R. Maharshi, entr. 37 du 4 février 1935).

SHIVA SEIGNEUR DU YOGA.

YOGA : Connaissance du Soi. Shiva préside aux voies de réunification de l’être individuel et du Soi, aux voies de prise de conscience de l’immanence pureté. Le Yoga vise à maîtriser les cinq sens et les facultés mentales afin que la conscience ne soit plus en mode « vagabondage du mental », soit ne soit plus attaquée constamment par l’avidité, l'opinion, afin de n’être plus attaquée par des fonctionnements mentaux et agitée par des tendances destructrices, ni assoupie dans l’inertie de l’habitude et du confort, pour enfin reposer en son propre Être et réaliser sa Nature infinie et inconditionnée.

La démocratie n’est aucunement un système de libération du dilemme Moi-Individuel/Moi-Collectif : le ‘je’ sans le ‘Je’ ou Soi ne peut qu’être conditionnés du fait qu’il éprouve les diverses expériences conditionnées par son mental.

Svetashvatara Upanishad :
- 1, 3 : Ceux qui ont pratiqué la méditation et le yoga ont vu le pouvoir de l’Atman [le Soi : Atma shakti], qui appartient au Seigneur [Brahman ou Être absolu, l’Absolu] et se voile de ses propres qualités (gunas). Ce Seigneur non-duel gouverne toutes ces causes, du temps de l’Atman ».
- 1, 6 = « En cette roue infinie de Brahman, en quoi tout vit et repose, le cygne de l’âme est entraîné dans l’errance [le vagabondage du mental], imaginant qu’il est un individu distinct et qu’il est celui qui fait mouvoir la roue. Dès lors qu’il reçoit la grâce de Brahman, le cygne parvient à l’immortalité ».
- 1, 7 : « Tel est le Brahman suprême, tel que le chantent les hymnes. En lui est enclose une triade [le sujet et l’objet et ce qui les lie, ou le maître et l’esclave et le rapport dominant-dominé qui les lien ; ou le jouisseur, l’objet de la jouissance et les objets de la jouissance]. Il est le support ferme, il est l’Impérissable. Par la connaissance de son essence intime, les connaisseurs de Brahman se vouent à Lui, s’unissent à Lui et sont libérés des renaissances ».
- 1, 9 : « Ils sont deux à être non-nés : le connaisseur (le Seigneur) et l’ignorant (le jiva), l’omnipotent et l’impuissant. Elle aussi, la Nature [Prakriti], est non-née, et elle est en relation avec le jouisseur et les objets de la jouissance. Or, l’Atman est infini, universel, inactif. Celui qui connaît cette triade [voir ci-dessus] connaît le Brahman ».

- 1, 13 : « De même que la forme matérielle du feu n’est pas perceptible quand elle demeure latente à la source (arani ou bâton à feu, ou l’allumette qu’on frotte qui allumera la mèche de la bougie), et que pourtant son essence subtile n’est jamais absente mais peut s’enflammer par une friction de sa source, de même l’Atman existe sous deux formes (invisible et révélée), tel le feu, et peut être éveillé en ce corps-ci au moyen du PRAVNA OM ».
- 1, 14 : « Si l’on fait de son propre corps le bâton à feu intérieur et du Pravna le bâton à feu supérieur, et que l’on pratique le barattage [tourner constamment et vivement tel le Retournement de la Lumière ou faire cailler le lait ou produire du feu par frottement de deux bâtons de bois) sous forme de méditation, on perçoit le Seigneur, dissimulé comme le feu dans le bois [ou dans la bougie] ».
- 1, 15 : « Ainsi que l’huile dans les graines de sésame, le beurre dans le lait caillé, l’eau sans le lit des rivières, le feu dans le bois, ainsi cet Atman est perçu dans le soi individuel [le ‘je’ ou ego] de celui qui le recherche au moyen de la sincérité et de l’ascèse ».
- 1, 16 : « Et il voit cet Atman omniprésent à la façon du beurre dans le lait, enraciné dans la connaissance de soi et l’ascèse. Tel est ce Brahman qu’enseignent les Upanishads, oui, tel est ce Brahman qu’enseignent les Upanishads ».

RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE qui se retrouve à 2, 1, quand cette Lumière Agni contrôle le mental en le faisant « sortir de la terre », sortir de ce corps mortel et nécessaire. Donc ce Soleil ou cette Lumière retournée vers l’ego afin de le mettre enfin sous le joug su Soi. Lumière retournée qui dans Svetashvatara Upanishad est appelée « Savitri » : « Incités par Savitri, nous mettons notre mental sous le joug pour chanter des hymnes au ciel et aux pouvoirs célestes. Contrôlons nos sens à l’aide de notre intellect et de notre mental, et Savitri les inspirera et les rendra aptes à manifester la Lumière de l’Infini » (2, 2-3).

RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE = LE VASE-VAISSEAU DE BRAHMAN.

Méditation à 2, 11 : « Les formes qui apparaissent au méditant, telles que flocons de neige, fumées, éclat solaire, courant d’air, flammèches, lucioles, éclairs, cristal ou lune, précèdent la manifestation de Brahman durant la pratique du Yoga ».

- 2, 12 : « Quand la quintuple essence du Yoga se manifestera, s’élevant de la terre, de l’eau, du feu, de l’air et de l’éther, alors le yogi entrera en possession d’un corps affermi au feu du Yoga, et ni la maladie, ni la vieillesse, ni la mort ne l’atteindront plus ».
- 2, 13 : « Les premiers signes qui révèlent que l’on est réellement entré en Yoga, sont : légèreté physique, santé, contentement du mental (absence de soi ou de désirs), clarté du teint, harmonie de la voix, odeur corporelle agréable et peu d’excrétions ».
- 2, 15 : « Dès lors que le yogi a réalisé la vérité de l’Atman, laquelle est devenue la lumière qui l’éclaire [par le Retournement de la Lumière], il contemple alors la vérité de Brahman, qui est non-né, éternel et libre de toutes les substances primordiales. Connaissant le Seigneur, il est libéré de toutes ses chaînes ».
- 2, 16 : « Ce Seigneur se déploie dans toutes les directions. Il est le premier-né, il est l’embryon dans la matrice. Il est né, il renaîtra encore. À l’intérieur de tous les êtres, il est l’Atman résident, regardant vers toutes les directions ».
- 2, 17 : « Ce Seigneur brillant de sa propre splendeur, qui est le feu et l’eau [Inné-Igné], qui est dans les plantes et les arbres, qui a pénétré l’univers entier, vénérons-le. Oui, vénérons ce Seigneur ! »

- 3, 1 : « Le Seigneur non-duel étend les filets (de maya ou illusion) et gouverne tout par ses pouvoirs. Il demeure unique et inchangé tandis qu’il gouverne tous les mondes, depuis leur apparition et durant toutes leur existence. Ceux qui possèdent cette connaissance parviennent à l’immortalité ».

- 3, 2 : « Rudra est l’Un, indéniablement ; car les connaissances de Brahman n’admettent pas l’existence d’un second. Lui seul gouverne les mondes par ses pouvoirs. Ô hommes, il est présent à l’intérieur du cœur de tous les êtres. Il est le protecteur qui, après avoir créé toutes les créatures, les reprend en lui-même à la fin des temps ».
- 3, 5 : « Ô Rudra, toi qui es Shiva, le Propice, qui est sans terreur et ne recèle aucun mal, daigne nous apparaître sous cette forme si bienveillante, ô résident des montagnes ! ».
- 3, 6 : « Ô résident des montagnes, la flèche que tu tiens en main et t’apprêtes à lancer, fais-la bienveillante (Shiva), ô protecteur des montagnes ! Ne blesse ni l’homme ni le monde ! ».

- 4, 2 : Cet Atman est Agni, le feu ; Il est Aditya, le soleil ; Il est Vayu, l’air ; Il est Chandrama, la lune, ainsi que le firmament étoilé. Il est Brahman, Il est les eaux, Il est Prajapati, le Progéniteur ».
- 4, 17 : « Ce Créateur de l’univers, qui s’est répandu en toutes choses, qui est l’Atman auguste, demeure en permanence au cœur des créatures. Il est connu par le mental, contrôlé par l’intellect et perçu par le Cœur. Ceux qui le réalisent ainsi deviennent immortels ».
- 4, 18 : « Quand les ténèbres (tamas) se dispersent, il n’y a plus ni jour ni nuit, ni être ni non-être. Il n’y a que cet Unique, ce Propice [Instant, Ici et Maintenant], qui est impérissable et suscite l’adoration de Savitri lui-même. C’est de Lui qu’émane l’Intelligence primordiale ».
- 4, 19 : « Nul ne peut le saisir, que ce soit par le dessus, par le travers ou par le milieu. Nul qui soit égal à Lui, dont le nom est ”Gloire insurpassable” ».
- 4, 20 : « Sa forme ne se laisse pas contempler. Nul ne peut le percevoir de ses yeux. Ceux qui le connaissent au moyen de leur faculté intuitive et le trouvent siégeant dans leur cœur, deviennent immortels ».

Le terrible terroriste qu’est l’ego qui engendre EN PREMIER L’OPINION, puis la haine et les guerres.
Grand merci au Sage Svetashvatara et à sa paroisse des Renonçants.
C’est par ce Sage qu’est énoncé LA CLÉ DE LA VRAIE PAIX SUR CETTE PLANÈTE :

- 6, 20 : « Seulement lorsque les hommes seront capables d’enrouler le Ciel comme un parchemin, verra-t-on alors la fin de leurs misères sans qu’ils aient besoin de réaliser la Divinité ».
Nous ne sommes plus au temps des Croyants ou de ceux « qui ont la foi », parce que désormais les Croyants sont dépassés ; il faut des Sachants.


- 6, 18-19 : « Lui qui jadis émana Brahma à partir de Lui-même [comme Ptah] et prononça les Védas à son oreille, il constitue le mont suprême vers l’immortalité, il est l’indivis, vierge de toute action, paisible, sans faute, sans tâche, il ressemble au feu qui a consumé son combustible [donc Inné-Igné en même temps]. Moi qui suis à la recherche de la Libération, c’est vers Lui que je prends refuge, vers cet Unique radieux de sa propre splendeur ».
 
 
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Dernière mise à jour : 15-10-2019 01:33

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