Temps et dédoublement
 

Ecrit par Sechy, le 02-03-2009 21:24

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Tags : Machine, Temps, Temps et dédoublement, Vibrations

 
 
 
 
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Bien que perplexe sur cette « loi » du dédoublement du temps proposée par Jean-Pierre Garnier-Malet, je place ici cet article car il va très loin. Et il y a un certain rapport avec le concept d’une multitude de chronologies avancé par Dan Burisch et son « système Looking-Glass ». Et même, à propos de mémoire, avec la « macchina » du père Ernetti et de la mémoire des vibrations (1). Dans l’histoire de Garnier-Malet et celle de Burisch, l’important il me semble est l’espace courbe, car en aucune façon il ne peut être rectiligne !

Vidéo italienne sur la macchina del tempo
 
 
 
Article du journal NEXUS n°61 de mars - avril 2009

À la croisée de la physique, de l’astrophysique et de la métaphysique, un physicien a découvert une loi qui semble régir nos existences. Reste à savoir nous en servir.

À propos de Jean-Pierre Garnier-Malet
Auteur de la loi de dédoublement du temps, Jean-Pierre Garnier-Malet est docteur en physique avec une spécialisation en mécanique des fluides. L'American Institute of Physics à New York et son comité scientifique ont validé la découverte de cette loi en la publiant en 2006 dans leur volume 839 (pp. 236-249). Ils ont ensuite décerné à Jean-Pierre Garnier-Malet le Best Paper Award (prix du meilleur article) pour sa théorie, qui a permis d'expliquer l'arrivée dans la ceinture de Kuiper de planétoides à l'origine d'explosions solaires d'envergure. Les répercussions de la loi de dédoublement du temps semblent encore innombrables. Ses fondements mathématiques et physiques reposent sur l'idée qu'un mouvement fondamental de dédoublement doit être utilisé aussi bien pour une particule dans un horizon que pour l'horizon lui-même, considéré à son tour comme particule dans son horizon. C'est par un changement d'échelle de temps, simultané avec un changement d'échelle d'espace que ce mouvement se définit sans modifier l'observation de l'espace-temps par l'observateur de son espace dans le temps de son observation. La mesure du temps étant donnée par la rotation d'une particule et celle de l'espace par la dimension R de l'horizon de la particule pendant son dédoublement, le trajet πR devient autre unité de temps pour un autre observateur qui considère cet horizon comme une particule dans son propre horizon. Ce changement d'échelle fait correspondre l'intérieur d'une particule, considérée comme horizon, avec l'extérieur d'un horizon, considéré comme particule, pour deux observateurs interne (+) et externe (-). Qu'on ne s'y trompe pas, la simplicité du résultat : (1πR2)* = (4πR) cache la complexité du raisonnement et de la démonstration (voir publications scientifiques). Jean-Pierre Garnier-Malet organise des stages de mise en application de sa théorie et donne des conférences. Il peut être contacté à travers son site : http://www.garnier-malet.com
 
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NEXUS : Jean-Pierre Gamier-Malet, merci de nous expliquer la loi de dédoublement du temps...
Jean-Pierre Gamnier-Malet : Nous avons l'impression de percevoir le temps tout le temps. Or, en réalité, nous ne le percevons que de temps en temps, comme nous le prouve d'ailleurs l'imagerie médicale : notre cerveau n'est impressionné que par des images intermittentes (2). Entre deux instants perceptibles, il y a toujours un instant imperceptible. C'est comme un film. On ne voit que 24 images par seconde. La 25 est imperceptible, subliminale. Cependant, certains publicistes ont utilisé ce genre d'image pour influencer avec succès notre comportement, montrant ainsi que le « subliminal » est accessible à notre mémoire.

Voyons-nous tous les mêmes « tranches » de temps ?
Pas forcément, Il est possible que quelqu'un d'autre perçoive un temps qui n'existe pas pour nous, et réciproquement. Vous pouvez vous en faire une idée avec l'éclairage électrique. Il s'éteint et s'allume cinquante fois par seconde, or vous ne voyez qu'une lumière continue: quand cela s'éteint, vous ne le savez pas. Maintenant, imaginez quelqu'un qui puisse voir la lumière dans les phases où elle est éteinte : il verrait tout dans le noir alors que vous, vous voyez tout dans la lumière. Vous ne verriez donc pas ce que lui voit, puisque vous ne voyez pas la même chose en même temps. Pourtant vous voyez exactement la même réalité. On peut alors imaginer qu'il y ait deux réalités, l'une qui voit dans la lumière et l'autre dans les ténèbres.

Et le temps ?
C'est pareil. Le temps, vous le percevez de temps en temps (3). Et il y a d'autres réalités qui perçoivent ce temps de temps en temps, mais pas en même temps, c'est intercalé. Cela signifie que nous voyons les mêmes choses, mais pas au même moment. Alors, on peut imaginer aussi maintenant que dans ces temps que nous ne percevons pas, il y a la possibilité de percevoir ce temps d'une façon complètement différente, à savoir qu'une seconde devienne des milliards de secondes. Et que nous aurions le temps de faire des choses extraordinaires alors que dans notre temps à nous, nous ne pouvons absolument rien faire.
Imaginez un peu que vous puissiez vous absenter dans ces temps imperceptibles pour faire des choses merveilleuses, puis revenir alors que vous ne savez pas même que vous êtes parti. Vous auriez ainsi déjà la connaissance essentielle d'un futur vécu, mais qui n'a pas eu le temps d'apparaître dans votre réalité. Vous posséderiez alors une mémoire supplémentaire forgée dans un temps complètement imperceptible.

Quelle est alors l'influence de cette expérience sur notre réalité, notre temps « perceptible » ?
À ce moment-là, vos pensées dépendent aussi de ce voyage hors du temps, qui modifie vos pensées et fait qu'à chaque instant, elles dépendent également d'un temps imperceptible dans lequel vous vivez aussi. C'est une idée merveilleuse, et c'est la réalité.
La réalité, c'est que le temps est dédoublé par des temps perceptibles et des temps imperceptibles. Vous vivez dans les temps perceptibles, mais vous vivez également dans les temps imperceptibles (4), seulement, par définition même du temps imperceptible, comme vous croyez ne pas le percevoir, vous l'ignorez. Et vous ignorez totalement que vous faites des voyages dans un temps qui n'a pas le temps d'apparaître dans votre temps.
Il en découle quelque chose d'ahurissant : « Ce que je vis là, en ce moment, serait le résultat de ces voyages hors du temps où j'organise la vie à ma façon... ». On peut alors se poser une autre question : « Qu'est-ce que j'ai comme expérience, quel contrôle ai-je de ces expériences que je ne mémorise pas ou mal ? ». Mes pensées seraient-elles modifiées sans que j'aie la possibilité de contrôler les modifications qui en résultent ?
Et je peux aller plus loin dans mes questions : si cette loi existe - à savoir qu'il y a des temps imperceptibles qui me permettent de fabriquer un futur instantané modifiant mes pensées à chaque instant - ne suis-je pas dans une réalité que me permet mon temps de perception oùje participe à la fabrication du futur de quelqu'un d'autre vivant dans un temps différent et surtout imperceptible ?
 
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Si nous vous suivons bien, ce quelqu'un d'autre peut aussi être... soi ?
Oui, exactement... Ne suis-je pas ce quelqu'un d'autre ? Ne serais-je pas double et en train de répondre aux questions que me pose un autre moi-même ? Le but de ma vie ne serait-il pas de donner des réponses à ce double ? Je lui fabriquerais alors un futur potentiel et mon temps de vie n'existerait que dans ses propres instants imperceptibles que j'ai appelés « ouvertures temporelles ».
Il y a, en réalité, une succession d'instants perceptibles séparés par des instants imperceptibles où je me fabrique des possibilités futures. Ce futur est instantané dans mon temps présent où je le mémorise. Mais si je mémorise un futur de façon instantanée, cela devient une mémoire, donc un passé. Finalement, le passé, c'est-à-dire ma mémoire, ne serait que du futur et mon instant présent ne serait que la conséquence de cette mémoire qui me pousse vers d'autres pensées... qui déclenchent un futur, qui déclenche d'autres mémoires... qui déclenchent d'autres pensées, qui déclenchent un futur... qui déclenche d'autres mémoires... Finalement, ma vie n'est qu'une succession de futurs qui se transforment instantanément en passés où le présent n'existe plus. Ce présent n'est que l'actualisation d'un futur que j'envisage instinctivement ou intuitivement avant de le vivre. Je serais simplement en train d'actualiser un futur que je crée dans un temps imperceptible et mémorise suivant la façon dont il me plaît ou me déplaît : je l'actualise s'il me plaît, je le mémorise pour ne pas l'actualiser s'il me déplaît... Comme cette mémorisation est instantanée, j'en tire des instincts nouveaux, des intuitions nouvelles, ce qui signifie aussi que toutes mes pensées sont le résultat de cette mécanique. Vous vous rendez compte des conséquences possibles sur notre vie ?

Cela signifie-t-il que nous pourrions contrôler notre futur ?
Oui, la question se pose : est-ce qu'il n'y a pas quelque chose derrière tout cela qui fait que, si je dois disposer d'un futur, je dois aussi le contrôler ? Et si je contrôle mon futur, je change mon présent. Le manque de contrôle, puisque je ne connais pas cette loi, n'entraîne-t-il pas des déséquilibres que je pourrais éviter ?
À partir du moment où je considère que c'est une loi universelle, ma vie sur Terre est fondée sur cette loi et ma vie m'apparaît comme la création d'un potentiel que je récupérerai à ma mort. Vous voyez que cela va très loin puisque cela signifie que pour bien vivre, je devrais être à la fois celui qui pose la question et celui qui y répond dans un temps accéléré dans lequel il vit pour organiser un potentiel, ce potentiel étant finalement la réponse à la question que je me suis posée avant de vivre, c'est-à-dire avant de naître...
Lorsque les anciens disaient : « Naître, c'est mourir et mourir c'est naître », ils voulaient peut-être dire cela : nous sommes sur Terre pour arranger les potentiels...
En fait, nous pourrions dire, de façon à ce que tout le monde comprenne, que nous sommes tous chamans, tous voyants.
Mais l'avenir que l'on voit, ce n'est qu'un potentiel (5). Cela signifie que si je change, je change le potentiel. La mission d'un bon voyant qui connaît la loi, c'est de percevoir un danger afin de l'effacer, de sorte qu'il voit des dangers qui n'arrivent jamais. Je peux en faire autant : je vois une catastrophe qui a été fabriquée, je fais tout pour qu'elle ne se produise pas.
 
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La Loi à l'épreuve de la science
 
Métaphysique et physique se rejoignent dans la théorie,..
Oui, tout à fait, parler du temps dédoublé est une chose, mais il faut vérifier si c'est applicable scientifiquement. On connaît le principe de relativité depuis longtemps mais pas tellement ses applications. Après la découverte d'Albert Einstein, il a fallu attendre 1970 et une expérience qui a permis de montrer que si l'on accélérait par rapport à quelqu'un d'immobile et que l'on revenait, on avait changé de temps.

C'est la fameuse expérience avec les horloges atomiques...
Oui, on a effectivement pris des horloges atomiques [voir lexique à la fin] qui avaient une précision de l'ordre d'une dizaine de milliardièmes de seconde. Certaines ont été placées dans un avion, d'autres étaient suivies au sol pour comparer. Puis on a regardé si l'accélération de l'avion autour de la Terre, dans le sens de rotation puis dans le sens inverse, modifiait le temps. Oh surprise ! Il y avait un changement de temps... Certes peu élevé, quelques milliardièmes de seconde, deux cent cinquante environ dans un sens pour un tour de Terre complet, dans les cinquante dans l'autre sens, mais enfin le résultat était là... Et cette expérience a prouvé une chose : si je bouge par rapport à quelqu'un qui est immobile, je ne vieillis pas de la même façon. Évidemment, bouger en avion ce n'est pas très rapide, mais sije me déplace à une vitesse prodigieuse, la différence devient significative...

Cela rappelle le paradoxe des jumeaux de Langevin...
Oui, Langevin [voir lexique à la fin] avait montré cinquante ans auparavant que si l'un de deux jumeaux allait à une vitesse proche de celle de la lumière, il disposait d'un temps très court par rapport à celui resté sur Terre, qui lui avait donc le temps de vieillir. Alors la loi de dédoublement du temps peut nous amener à la réflexion suivante : si je pars pendant une microseconde à une vitesse telle que je dispose de milliards de milliards de secondes, de jours entiers, lorsque je reviens, je ne sais pas que je suis parti, puisque je ne suis parti qu'une microseconde ; mais pendant ce temps, j'ai fait des expériences. Il suffit simplement que je puisse voyager à des vitesses prodigieuses.

Sauf que ce n'est pas (encore) possible...
J'attendais votre remarque... Il existe une autre propriété, connue depuis longtemps en physique : la dualité de la matière, à savoir qu'une particule est à la fois ondulatoire et corpusculaire. Or nous sommes un assemblage de particules : nos particules émettent et reçoivent, elles ont donc également l'aspect ondulatoire. Ainsi, n'aurions-nous pas, associé au corps physique, un corps disons « énergétique », capable d'aller chercher des informations à une vitesse prodigieuse ?
Dans ce cas, ce corps serait capable de changer de temps. Il pourrait aller chercher des informations et revenir me les donner.

Comment ?
Il y a une propriété physique très importante, propre à l'eau, dont le corps humain est composé à plus de 65%. L'eau est capable de stocker l'information. Et si je suis capable, avec ce corps « énergétique », de sortir de mon corps physique, d'aller chercher une information, et de revenir la transmettre à l'eau de mon corps, je récupère dans mon temps à moi, instantanément, l'information que j'ai été cherchée dans un autre temps.
Cela signifie que toutes les expériences que j'ai pu faire ailleurs, dans un autre temps, j'en dispose instantanément. Même si je n'ai pas le temps de les mémoriser, je vais néanmoins en avoir une rapide synthèse... C'est comme une idée venue d'ailleurs. Cela nous est tous plus ou moins arrivé d'avoir des idées qui nous surprennent, dont on ne comprend pas comment elles nous sont venues à l'esprit, ou encore de vivre une impression de déjà-vu... On sent bien qu'il y a quelque chose derrière ces réalités. Et les lois scientifiques du XXe siècle et maintenant du XXIe siècle n'entrent pas du tout en contradiction avec la théorie du dédoublement du temps.
Cette dernière nous permet même de calculer la vitesse de la lumière et de montrer qu'il existe des vitesses superlumineuses. Si un corps énergétique est capable de voyager à des vitesses qui dépassent celle de la lumière, alors le changement de temps est prodigieux. Or des scientifiques ont démontré l'existence d'une vitesse d'information supérieure à la vitesse de la lumière.
NEXUS s'en est fait l'écho dans son n°59 (p. 10)
Dernièrement, Antoine Suarez a même expliqué que le temps d'information entre les deux particules dédoublées était instantané. On a appelé cela « l'intrication ». En réalité, il y a bien une particule qui informe l'autre, et ceci à une vitesse d'information gigantesque. La théorie du dédoublement montre qu'elle est de 857 milliards de kilomètres par seconde (6). Cela prouve qu'il y a une particule qui informe l'autre, et réciproquement.
Si nous sommes également dédoublés, cela signifie que nous pouvons aller chercher les informations d'un double et les rapporter, donc bénéficier dans deux temps différents de deux informations différentes : l'un fait l'analyse, l'autre la synthèse. Celui qui fait la synthèse peut poser des questions en fonction de la synthèse dont il dispose, l'autre va chercher dans l'analyse la réponse à une nouvelle question, mais dans son temps à lui. Il est capable aussi de poser des questions qui vont entraîner une nouvelle analyse dans son propre futur.
Nous aurions alors passé, présent et futur... Nous retrouvons la condition vitale, cette « triade », comme l'appelaient les Grecs, que Platon résume ainsi : « Pour vivre, il suffit d'être celui qui était, celui qui est et celui qui sera ».
 
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Nous avons parlé de la découverte d'une loi scientifique et pourtant assez peu de science...
C'est vrai, bien que comprendre le mécanisme mathématique à l'œuvre soit délicat. Si l'on parle de deux temps différents, il faut trouver l'équation qui permette d'être l'observateur du premier temps et l'observateur du second temps, sinon je ne peux pas les utiliser. La théorie du dédoublement nécessite donc une équation qui soit un changement d'échelle d'observation et permette de changer le temps et l'espace. Dans la théorie du dédoublement, l'horizon d'un observateur devient une particule pour un autre dans un nouvel horizon. De plus, une particule pour un observateur est toujours un horizon de particules pour un autre. L'emboîtement, horizon-particule, permet de différencier les temps de dédoublement, selon les dimensions R de l'horizon et les rotations π des particules. Il en résulte une équation de dédoublement (voir encadré en début de page) reliant deux observateurs qui s'ignorent tout en pouvant échanger des informations dans des temps imperceptibles pendant leur dédoublement. On pourrait alors parler « d'intrication » de particules dédoublées par analogie avec les particules de l'infiniment petit. Ne peut-on donc pas considérer deux étoiles de notre galaxie comme deux particules d'un même horizon galactique où elles interagissent de façon cyclique, à la fin de leur cycle de dédoublement des temps ?
Après que cette équation se soit imposée à nous, les retombées ont été étonnantes : cette théorie explique qu'aucune particule ne peut avoir un trajet rectiligne, mais qu'elles ont toutes un trajet curviligne : cela explique le fameux spin des particules qui tournent sur elles-mêmes, tout comme la Terre qui tourne autour du Soleil tout en tournant sur elle-même. Le cycle de dédoublement des temps m'a permis ensuite de calculer la constante de structure fine [lexique] et de prévoir l'arrivée des planétoïdes dans le système solaire. Or, cette constante donne la charge de l'électron, c'est une constante essentielle pour notre biologie.

C'est pourquoi l'American Institute of Physics a validé vos travaux...
La correction de la loi approximative de Titius-Bode [voir lexique] et le calcul de cette constante de structure fine ont évidemment attiré l'attention des scientifiques. Cette parution est un atout considérable, car on ne peut pas détruire une publication par referees, puisque dès lors que des scientifiques l'ont approuvée et récompensée, c'est qu'ils l'ont lue et comprise. Donc si quelqu'un déclare que c'est complètement fumeux, il met tous ces scientifiques dans le même sac. Mais ce n'est pas pour autant que ce travail est accessible au commun des mortels. Cependant l'application dans le quotidien d'une loi de dédoublement peut être faite par tout le monde, puisqu'il s'agit d'expérimenter et de mémoriser le futur dans l'imperceptible avant de le vivre dans notre quotidien. Finalement, il en résulte que chacun doit prendre ses responsabilités et savoir que, s'il lui arrive quelque chose de dramatique, c'est tout simplement de sa faute, il fabrique son bonheur ou son malheur futur avant de le vivre dans le quotidien. On peut dire qu'avec le dédoublement des temps, celui qui sème le vent dans le futur récolte la tempête dans le présent.

La pensée serait donc énergie...
L'équation d'Einstein induit quelque chose de paradoxal, à savoir qu'une énergie, c'est une masse. Et une masse ne peut aller plus vite que la lumière. Alors sij'ai une information qui va plus vite que la lumière, cette information est énergie donc masse superlumineuse, et tout ce que je viens d'expliquer n'a pas de sens. Or puisqu'il existe, nous l'avons vu, des vitesses superlumineuses, cela signifie que des informations vont plus vite que la vitesse de la lumière sans avoir de masse. Il y a un système d'accélération très performant du fait que l'horizon des particules en interaction est lui-même une particule dans un autre horizon. L'observateur dans un horizon n'a évidemment pas la même vitesse d'information que l'observateur qui, à l'extérieur, considère cet horizon comme une simple particule.

E = mc2 est donc inexact ?

Non et les applications ont pu vérifier cette équation. Cependant, pour éviter un paradoxe lié à cette équation qui rendait la vitesse de la lumière indépendante de la source et de l'observateur, Einstein a inventé quelque chose d'extraordinaire qu'il a appelé la constante cosmologiue [voir lexique]. Il lui fallait une énergie de répulsion correspondant à 66,6% de l'énergie totale de l'univers. La communauté scientifique de son époque lui a imposé de reconnaître, deux ans avant sa mort, que c'était là la plus grande erreur de sa vie. Or, c'était une très bonne intuition.
Parce que cette constante cosmologique, on la retrouve maintenant par la théorie du dédoublement avec les 666 millièmes d'énergie antigravitationnelle... On la retrouve aussi par l'observation : des astrophysiciens, Brian Schmidt et Saul Perlmutter, ont même réussi à montrer que l'univers présente une énergie d'expansion, une énergie inconnue, appelée « énergie de répulsion », qui représente bien ces 66,6 % recherchés.
En fait, les 666 millièmes d'énergie sont une énergie qui s'oppose à une énergie gravitationnelle de 333 millièmes et à une énergie d'équilibre de 1 millième. Voilà ce que prouve la théorie du dédoublement. Et c'est en accord avec l'observation de l'expansion de l'univers.
Nos corps physique et énergétique disposent également de ces deux énergies complémentaires et notre corps énergétique utilise l'énergie antigravitationnelle pour se déplacer hors de notre corps physique (7). Comme cette énergie est proportionnelle à l'énergie gravitationnelle, ce déplacement s'effectue la nuit car, pendant la nuit, le Soleil étant derrière la Terre, la gravité est plus forte que le jour. Donc l'antigravité, aussi.
Cette « décorporation » utilise une partie de notre sommeil que l'on appelle « sommeil paradoxal », c'est une notion difficile à évoquer de façon scientifique. Cependant, qu'on le veuille ou non, nous disposons pendant la nuit du mécanisme de dédoublement du temps pour aller chercher dans le passé et le futur les informations dont nous avons besoin afin d'enrichir notre mémoire puisque c'est cette mémoire qui nous fait vivre dans le présent... On sait que, pour les rats, la suppression du sommeil paradoxal entraîne leur mort en dix-neuf jours. Ce sommeil correspond donc bien à un principe vital. Pourquoi ne pas l'utiliser en le contrôlant ?
 
 
 
 
Nous sommes à la fin d'un cycle

Le dédoublement du temps existe donc depuis... la nuit des temps...
La théorie montre que le dédoublement est cyclique. On retrouve par le calcul le cycle de précession des équinoxes. Le calcul démontre que ce cycle est basé sur cent rotations de Pluton autour du Soleil, soit 24 840 ans, auxquels vous ajoutez une période de transition de 1 080 ans, et vous obtenez le cycle de précession des équinoxes de 25 920 ans, cycle parfaitement observé, jamais calculé. C'est la première théorie qui calcule ce cycle.
 
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Pourquoi cette période de 1 080 ans ?
Un cycle sépare les questions des réponses. Il permet d'en actualiser certaines et d'en oublier la plupart. Cependant, la fin d'un cycle montre tous les futurs qui ont été envisagés pendant le dédoublement. On peut alors analyser tout ce qui a été fait, tout ce qu'on a gardé en mémoire, tout ce que l'on a rejeté comme inutile ou dangereux... Après une période très dangereuse de 90 ans pendant lesquels les différents temps s'équilibrent, une période de transition de près de 1 000 ans permet de faire un bilan. Nous vivons actuellement cette période de transition.

Comment savoir que nous sommes dans cette phase-là ?
Du fait des explosions solaires d'envergure qui ont martelé le siècle dernier, 1899, 1929, 1959 et 1989, et le début de ce siècle en 2003. Elles sont parfaitement répertoriées par la théorie du dédoublement avec une fréquence calculée qui nous donne une justification de cette fin de cycle. C'est cette période de 90 ans (1899-1989) et l'arrivée des planétoïdes depuis une dizaine d'années qui permettent de dater cette période transitoire.

Est-ce une période dangereuse ?
Autrefois, on parlait de fin des temps et de commencement des temps, mais cela n'a rien à voir avec cette histoire de fin du monde dont certains parlent actuellement, même si nous vivons en ce moment une époque de transition entre deux cycles, c'est-à-dire que nous vivons une fin de cycle de dédoublement des temps.
Nous sommes dans le même cycle de dédoublement des temps que les Sumériens... Oui, et pendant ce cycle de 25 000 ans, l'humanité a fabriqué des potentiels. À la fin du cycle, il faut les récupérer. Personne ne veut récupérer les potentiels bâtis pendant ces 25 000 ans, ils sont trop dangereux. Il n'y a qu'à voir l'actualité...
Mais la Terre, pour survivre, est obligée de récupérer de l'énergie que nous avons perdue pendant ces 25 000 ans. Elle n'a pas le choix, c'est E = mc2 : je manque d'énergie, j'attire de la masse. Et il y a une chose dont on ne parle pas, à savoir l'augmentation des météorites et des astéroïdes qui viennent frapper notre planète, une augmentation catastrophique. On ne parle pas non plus de l'arrivée des planètes à proximité de Pluton. La théorie du dédoublement m'a permis de justifier cette arrivée massive de planètes, ce qui m'a valu cette récompense scientifique.

La NASA a récemment fait part de ses inquiétudes face à ce phénomène...
Oui, cela a forcément des répercussions sur notre planète. En effet, cette masse à la frontière de notre système planétaire, à la ceinture de Kuiper, cette masse gigantesque puisque l'ensemble représente une planète, vous imaginez bien qu'elle déstructure l'ensemble dans le système newtonien que nous connaissons. Et que fait notre planète ? Elle s'équilibre. Pendant 25 000 ans, elle a été au régime, elle a perdu de l'énergie ; maintenant que les portes sont ouvertes, elle est saisie de boulimie, elle aspire... Mais comme elle aspire trop, elle recrache de la masse : les volcans se réveillent, le mouvement tectonique des plaques s'intensifie...
Ce que j'explique est évidemment simplifié, mais nous sommes aussi en pleine période de modification du magnétisme avec une phase multipolaire. La dernière phase multipolaire a quand même entraîné la disparition de 97 % des espèces. On sait aussi que tous les 75 000 ans, 99 % des espèces disparaissent, phénomène connu des scientifiques sous le nom d'« étranglement ». La bonne nouvelle, c'est qu'il se produit tous les 75 000 ans ; la mauvaise, c'est que la dernière fois, c'était il y a 75 000 ans... On note actuellement la disparition des espèces, mais on ne sait pas pourquoi. Certes, l'homme avec son ignorance en est responsable en partie, mais même s'il veut conserver certaines espèces, il n'y arrivera pas.
 
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Comment ça marche ?
À l'heure actuelle, ceux qui ignorent cette loi, c'est-à-dire tout le monde ou presque, finissent par se poser des questions qui n'ont aucun intérêt, car ils ne maîtrisent pas le futur et pire encore, ils ont des réponses à des questions qu'ils ne se sont jamais posées et qui déclenchent en eux des questions nouvelles qu'ils ne devraient pas se poser. Cela les éloigne d'euxmêmes, si l'on peut dire... Il faudrait que tout le monde connaisse cette loi pour éviter cette espèce de catastrophisme ambiant qui nous entraîne vers des catastrophes.
Dès que je commence à penser, cette pensée est le résultat d'une expérimentation faite dans le futur que je suis allé voir à toute vitesse et qui me donne cette pensée. Cela signifie que le futur que j'ai vu est déjà fonction de ma pensée ou que ma pensée est le résultat de ce futur. Donc si je pense à une catastrophe, ce potentiel s'inscrit déjà dans le futur. Il peut rester à l'état de potentiel, ou non...
On sent poindre une loi sous-jacente: il faudrait que je pense toujours à faire des choses qui me font plaisir, je récolterai ainsi ce qui me fait plaisir.

Alors comment appliquer concrètement la loi de dédoublement du temps ?

Notre biologie est bien faite puisque nous avons la possibilité à la fois d'aller voir le futur, de l'arranger et de revenir pour le vivre. Pourquoi ? Parce que nous vivons la journée dans notre réalité, puis nous avons la nuit. C'est à ce moment que nous avons la capacité d'arranger le futur que nous avons bâti dans la journée.
Il faudrait que chacun se souvienne de ce que les anciens savaient : « La nuit porte conseil ». Ne faites jamais rien sans avoir dormi une nuit. Pendant la nuit, vous arrangez tout ce que le jour a dérangé dans le potentiel. De ce fait, le lendemain quand vous vous réveillez, vous bénéficiez d'un bon potentiel.

Comment ne pas le gâter ?
Je dois contrôler mes pensées : si je pense à me faire plaisir, c'est déjà bien. Mais si je pense que tout ce que je pense peut faire plaisir à tout le monde, c'est encore mieux.
On peut alors résumer la loi d'un façon simple : « Ne pense pas à faire à quelqu'un ce que tu ne voudrais pas que quelqu'un pense à te faire ». Ou mieux : « Pense à faire à quelqu'un ce que tu voudrais que ce quelqu'un pense à te faire ».

La loi de dédoublement du temps nous renvoie à la loi de Moïse...
Les Écritures disent : « Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse ». Or la loi, c'est : « Ne pense pas à faire à autrui ce que tu ne voudrais pas que l'on pense à te faire »(8). C'est bien plus important, parce que chaque pensée fabrique un potentiel. Un acte, c'est l'actualisation d'un potentiel, donc on voit ce qu'il donne, mais une pensée fabrique un potentiel dans le futur.
On retrouve cette idée dans l'histoire du déluge raconté par les tablettes sumériennes, bien avant Moïse. Le Noé sumérien s'appelait Ziusudra et il a été sauvé par un vaisseau, appelé « l'Arche », comme celle de Noé. Mais dans ce vaisseau, ce ne sont pas des animaux que l'on a enfermés, mais quelque chose de bien plus extraordinaire : les rêves de Ziusudra ! Cela signifie que l'on a enfermé un futur potentiel. Pour l'actualiser dans la réalité, il faut un homme. Alors, le potentiel créé redevient un potentiel actuel, c'est-à-dire une réalité. Découvrir un tel écrit au cours de mes recherches fut passionnant.

La loi du dédoublement peut-elle au moins protéger l'individu ?
Oui. Le but est de vivre quelque chose avant de le vivre dans mon temps, et de façon si rapide que je n'aie pas même la possibilité de mémoriser les rouages de ce futur. Je n'en ai que la finalité : elle m'intéresse ou pas, c'est ce qui compte. Si ce futur m'intéresse, je le vis, sinon je le stocke comme de l'information détestable. Instinctivement, je ne veux pas y aller. Regardez un cheval qui sent la présence d'un serpent venimeux ; que fait-il ? Il bloque des quatre fers. Il n'y a que le cavalier pour le cravacher et l'obliger à passer... Mais le cheval sait très bien qu'il ne doit pas aller là, instinctivement il sait qu'il y a un danger.
Pourquoi ne sommes-nous pas capables d'être comme ce cheval ? Parce que notre intellectualisme nous tue : nous réfléchissons. Et comme nous réfléchissons, nous nous fabriquons un potentiel différent qui annihile le potentiel initial du danger, nous mémorisons autre chose et ce que cette mémorisation nous fait actualiser ne nous entraîne pas forcément vers ce que nous devrions vivre...



Changer le futur... en dormant

Comment s'opère le dédoublement au niveau individuel ?
Je vous ai dit que nous avons la particularité d'être à la fois ondulatoires et corpusculaires ; il faut comprendre ce coté ondulatoire : notre corps physique est parfaitement structuré, mais nous avons aussi un corps énergétique parfaitement structuré également, et qui vient lui donner l'information.

Comment ?
Selon un processus dans lequel notre corps serait comme un pardessus dont les boutons seraient les chakras. Il est intéressant de noter - on peut le voir sur des dessins - que le mouvement de dédoublement suit notre colonne vertébrale, avec des nœuds situés à des endroits d'échange d'information entre passé, présent et futur. Si vous avez une bonne harmonie entre l'information du passé, du présent et du futur, le corps vous le dit, tout fonctionne bien. Ce principe est connu depuis longtemps et on sait, finalement, que toutes les civilisations anciennes étaient basées sur le futur, en tout cas essayaient de le connaître avant de le vivre, d'où le rôle des augures, des devins, de la pythie, etc. Et l'on voit bien que les civilisations actuelles qui ont gardé ce caractère dit « primitif » sont dans la voyance, sont dans le « je recherche mon futur ». Et moi, je n'aurais pas cette capacité ? Je devrais la laisser à des gens que l'on considère un peu fous ou qui entrent en transe, on ne sait pas trop ?

C'est ce que vous disiez plus haut : nous sommes tous voyants...
Oui, à condition d'utiliser la Loi. Comment ? Par le sommeil. C'est uniquement dans la phase dite de « sommeil paradoxal » que réside la possibilité d'arranger le futur avant de le vivre. Et si nous ignorons cela, nous ignorons tout de notre vie.
Dans cette phase de sommeil, le corps est immobile, presque inerte. Or, qu'est-ce qui fait vivre mon corps, qu'est-ce qui le fait bouger ? C'est ma partie énergétique ; si elle s'en va, mon corps n'a plus de quoi vivre...

Pourtant, il continue de respirer, de digérer, le cœur continue de battre...
Oui, mais cela demande une énergie très faible, que le futur est capable de me donner pendant que je suis parti. Mais c'est une énergie insuffisante pour bouger. Pendant ce temps, mon énergie est partie chercher quoi ? Une information. Vient en moi une autre information qui me permet de survivre pendant que mon corps énergétique est parti. Mais si je suis capable de partir avec un corps énergétique à l'affût d'informations, il faut bien, si j'ai un double, qu'il puisse venir en moi pour qu'il y ait échange d'informations. Comme deux atomes dédoublés, ils échangent leurs informations...

Comment ?
Une partie énergétique de l'un va à l'autre et inversement, ils s'échangent des informations, qui pour moi m'apparaissent sous forme d'échanges ondulatoires. Le futur est alors capable de nous donner des informations instantanées que nous n'avons pas le temps de calculer et de réfléchir dans notre propre temps.
Certes, mais il est habituel de penser que le sommeil sert à reposer le corps... Alors pourquoi est-il en atonie posturale complète ? Pourquoi les nourrissons, qui dorment de vingt à vingt-deux heures par jour, ont-ils dix heures de sommeil paradoxal ? Ne serait-ce pas une adaptation à l'espace qu'ils commencent à comprendre ? N'ont-ils pas besoin de plus de sommeil paradoxal que les adultes ? Or, les vieillards en ont encore moins... Cela semble logique : plus on s'adapte à un espace, mieux on vit, moins on a besoin d'informations externes. Donc il apparaît logique aussi que le nourrisson ait besoin de plus d'informations que le vieillard. Alors ce corps énergétique serait-il plus important que le corps physique ? Non, évidemment, parce que pour vivre sur Terre, il nous faut un corps énergétique et un corps physique. Le corps physique nous permet de nous déplacer dans notre réalité, mais sans corps énergétique, notre corps physique est mort.
Allons encore plus loin : puisque nous sommes en dédoublement, si nous avons un double qui vit dans un autre temps, lui aussi dans sa réalité a ses côtés ondulatoire et corpusculaire. Alors nous pouvons imaginer que les corps énergétiques s'échangent et que de ce fait nos corps prennent des informations dans deux temps différents (9). Mais est-ce à dire que c'est un double ? On devrait dire plutôt que c'est comme une vibration, nous sommes en fait dans deux temps différents. Le mot « double » est imparfait, car on a l'impression d'une dissociation complète comme avec une photocopie, où existent indépendamment l'original et la copie. Tandis que nous, ce n'est pas ça du tout : ce dédoublement fait que nous sommes en relation permanente, avec un échange d'informations pour que la relation demeure permanente. Alors vous allez dire que ce double est une supposition...
 
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Quoique la physique quantique ne cesse de nous réserver des surprises...
Exactement ! On sait dans la mécanique de l'infiniment petit qu'une particule réelle bouge... Pourquoi ? On a imaginé une particule virtuelle qui agite la particule réelle, ce qui fait que les deux bougent, bien qu'il n'y en ait qu'une seule d'observable. Pourquoi une seule d'observable ? Parce que nous sommes dans un temps qui ne permet pas d'observer l'autre. Maintenant, imaginez-vous dans le temps de la particule virtuelle : vous entrez dans ce temps, vous voyez la particule virtuelle, la particule réelle n'existe plus. Vous observez la particule virtuelle qui pour vous est devenue réelle.., elle bouge parce qu'il y a une autre particule virtuelle qui la fait bouger. Maintenant vous pouvez bien imaginer qu'avec la mémoire, cette particule qui était virtuelle et qui devient réelle est liée, à son tour, à une particule virtuelle. Donc vous avez un emboîtement successif de dédoublement. Avec les vitesses d'information telles qu'elles sont décrites par la théorie du dédoublement, il y a une dernière particule qui a l'information avant même que la seconde particule ne l'ait. C'est là où c'est sensationnel, c'est de l'anticipation foudroyante. C'est-à-dire que la deuxième particule qui donc a fourni de l'information pour les particules virtuelles successives reçoit une intormation de la dernière particule par la première qui capte l'information de la dernière avant que la seconde n'ait eu le temps de le faire. Eh bien nous sommes comme cela, nous captons des informations d'un double avant même que nous ayons pu avoir connaissance de ce que nous avons fabriqué nous-mêmes dans le futur par nos propres pensées.

Cela paraît tellement... particulier...

Évidemment, mais c'est la réalité. Vous comprenez bien que ce mécanisme est vital, parce qu'il permet d'avoir des instincts de survie, et tous les animaux l'utilisent. Or, nous n'avons pas seulement accès à un futur collectif, nous fabriquons nous-mêmes un futur personnel qui vient augmenter le futur collectif, tandis qu'un animal vit d'un futur collectif dont il bénéficie sans en ajouter. Donc on peut penser que son évolution n'est pas du tout la même que la nôtre. Nous avons une évolution créatrice, nous sommes capables de nous fabriquer un potentiel qui permet de vivre bien. Il faut connaître la loi. Si nous la connaissons, c'est merveilleux puisque nous sommes capables non seulement de fabriquer de bons potentiels mais aussi d'actualiser les potentiels que nous fabriquons pour nous.
Vous voyez que cette loi est simple, et il faut la faire connaître. C'est pourquoi ma femme et moi avons pris notre bâton de pèlerin pour que les retombées scientifiques arrivent au niveau de tout le monde le plus vite possible.
Et il y a urgence parce que nous vivons en ce moment la transition entre deux cycles de dédoublement du temps. Cette période est dangereuse parce que nous découvrons le caché, le potentiel caché. En grec, découvrir le caché, se disait « apo-calypsos ». La découverte des potentiels cachés, c'est ce que les anciens appelaient « découvrir les bienfaits de l'Apocalypse ». J'insiste sur le mot « bienfaits », parce que si nous fabriquons de bons potentiels, nous recevrons du bon. Maintenant, si nous fabriquons de mauvais potentiels, évidemment nous récolterons ce que nous aurons semé...
Nous devons aller encore plus loin. Puisque c'est une autre réalité qui fabrique notre potentiel et que nous ne faisons que l'actualiser, nous devons veiller à ne pas être parasités en acceptant des pensées qui ne sont pas les nôtres (10), sinon nous ne vivrons pas comme nous le voulons. Donc celui qui ne contrôle pas son sommeil entre dans ce phénomène que j'appelle « parasite ». Plus il y aura de monde à fabriquer ce potentiel, plus les gens sur Terre pourront puiser dedans pour bien vivre. Et il y aura un volant de bons potentiels disponibles pour la planète. C'est peut-être utopique, mais c'est une loi : 1+1=2, qu'on le veuille ou non.
« Penser à faire à autrui ce que j'aimerais qu'autrui pense à me faire » est une loi. Si on considère que c'est autre chose qu'une loi, on se trompe. Il n'y a pas d'émotion là-dedans. Toutefois, à force de chercher à faire plaisir et à s'apercevoir que l'ont reçoit du plaisir en échange, cela débouchera sur de l'émotion, que ce soit du bonheur ou du malheur. Mais, c'est une loi, une simple loi. Appliquons-la.

Qui nécessite de contrôler le sommeil...
Comment faire, puisque, par définition, le sommeil, et surtout le sommeil paradoxal, est incontrôlable ? Il suffit de savoir que puisque ce sommeil est fait pour contrôler la conséquence de nos pensées, qui ont dérangé un potentiel, le sommeil paradoxal arrangera ce potentiel que nous avons dérangé d'une façon consciente ou inconsciente.
En se couchant, on connaît tous une phase d'endormissement, pendant laquelle on pense encore, c'est-à-dire que nous pouvons encore contrôler nos pensées. Puis le sommeil intervient et nous ne contrôlons plus rien. Mais puisque nos pensées sont emmagasinées dans l'eau de notre corps, celles que nous avons a notre endormissement vont diriger notre nuit : il y a attirance entre les pensées que nous avons eues et celles qui viennent. C'est ce contrôle qu'il faut faire. Contrôler son endormissement, c'est contrôler toutes ses pensées avant de s'endormir. Si on le fait, c'est déjà un début, même si ce n'est pas suffisant.

Vous l'expliquez lors de vos conférences ?
Oui. Le but consiste vraiment à faire comprendre à tous que s'ils veulent s'équilibrer, ils doivent prendre en main leur destin. Tout simplement. Je pense qu'on peut y arriver. Et j'emploie sciemment le mot de «loi», pour bien montrer qu'elle est à la disposition de tout le monde: chacun peut passer le permis de conduire sa vie. Il suffit d'apprendre le code.

Vous appliquez vous-même la loi de dédoublement du temps ?
Évidemment, sachant que chacune de mes pensées fabrique un futur. J'essaie de contrôler mes pensées mais cela ne suffit pas, parce que contrôler les pensées d'une journée est quelque chose d'affolant. Alors j'essaye de faire en sorte que la nuit puisse arranger les pensées que je n'ai pas suffisamment bien arrangées dans majournée.
Le lendemain, je me dis que ce serait mieux s'il y en avait moins à arranger pendant la nuit, donc j'essaie de plus en plus de corriger mes pensées diurnes. Et je m'aperçois que la vie n'est plus la même, car nous acquérons alors la capacité de nous diriger d'une façon plus « confortable », en retrouvant cette espèce de confiance et de certitude de l'enfant qui se laisse mener par quelqu'un...
Être dans l'esprit qui consiste à toujours penser à faire à autrui ce que vous aimeriez qu'autrui pense à vous faire modifie énormément votre vie. Alors, pour en revenir à la loi de dédoublement du temps, je pense que le mieux, c'est de demander à chacun d'essayer de voir si ça marche. Est-ce qu'en utilisant ce dédoublement du temps, je change ma vie ? Beaucoup seront surpris du résultat.
 
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Lexique
Précession des équinoxes
C'est le lent changement de direction de l'axe de rotation de la ferre. La conséquence de ce mouvement est que le point vernal, ou point équinoxial, précède chaque année sa position antérieure sur l'écliptique. La valeur actuelle du déplacement est de 50,290966" par an, soit environ 1° pour 72 ans.

Constante de structure fine
C'est une constante fondamentale qui régit la force électromagnétique assurant la cohérence des atomes et des molécules. Cette constante parfaitement observée n'avait jamais pu être calculée. La théorie du dédoublement a permis d'en donner un calcul basé sur le mouvement cyclique de dédoublement.

Constante cosmologique
Paramètre rajouté par Einstein en février 1917 à ses équations de la relativité générale (1915), dans le but de rendre sa théorie compatible avec l'idée qu'il y avait alors un Univers statique. Après la découverte en 1929 du décalage vers le rouge par Edwin Hubble impliquant un Univers en expansion, Albert Einstein revient sur l'introduction de la constante cosmologique, la qualifiant de «plus grande bêtise de sa vie». L'énergie de répulsion de 66,6 % (correspondant à cette constante et introduite dans la théorie du dédoublement) explique maintenant l'accélération de l'expansion de l'univers observée actuellement.

Loi de Titius-Bode
Elle définit selon la formule établie par Johann Titius en 1766 et reprise par Johann Bode en 1772 une relation approximative entre les rayons des orbites des planètes géantes et des planètes naines du système solaire. La théorie de Jean-Pierre Garnier-Malet corrige cette loi empirique de façon rigoureuse en expliquant et détaillant le mouvement de dédoublement dans le système solaire.

Jumeaux de Langevin
Le paradoxe des jumeaux est une expérience de pensée évoquée par Albert Einstein puis publiée en détail par Paul Langevin illustrant un aspect troublant de la relativité restreinte : la mesure d'une durée dépend du référentiel dans lequel elle est effectuée. Dans cette expérience imaginaire des jumeaux, l'un des frères reste sur Terre tandis que l'autre fait un aller-retour en fusée à une vitesse proche de celle de la lumière. Selon le phénomène de dilatation du temps prévu par la théorie, le voyageur vieillit moins vite que son jumeau sédentaire. L'expérience des jumeaux est en apparence paradoxale, mais elle ne conduit à aucune contradiction dans le cadre de la relativité restreinte.

Horloge atomique

Horloge qui utilise la pérennité et l'immuabilité de la fréquence du rayonnement électromagnétique émis par un électron lors du passage d'un niveau d'énergie à un autre pour assurer l'exactitude et la stabilité du signal oscillant qu'elle produit. Un de leurs principaux usages est le maintien du temps atomique international (TAI) et la distribution du Temps universel coordonné (UTC) qui sont les échelles de temps de référence.



Notes.
1. Les vibrations s’enregistrent dans l’eau, les murs, un cailloux !

2. Notes personnelles ne faisant pas partie de l’article. Dans la Nature les choses sont discontinues (l’aspect corpuscules).

3. J’ai toujours pensé que le temps n’existait que s’il y avait quelqu’un pour l’observer. Et si on en prend conscience, c’est encore pire. Longtemps on s’est basé sur le cycle lunaire, et on continue maintenant, évidemment on se base sur le Soleil pour la durée d’une journée ! et sur la rotation de notre planète pour la durée d’une année... Hors effectivement, dans les rêves tout cela est plutôt symbolique.

4. Là je suis d’accord puisque tout est double... Alors, la « loi » de Garnier-Malet n’est qu’une facette du « temps » ?

5. Les « branches » de chronologies de Dan Burisch.

6. Expériences sur la « non localisation ».

7. Ce qu’on appel le « corps astral » dans la composante humaine en spiritualité ?

8. C’est-à-dire que tout est lié, nous sommes plus ou moins responsables les unes des autres !

9. Toujours les « branches » de chronologies de Dan Burisch.

10. Oui, c’est le drame de l’OPINION.
 

Dernière mise à jour : 02-03-2009 23:28

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