Valeurs de la république = esclavage moderne
 

Ecrit par Sechy, le 20-10-2020 20:04

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Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Mieux, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, Religions, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Yokaï

 
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Valeurs de la république = esclavage moderne
LA CONSOMMATION liée à l’idolâtrie de la marchandise
 
 
Seule Vraie Valeur Universelle : LE COUR (être dans l’Instant comme une sorte de « recul », celui en forme du « Je est un autre »). Le COUR, VASE, VALLÉE ou encore le VAN (1).
 
 
JANUS OU LES DEUX ROUTY :
Les deux Lions embrassant deux directions diamétralement opposée, l’opinion d’identité, donc de possession, rassemble et confond deux idées contraires du même et de l’autre, COMME LE MOI-INDIVIDUEL ET LE MOI-COLLECTIF : CE QUI EST SANS ÉGAL, ET CE QUI EST ÉGAL À QUELQUE CHOSE (cas du Moi-Collectif ou du social).
Bref, impossible de penser le même sans penser du même coup son propre contraire, d’imaginer une numérisation ou identification qui ne passerait pas par le trou obligé d’un « ne pas être identique » (ne pas pas être un numéro et mon voisin le deux ou le 72) ; c’est ce que résume EN PARADOXE LA DÉSORMAIS BANALE CARTE D’IDENTITÉ qui n’assure de l’authenticité de la personne que pour autant qu’elle la présente COMME DIFFÉRENTE DE TOUTE AUTRE - d’où ce monde infernal de code-barres et de numérisation du monde, monde « vendu » en Europe par l’Union européenne comme « diversité » dans l’actuelle idolâtrie de la marchandise - UN NON-IDENTIQUE À QUELQUE AUTRE CHOSE OU QUELQUE AUTRE PERSONNE QUE CE SOIT, GARANTISSANT AINSI SON « IDENTITÉ » (son FAUX vrai nom) PAR L’EXHIBITION DEVANT UNE « FORCE DE L’ORDRE » D’UN CERTIFICAT RÉPUBLICAIN DE « NON-IDENTITÉ ».

En réalité, le même appartient au Seul Réel, l’autre et le social appartient à l’irréel. Ainsi, le MÊME est en lui même autre (”Je est un autre” de Rimbaud) car identique en forme de différent de la différence ! C’est-à-dire que la SINGULARITÉ se trouve dans l’impossibilité d’apparaître en tant que tel, puisque Dieu ou le Soi est « caché » et ne peut apparaître en tant que tel, SAUF À PASSER PAR L’IMAGINATION D’UNE DUPLICATION QUI LA LAISSE DEVINER (CAS DE L’IMAGINATION CRÉATRICE CHEZ IBN’ARABI bien décrite par Henry Corbin dans le concept de « Seigneur » dans son livre : L’Imagination créatrice dans le soufisme d’Ibn’Arabi).
La vérité ou la Liberté étant le Seul réel, Elle n’est possédable par personne, Elle ne se donne pas à connaître comme un « bagage culturel » d’université pour s’envoyer en l’R en travaillant du chapeau, soit inviter au labyrinthe sans fin de l’idéation en dualité sujet-objet, alors qu’Elle N’EST PAS ce labyrinthe.

La recherche de sa propre identité est bien LA LIBERTÉ INCONCEVABLE exposée dans le Soûtra de la Liberté inconcevable, les enseignements de Vimalakîrti : LE SANS POURQUOI OU SANS IDENTITÉ :
« Il me semble que ne rien dire des chose, n’en rien expliquer, n’en rien montrer, n’en rien connaître et n’en rien demander,  c’est accéder au Réel dans la non-dualité », répond Manjushrî au chapitre VIII : l’Éveil des Éveillés, 32.
Même chapitre à 23, par le bodhisattva Volonté Indéfectible : « La personne et la cessation de la personne forment dualité. Or la personne est cessation de la personne, puisque celui qui voit l’Apparence réelle de la personne [son Vrai Nom ou son Soi] ne croit pas à la personne ni à sa cessation [la personne ne se prend pas pour un corps ou ne confond pas le Soi avec le corps, ce qui formerait en France la Laïcité]. La personne et sa cessation ne sont point deux réalités différentes [comme le temporel d’un côté et le spirituel de l’autre] : rester dans cet état sans appréhension ni terreur, c’est accéder au Réel dans la non-dualité ».

Idem chez Jiddu Krismamurti :
« Donc, si vous voulez découvrir ce qui est vrai, il vous faut rompre toutes vos attaches et explorer non seulement l’extérieur, vos relations avec les choses et les personnes, mais vous voir intérieurement aussi ; tout cela constitue la connaissance de soi : non seulement la connaissance de la conscience de surface, éveillée, mais aussi celle de l’inconscient, des recoins cachés du cerveau et du psychisme. Cela exige une observation constante, et si vous consentez à vous observer ainsi, vous verrez qu’il n’y a pas, en vérité, de division entre l’extérieur et l’intérieur, car la pensée, telle une marée, va et vient, au-dehors et au-dedans. Ce double mouvement est le processus unique de la perception de soi. Vous ne pouvez pas rejeter le monde extérieur, car vous n’êtes pas quelque chose qui existe indépendamment de lui. Le problème du monde est votre problème, l’extérieur et l’intérieur sont les deux faces d’une même monnaie [Janus ou les Routy] ».

Depuis un certain temps, tout au plus une trentaine d’années, en France l’État se veut le patriarche, la Providence même et Nous considère comme des enfants : son gouvernement prétend nous traiter (mal) « pour notre bien ». Nul n’est mieux placé que Nous pour savoir ce qui est bon pour Nous. Il y en a assez du colonialisme d’abord religieux ensuite politique du « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous », de ce socialisme mortifère. Il y en a assez de cet l’État qui s’approprie sous couvert de « solidarité » ou de « collectif » ce qui relève du lien entre les êtres. (Il y en a assez du « Vivre ensemble » de ce grégarisme complètement artificiel fabriqué par l’État).
Il y en a assez de cet État en bandes organisées de diplômes qui Nous réduit en enfants.
Il y en a assez de cet État et son gouvernent qui n’a de principal souci que le contrôle de la population, et que le couvre-feu émanant d’un « conseil de défense » [sic].
Il y en a assez des imbécilités d’école primaire qui consiste en évolutionnisme du toujours plus gros, comme de vouloir diffuser « les caricatures » (Charlie-Prophète) dans les écoles de la république judéo-maçonnique spéculative, de ces gens qui meuglent « Au nom de la liberté », de ceux qui veulent « protéger la liberté » ou les « valeurs de la république » signifiant ainsi qu’il n’y a pas plus SOUMIS qu’eux ! Une vérité n’a pas à être « protégée » comme un porte-monnaie qui peut se perdre ou se faire voler : Elle est, ou n’est pas ! De même que l’ORDRE, ce qui est NATUREL, n’a pas être défendu par une quelconque « force de l’ordre » issue d’un État ! L’ordre pensée et imposée par une bande organisée nommée « État » est PAR ESSENCE DÉSORDRE, car toute chose s’ordonne d’elle-même dans son « Je suis ce JE SUIS » quand il n’y a pas de parasitage ou de déviation extérieure de sa Nature.
Évidemment les anti-Charlie ou anti-caricatures, sont, comme l’annonçait en son temps un Saint-Just : « LES ENNEMIS DE LA LIBERTÉ » ; RIEN N’A BOUGÉ DEPUIS 1789 !!!
BREF, IL Y EN A ASSEZ DES CANCÉRISÉS PAR LE POUVOIR ET LEUR MALADIE DE DUALITÉ BON-MAUVAIS OU PUR-IMPUR, TRAGÉDIE MONDIALE DEPUIS DES MILLÉNAIRES.

LES « VALEURS DE LA RÉPUBLIQUE » CE SONT LES AVANTAGES DE L’OLIGARCHIE : LA SITUATION AU SOMMET DE LA PYRAMIDE HIÉRARCHIQUE.
LES « VALEURS DE LA RÉPUBLIQUE » CE SONT SA MALFAISANCE QUI A ATTEINTE SA MATURITÉ DEPUIS L’APRÈS 1945.
« Vous Nous trouverez sur votre chemin à chaque nouveau pas dans l’aliénation gouvernementale que vous ferez. Reprenez vos institutions, vos préfets, vos ordonnances, vos états d’urgence, vos journalistes, vos managers, vos ministères, vos fric/flics, vos grands inquisiteurs, vos experts et vos politiciens. Nous ne jouons plus le jeu. Les règles vont en changer. Nous allons reprendre nos vies en main. Vous n’êtes plus dignes de vous en mêler ».
VOUS DEVEZ VOUS DISSOUDRE PAR NOUS !
 
 
Note.
1. Le VAN : Dans la Vallée souffle le Vent, le Vent d’Hermès, au sens du VAN. Vent ou Van trouve son homonyme en FAN (paraître), mis en Fêmi dont la forme enclitique signifie : rendre visible, se manifester. Le latin vanna (van) trouve dans FANOS (Phanos ou Lanterne) la signification de lumineux, brillant, que le sens figuré affirme par « manifeste », « évident » ; c’est aussi proprement le Flambeau, que le second sens de Phanos ou Fanos désigne par Lanterne (la « Lanterne » ou Lumière d’Hermès, cette Pierre nécessairement volatil revivifiant le mort et donnant la vie au Soleil et à la Lune, au « mari et à la femme »…).
FAN : paraître, avec le F de Figure, Feu, Fléau, Fantôme, Finalité, Forme, Fond, Fin, Fleuve : « Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source » (Jean Coulonval, dans Synthèse et Temps Nouveaux). Le F de Feu comme du Fléau qui détruit tout et qui donne cependant au Fer après liquéfaction, la Forme ou la Figure-Fin. Ainsi est la définition du mot VAN : LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, au sens du Secret de la Fleur d’Or ; manuel classique de méditation permettant l’accès à l’Être intérieur ; manuel incorporant la quintessence du bouddhisme et de la taoïcité. L’Or signifie la Lumière, celle de l’intellect qui « pointe » ; la fleur signifie l’épanouissement, le jaillissement de la lumière du Soi. Ainsi, le nom même de cette technique désigne l’Éveil fondamental et inconcevable du Vrai Soi et de son potentiel caché, le « Zéro indien », appelé en Occident d’une façon utilitariste : « énergie libre », comparable au pouvoir surnaturel Siddhi ; comparable à l’Alchimiste qui éprouve sur le Plomb son Labour…
« Lorsqu’on utilise pour la première fois cette technique [du Retournement de la Lumière], on a l’impression d’un non-être dans l’être. Mais une fois le travail achevé, quand on a un corps au-delà du corps, on a l’impression d’une être dans le non-être [le « sentiment océanique » de Coulonval : Synthèse et Temps Nouveaux] ».
« Ce n’est qu’au bout de cent jours de travail concentré que la lumière est réel, qu’elle est le feu du mental. Car au bout de cent jours, la lumière jaillit spontanément : de même que le rapport entre une femme et un homme forme l’embryon, soudain, d’un point d’authentique énergie positive, surgit une perle. Il convient de l’observer, calmement, tranquillement. Le retournement de la lumière est le processus de « mise à feu ». […] La Lumière n’est ni en soi ni en dehors de soi. Les montagnes, les rivières, le soleil, la lune et toute la Terre participent aussi de cette Lumière qui ne se trouve pas seulement en soi. Toutes les opérations de l’intelligence, la connaissance et la sagesse, participent également de cette Lumière qui ne se trouve donc pas en dehors de soi. De même que la Lumière du ciel et de la terre emplit l’univers, la Lumière d’un seul Être s’étend naturellement aux cieux et embrasse la Terre. Voilà pourquoi si l’on retourne la Lumière, le monde entier se retourne également ». (Le Secret de la Fleur d’Or, trad. Thomas Cleary)

Centrum Centri, se concentrer là-dessus « pour passer la Porte [Stargate] », pour vivre le Point Focal…
Riplée (Ripley) définit la Putréfaction, la mort des corps et division de la Matière, comme la conduisant à la division, donc au démontage, soit LA CORRUPTION SUIVIT DE LA GÉNÉRATION : « la Putréfaction est l’effet de la chaleur des corps entretenue continuellement, et non d’une chaleur appliquée manuellement. Il faut donc se donner garde de pousser la chaleur excitante et extérieur au-delà d’un degré tempéré : la matière se réduirait en cendre sèche et rouge, au lieu du noir, et tout périrait », dit fort à propos Dom Antoine-Joseph Pernety à l’article ”Putréfaction” dans son Dictionnaire Mytho-Hermétique.

Retournement de la Lumière dans le NOIR : PUTRÉFACTION, FLÉAU OU APOCALYPSE, RENONCEMENT ET RENAISSANCE : AL-KHIMIA (chimie). Khimia en Arabe, du Grec Khémia : « magie » noire, de la racine Égyptienne Kêm (noir). Kemit : la terre noire ou réunion des 2 contrées d’Égypte. ALCHIMIA : herbe ; KHIMÉRA – KHIMAIRA : SAINTE CHIMÈRE, VIERGE NOIRE, KRISHNA (Bhagavad Gîtâ).
Kemit, le Noir, le Nirvana, la Vacuité essentielle de toutes choses dans l’annihilation de la dualité et de l’éternité, de l’être et du non-être. L’éternité est déjà une idée de fiction comme le mot fin de la fiction sur l’écran de cinéma, une idée de conditionnement, une SAISIE ! On n’atteint pas le Nirvana, on n’atteint pas le San-Lien sans recourir à un expédient. On se fait autrement une opinion de la Libération qui n’a aucun rapport avec la Libération, pour faire référence au Lankâvatâra.

Le Noir n’est pas non plus la fiction de la négation de toute cause, en forme du isme du nihilisme. Les ignorants imaginent que la Libération consiste à ne pas produire d’idées fictives. Mais, privé d’actes de conscience (intellect), comment le mental pourrait-il détruire la dualité ?
Seule la Réalisation de sa propre Nature, de son Soi, garantit l’abolition de la dualité. Cette abolition est l’effet de la Réalisation (le Retournement), et non de la destruction des opinions fictives comme si on enlevait des virus informatiques, ou toutes informations sur un disque dur d’or-dinateur actuel…

 
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Dernière mise à jour : 20-10-2020 23:33

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