Le VACCIN su(r)prême surprise de Noël
 

Ecrit par Sechy, le 07-12-2020 01:46

Pages vues : 3889    

Favoris : 66

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
fleches_medievales_vaccin.jpg
 
 
Le VACCIN su(r)prême surprise de Noël
qui apporte le Bonheur à tous les
petiotes chouses comme aux plus grandes
est l’équivalant des « Dieux » Pfizer-Moderna
(la mort moderne par pfizrprofits…)
Spoutnik V (5 dans certains médias) devenant
LA formule de la Liberté, comme la plupart des
Terriens actuels le CROIENT : tenter de « sortir »
de l’Univers pour l’examiner (et avec le délire
humain technologique tenter de « l’améliorer »).
Évidemment chose géométriquement impossible
vu que NOUS SOMMES L’UNIVERS, NOUS SOMMES DEDANS.
 
Le Soûtra de la Liberté inconcevable
(et pour cause) écrit si clairement que la
racine du mal : c’est la dualité du dedans
et du dehors. Sans cette dualité,
laquelle est introuvable, Nous avons bien
la parfaite définition de l’Univers : NOUS.

Et tenter d’en « sortir » pour « savoir »
ce que c’est (tenter la réalisation du
« je suis ce JE SUIS » ou JEHOVAH par
l’extérieur, par l’autre ou par le social),
c’est le péché originel, la dualité du sujet
tentant de voir, pour-voir, saisir, l’objet ;
et depuis des millénaires de VENDRE
un objet, donc être dans l’AVOIR au lieu
d’être dans le EST, bref, « croquer la Pomme » !

CHUTE ou PÉCHÉ ORIGINEL : l’être humain
N’EST plus : il A (avoir) et FAIT
(l’utilitaire transformé en besoin devenant
nécessité : ”faire ses besoins”… dans un
”chalet de nécessité”…).
La Chute dans l’Avoir et les faits et
Faire/Fer qui évidemment rouille et font
des excréments… des fèces…. des mémorisations… !

Le Pour-Voir déteste le STUPÉFIANT ou
PANique comme la finance par essence déteste
l’incertitude : ils digitalisent ou numérisent
tout en binaire de zéro et de un….
Ils « informent » (rendent informe….
ou même soupe pour tous….)

DIEU EST EFFICACE À 95 %
C’est le Paradis re-trouvé,
la RE-naissance de l’Enfant-Christ-Jésus,
la CRÈCHE EN FIOLE ET SERINGUE.

AH LA VACHE ! (vaccin).


Un « Dieu » Enfant Jésus identique au concept d’équerre à centrer :
« C'est un outil qui sert à trouver le centre approximatif d'une surface qui ressemble plus ou moins à une circonférence. A la façon dont on a décidé que Bourges est le centre géométrique de la France.
La circonférence fort irrégulière représente la section d'une barre d'acier plus ou moins cylindrique. En portant l'appui des tétons en plusieurs points on trace autant de lignes AB (schéma ci-dessous). On obtient un petit polygone irrégulier qui est le centre approximatif. Ce sont les accidents externes du contour de la pièce qui en ont décidé. En quelque sorte, ils l'ont imaginé, fabriqué. C'est ce que fait le mode de pensée qu'on appelle « opinion », scientifique, métaphysique, ou même religieuse [et politique], quand l'homme se fait de l'Absolu une conception qui convient à ses appétits, dans le monde des accidents, du spatio-temporel.

Le discours logique qui cherche les essences au travers des accidents opère à la façon de l'équerre à centrer qui ne peut tenir compte de toutes les lignes AB possibles pour la simple raison qu'elles sont en nombre inépuisable, in-défini (ce qu'on appelle à tort l'infini). Pas plus que l'équerre à centrer, il ne peut tenir compte de tous les accidents existants ou possibles dans le spatio-temporel, et en conséquence aucun discours logique (tous les philosophismes sont des discours logiques) ne peut atteindre à la vision de l'Absolu. Il est toujours couillonné. L'Homme ne peut atteindre l'Absolu que si l'Esprit [le Soi] vient lui-même le chercher pour le placer au centre, c'est-à-dire en LUI [Je suis ce JE SUIS].
Tous les philosophismes, avec leur miroitement verbal, sont des miroirs à alouettes qui ne sont guère dangereux tant que leurs promoteurs se contentent de pondre des bouquins, mais sont des catastrophes quand ils s'incarnent dans des structures politiques concrètes [dans des régimes comme la république], dans des « Partis » qui n'existent en tant que tels que parce qu'ils prétendent être détenteurs de la Vérité, du centre de toutes choses, ce qui fait que tous sont des dictatures, des totalitarismes, en acte ou en puissance.
La Vérité, pour l'Homme et pour chaque homme, c'est l'idée qu'il se fait de sa nature d'homme. Et il se trouve que, de même que l'équerre à centrer situe le centre d'une façon subjective, par approximation imaginative, aucune idée de l'Homme acquise par le discours logique, et qu'on appelle « opinion », n'a de valeur scientifique, quoi qu'elle en prétende.
En fait, la connaissance par l'Homme de sa nature humaine ne peut être une science puisque toute science naît d'un dialogue entre un sujet qui étudie et un objet étudié ; et que par ailleurs l'Homme étant ontologiquement, en ses essences, le résumé, la globalité de l'Être et de l'ex-istant, il est de ce fait dans l'impossibilité de se poser comme sujet étudiant d'un « Univers » qui lui serait extérieur. C'est, géométriquement, impossible. C'est pure illusion satanique fondée sur le renversement des rôles entre essences et accidents.

La politique est la science de la gestion des sociétés selon l'idée qu'on se fait de l'Homme (au sens générique). En conséquence, elle implique, de la part de ceux qui exercent le pouvoir politique, la connaissance des essences de l'Homme, de son ontologie. Connaissance qui ne peut s'acquérir à partir des accidents, pas plus que l'équerre à centrer ne peut définir un centre absolu, géométriquement vrai, lequel ne peut absolument pas être une opinion.

L'Absolu, c'est ce que toutes les religions appellent Dieu, l'Être source de tout ex-istant. Ce besoin de perception de l'Absolu régit tous les individus, ceux qui se disent civilisés et ceux qu'on dit sauvages ; mais il est vrai aussi que l'homme a toujours été tenté de rechercher cet absolu au travers des accidents du spatio-temporel et qu'il est difficile d'atteindre la perception pure de « Je suis celui qui est ». Les civilisations se sont toujours construites sur des compromis entre l'Absolu et les perceptions, contingentes et limitées, du spatio-temporel. Le règne de l'opinion en tant que critère de vérité politique n'a pris valeur dogmatique qu'avec la révolution de 89, et le communisme en est la maturation historique en se parant des prédicats de l'Absolu, ce qui en fait une religion à l'envers, comme l'envers d'un cuivre repoussé. Il ne faut pas s'étonner d'entendre dire par ceux qui ont quitté le communisme qu'ils ont perdu la foi.
Le communisme est la dictature aussi radicale que possible d'un philosophisme, d'une idéocratie. Il professe le dogme que les accidents engendrent les essences. C'est une naïveté infantile mais le monde en crève. Il est bien connu que les enfants sont cruels.

Le renversement des rôles entre essences et accidents est la marque infaillible du satanisme [du Luciférien]. Les constructeurs de systèmes intellectuels, de « ismes », ont bouffé la pomme. Les autorités de l'Église sont aussi en train de la bouffer en réduisant la religion au sentimentalisme social et politique (progressistes), ou au conservatisme des formes rituelles (Lefebvre).
Le discours logique ne vaut que pour juger des accidents entre eux (J'opine pour telle ou telle explication), comme le fait la science expérimentale. Mais il se trouve que la science parvenue à son terme, ayant atteint la suture du physique et du métaphysique, rencontre la logique de l'illogique. Elle en est abasourdie.
(Jean Coulonval : Synthèse et Temps Nouveaux, lettre n°49 à Louis Pauwels, le 12-4-1978)

 
 
 

Dernière mise à jour : 07-12-2020 02:03

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved